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Ma tante de 45 ans est sublime – Chapitre 8

Ma tante de 45 ans est sublime - Chapitre 8



Nous eûmes avec Chantal, un bref regard à la fois interrogatif et désespéré. Mon oncle enchaîna.

— Chantal, tu as pris soin de notre neveu durant mon absence ?

— Oui Andrew, il m’a même aidée au potager – ce que dit ma tante fut parfaitement mensonger.

— C’est bien et toi Jean, tu te plais ici ?

— Oui mon oncle, Tatie m’a fait visiter Londres, c’est magnifique.

— Alors trinquons à mon retour !

J’allumai une cigarette et machinalement, Chantal en prit une. Mon oncle remarqua.

— Mais tu fumes ! Ton neveu t’a dévergondée !

Je vis ma tante se mettre à rougir, elle trouva un prétexte en cherchant un cendrier dans son affolement, alors qu’il y en avait un sur la table.

— Mais qu’est-ce qu’il lui prend ?

— Andrew, elle est assez nerveuse avec le boulot.

— Je comprends.

— Va donc aider ta tante en cuisine.

Je terminai ma cigarette et rejoignis ma tante. Pas un mot entre nous, juste un baiser vite fait le temps de dresser la table. Le repas fut vite expédié et mon oncle se montra exténué.

— Bonne soirée Jean et passe nous voir dimanche si tu veux.

— Avec plaisir, je passerai vers 15h et repose-toi.

— Merci Jean, je monte me coucher et tiens compagnie à ta tante !

Mon oncle prit la direction des escaliers. Ma tante termina sa cuisine pour me rejoindre sur la terrasse. Elle reprit une cigarette, passablement énervée de la situation. Instinctivement, elle se déchaussa et posa ses pieds sur mes cuisses. Je m’empressai de les caresser. Elle n’y prêta guère attention.

— Jean, depuis que Andrew est rentré, je culpabilise au plus haut point !

— Oui je comprends, tu veux qu’on arrête – avec un ton provocateur.

— Ah sûrement pas ! J’aime trop ce que tu me fais.

— On y prend goût ma tante – lui dis-je en souriant.

— Tu sais y faire avec moi et tu te montres très doux pour ton âge.

— Tu sais Chantal, tu n’imagines pas à quel point tu me plais

— Personne ne m’a jamais embrassé comme toi, si intensément, si amoureusement.

— Alors approche tes lèvres chérie !

Nous nous embrassâmes follement. 

Puis Chantal se leva pour aller voir si Andrew dormait. Elle redescendit radieuse. Je fus dans la salle à manger quand, tout en marchant, elle se débarrassa de son tee-shirt se retrouvant la poitrine à l’air. Il ne lui resta plus que son short. La lumière de la cuisine resta allumée ; le salon étant éteint. 

Chantal en profita pour ôter son short et cette fois son slip, tout en gardant ses chaussures. Je baissai mon pantalon et caleçon et m’assis sur une des chaises du living. 

Ma tante avait les cheveux en bataille, son maquillage fut quasi inexistant. Ses lèvres si bien dessinées devinrent craquantes au regard de la pénombre. Elle dégagea une sensualité exquise. Je me crûs seul au monde quand elle s’approcha en me murmurant.

— C’est mal ce que l’on fait mon chéri.

— Tu le sais très bien mais tu ne peux pas y résister.

— Non, je n’y arrive pas avec toi, j’ai tout le temps envie, je ne sais pas ce qui m’arrive.

— Ne cherche pas ma belle Tatie, tu es amoureuse de moi !

— Oui je le crois de plus en plus et ça m’inquiète mais c’est si bon de se sentir ainsi et tu sais me faire des choses…

Inutile de préciser que ma verge était en effervescence devant ma tante. La voir ainsi dans la pénombre ajoutait une part de mystère mélangé d’un suspense. Nous frôlions l’interdit au plus haut point avec son mari au 1er étage. 

Je ne sus si Chantal fut excitée de la situation, mais l’envie de faire l’amour avec son neveu dépassa son entendement. Je le sentis dans sa façon câline de son comportement.

A l’instant présent, j’eus cette impression curieuse de voir ma tante en manque de sexe, comme une droguée à la recherche de sa dose. Moi.

Je sentis sa poitrine effleurant mon torse lorsqu’elle vint s’asseoir sur mes cuisses. Je la pris par les hanches tout en lui caressant la peau de velours de ses fesses et l’attirai vers moi. J’avais son souffle dans le cou. Elle prit d’elle-même l’initiative de venir en moi en me caressant mon sexe avec ses doigts fins. Elle se glissa en moi à sa manière, voluptueuse, talentueuse. Elle s’installa définitivement en posant ses mains sur mes épaules. 

Chantal fit un long soupir de satisfaction. Mes mains parcoururent le bas de son dos pour la serrer bien contre moi. Je sentis son ventre contre moi, ses seins en alerte contre ma poitrine et enfin, mon sexe tout entier au plus profond de sa délicieuse fente, brûlante d’amour. 

Puis Chantal commença délicatement à onduler son fabuleux bassin, mes mains posées sur les hanches comme un simple spectateur. 

Spectacle féerique que m’offrit ma tante, demandeuse d’amour pour un soir.

Elle accentua la cadence, produisant en moi une excitation sournoise. Elle se pencha pour me donner ses lèvres raffinées, naturelles, humides, désirables à souhait. Je lui offris ma langue en échange. Elle l’accepta volontiers avec la sienne. Nos langues se connaissaient et évitèrent les présentations. Elles partirent dans un bavardage incessant.

J’embrassai les lèvres de ma tante comme un gosse dévorant son quatre heures ! Dieu qu’elle était bien foutue ma tante et comme elle était bandante ! 

Elle baisait comme une folle, le feu était en nous. Ni l’un ni l’autre ne voulut éteindre ce brasier. Chacun voulut se faire consumer par l’autre.

Les mouvements proférés par ma tante me firent penser à la marée. La marée qui monte et la mer qui vient et puis qui va, cette lumière (de la cuisine) qui fait gris tous les chats, la nuit qui traîne comme un chien à la recherche de son bien… Mon bien de ce soir, c’était ma Chantal. 

La marée devint haute et les vagues devinrent incontrôlables dans notre embarcation de fortune, ma barque céda sous la houle déferlante de ma tante pour se fracasser dans son corail rêvé. Cette vague m’avait plongée sous les eaux turquoise de ces îles du pacifique, je ne pus admirer ces coraux, mais je sentis de tout mon corps ces beautés intérieures. Je ressentis la quiétude de l’océan, j’imaginai toutes ces couleurs chatoyantes. 

Sans y voir, je me sentis au paradis dans ce corail de rêve que me fit partager ma tante. La douceur de sa peau, son souffle haletant, ses multiples baisers m’emmenèrent dans son lagon de l’intérieur.

Ce fut chaud, délicieux, enivrant, exaltant.

Chantal avait partagé mon voyage. Je lui avais chuchoté mes délires paradisiaques. Elle avait apprécié. Tout comme la pression qu’elle exerça lors de ma jouissance en elle. Ce fut dantesque entre nous. Chantal gémit en silence. 

Son corail doré n’en pouvait plus, il se transforma en un atolls, sorte de havre de paix pour nous deux. Ce fut bien la première fois que nous fîmes l’amour, aussi rapidement en cachette.

— Jean, c’est merveilleux ce que tu me racontes.

– Tu étais avec moi, dans nos îles !

— Oui mon amour.

Nous avions eu un orgasme commun, transformé sous une forme poétique. Nous savions pertinemment que notre relation prenait une tournure nouvelle. Notre façon de faire l’amour ce soir était devenue fusionnelle.

Nous avions joui et pourtant, nous continuions de nous embrasser, toujours ayant faim de l’un et l’autre. Allions nous devenir indissociable ? Nous eûmes cette faiblesse de le croire. 

J’embrassai une dernière fois ma tante délicieuse et je pris l’initiative de m’en aller, la mort dans l’âme.

Samedi

J’avais pensé à ma tante une bonne partie de la nuit. Je regardai du haute de ma tour la Tamise, bien grise comme le temps. Je n’eus qu’une hâte, attendre 15 heures. La matinée se déroula d’une banalité affligeante.

Je décidai de venir après 15 heures, histoire de me faire désirer par celle qui enflammait mes nuits. La pluie fine n’arrêta pas de s’abattre.

Vers 16 heures, je sonnai, bien qu’ayant les clés. Ma tante m’ouvra, vêtue d’un charmant tailleur mettant en valeur sa silhouette charmante. Je pus admirer ses mollets ainsi que ses pieds toujours aussi gracieux. Nous nous fîmes la bise, comme une tante le ferait à son neveu. Son maquillage parfait avec un rose léger sur ses lèvres ne fit qu’attiser le bas de mon pantalon. Elle me fit quelques reproches pour mon arrivée tardive, je lui volai un baiser en guise d’excuse.

Andrew était installé dans le canapé, il ne prit pas la peine de se lever et je vins le saluer. Nous bavardâmes de mon travail et je déviai sur les 3 semaines de repos.

— Les médecins me conseillent d’y aller, mais tout compte fait, je suis aussi bien ici !

— Oui mais en maison de repos, tu restes sous surveillance, ton problème cardiaque, ce n’est pas une mauvaise grippe.

— Ah si j’avais juste une grippe ! non, je reste là et ma femme veillera sur moi, pas vrai Chantal ?

— Je le ferai mais en rentrant du boulot, tu vas rester seul du matin au soir.

— Qu’importe, la télé me suffit !

Nous prîmes une tasse de thé et je regardai ma tante, le visage stoïque. Je ne voulus point m’attarder. Je saluai mon oncle comme il se doit, ainsi que ma tante totalement désabusée. Puis une idée jaillit dans mon esprit.

— Alors à lundi au bureau Tatie.

— Oui Jean, à lundi.

— Au fait, tu as pensé à mes chemises, je sais que je t’embête avec ça mais celle que je porte et la dernière de propre !

— J’ai complètement oublié; tu fais bien de me le dire, je fais une petite lessive et je ferai un saut chez toi en revenant du golf demain vers 16 heures.

— Ca me gêne un peu.

— Oh nous sommes en famille, ne fait pas de chiqué ! – me dit-elle avec un petit clin d’il.

Je refis la bise à ma tante, cela me fit tout drôle… Elle me raccompagna, Andrew regardant la télé, assoupi.        

Nous fûmes dans l’entrée. Je la pris par les hanches, elle se débattit (très) légèrement et je l’embrassai avec fougue. J’eus le temps d’ouvrir son chemisier. Ma tante ne portait plus de soutien-gorge. Ses seins resplendissants se présentèrent à moi, arrogants, désireux de se faire prendre. Je les pris à pleines mains et opérai une succion sur l’un deux. Ma tante me caressa la nuque dans la foulée. Je pompai son sein affectueux et commençai à effleurer l’intérieur de sa cuisse. En remontant, je touchai son sexe en entier. Humide fut un vain mot. 

Ma tante était inondée de plaisir ! Il me fallait faire vite, aussi je pénétrai un doigt dans son intimité pour l’entendre gémir. Elle se colla à moi, crispant ses mains à mes épaules. Elle était sur le point de jouir, Chantal écarta ses jambes pour mieux se faire doigter. Un clapotis se fit entendre, sa liqueur abondait de son sexe. Je me baissai et soulevai sa jupe. J’attrapai son sexe avec la bouche et lui aspirai sa vulve toute entière.

Ma tante lâcha un léger cri.

— Petit salaud !

— Je sais que tu aimes…

Chantal se donna de plus belle.         

Ce que nous faisions était complètement fou. Nous en étions conscients mais notre attirance, notre besoin de l’autre était le plus fort. Ma tante se laissait dévorer son sexe, je suçais ses lèvres exquises pour recevoir sa liqueur en récompense. Elle se tortillait du plaisir brut que je lui procurais. Je la voulais bestiale. Elle le fut. 

Ses mains s’agitaient dans mes cheveux quand elle se crispa intensément. Ma bouche était trempée de cette superbe liqueur appelée cyprine. Elle se mit à jouir dans ma bouche en me poussant la tête vers son sexe, afin que je la bouffe, que je lui aspire ses grandes ou petites lèvres. Je remontais vers son clitoris en le léchant délicatement. Elle murmurait sans cesse à voix basse – que c’est bon Jean, que c’est bon…- . Elle était ma chose. Je lui procurais sa jouissance, rien que pour elle, tout pour elle. 

Je sentis qu’elle en avait fini. Je me relevai et la vis exténuée, les seins à l’air, décoiffée. Son visage fut relâché avec un maquillage aléatoire. Elle était ma tante, belle à en crever. Je l’embrassai à nouveau. Elle ne refusa pas, bien au contraire. Je terminai par un baiser dans sa nuque majestueuse. Elle se recoiffa comme elle put. 

Je la regardai en lui souriant, elle respirait l’amour, le charme, la féminité. Elle me rendit mon sourire en me faisant un ultime baiser. Puis Chantal se caressa son intimité.

– Ah parce que c’est fini ?

— Mais ma tante, tu exagères !

— Viens par ici Jean.

— Pas question…demain ma chère Chantal.

— Petit con !

Chantal se calma immédiatement entendant un bruit dans le salon. Je lui fis un signe de la tête. Elle comprit ses propos déplacés du moment. Comme pour se faire pardonner, elle me fit un baiser savoureux. Un peu de plus et j’allai suivre l’invitation de ma tante. A force de lui procurer du plaisir, j’en avais oublié ma propre personne. Ma conscience me dicta de partir au plus vite.

Chantal se laissa aller à des confidences, se sentant si légère depuis mes prouesses.

— Jean, on est des tarés tous les deux – dit-elle en chuchotant.

— Oui, mais des tarés amoureux…

— C’était complètement dingue ce que tu m’as fait.

— J’ai vu ça, t’as bien joui ma salope !

— Oh Jean, enfin je reste ta tante.

— Tu me manques déjà, comme j’ai envie de toi.

— Et moi donc !

— Nous verrons demain ma chère tante, si tu en as encore envie !

— Tu verras bien… – s’en suivit un petit sourire coquin de ma Tatie.

Force est d’avouer que j’eus du mal à partir. 

En chemin, je pensai à demain. Ma tante était demandeuse. Elle avait confiance en moi et je pouvais faire ce que bon me semble d’elle. C’était carrément un feu d’artifice entre nous. 

Je n’aurais pas cette prétention de lui avoir fait découvrir le sexe à 19 ans et elle à 45 ans, mais disons qu’elle s’était un peu endormie sur la question au fil des années. Et à en croire ses petites confidences, elle n’avait pas eu beaucoup d’hommes dans sa vie. Et puis, ma vitalité, mon imagination dépassaient ses espérances en la matière.

Dimanche

Passons sur la matinée…

Il fut 16 heures, toujours pas de Tatie en vue. Je regardai la télé puis je décidai d’écouter de la musique. J’avais préparé du café et acheté quelques gourmandises.

On sonne.

— Bonjour Chantal.

— Bonjour mon neveu, je t’ai apporté ton linge.

Nous nous fîmes un petit baiser et je proposai à ma tante un café accompagné de mes petites gourmandises.

— Tu n’es pas en tenue de golf ?

— Non, j’ai dit à Andrew que j’allais à une expo avec une amie mais j’ai écourté la visite pour te voir.

— Ah ça me fait plaisir, mets-toi à l’aise, enlève ta veste.

Comme à son habitude, elle fut habillée en tailleur, ce qui la rendit fort désirable. J’avais replié mon lit pour le transformer en canapé. Chantal ôta sa veste et se mit à mes côtés.

— Tu veux certainement me caresser les pieds ?

— Tu me connais !

Ma tante s’allongea et je pus ainsi m’occuper de ses pieds si précieux. Toujours aussi soignés et toujours ce vernis rose qui me faisait fondre. Chantal apprécia mon café et prit un chocolat. Elle se faisait câliner ses pieds tout en m’écoutant. Je trouvai la situation fort agréable. 

Je ne sus si ma tante l’avait fait exprès, mais son chemisier blanc était fort transparent. En y regardant bien, j’aperçus le profil de ses seins en forme de poire. Elle ne portait pas de soutien-gorge. L’envie de les saisir me passa par la tête. Ils étaient beaux, fermes, élégants, élancés. Chantal me regarda avec un petit sourire en buvant son café. Scène hyper sexy.

— Que cache ce sourire ma charmante tante ?

— Je pensais mon cher ! je suis bien avec toi.

— Je regarde tes yeux, ta bouche, t’es à croquer ma tante.

— Tu m’as croqué hier, laisse-moi souffler, je n’ai plus 20 ans !

— Si, tu as 20 ans dans la tête avec un corps superbe.

— Oh arrête avec mon corps, je commence à me friper.

— Ah oui et alors montre-moi ?

— Tu veux vraiment ?

Chantal garda son chemisier et ôta sa robe. Elle se leva pour me montrer un semblant de cellulite. Elle fut en face de moi. Je n’avais pas besoin de gourmandise, j’en avais une devant moi. Je me pris à son jeu. 

Je lui expliquai effectivement que sur les hanches, on pouvait en apercevoir. Je caressai ses fesses pour voir (un prétexte évidemment) si elles furent bien fermes. Chantal aima ce petit jeu coquin. Elle se trémoussa devant moi en pauvre petite fille. En malaxant son postérieur, fort agréable par ailleurs, je fus affirmatif. Pour 45 ans, on pouvait en apercevoir un petit début de cellulite.

— Mais que faut-il faire Jean ?

— Un massage en forme de drainage.

— Et tu sais le faire ?

— Enlève le bas, je vais te montrer.

— Encore une de tes idées pour me peloter !

— Je ne te pelote jamais Tatie, je te caresse.

Ma tante se mît nue tout en gardant son chemisier. Évidemment, avec une telle tenue, ma tante fut immédiatement hyper attirante. En regardant ses jambes, je pensai au regretté cinéaste… 

— les jambes des femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tous sens, lui donnant son équilibre et son harmonie-.

Tout était dit. Voir ma tante avec pour seul vêtement un chemisier fin fut fortement jouissif. 

Je massai ses fesses éblouissantes tout en effectuant un drainage. Je fis des petits roulés avec sa peau de flanelle. Ça ne dura qu’un temps. J’entrepris ensuite de véritables caresses. Ma tante ne resta pas longtemps insensible. 

— C’est très agréable Jean.

— C’est comme pour le ventre – lui dis-je.

— Dans ce cas, je vais me retourner.

Ma tante se mit sur le dos, moi à genoux près du canapé. Je repris mes activités, tout en lui faisant comprendre de par mes gestes, que son chemisier fut un obstacle pour le bon déroulement dudit massage. Chantal se déboutonna. 

— Tu préfères comme ça Jean ?

— Tu vas voir ma tante, ça va être plus subtile.

— Mais je ne demande que ça !

Inutile de répondre, je sus ce que ma tante attendit de moi. Mes mains tout en caressant son ventre ravissant, firent un détour par le haut. 

Chantal, à chacun de mes détours se cambra pour mieux exposer sa redoutable poitrine. J’avoue humblement que ses seins devinrent prioritaires et que son ventre en fut délaissé. J’aimai excité ma tante, savoir que ses sens n’avaient plus aucun secret pour moi. 

Chantal était de ces femmes qui se sentent partir vers des préliminaires tout en douceur, pour recevoir une caresse amoureuse frôlant son téton. Mes doigts firent des passages bien lents dessinant progressivement sa poitrine somptueuse. Chantal se décala pour m’offrir un de ses mamelons sans mot dire. Je pressai entre mes doigts son fabuleux téton.

Ses seins, sous l’effet multiple de mes excitations raffinées finirent par se dresser.

— J’ai l’impression que ça te fait du bien Chantal.

— Tète-moi mon chéri s’il te plaît.

Au lieu de me jeter sur cette friandise, j’approchai mes cils et fis un battement délicat sur son téton. Chantal fut étonnée de mon geste et posa sa main sur ma nuque. Mais de par ce mouvement, ses montagnes roses atteignirent l’apogée de leur dynamisme. Ils attendaient avec impatience la chaleur de ma bouche.

J’englobai ce téton si cher, je tournai avec ma langue pour le mordiller ensuite. J’attrapai son autre sein pour le presser. Je vis ma tante se mettre à pousser des gémissements. Elle ne se gêna point. Personne ne put nous écouter, la tour étant déserte un dimanche. Il n’y avait que des bureaux. Instinctivement, Chantal attrapa ma main pour la serrer contre sa poitrine. Avec ses encouragements, je continuai au même rythme, sûr de l’effet que je procurai à ma tante.

— Laisse-toi aller complètement ma Tatie.

— Oui chéri, je me lâche – en parlant à haute voix.

Ma tante fut dans un état second. Ses seins étant une zone très sensible chez elle, ce fut déconcertant de facilité pour lui donner un premier orgasme. Elle se cambra de tout son corps, écarta ses jambes comme en attente de se faire prendre par son neveu. Je changeai et m’occupai de son second sein. Je recommençai la même manuvre. Ses mamelons avaient doublé de volume. Mes pincements légers avec les dents lui procurèrent une douleur aigue se mêlant au plaisir érotique. Elle partit dans son délire le plus intime.

— Oh Ouiii, tète Tatie Chantal mon petit neveu !!

— Oui ma Tatie – me prenant à son jeu.

— Ouiii viens faire plaisir à Tatie et amène ton beau zizi.

Interloqué, je stoppai mes actions. Chantal se redressa et m’invita à venir près d’elle. Elle fut en transpiration, sa peau devenant humide au toucher. Ma tante fut dans une excitation suprême. Immédiatement, elle allongea sa frimousse sur mes genoux. Je caressai sa chevelure, elle approcha ses lèvres divines de mon sexe. 

— Comme j’aime te sucer mon neveu.

— Tu l’as fait souvent ? en risquant une réponse hostile de ma tante.

— Bah pas souvent, enfin juste avec Andrew et toi.

— Avec Andrew…

— Oui mais toi, tu es mon préféré !

— Pourquoi moi ?

— Parce que je me sens libre avec toi et que j’aime promener mes lèvres sur ton sexe, satisfait ?

— Absolument !

Chantal fit un sourire embarrassé. Une tante qui suce son neveu mais de plus, qui lui avoue qu’elle adore le faire qu’avec lui. Quelle confidence, rare d’intensité !

Ma tante reprit son bel ouvrage. Elle promena le bout de sa langue à l’extrémité de ma verge puis aspira mon sexe en alternant avec des baisers suaves. Elle laissa de sa salive sur ma verge, prête à exploser. Ma tante fut déchainée. Elle écarta ses jambes pour me montrer qu’elle voulait se faire doigter. Je rentrai dans son antre tout en caressant son anus à l’aide de la substance qui s’en dégageait. Je compris que Chantal avait une idée derrière la tête. Elle me pompait sans relâche puis me regarda, les yeux brillants.

— Prends ta tante pour une 3ème fois !

— Ok Tatie, j’ai compris.

Aussitôt, Chantal se mit à genoux sur le canapé. Elle infléchit son superbe bassin, les fesses ouvertes. Le trou de son derrière se présenta à moi, je pus observer attentivement qu’il était "pur". 

Je m’explique, ma tante n’étant pas adepte de ce type de pratique, son cul me fit penser à celui d’une môme. Il dégagea une innocence, un appel à venir lui rendre visite. Je m’empressai de l’embrasser, le lécher en y déposant suffisamment de salive. Je n’introduis qu’un doigt dans cet endroit si précieux chez une femme, surtout quand elle ose vous le proposer. Par ce geste, je voulus lui faire souffrance au départ pour qu’elle apprécie davantage la suite. Chantal se laissa faire, impatiente pour la suite. 

— Chantal, tu sais ce je fais ?

— Oui, tu vas dans mon intimité la plus profonde.

— Donc tu aimes.

— Uniquement avec toi, toi seul, tu es autorisé à me prendre comme cela.

Quel compliment surréaliste de la part de ma tante. Une femme de 45 ans qui accepte de se faire sodomiser uniquement par son jeune neveu, j’étais en plein rêve. 

Je donnai un dernier coup de langue sur le cul royal de ma tante, ce qui la fit se trémousser. Je la regardai, son derrière à l’air. Qu’elle fut appétissante à voir. Un cul de femme bien faite. LA définition du postérieur féminin se présentait en face de moi.  Son cul féerique s’offrait à mon sexe, gonflé à bloc pour y accéder. 

J’adorai ce moment ultime, ma tante était en attente de se faire prendre par son neveu de 19 ans, plus jeune que son propre fils. Elle dit se sentir libre avec moi. Sa position, que l’on peut qualifier d’obscène d’une tante à son neveu, fut perçue comme la plus belle des marques de confiance de ma tante. Ses fesses ouvertes comme une offrande à son neveu insinua une sorte d’aveu de sa part. Ce fut un message de Chantal s’adressant à mon sexe. Tout son corps le réclamait. Comme une foule réclame son champion, il ne manquait plus que les ovations…

Ma verge rentra au contact de son jeune anus, il me fallut apprivoiser l’animal ! Je sentis son orifice contracté, mon sexe désireux de faire à nouveau connaissance se fraya un chemin dans ce canal étroit. Tel un spéléologue, mon sexe s’aventura dans cette grotte délicate, mais si fascinante à explorer. Ouverte à la surface, mon sexe s’y introduit à la recherche de son jardin mystérieux. La précaution fut de mise, car ce genre d’orifice se renferme vite à l’orée de l’ennui mais si votre sexe est adroit, alors il n’en finit pas de se rouvrir, sous les larmes de la propriétaire qui aiguisent le plaisir.

— Vas-y doucement mon chéri.

— Je vais te donner du plaisir ma belle Tatie.

Force et de reconnaître que ma pénétration fut délicate, je dus alterner plusieurs tentatives. Je redoublai de précautions pour commencer à coulisser dans son arrière train. Je caressai le ventre de Chantal, cela la réconforta. Quand je vis ma verge disparaître dans le superbe cul de ma tante adorée, la providence m’apparut. Disparaître à l’intérieur de ses fesses parfaites frôla l’apothéose d’un point de vue mental. 

Je ne sais si le nirvana existe, mais le mot béatitude se fit jour. Il n’y eut point de calme ni de tempête, ce fut une lame de fond qui me ravagea, tel un marin vaillant pris au piège de son océan à elle et qui se laisse couler dans ses flots. Douce rêverie de ma part dans l’instant présent.

Chantal commença à gémir, à mieux apprécier ma présence. Suite à mon démarrage plutôt rude, ma tante prit son plaisir tant attendu, se délecta de la présence de mon sexe au fond de son cul souverain. Passer de la souffrance (le mot est un peu fort) à l’exaltation fut une émotion nouvelle pour ma dulcinée. Je sortis pour mieux rentrer de tout mon corps entre les fesses mélodieuses de Chantal. Le rythme était quasi paresseux, histoire de déguster l’étuve de cet orifice aux changements capricieux.

Je dorlotai avec douceur cet animal hostile qui, sous les glissades généreuses de mon sexe, se montra curieux de ma visite. Cette visite s’éternisant, il se montra attentif puis devint poli. Désireux que ma visite se poursuive, il se montra courtois dès lors que je me fus absenté un court moment, pour me loger tout au fond de sa suite. Le mot confortable céda sa place à celui de douillet, moelleux, savoureux.

— Jean, c’est tellement bon…

— Tu m’excites Chantal.

— Et toi tu me combles de bonheur !

Baiser une femme en levrette est considéré comme un acte de soumission mais la sodomiser, c’est comme décrocher un oscar ! J’entendis des – encore – plus fort ! – . J’avais dompté l’animal, ma tante étant devenue l’éclatante esclave de mon sexe. Il fit ce qui bon lui semble, alternant les cadences, faisant des pauses dans son orifice fiévreux de plaisir. Je dominai ma tante, mes mains sur ses fesses à la peau lisse et blanche comme du coton.

Mais mon sexe prit le contrôle de mon esprit. Farouchement, il baisa Chantal de plus belle. Elle se mît à jouir d’un orgasme libéré par un hurlement sauvage. J’avoue dans l’instant ne plus la reconnaître. Ma tante proféra des mots que l’entendement m’ordonne de ne point divulguer. Je préfère en donner quelques brides, libres de tout jugement.

— Oooh la vache ! Comme c’est bon mon cochon !

— Oui ma Chantal.

— Oh j’adore tellement mon neveu !!

— Je sais ma tante.

— Alors plus fort ! plus loin ! va tout au fond.

Tel un lieutenant aux ordres de son colonel, je m’exécutai.

En plus d’adorer, je contemplai sa chute de reins, sa croupe luisante, son encolure élancée. Je nageai en plein bonheur, mon sexe enfouit dans le corps angélique de ma tante chérie. Mais cette contemplation prit fin quand mon sexe, tel un missile céleste explosa en plein vol. Un jet d’étoiles s’éparpilla dans cette déesse divine sur laquelle je m’effondrai, ivre voire repu du fantasme réalisé.

— Ah c’est fantastique Chantal !

— Je deviens dingue avec toi -dit-elle à bout de souffle.

Avec cette jouissance de l’extrême, j’eus l’impression de rentrer au Panthéon des baiseurs de l’ombre. Ce temple, que les romains ou grecs consacraient à leurs dieux m’accueillit tel Cupidon.

Ma tante resta immobile, moi figé en elle. J’appréciai cette chaleur diffuse émanant de cet endroit mystique. 

Fier de ma conquête et de la position de soumission de ma tante, je continuai par pur plaisir à pénétrer sa rose. Elle gémissait avec de longs râles dès lors que je sortis de sa lisière pour y rentrer plus profondément. Pour la troisième fois, je sodomisai ma tante. Patiemment, je sentis son corps se rétracter et ses soupirs s’estomper. Il fut temps de quitter le devant (ou le derrière) de la scène. Chantal se retourna, pâle, un petit sourire en coin. Elle avait joui d’une manière infinie, elle avait rejoint les étoiles, chères aux poètes. Elle me regarda, j’avais donné des couleurs au gris de la Tamise et désormais, quand on la traverse, on se croit sur la mer…

— Alors ma Tatie, heureuse comme on dit ?

— Pff ! mon grand, tu peux recommencer quand tu veux !

— On dirait qu’on aime se faire prendre par derrière petite coquine ?

— Eh bien, disons que c’était diffèrent des premières fois.

— Et ?

— Purement génial mon amour si tu veux tout savoir.

Le temps passa et Chantal plia bagages. Le temps de s’habiller, j’eus l’occasion de lui glisser que notre semaine fut plus que sympathique et que sa présence allait me manquer. Ma tante acquiesça et me dit :

— Jean, on ne peut pas toujours faire ce que l’on veut, on en aura bien profité.

— J’ai encore envie d’en profiter !

— Tu sais, j’ai une semaine chargée.

— D’accord, je comprends.

— Mais je m’arrangerai pour qu’on se voit.

Je la pris par la taille et lui fit un baiser dans son cou. J’en profitai pour lui caresser ses épaules. Elle m’adressa un sourire. Dieu qu’elle me plaisait ma tante.

— Tu sais Jean, je reste ta tante mais en même temps, tu restes un merveilleux amant.

— Et toi, t’es une magicienne du sexe !

— Oui bon si on peut parler d’autre chose.

— Tu me suces comme une reine.

— Alors si tu veux tout savoir, tu as une façon de me faire jouir totalement différente de ce que j’ai pu connaitre !

— Et alors ?

— Tu cherches les compliments Jean.

— Juste pour savoir ma Tatie.

— Eh bien c’est juste merveilleux de faire l’amour avec toi et tu es le seul à me donner des orgasmes aussi intenses !

Génial d’entendre de tels mots sortant de la bouche de cette femme mûre, que j’avais emmenée au-delà du raisonnable.

Mais notre relation, était-elle bien raisonnable ?

Je ne me posai pas de question. Ma tante m’embrassa amoureusement. Nous nous enlaçâmes sachant que la semaine serait difficile pour nous voir, pour continuer nos bêtises.

Lundi allait être une autre journée bien différente…

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