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Ma vie a changé – Chapitre 8

Ma femme en partage - Chapitre 1



Le samedi matin nous nous retrouvâmes à laéroport dEdimbourg situé à quinze kilomètres à lest de la ville. Frédéric tout souriant, était absolument craquant. Les retrouvailles dans le hall furent très sages. Je ne voulais pas choquer les gens. Cathy regardait avec envie ce grand et beau mâle. Pendant quil récupérait son sac, elle narrêtât pas de me dire que javais beaucoup de chance davoir un amant pareil. Elle sabsenta pour aller chercher la voiture, Frédéric avait été séduit par cette rousse flamboyante, plantureuse, pétillante. Je lui dis que jétais prête à la partager avec lui.

Pendant le trajet tout en discutant, Frédéric me caressait les seins et le ventre faisant monter mon excitation. Jétais très heureuse de le revoir.

A peine arrivée dans lappartement, Frédéric membrassa longuement. Je sentais son sexe dressé contre moi et lenvie quil avait de me prendre. Je lentraînais dans la chambre. Nous nous retrouvâmes très vite nus. Javais laissé la porte de la chambre ouverte. Il mallongea sur le lit et je le sentis en moi. Jétais tellement excitée que les préliminaires nétaient pas utiles. Je coulais littéralement. Cathy était entrée dans la chambre et sétait débarrassée de sa robe et de son string. Elle nous regardait en se caressant et en poussant des petits cris de plaisir. Frédéric me pistonnait à grands coups de rein. Je sentais sa belle queue aller et venir en moi. Un premier orgasme très fort me terrassa. Cathy se rapprochait de plus en plus de nous. Elle membrassait, me caressait les cheveux et le visage pendant que Frédéric continuait à me baiser. Il allait de plus en plus vite. Alors que je jouissais, avec un grand cri il se libéra. Je sentais ses jets puissants de sperme frapper ma matrice. Il seffondra sur moi pendant que Cathy elle aussi jouissait. Quel amant merveilleux ! Il se retira de moi. Cathy se mit à genoux devant lui et pris son sexe dans sa bouche. Elle continuait à se caresser tout en le suçant. Lui les mains sur sa tête la guidait. Il reprit très vite des forces. Jen profitais pour finir de la déshabiller. Frédéric lallongeât sur le lit. Avant de la prendre il multiplia les caresses, les baisers. Sa belle queue palpitait sur son ventre. Il la mit à quatre pattes et la pénétra. Elle eut un premier orgasme. Sa verge coulissait en elle. Ses mains pétrissaient ses seins, trituraient ses tétons pendant quil lui mordillait la nuque. Jen profitais pour caresser les belles fesses de Frédéric et explorer son cul. Cathy gémissait de façon continue. Les orgasmes se succédaient. Sentant monter son plaisir, il la remit sur le dos et jouis dans sa bouche. Jen profitais pour memparer du sexe de Cathy. Elle ruisselait. Je pris son clitoris entre les lettres et la suçais. Un long cri ponctua son nouvel orgasme.

Je pris Frédéric par la main et nous sortîmes, la laissant récupérer. Alors que nous prenions un café, elle nous rejoignit. Elle nous embrassa tendrement. Après une douche, nous décidâmes daller nous promener. Nous étions très fières au bras de ce beau jeun-homme. Nous sentions que nous formions un beau trio. Notre attitude, nos gestes ne pouvaient laisser supposer que nous étions amants. Frédéric était un délicieux compagnon, plein de délicatesse, de courtoisie et de prévenance. Cathy était radieuse, Elle se sentait bien avec nous. A la vue de Frédéric à larrivée de lavion, elle avait ressenti une certaine gêne. Il était si jeune. Tout était oublié. Elle nétait quune femme et Frédéric était son amant. Plus rien dautre ne comptait.

Le séjour de Frédéric passa très vite. Il était infatigable et passait de lune à lautre. Les soirées et les nuits étaient très courtes. Il adorait nous voir nous gouiner. Nos sexes, nos culs, nos bouches étaient toujours disponibles pour le recevoir.

Mon stage touchait à sa fin. Nous passâmes notre dernière nuit dans les bras lune de lautre. Cathy pleurait car disait-elle elle navait jamais été aussi heureuse. Je linvitais à venir me voir en France.

Je retrouvais très vite mes bonnes habitudes. Je leur avais tous manqués. Cathy me téléphonait souvent. Elle voyait de plus en plus James qui venait la voir régulièrement à Edimbourg. Leur deal tenait toujours.

Deux mois après, jétais divorcée. Dans le bureau du juge, je rencontrais une épave, mon ex-mari. Il se laissait aller et navait rien de commun avec lhomme que javais épousé. Il me faisait toujours horreur. Ses yeux quémandaient mon pardon mais il neût droit quà un regard méprisant.

Le week-end suivant, Guy et Carole organisèrent une fête pour célébrer ma liberté retrouvée. Ils étaient déchaînés. Ils se succédaient dans ma bouche, dans mon sexe, dans mes reins ; Quand ils étaient fatigués, Carole et Marie semparaient de moi. Elles me caressaient, me léchaient, me godaient. Je nétais que jouissance et plaisir. Les spermes des hommes se mélangeaient dans mes trous. Fourbue, courbaturée, repue, heureuse, comblée je leur demandais darrêter. Mon sexe et mon anus irrités commençaient à me faire mal. Marie maccompagna jusquà la douche et me bichonna. Cétait agréable de sentir ses mains sur mon corps, menlevant tout le sperme et les sécrétions qui sy trouvaient. Elle me sécha, métendit sur le lit et enduisit mon vagin et mon anus dune crème apaisante. Elle me coucha et je mendormis dans ses bras.

Michel avait dû nous rejoindre plus tard. Je me réveillais entre mes deux amants ; Il commença à me caresser. Mes seins me faisaient mal et je ne pouvais plus supporter quon me touche. Jenjambais Michel et sortis du lit. Ce dernier la queue bien dressée se précipita sur sa femme et commença à la pistonner. Elle avait les jambes en lair et il allait et venait en elle à grands coups de rein. Marie gémissait de plus en plus fort. Ils jouirent ensemble. Cétait magnifique. Je les embrassais en leur exprimant mes regrets de navoir pas pu participer à cette baise matinale. Après le déjeuner les deux couples décidèrent daller faire la sieste. Je décidais daller me promener. Frédéric toujours aussi gentil proposa de maccompagner. Il me tenait par les épaules dans un geste très protecteur. Nous étions bien. En confidence, il me dit quils avaient tous adoré mes prestations dhier soir et que mes jouissances les avaient comblé de bonheur. Ils voulaient tous que je sois heureuse et que jaille au bout de ma recherche du plaisir. Cette promenade était particulièrement agréable. Nous nous comportions comme des amoureux.

A notre retour, nous les avons retrouvé en pleine action. Marie subissait les assauts de Guy et de Michel pendant que Carole se masturbait en les regardant. Voyant cette scène Frédéric se déshabilla très vite et présenta sa queue dressée à Carole qui commença à le sucer. Marie poussait des petits cris de plaisir. Les deux mâles étaient parfaitement coordonnés. Jétais excitée par ce spectacle mais la sagesse me recommandait de ne pas y participer. Frédéric avait saisi les cheveux de Carole pour rythmer sa fellation. Je me plaçais derrière lui pour titiller ses tétons et lui caresser les fesses. Je sentis à ses tremblements quil allait jouir. Il se déversa dans la bouche de Carole avec un grand cri. Des gouttes de sperme perlaient au bout de son sexe. Je me mis à genoux pour recueillir les dernières gouttes et échangeais avec Carole un long baiser. Guy et Michel sétaient répandus en Michèle. Ils étaient emboîtés les uns dans les autres. Ils se dégagèrent. Du sperme coulait du sexe et de lanus de Michèle. Si je ne pouvais pas me servir de mon sexe et de mon cul, ma langue était elle disponible. Je nettoyais mon amie et échangeais un long baiser avec elle. Elle était visiblement heureuse et satisfaite.

Je mis quelques à récupérer de ce week-end torride appréciant pour une fois dêtre seule. Je maccordais un break de quinze jours.

Cathy mannonça sa venue en France pour une semaine avec James. Je leur proposais de les accueillir chez moi. Elle était superbe dans sa petite robe à fleurs, très décolletée. Lui était très impressionnant. Un véritable colosse au crâne rasé. Ses muscles saillaient sous sa chemise. Le contraste était saisissant. Elle paraissait toute petite et le contraste était frappant entre sa peau très blanche et le teint cuivré de son amant. Cathy membrassa amoureusement en me caressant les fesses. Cétait très bien parti.

Après sêtre rafraîchis, ils me rejoignirent dans le salon. Cathy reprit ses caresses sous lil intéressé de James. Nous nous retrouvâmes très vite nues, tête bêche sur le tapis du salon. Nos ruisselions tellement nous étions excitées. Je sentais la langue de Cathy parcourir mon sexe comme une petite verge et sa bouche sucer mon clitoris. Un premier orgasme nous emporta. En me relevant je pris la main de James et lentraînais dans ma chambre. Cathy nous accompagnait. Je le déshabillais tout en le caressant et en le picorant de baisers. Sa queue était impressionnante. Nous nous agenouillâmes devant lui pour le sucer. Ma mâchoire me faisait mal et javais du mal à faire coulisser dans ma bouche, le bout de son sexe circoncis. Cathy me demanda de m allonger sur le lit. Sa bouche sempara de moi. Elle me préparait pour son amant. Une fois bien lubrifiée elle se saisit de sa queue et la présenta devant mon sexe. James dun coup de rein senfonça en moi et commença ses mouvements de va et vient. Il me malaxait les seins, pinçait mes tétons tout en membrassant. Il me possédait. Mon vagin collait à sa verge. Jamais je navais ressenti une telle sensation. Bien sûr, javais été pénétrée par des godes équivalents mais ce nétait pas pareil. Sa queue était bien vivante. Cathy me caressait les cheveux et encourageait son amant. Des orgasmes successifs me terrassèrent. Je comprenais lattachement de Cathy à ce merveilleux amant. Au frémissement de sa queue en moi je sentis quil allait jouir. Il se retira très vite et se répandit sur mon visage. Sa verge était agitée de soubresauts. Son sperme ruisselait sur mon visage. Cathy avec sa bouche recueillait les dernières gouttes sur le méat de James. Puis elle me nettoya le visage avec sa bouche, membrassant régulièrement pour me faire partager la semence de James.

Il se mit sur le dos. Nous nous mîmes de part et dautre de lui pour le caresser et lembrasser. Ses grandes mains pétrissaient nos fesses. Sa queue reprenait de la vigueur. Cathy se plaça sur lui et sembrocha littéralement sur son sexe. La prenant sous les fesses, il lui imprimait le rythme quil voulait. Il jouait au bilboquet avec elle. Cétait impressionnant de la voir retomber brutalement sur son ventre. Cétait un tableau très érotique et je me caressais allongée près deux. Cathy poussait de petits cris chaque fois quelle retombait sur lui. James augmentant la cadence, les cris de Cathy se transformèrent en râle continu. Je me mis face à elle sur la bouche de James. Pendant que je lui caressais les seins de Cathy, je sentais la langue de notre amant aller et venir en moi. Il se répandit en elle. Elle petite poupée désarticulée seffondra sur moi. Jeus un dernier orgasme. Cétait toujours aussi fort. Cathy se dégageât de James. Nous nous allongeâmes à côté de lui. Nous étions nichées au creux de ses épaules. Il nous caressait les fesses et ses majeurs après avoir récupéré notre mouille coulissaient dans nos anus. Après une bonne douche nous nous retrouvâmes devant le petit en-cas que javais préparé. (à suivre)

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