Mardi
Le soleil se levait, il était 6 heures et ma tante dormait à poings fermés. J’allais me lever quand je sentis sa main me retenir : elle voulait un petit câlin matinal. Je la pris dans mes bras, sentant sa chaleur à elle. Chantal me tira vers elle pour m’offrir ses lèvres. Nous nous embrassâmes, et je ne pus résister à promener mes mains sur ses superbes fesses.
Ma tante n’aimait pas prendre l’initiative.
Bonjour, chéri, tu as bien dormi ?
Bonjour, ma chérie ; oui, et toi ?
Oh, avec toi, Jean, je dors incroyablement bien : j’ai comme l’impression que tu me tranquillises.
Si tu le dis… Ce soir, je te réserve une surprise !
J’en frémis d’avance… me dit-elle avec un sourire malicieux.
Elle glissa le bout de ses doigts vers le long de ma verge, ce qui me procura une sensation vertigineuse. Chantal, allongée sur le dos, m’attira directement sur elle, elle qui d’habitude se faisait discrète en matière d’initiatives !
Toi, tu as envie de te faire baiser…
Ouiiii, mon chéri !
Ni une ni deux, je la pénétrai en délicatesse en l’embrassant tantôt dans le cou, tantôt sur ses somptueuses lèvres. J’eus l’impression que ma tante était "désireuse" depuis un certain temps, vu la facilité avec laquelle je m’enfouis en elle. Elle se mît à gémir dès mes premiers coups de reins, preuve que j’avais vu juste. J’en conclus dans la seconde que ma tante était une sacrée baiseuse et qu’elle n’avait plus goûté aux joies de l’amour, depuis de nombreuses années.
Jean, c’est bon de commencer la journée en faisant l’amour si tôt avec toi…
Qu’est-ce que j’aime ça avec toi !
Tu vas finir par croire que ta tante est une malade de sexe !
Ah non : plutôt en manque de sexe depuis un bout de temps.
Oui, c’est vrai, mais avec toi c’est du super sexe en plus, t’es un sacré baiseur mon neveu !
À l’aide de ses jambes, elle se débarrassa de la couverture et m’entoura la taille en les croisant autour de moi. Nous nous embrassâmes immédiatement, et nos langues firent des figures de style à l’intérieur de nos bouches.
Viens, mon chéri…
Je baisais à nouveau ma tante qui n’attendait que ça. Mes mouvements lents prirent de l’élan, jusqu’à que les bras de ma tante se mettent à me serrer de plus en plus fort, preuve d’un orgasme imminent de sa part. Je jouis en elle en l’embrassant avec frénésie. Elle jouit en moi en m’embrassant farouchement.
Elle me serra contre elle avec long râle, une sorte de soulagement du plaisir reçu.
J’aime te sentir jouir en moi, Jean…
T’es une femme géniale !
C’était si bon de baiser ma tante tôt le matin ; elle était si câline, si femme.
Je restai en elle, dans sa chaleur, dans son éveil matinal.
Avec délicatesse, il fallut se retirer, et je vis l’instant d’après ma tante s’étirant tout en longueur en tendant ses bras derrière sa jolie frimousse. Ainsi je pus me délecter de la vue de son corps, voir son ventre creusé avec ses côtes apparaissant. J’attrapai l’un de ses seins et lui suçai son téton déjà bien ferme. À force d’aspirer, de pomper son mamelon et son aréole, je ressentis une sorte de liqueur avec comme un goût de vanille, mi-sucré, mi-salé. Chantal se tortilla de plaisir, me caressa mes cheveux. Je pratiquai cette succion sur son merveilleux sein, tel un bébé. Ce fut nouveau pour moi comme pour elle.
Je goûte ton sein ; on dirait que tu donnes du lait.
Ah bon ? me dit-elle avec sa petite frimousse matinale.
En tous cas, c’est toujours le top avec toi.
Oui, mon neveu adoré, c’est génial entre nous.
Je la couvris de baisers ; elle me caressa la nuque en ne sachant que faire sous l’effet de ma succion. Comme elle me plaisait, cette nana qui était ma tante, et comme je prenais mon pied avec elle !
Puis je pris un café, ma douche, et direction le bureau comme si de rien n’était en arrivant pour saluer mes collègues.
Ma tante arriva de son côté à 8 h 30, comme à son habitude toujours très soignée, mais cette fois avec un pantalon qui mettait en valeur ses formes avantageuses. Je la regardai en la bouffant du regard. Elle le sut très bien et me le fit savoir avec ses regards en coin (j’adorais ça…). La matinée passa, puis vint midi.
Nous mangions toujours à la même table de la cantine, et je faisais rire ma tante avec quelques facéties. Nos collègues nous observaient ; comment pouvaient-ils penser que nous étions amants ?
L’après-midi se déroula d’une manière quelconque. Dès que je le pouvais, je trouvais un prétexte pour aller voir ma tante, et dans son fameux couloir des archives je l’attirais vers moi pour mieux l’embrasser, ce qui était loin de lui déplaire.
Elle ne portait plus de culotte désormais, et à la moindre occasion je glissais ma main sous sa jupe et lui caressais allègrement le sexe. Je crois bien qu’elle adorait ce que je faisais : c’était une nouvelle expérience pour elle (comme pour moi, d’ailleurs). Je savais que je l’excitais au plus haut point, dans le seul but de lui faire naître un désir à mon encontre quand je la retrouverais chez elle le soir.
Son intimité n’avait plus aucun secret pour moi. J’adorais la voir se laisser faire par son jeune neveu. Je la doigtais pour mieux l’exciter ; et, au bord du désir, elle posait sa tête sur mon épaule tout en écartant les jambes.
Toi, tu sais y faire avec moi… me disait-elle, toute trempée dans son intimité.
J’ai appris à te connaître, Tatie d’amour.
J’ai envie de toi, mon neveu adoré…
Ce soir, Chantal.
T’es vache !
Évidemment, à l’instant présent, une idée folle me traversa l’esprit : la sauter immédiatement. Le risque encouru était grand, car la dernière fois nous étions passés près de la catastrophe. Je ne pris pas ce risque, bien que ma tante se montrât insistante. Nous évitâmes de rester ensemble dans son bureau, de peur d’être surpris.
À 18 heures je montai chez moi… pour mieux redescendre à 18 h 30 et filai chez ma Tatie. Je passai chez le fleuriste lui acheter un bouquet de roses bien rouges.
À 19 heures je sonnai, faute de clés : toujours pas de double. Ma tante arriva, nous nous fîmes la bise devant des voisins qui passaient et qui nous saluèrent par la même occasion. J’avais dissimulé mon bouquet dans le dos puis, de manière soudaine, je le présentai à ma tante.
Surprise !
Il y avait trois roses rouges, synonyme des trois mots "je t’aime".
Chantal le savait et mit ses mains devant le visage, visiblement très émue.
Je ne sais pas quoi te dire Jean …
Et ne sachant que faire, elle m’embrassa fougueusement pour finir par un baiser dans mon cou. Je rentrai dans son salon prendre un Coca et ma tante prit un vase pour déposer mes roses.
À moi de te faire une surprise. Je monte me changer ; regarde la télé ou attends-moi sur la terrasse.
Je fume une cigarette, alors, direction la terrasse !
Pour être plus décontracté, je m’étais mis en caleçon. Tandis que je finissais mon verre, j’entendis Chantal arriver sur la terrasse. Elle venait de prendre une douche, ses cheveux légèrement mouillées en témoignaient. Elle s’était mise à son aise, c’est à dire en robe de chambre, puis s’installa sur un des fauteuils de la terrasse.
Alors, ma tante, quelle est ta surprise ?
Chantal me lança un petit regard, assise. Elle décroisa ses jambes et ouvrit brièvement sa robe de chambre : elle n’avait rien en dessous ! J’aperçus son intimité ainsi que sa poitrine dont les tétons durcis par la douche se dressaient, tel un appel au plaisir. Elle laissa sa robe entrouverte, le spectacle qu’elle m’offrait devenant presque surréaliste. Ses longues jambes à la peau si douce la mettaient en valeur, avec sa jolie nuque très effilée et toujours ses pieds fins au vernis rose.
Jean, tu peux m’amener un verre d’eau pétillante ?
Oui, volontiers.
Je me levai dans la foulée. Ma main se dirigea vers sa poitrine bien ferme avec une belle caresse en guise de compliment et je lui ramenai son verre.
Ma surprise te plaît ?
T’es comme une gourmandise, Chantal ; on n’a qu’une envie : te déguster.
C’est le but ; en principe, on consomme ! dit-elle en pouffant de rire.
Ne t’inquiète pas, ma Tatie, j’ai une faim de loup !
Alors tu vas encore me gâter, mon chéri.
Inutile de préciser que mon caleçon ne m’arrangeait guère lorsque mes yeux se posaient de manière régulière sur l’entrejambe de ma tante. Elle était sublime, ma tante, enveloppée dans sa robe de chambre à moitié ouverte ; ses longues jambes, ses pieds fins et ses yeux brillants n’en finissaient plus d’avoir raison de moi.
Sa terrasse était abritée par un long store avec un muret rehaussé d’un grillage que la vigne vierge grimpante abritait des regards indiscrets. Chantal fut visiblement excitée par cette situation, n’arrêtant pas de décroiser ses jambes pour mieux me montrer son sexe dont j’étais follement admiratif. N’y tenant plus, j’approchai mon fauteuil et lui suggérai de tendre ses jambes sur les miennes pour mieux lui caresser ses jolis pieds, comme la dernière fois. Mon fantasme avait été réalisé avec ses pieds dimanche dernier, mais ce n’était pas suffisant à mes yeux. Ils étaient fins elle chaussait du 39, signe qu’ils étaient très gracieux et ses orteils recouverts d’un splendide vernis rose ne faisaient que renforcer leur beauté et mes intentions.
Tatie, je n’ai jamais vu d’aussi beaux pieds que les tiens.
J’en sais quelque chose… Bon, tu veux caresser mes pieds ?
Je commençai à les prendre, puis je passai mes mains sur la paume de ses pieds et ensuite je glissai sur le dessus de ses orteils. Que la peau était douce à cet endroit ! Je déposai quelques baisers pour commencer à accoler mes lèvres au bout de ses orteils sublimes.
Je fantasme sur tes pieds c’est mon point faible ; alors, dès que je regarde les tiens…
Tu es bien le premier homme à me dire ça !
Tu as des pieds si soignés, si précieux à mes yeux…
Je ne pus m’empêcher de les porter à ma bouche.
Tu es complètement fou, Jean…
Je couvris ses pieds de baisers, je promenai ma langue sur l’extrémité des ongles de ses orteils. Mon Dieu, qu’ils sentaient bon, que ses pieds étaient divins ! Je les bouffai littéralement.
Tu aimes, Chantal ?
Je ne connaissais pas comme ça, sur la terrasse, mon chéri, et j’avoue que c’est assez différent de l’autre fois…
Moi, j’adore.
Alors si tu adores, Jean, je vais certainement adorer à mon tour sans rien faire.
N’écoutant que moi-même, je continuais ma tâche, ainsi je pétrissais ses pieds de folie, je les léchais, les embrassais, les cajolais… Ma tante ne resta pas longtemps insensible à mes caresses plus ou moins originales, et de manière soudaine elle posa un pied à même le sol pour mieux écarter ses jambes.
Chantal, tu n’aurais pas une idée en tête ?
Connaissant désormais bien ma tante, j’eus droit à sa réponse favorite : son sourire coquin. Il n’en fallut pas plus pour que je m’aventure vers des caresses plus approfondies de ses jambes merveilleuses.
Toi, tu veux aller au lit…
Pas encore : je n’ai pas fini.
Jean, mais que veux-tu que je fasse ?
Les chaises étaient confortables avec de larges accoudoirs, alors je l’invitai à venir s’asseoir sur mes genoux. Ma tante vint se positionner sur moi. Une fois de plus, j’adorai les multiples parfums qu’elle dégagea ; ce fut comme un havre de paix de l’avoir sur moi. Et puis, avoir ma tante presque nue sur moi, dans un fauteuil de sa terrasse, me donna le sentiment qu’elle était définitivement "à moi". J’avais conquis ma tante, cette belle plante de 45 ans que je pouvais baiser quand je le voulais. Et de plus, elle en redemandait ! Aussi je la câlinai tout en sentant les lèvres de son sexe sur mes cuisses.
Quant à ma tante, elle se délectait à passer ses mains dans mes cheveux tout en effleurant ma nuque et mes épaules. Elle s’était presque recroquevillée et nous commencions à nous embrasser, même si je continuais à lui serrer les pieds qui me tenaient tellement à cur. Puis, toujours avec tendresse, mes doigts se dirigèrent vers son jardin secret, jardin secret qui avait hâte de se faire doigter, si j’en crus la facilité avec laquelle je pénétrai d’un, puis de deux doigts cet orifice si généreux. Ma tante aimait se faire doigter ; je ne jouais pas avec son clitoris : je ne faisais qu’attiser son désir en faisant pour le moment des va-et-vient le long de son vagin étroit.
Tu sais que j’aime beaucoup ce que tu es en train de me faire, mon chéri ?
Je sais que tu aimes te faire doigter ; alors en plus, dans cette position, tu dois adorer…
Oui, Jean, ce que je ressens est plus qu’agréable ; j’ai comme l’impression que je t’appartiens.
Cette dernière phrase me donna un battement de cur ; ma tante qui me dit qu’elle m’appartient… Sur ce, Chantal s’approcha plus près de moi en écartant ses jambes légèrement pour mieux me faire sentir ses lèvres intimes, abondantes de sa liqueur à elle. Avec ce geste, ma tante me disait indirectement que la voie était ouverte pour qu’elle se fasse pénétrer une fois encore par son neveu. Je sentis qu’elle n’en pouvait plus ; sa chatte devenait de plus en plus "accessible", elle mouillait comme une folle. Je profitai de cette situation pour commencer à caresser son anus et la pénétrer avec mon majeur bien lubrifié pour l’occasion.
Une légère brise s’était levée ; les cheveux blonds de ma tante se décoiffaient par instants, ce qui lui donnait un petit air rebelle. Sur mes genoux, ma tante se mit à pousser un léger gémissement au moment où, avec l’aide mon pouce, je fis des mouvements circulaires sur son bouton nommé désir. Dans le même temps, je lui introduisis mon majeur couvert de salive dans son superbe petit derrière. Elle fut quelque peu surprise au début, mais je vis au bout de quelques minutes que mon doigt était le bienvenu.
L’instant était magique pour moi : j’avais une superbe femme de 45 ans que je faisais jouir à ma guise et qui m’était promise. Et cela devait arriver : ma tante sentit mon désir naissant à travers mon caleçon.
Je crois bien qu’il faudrait qu’on monte dans ma chambre…
Euh… c’est une bonne idée, Tatie.
Tu sais, mon chéri, depuis ce matin ta tante attend son neveu entre ses jambes !
Je n’en doute pas une seconde et tu ne vas pas être déçue. Fais moi bien jouir comme la dernière fois !
Nous nous retrouvâmes en haut et Chantal ôta sa robe de chambre ; j’admirai ses formes, son bassin, ses hanches. Je ne me lassais point de regarder admirativement son corps, son corps qui allait devenir ma perle d’or sur mon champ d’amour. Elle s’approcha et vint me caresser la nuque, puis posa ses lèvres sur les miennes. Nos langues s’amusèrent entre elles, jouant à une sorte de cache-cache de manière très sensuelle… sensuelle comme l’était ma tante.
Tout à coup, elle s’agenouilla et baissa mon caleçon puis approcha ses lèvres face à ma verge tendue ou raide, peu importe, pour commencer, comme elle savait le faire, à me donner du plaisir. Une fois de plus, du haut de mes 18 ans, j’admirais debout le spectacle que m’offrait ma tante de 45 ans qui, du bout de sa langue experte, commençait à me lécher mon sexe sur toute sa longueur.
Comme elle savait s’y prendre ! Elle attendait l’instant magique pour venir me sucer le bout de mon gland. Elle me caressa les cuisses puis s’empara de mon sexe pour le porter à la hauteur de sa bouche pour mieux s’en séparer en recommençant ses caresses. Avec sa main, elle balada mon gland le long de ses lèvres, pour le gober avec une infime douceur. J’eus ce sentiment fugace que ma tante n’était plus attirée par mon sexe, mais véritablement amoureuse de lui.
Chantal se mit à converser avec mon sexe ; visiblement, depuis ce matin elle avait une idée farfelue dans la tête.
Viens là, toi, que je t’attrape et que maman te prenne pour te mettre bien au chaud au fond de sa bouche !
Je fus interloqué et électrisé par ses mots : ma tante parlait à mon sexe ! Avec un il amusé, je me pris au jeu sans dire un seul mot, et je l’entendis :
Viens, mon grand, laisse faire maman avec sa belle langue. Comme tu es beau ! T’es mon bébé ; laisse maman te sucer encore. Laisse faire maman : elle va te goûter et te boire, mon ange…
Sur ces mots, ma respiration devint plus haletante ; c’était terriblement excitant ! Elle en avala la moitié, puis le retira en gardant ses lèvres comme une ventouse sur mon prépuce.
Chantal, tu me suces, c’est du bonheur !
Chantal me sourit, trop occupée pour me répondre. Mon sexe était tendu à l’extrême, gonflé à bloc, pointant son extrémité à la face de ma tante ; que dis-je : face à sa bouche appétissante. Ma tante le saisit une nouvelle fois pour mieux l’absorber dans sa totalité à l’intérieur de son palais brûlant. Elle le suça avec autorité, sûre de son fait. Je sentis que j’allais jouir, mais je voulus encore profiter de ma tante chérie, aussi je me retins. Chantal continua son ouvrage avec amour en décalottant ma verge et en lui parlant :
Allez, sois gentil avec maman, donne-moi ton jus bien chaud, laisse approcher les lèvres de maman et viens te mettre dans sa bouche ; approche ta tête toute nue, que maman puisse jouer avec toi : elle va s’amuser à te faire des guiliguilis avec sa langue.
Chantal se mit à me branler en alternant avec des coups de langue. Des courants, des spasmes me traversèrent le corps. Ça y était : je jouis pleinement dans la somptueuse bouche de ma divine tante.
Oooh, c’est bon, Chantal, t’imagines pas…
Chantal pompa ma verge comme une damnée et avala ma semence, surexcitée.
C’est bien, mon bébé, comme tu es mignon… Donne à maman, elle aime ton jus bien chaud qui lui descend dans la gorge. Allez, encore un peu, mon grand ! Fais plaisir à ta maman qui t’aime… dit-elle tandis que je giclais une nouvelle fois.
Oui, maman est heureuse ; tu es beau mon bébé tout gonflé. Gicle dans la bouche d’amour que t’offre maman ! Allez, mon gros bébé, donne ta dernière giclée à ta maman ;c’est chaud, c’est bon et c’est de toi.
Cette fois, j’arrivai à la fin.
C’est bien ; la bouche de maman est pleine. Je te fais un gros bisou et je te remets encore au chaud un petit peu pour que tu n’attrapes pas froid.
Oh, comme c’était bon ! Ma tante avait employé les mots justes, des mots insensés. Ça n’avait aucun sens, sauf celui de me donner du plaisir.
Voilà, Jean, c’était mon fantasme à moi ! dit-elle en rigolant.
C’était super, Tatie d’amour !
Je m’affalai sur le lit, vidé dans tous les sens du terme.
Il était 19 h 30 ; Chantal reprit une douche pour se remettre de toutes ces émotions, puis elle descendit pour faire la cuisine. Ça sentait bon, et vers 20 heures elle remonta me voir ; j’étais encore allongé sur le lit.
Tu ne descends pas ?
Viens près de moi, ma super Tatie…
Ma tante s’exécuta sans moufter ; elle savait pertinemment ce que j’avais en tête. Elle était toujours en peignoir, légèrement entrouvert pour apercevoir sa merveille d’intimité, sa poitrine toujours alerte et son ventre si plat. Elle s’était démaquillée, et cela la rendait hyper-sexy.
Ôte ton peignoir et mets-toi à quatre pattes sur le lit.
Que veux-tu de moi encore ?
Je lui fis un clin d’il.
Aaah, d’accord : je vois ce que mon neveu a dans la tête !
Aussitôt elle se leva avec grâce, ôta son peignoir et se mit dans la position demandée en se cabrant avec les bras sur les coudes. Quand je vis ma tante se positionner à ma demande, bien cambrée, je crus que j’étais en plein rêve : comme d’un coup de baguette magique, ma tante était à mes ordres. Nul besoin de la persuader, de discuter : elle s’exécutait comme par magie à mes demandes.
Je suis à toi, mon neveu.
Je ne croyais pas que tu le ferais…
Mais, mon neveu, ta tante a faim de toi !
Alors Tatie, tu vas voir.
Fais jouir ta tante qui te fait tant fantasmer ; viens me voir, entre en moi…
Ces mots me donnèrent des frissons. Mon cur battait à 100 que dis-je, 200 à l’heure ! Une nouvelle fois ma tante m’offrait une vue de son cul carrément dantesque. Je n’avais qu’une envie : la pénétrer d’un seul coup. Son cul était si parfait, elle était cambrée d’une manière presque obscène, j’aurais voulu immortaliser cette scène.
Eh bien, mon neveu, que fais-tu ? Tu oublies ta tante chérie ?
J’étais quasiment médusé devant sa paire de fesses ! J’étais à nouveau en plein rêve, rêve que j’allais grandement réaliser en m’approchant de son cul féerique.
Oh non, ma tante chérie, je vais bien m’occuper de toi…
Si c’est comme la dernière fois, je te fais confiance.
Ce sera encore meilleur, Tatie.
Je m’en réjouis d’avance, mon neveu chéri.
Et me voilà parti à la conquête de son cul ; je lui fis quelques baisers sur ses belles fesses à la peau de velours. Attiré comme par un aimant, ma bouche puis ma langue vinrent se plaquer contre son trou doré. Je humais l’odeur qu’elle dégageait. Je me mis à la laper, pour son plus grand plaisir. Chantal se cambra encore plus pour mieux profiter de ma langue.
Mon neveu, je ne te l’ai jamais dit, mais tu te débrouilles comme un chef avec ta vieille tante.
Tu as le corps dont je rêvais ; tu as un cul parfait, Tatie.
Oui, enfin, j’ai quand même 45 ans : on a plus de 25 ans de différence d’âge !
Et alors, Chantal ? On baise comme des dieux tous les deux !
Ah ouiii ! C’est vrai qu’avec toi, je n’ai pas peur de te le dire, je prends mon pied comme, comment dire ? Comme jamais !
Alors laisse-moi faire et laisse-toi aller, ma toute douce.
Oui, mon amour…
Je léchais le cul de ma tante Chantal avec amour et je lui rentrai à nouveau, comme sur la terrasse, un puis deux doigts dans son anus qui commençait à se dilater sous l’effet "circulatoire" de mes doigts fins. Avec la salive déposée dans son orifice, je m’apprêtais à "prendre" ma tante qui n’attendait que ça après un dernier baiser sur chacune de ses fesses. Ma verge gorgée de sang se mit en approche tel un missile qui fonce sur sa cible, et quelle cible !
Le postérieur de ma tante se dandinait tel un appel à une belle pénétration de ma part.
C’était parti ! J’enfonçai mon "missile" dans la "cible" de ma tante. Chantal commença par gémir ; ce n’était point douloureux car elle avait été bien préparée par mes soins. J’avançai par étapes et fus aux deux tiers rentré en elle par des mouvements d’une lenteur bien contrôlée.
Oh oui… Comme je te sens, mon neveu chéri, entrer en moi ! Comme c’est bon quand tu me prends dans mon derrière…
J’avais posé mes mains sur ses fesses et je commençais à les maintenir pour augmenter la cadence. Chantal était dorénavant totalement pénétrée de mon sexe tout entier ; je caressais sans retenue son ventre pour remonter à sa poitrine adorée. J’étais dans la chaleur de son cul, dans sa chaleur à elle. Son cul m’appartenait, ma tante m’appartenait tout entière, totalement soumise au rythme que j’imprimais en elle. Elle m’offrait une fois encore son merveilleux derrière, preuve de l’amour qu’elle éprouvait pour moi.
Oui, encore… Continue, mon chéri.
Tu es belle, Tatie ; tu es à moi tout entière !
Et j’accélérai pour finir par de véritables coups de boutoir !
Chantal en demandait encore ; elle gémissait de plus belle puisqu’elle s’était totalement lâchée. Je rentrais entre ses fesses à la beauté terrifiante. La posture de ma tante était comme une offrande faite à son jeune amant de 18 ans.
Vas-y, mon salaud ! Bourre-moi ! Défonce-moi, tu sais que j’adore ça !
J’adore te posséder, Chantal…
Oh oui, viens jouir dans ta tante, dans ta belle Chantal !
Sur ses mots, je sentis tout mon corps parcouru de frissons, signe que mon éjaculation était imminente ; je n’en pouvais plus de la baiser ainsi ! Le plaisir montait en moi, j’étais en train d’atteindre l’inaccessible étoile chère au poète disparu… Et me voilà en train de me "vider" dans le somptueux derrière de ma tante, que j’avais cru longtemps hors d’atteinte, hormis dans mes rêves les plus fous.
Oooh oui… Aaah !
J’éjaculais dans le cul de ma tante qui se cambra de plus belle… Chantal se mit à hurler en s’agrippant des deux mains aux draps sous l’effet de ma décharge intense, gémissant de tout son corps. Je jouissais en elle par saccades dans son orifice totalement dilaté.
Comme c’est bon ! hurla-t-elle.
Oui, je sais… Que tu es belle !
Je continuais à lui défoncer le cul avec des coups répétés ; mes attaques étaient brusques, violentes, ciblées. Chantal n’en finissait plus de gémir de plaisir en se faisant pilonner son beau derrière entièrement "dévoué" à ma cause. Ma tante était véritablement étalée sur le lit, elle se répandait tout en se maintenant cambrée comme pour encore jouir avec mon membre introduit dans son être.
Puis mes mouvements se firent plus lents. J’appréciais de rentrer en elle, même si mon sexe commençait à me trahir. Je parcourus son ventre pour remonter vers ses seins chauds, aux tétons bien durs, que je pinçai délicatement entre mes doigts. Chantal en fut excitée comme une folle. Je me retirai d’elle avec quelques perles de sueur et m’allongeai à ses côtés, épuisé du plaisir d’avoir sodomisé ma tante.
Mon chéri, tu me baises comme un malade, et j’adooore ça !
Tu es faite pour moi. Ton corps, ton cul, ton sexe… tout me plaît en toi.
Le calme se fit dans la chambre ; le soleil se dissipa peu à peu. Chantal, tout comme moi, se remit allongée sur le lit.
Je te le dis à tête reposée, maintenant ; tu vas trouver ça idiot à mon âge mais, Jean, je crois que je suis amoureuse de toi.
Ce n’est pas idiot, Tatie ; et si je te disais que je t’aime, Chantal ?
Sur ces paroles, je vis le regard de Chantal s’émerveiller. Une larme coula sur sa joue, si émue de lui avoir dit que je l’aimais. Et moi ? Entendre de ma tante qu’elle était amoureuse de moi me fit l’effet d’une bombe, mais je ne montrai rien pour faire preuve de maturité.
Mais, Jean, qu’allons-nous faire ?
Andrew rentre samedi de l’hôpital et repart lundi en maison de repos ; alors profitons-en, et après nous verrons.
Elle se colla contre moi et embrassa mon torse, puis se leva, comme rassurée par mes propos.
Avant d’aller dîner, je fais un brin de toilette, chéri.
Entendu ; je descends mettre la table.
Tu es un amour…
Du coup, j’avais l’impression d’entendre ma mère quand je suis serviable !
Retour à la réalité : Chantal était ma tante, même si ça ne me dérangeait aucunement de la sauter allègrement. Et j’ajouterai qu’elle aimait ça. De plus, elle était désormais amoureuse de moi : je le voyais dans sa façon de me regarder, me sourire, de parler avec moi.
C’est à table, lors d’une conversation, que ce fut flagrant. Je lui racontais une histoire de famille et je la vis m’écouter, buvant mes paroles comme à une époque où je la regardais, je l’écoutais, je buvais ses paroles et je la dévorais de bas en haut, mais cette fois la situation était inversée. Ma tante était amoureuse ! Je le vis également dans son comportement : elle était plus joyeuse que d’habitude, plus rieuse. Elle se comportait par moments comme une gamine avec moi, comme une fille de 20 ans.
La table fut mise et Chantal se mit en cuisine pour nous faire un repas de surgelés. Je l’entendais fredonner un air de musique.
Avouons que ce ne fut que moyennement bon.