Le lendemain, vers 10h, je m’affairais à la cuisine afin de préparer le déjeuner. Je savais que les parents rentraient pour ce midi et je voulais leur faire une suprise. Jeff sortit de la douche habillé d’un t-shirt et d’un caleçon et moi j’avais mis un t-shirt ample qui laissait une épaule dénudée sans soutien gorge, décidant que j’en mettrais un tout à l’heure et un leggin sans rien en dessous. Il posa son téléphone devant moi sur le plan de travail et m’embrassa tendrement.
Salut, toi. Qu’est ce que tu nous prépares de bon ?
Un rôti avec des patates pour ce midi et une petite sauce au poivre.
Miam ! Tu sais cuisiner, toi, maintenant ?
C’est ça, rigole, mais quand tu auras gouté à mon rôti, tu changeras d’avis, crois moi.
Je peux t’aider à quelque chose ?
Oui, tu auras juste à faire chauffer la flotte et mettre les patates dedans lorsque ça commencera à bouillir.
Ok !
Il se plaça derrière moi et commença immédiatement à me caresser les seins avec tendresse par dessus mon tshirt.
Eh, eh, calme toi. Lui dis je doucement. On a des choses à faire et tu m’as proposé ton aide, alors au boulot, tu…
Le téléphone se mit alors à sonner. C’est Sophie, sa femme. Je donnais le téléphone à mon frère, mais il me fit signe de le garder.
Dis lui que je ne suis pas là, mais tu sais que je vais pas tarder à rentrer. Me murmurait il en me pelottant un peu plus fermemant.
Les premiers effets de l’excitation se firent rapidement ressentir. Mes tétons se dressèrent, je haletais et je commençais à mouiller. Je décrochais malgré tout en me raclant la gorge afin de ne rien laisser paraitre.
Allô Sophie ?
Allô ché… Cécile ? C’est toi ? S’étonnait elle.
Oui, ca va ?
Ben… Ca va et toi ? Jeff est dans le coin ? Il faudrait que je lui parle une minute.
Je suis sincèrement désolée mais ton abruti de mari a oublié son portable. Il y a un souci ? Le bébé ne va pas bien ?
Non, tout va très bien de ce coté, tu n’as pas à t’en faire. Je voulais lui parler d’un petit truc, mais sans importance.
Ok !
Jeff plongea une de ses mains sous mon tshirt pour faire rouler les têtons entre ses doigts, et l’autre se dirigeait rapidement en direction de mon minou. Ce con me caressait alors que je suis au telephone avec sa femme, je dois reconnaitre que ça m’excitait de plus en plus.
Soso, je suis navrée, mais…
Je tournais la tête en direction de mon frère qui me fit signe de continuer ma conversation. Si je voulais qu’il arrête, pourquoi ai je posé mes coudes sur le plan de travail en écartant les cuisses, l’invitant ainsi à continuer ? Je me raclais à nouveau la gorge.
… Je crois qu’il va bientôt revenir, tu veux qu’il te rappele à ce moment là ? Je lui dirai que tu as appelé.
Ben c’est à dire que ça tombe plutot bien que je sois tombée sur toi, ça fait un moment qu’on a pas parlé toutes les deux.
C’est vrai, alors qu’est ce que tu deviens ?
Je sentis la main de Jeff plonger dans mon leggin et caresser tendrement mon clito. Le contact de ses doigts sur ma grotte d’amour m’a fait pousser un soupir à peine étouffé.
Allô ? Cécile ?
Oui, je disais qu’est ce que tu deviens ?
Oh, ben moi ca va, je ressemble à une baleine, je dors mal la nuit, le bébé file des coups, je bouffe comme quatre, j’ai un peu hate qu’il sorte, mais tout va bien.
La délivrance va bientot arriver, t’inquiète, ma belle. Lui assurais je en fermant les yeux, afin de mieux savourer mes caresses.
Oui, je commence à ne plus en pouvoir. Selon le médecin, le bébé va arriver d’ici moins de deux semaines. Et toi, les amours, ca va ?
Jeff activa ses doigts avec plus de fermeté. Cette situation me rendait dingue et je sentais que j’allais pas pouvoir me retenir de gémir aux oreilles de Sophie.
Mmmhhh ouiii… Soufflais je, prisonnière d’une déllicieuse volupté.
Ca va pas ? Ta voix est devenue bizarre tout à coup.
Oh, non, tout va bien, ma Soso, crois moi.
A moins que… Mais oui, j’ai pigé !
T’as pigé quoi ? Lui demandais je avec une certaine inquiétude dans la voix.
Ben écoute, je devrais pas te le dire, mais sache que ton frère adore me caresser pendant que je suis au téléphone. Il adore quand je tente de rester maitresse de moi-même pour pouvoir mieux me torturer, et je reconnais que c’est loin de me déplaire. Tu sais ce que je crois ? Je crois que tu as dégoté un obsédé du même type que ton frère, je me trompe ?
Si seulement tu savais, Sophie… Pensais je. Si seulement tu savais qui est en train de me faire prendre un pied d’enfer au moment ou on se parle. Seulement je dois à tout prix ne pas me laisser aller car dans le cas contraire, elle risque de se douter de quelque chose.
Bingo ! Je te demande… Ooooh… Pardon, Sophie, je… Ca doit t’exciter, ce que tu entends, non ?
Aucun risque, ma chérie. M’assurait elle. Ma libido est au point mort, zéro depuis quelques semaines. Mais une fois que mon corps me le permettra, je compte bien me rattraper avec mon zhomme ! Et puis, j’ai envie de faire durer la conversation. Pour une fois, je peux entendre ce que ça fait via une autre personne, alors je suis assez contente. M’annonçait elle naturellement.
Je sentais un orgasme terrible arriver. Je ne pourrais pas l’étouffer, je me connais trop. Je suis sur le point de jouir aux oreilles de ma belle-soeur, je me sens à la fois excitée et honteuse, mais bon sang, qu’est ce que c’est bon.
Sophie… Sophie… Je… Raccroche, par pitié ! Dis je d’une voix aigue en m’affalant sur le plan de travail, prête à exploser.
Non, ma jolie, tu vas aller jusqu’au bout ! S’amusait elle de la situation. Je veux en profiter. Allez, lache toi, tu verras à quel point c’est bon. Et je suis sure que tu vas adorer.
L’expertise de Jeff a eu raison de moi et dans un long cri rauque, je me lachais sous ses doigts agiles dans les oreilles de mon interlocutrice.
Ouah ! Eh ben ma belle, on peut dire que ça, c’était de l’orgasme ! Me félicitait elle sur un ton jovial.
Pardon, Soso, je suis navrée. Dis je haletante. Je voulais pas que…
T’excuse pas ma belle. Moi ca m’a amusé. Bon, je dois te laisser, je vais bientot avoir de la visite. Dis à mon cher et tendre de me rappeler au plus vite. Bisous.
Ok, bisous.
Oh, une dernière chose : Amuse toi bien.
Je raccrochais, toujours affalée sur le plan de travail. Jeff m’arracha presque mon legging. Il plaça sa queue sortie de sa prison, posa ses mains sur mes hanches et d’une seule poussée, ma chatte fut pleine. Il entamait des va et viens avec puissance. J’ai vraiment du le rendre dingue, parce que je le sentais déchainé en moi.
Ca vient déjà Cécile, je vais remplir ta petite chatte assoiffée.
Non, viens dans ma bouche, s’il te plait. Haletais je ivre de plaisir.
Tu veux boire mon foutre ? Le voilà ! Dit il en sortant de moi.
A la vitesse de l’éclair, je quittais le plan de travail et m’agenouillais devant lui, la bouche grande ouverte, langue tirée, comme pour lui communiquer mon désir de me repaitre de sa liqueur crêmeuse. Il se masturba avec energie, le gland au bord de mes lèvres et j’étais à peine en position qu’il cracha dans ma bouche une généreuse quantité de sperme au goût amer dans un râle. Je fermais la bouche et les yeux afin de savourer un instant le meilleur de lui-même.
Montre moi un peu ce que je t’ai donné, frangine. Me dit il.
J’ouvris la bouche en le regardant dans les yeux.
Ouah, eh ben je t’ai mis la dose, on dirait. Tu peux avaler, si tu veux.
Je fermais la bouche et hochais la tête de façon négative. Je plaçais le creux de ma main sous ma bouche, regardais mon amant et y laissais couler sa crème pour mieux l’aspirer et l’avaler avec une lueur gourmande dans le regard.
T’es vraiment une petite cochonne, toi. J’adore ! Me comlpimentait il en riant.
Il m’aida à me relever et nous reprenions une douche rapide, non sans nous embrasser et nous savonner mutuellement. Nous nous sommes rhabillés, Jeff a rappelé Sophie, et moi, j’ai pu finir mon plat juste à temps car les parents sont rentrés un peu plus tot que prévu. Si on avait trainé, on se serait fait choper.
Une suite ?