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Ma tante, une pute en devenir – Chapitre 6

Ma tante, une pute en devenir - Chapitre 6



6 Une surprise de pute pour Sandrine

Aujourd’hui est un jour assez spécial pour ma tante car elle aura droit à une surprise à laquelle elle ne s’attend pas.

— Ça te dirait d’aller faire un tour ? Demandais-je à Sandrine.

— Pourquoi pas mais pour aller où ?

— On verra bien, et tu me laisses choisir tes vêtements c’est d’accord.

— Si tu veux.

Après ces mots, j’allais dans la chambre de Sandrine pour lui préparer ses affaires pour aujourd’hui. Mon choix fut assez rapide après avoir fait un petit tour de sa garde-robe.

— Tu peux venir t’habiller ! C’est prêt !

Ma tante entra dans la chambre et fut surprise.

— Je vais pas mettre ça, j’aurais l’air d’une pute.

— Justement c’est parfait !

Sandrine s’approcha de son tiroir et l’ouvrit.

— Qu’est que tu fais ?

— Je prends un soutien-gorge et une culotte quand même.

— Surement pas, ça sera encore plus excitant comme ça, lui dis-je avec un clin d’il complice.

Sandrine n’était vraiment pas emballée mais décida quand mettre de s’habiller. Elle était parfaite, une mini-jupe en cuir noir très courte qui laisse voir le bas de ses fesses lorsqu’elle marche, un haut en dentelle noir quasiment transparent très décolleté et une veste en cuir rouge. Elle ressemblait vraiment à une pute.

J’envoyais un message à Romain pour savoir si tout était prêt. Il me répondit qu’il m’attendait que tout aillai bien. Ma tante et moi nous rendions donc dans la cité, nous nous sommes garés assez loin de l’immeuble dans lequel je voulais l’emmener. Nous sortions donc de la voiture et nous commençâmes à marcher en direction de l’immeuble. Ma tante n’en savait rien et pensait que nous nous baladions juste.

Durant le trajet, plusieurs types de la cité sifflaient ma tante voir même certains ne se gênaient pas et la traitaient de pute. Devant l’immeuble Romain était là.

— Tiens Romain, qu’est-ce que tu fais là ? Lui demandais-je.

— Je me baladais, comme ça. Il regarda Sandrine. Mais dis-moi t’es super excitante comme ça.

— Merci, c’est Julien qui m’a demandé de m’habiller comme ça.

— De te voir ça me donne envie de te prendre là maintenant.

— On pourrait, si tu veux, les sous-sols de l’immeuble sont toujours vides. Lui dis-je.

— C’est un peu glauque non ? dit Sandrine.

— Un peu mais j’ai bien envie de te baiser là lui répondit Romain.

Malgré les doutes ma tante en avait visiblement envie, puisqu’elle fut la première à entrer. Je parlais avec Romain un peu en retrait pour que ma tante n’entende rien tout en la suivant.

— Vous êtes en avance, t’avais dit 15 heures dit Romain.

— C’est normal, on va commencer vite fait tous les deux et après on fait ce que j’ai prévu. Combien de gars t’as prévenu ?

— Une dizaine mais je leur ai dit qu’il pouvait venir avec d’autres potes donc on verra bien.

Arrivés aux sous-sols, je mis ma tante sur une table qui se trouvait au milieu de la pièce et Romain et moi commencions à la déshabiller. Sandrine était sur le dos et suça Romain pendant que je lui fis un cunnilingus. Nous échangions nos positions puis Romain pénétra la chatte de ma tante pendant qu’elle continua de me sucer.

Après un petit moment, il y eu un bruit en haut de l’escalier et je dis donc à Romain d’aller voir pendant que je mis ma tante dos aux escaliers, appuyée sur la table et que je continuais de la prendre. Romain est revenu peu de temps après :

— C’était rien pas d’inquiétude.

Je me retournais et voyait une vingtaine de mecs, j’allais donc me mettre devant ma tante pour qu’elle me suce. Romain fit venir un des types derrière ma tante et il commença à la prendre. Ma tante n’était pas surprise pensant que c’était Romain qui la baisait. Mais elle le fut quand Romain vint me rejoindre pour se faire sucer aussi.

— Quoi ?

Ma tante tenta de faire sortir l’inconnu et en se retournant elle vit les autres gars qui attendait leur tour.

— Mais c’est qui tout ceux-là ?

— Surprise ma petite pute de tante, aujourd’hui toute la cité va te passer dessus. Lui dis-je.

— Ouais surtout qu’il y a encore plus de gars là-haut qui attendent leur tour dit Romain

— Mais ça va pas la tête, je me ferais pas baiser par tous ces gars.

— Tu peux plus reculer maintenant, et puis je te connais tu vas aimer. Les putes adorent les gang-bangs.

Celui qui continuais de baiser ma tante se retira et se coucha sur la table, il fit asseoir ma tante sur sa queue et continua de la pénétrer. Romain s’approcha de la bouche de ma tante et elle recommença à le sucer. Quant à moi, je me plaçai derrière elle et posa mon sexe sur son anus, puis poussa d’un seul coup. Ma tante hurla mais son cri fut étouffé par la bite de Romain dans sa bouche.

Certains autres gars qui attendaient leur tour s’approchèrent pour venir peloter Sandrine en se branlant. Romain fut le premier à se vider dans la bouche de ma tante, qui se délectait de ce qu’il venait de lui offrir. A peine était-il sortit de sa bouche qu’un autre type pris sa place. Il n’y avait aucun répit pour elle.

Peu de temps après, c’était à mon tour de tapisser les intestins de ma tante de mon foutre puis le mec qui la prenait me suivait peu après.

Après une heure, Romain et moi reprenions de la vigueur. Je dis à Romain de se coucher au sol et fit asseoir ma tante sur lui. Il la sodomisa et je décidai de l’initier à la double anale. Je m’approchai d’elle et posa mon gland sur son petit trou, coller à la bite de Romain.

— Non, qu’est-ce que tu fais !?

— Deux bites en même temps dans ton cul, tu vas prendre ton pied ma petite salope de tante.

Je forçais donc son anus et une fois entré, ma tante poussa un hurlement venu d’ailleurs. Mais elle s’y habitua et Romain et moi éjaculions dans son cul pour la remplir encore plus.

Ma tante enchainait les fellations, baises, sodomies, doubles pénétrations, vaginales, anales ou les deux, durant des heures, à peine les types avaient fini leur petite affaire qu’il partait aussitôt en nous remerciant.

Cela faisait trois heures que ma tante était prise par tous les trous et elle était recouverte de sperme et visiblement épuisée. Une trentaine de gars l’avaient baisée mais il en restait au moins une quarantaine qui ne l’avait pas baisée.

C’est finalement aux environs de 22 heures, après sept heures de baise, que tout le monde avait pu profiter de ma tante. Elle était couché au sol, complètement inerte, recouverte de sperme, sur le visage, les seins, le ventre. Du liquide sortait de sa chatte et son cul. Elle était remplie.

 – Alors, t’as aimé ? Lui demandai-je

 – C’était génial, par contre je suis crevée, je peux plus marcher.

Cette semaine se finissait donc en beauté, et j’espérais bien que ma tante et moi nous remettrons ça, avec Romain, Marion ou tous ces types et que Sandrine se refasse prendre dans un gang-bang comme celui-ci.

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