En guise de réponse, Salomé se laisse tomber sur le lit, et se met sur le dos avant de me regarder en souriant. Elle est belle cette salope, y a pas à dire…
— Il a l’air confortable ton lit…
— Dégage de là, je réponds, au tac au tac.
— Je suis sûre que vous vous éclatez dessus, avec ta chérie.
Elle fait exprès de pas me répondre, elle me gonfle ! Comment je vais me sortir de cette situation, en l’emmenant de force chez elle ? J’aurais trop peur qu’elle crie dans les parties communes et que cela ameute tous les locataires de l’immeuble.
— Ça te regarde pas, je réponds.
— T’as raison…
Elle se relève aussi puis elle passe devant moi en se dirigeant vers la porte. Alors que je pense être enfin débarrassé d’elle, Salomé se retourne et me pousse sur le lit, sur lequel je tombe sur le dos.
— Putain !
J’essaye de me relever, mais Salomé me stoppe aussitôt en posant son pied sur mon entrejambe, tout en me regardant avec détermination.
— Bouge pas, mon mignon, j’en ai pas fini avec toi !
— Je confirme, t’as même pas commencé !
— T’es chiant, tu le sais ça ?
Alors que je m’apprête à répondre quelque chose de cinglant, je suis stoppé dans mon élan par la vision qui s’offre à moi : ma charmante voisine qui me domine de toute sa hauteur, avec un simple soutien-gorge en guise de haut, et un jean à la boutonnière entrouverte, me laissant un bel aperçu de la culotte noire qu’elle pose juste en dessous. Et moi, je suis allongé sur mon lit, sous l’emprise de Salomé puisque son pied est posé sur ma bite et, soyons honnêtes, je sens que je suis à deux doigts de commettre l’une des plus grosses erreurs de mon existence. Non, il faut pas, surtout pas ! J’essaye à nouveau de me relever, mais Salomé m’en empêche une fois de plus.
— Pourquoi tu résistes alors qu’on pourrait bien s’amuser, toi et moi ?
— Parce que j’ai pas envie de m’amuser avec toi, justement !
— Mytho, ça fait dix minutes que tu bandes comme un âne !
— C’est pas parce que tu me fais de l’effet que ça veut dire que j’ai envie de tromper ma copine pour coucher avec toi !
— Ah ouais ? Et si je fais ça…
Sur ces paroles, Salomé déboutonne le dernier bouton de son jean, tout en me regardant en se mordant les lèvres. Ne pas craquer, non, ne surtout pas craquer !
— Arrête, sil te plaît…
— Certainement pas, non !
Elle se rapproche ensuite de moi et, tétanisé par ce qui est en train de m’arriver, seuls mes yeux bougent de haut en bas pour admirer la cambrure de Salomé, et la scène qui se joue devant mes yeux.
— Tu veux que j’enlève mon jean ?
— Sûrement pas, non…
— T’es sûr ?
Sa main droite glisse sur le devant de sa culotte, et elle tire doucement dessus, comme si elle voulait me montrer le fruit défendu qui se trouvait juste en dessous, mais je détourne la tête pour ne pas regarder.
— T’es coincé du bulbe ou quoi ? Me demande-t-elle
— Pas du tout, je…
Avant que je n’aie le temps de finir ma phrase, Salomé se jette sur moi, et se met à califourchon sur mon torse, m’écrasant de tout son poids, et me bloquant ainsi de toute tentative de fuite.
— Va-ten !
— Certainement pas, non…
Elle pose ensuite ses mains sur mon torse puis, sa bouche se dirige vers le lobe de mon oreille droite qu’elle se met à mordiller avec fougue. Putain, qu’est-ce qu’elle m’excite !
— T’aimes bien quand je fais ça ? Me demande-t-elle.
— Non, et je…
— Menteur !
Elle m’enserre le visage de ses deux mains, me regarde droit dans les yeux en souriant puis, alors que je m’attends à ce qu’elle m’embrasse, elle réitère le même geste avec mon oreille gauche. En sentant ses seins s’écraser contre ma poitrine, mon palpitant bat à mille à l’heure, et mon corps est agité de petits soubresauts.
— Arrête, tu… tu…
— Je quoi ?
— Tu m’excites ! Je m’exclame.
Elle arrête aussitôt de me mordiller, et me regarde à nouveau dans les yeux.
— Enfin une bonne nouvelle ! Dit-elle.
Ses lèvres retournent s’attaquer ensuite à mon cou, puis ma gorge, puis remontent jusqu’à mon menton, avant de se poser sur ma bouche.
Cette fois-ci, je ne la repousse pas, non. Je n’ai plus l’envie ni la force de le faire. Malgré le fait qu’il soit 2h30 du matin, je n’ai plus aucune envie de dormir, et je sens d’ailleurs que la nuit va être longue, mais riche en émotions. Je suis conscient que je vais commettre l’irréparable avec Salomé mais tant pis ! À force de me chercher, elle va finir par me trouver, et j’ai bien l’intention d’en profiter. Désolé, Ophélie chérie…
Notre baiser dure deux bonnes minutes durant lesquelles nos langues se frottent et se tournent autour avec rage et excitation. Quand je finis par la repousser, Salomé me regarde en souriant, apparemment ravie d’être parvenue à ses fins.
— Ça y est, tu te laisses enfin faire ?
— Oui, mais je te préviens, ma jolie : étant donné que je vais faire une grosse connerie à cause de toi, il n’y aura aucune tendresse entre nous deux, c’est clair ?
— En même temps, je te demandais pas non plus de me passer la bague au doigt !
Alors qu’elle veut m’embrasser une nouvelle fois, je la repousse, puis la fais basculer sur le côté, avant de me relever pour lui faire face. Allongée sur le dos, avec son soutien-gorge, son jean déboutonné, et son sourire espiègle aux lèvres, elle est à croquer ! Je songe pendant quelques secondes à faire marche arrière, mais il est trop tard. Le simple fait d’avoir répondu à son baiser quelques secondes auparavant était déjà une grosse erreur donc, tant qu’à faire, autant aller jusqu’au bout.
Je lui attrape les jambes et la tire jusqu’au bord du lit avant d’agripper son jean par les côtés, et de lui enlever. Elle se retrouve donc face à moi en sous-vêtements noirs, et elle me regarde en souriant et en ce mordant le doigt.
— Alors, qu’est-ce que tu vas me faire, mon mignon ? Me demande-t-elle d’une voix qui puait le sexe et l’excitation.
— Tu vas vite le savoir.
Je me penche à nouveau sur elle pour lui enlever sa culotte que je balance par-dessus mon épaule, dévoilant ainsi un sexe fraîchement rasé ainsi que des fines lèvres déjà humides, et je plonge aussitôt ma bouche dans son entrejambe.
Dans les cinq secondes qui suivent, je sens Salomé se cambrer en arrière au fur et à mesure que je lèche sa chatte dans tous les sens, puis je lui écarte les lèvres avec les doigts, et j’en fais de même avec son intérieur.
De ma main libre, je lui libère un sein de son carcan de dentelle et, sans lâcher son sexe de la bouche, je joue avec son téton comme s’il s’agissait d’un joystick, et je tire dessus, ce qui n’a pas l’air de lui déplaire puisqu’elle se laisse faire. Bientôt, deux doigts remplacent ma langue, et je les enfourne dans le sexe humide et bouillant de Salomé, avant d’y entamer des va-et-vient, tout en titillant son clitoris gonflé du bout de la langue.
Cette fois-ci, Salomé laisse échapper quelques gémissements qui en disent long sur la manière dont je m’occupe d’elle, et j’en suis ravi. Un troisième doigt s’ajoute donc aux deux précédents, et j’accélère la cadence de mes mouvements tandis que des gouttes de cyprine s’écrasent sur mon menton.
Sans enlever mes doigts de son sexe trempé, ma bouche remonte doucement jusqu’à sa poitrine, avant de prendre en bouche le téton qui dépassait de son soutien-gorge et de le suçoter. Je lui libère ensuite maladroitement son deuxième sein à l’aide de ma seule main libre, et j’en fais de même avec celui-ci, remplaçant sur la fin mes coups de langue par des légers coups de dents.
Du coin de l’il, je vois que Salomé a la tête penchée en arrière, les yeux fermés, et qu’elle se mord les lèvres. Y a pas à dire, elle prend son pied, la salope, et j’ai hâte de la baiser comme il se doit, mais je préfère tout de même prendre mon temps afin de faire durer le plaisir encore un peu.
Ma bouche redescend aussitôt dans son entrejambe, et ma langue retrouve son sexe que je mets à nouveau à lécher dans tous les sens, tandis que je lui tripote les seins avec mes mains. Je fais durer ça pendant cinq bonnes minutes, inondant le drap de sa mouille abondante, puis, je m’arrête d’un coup, et me redresse.
— Bah alors, tu t’arrêtes déjà ? Me demande-t-elle, essoufflée.
— Mais non, t’en fais pas. Ça te plaît, ce que je fais ?
— Oh que oui, c’est… wahou !
— Mets-toi sur le ventre…
Salomé obéit aussitôt et, en la voyant poser sa tête sur l’oreiller d’Ophélie, j’ai à nouveau un remord mais, dès que mes yeux se posent sur les jolies fesses de ma maîtresse d’un soir, il disparaît quasiment instantanément.
— T’as un beau cul…
— Merci.
— T’aimes les fessées ?
— J’ai jamais vraiment essayé, mais…
Je ne la laisse pas terminer car, du plat de la main, je lui claque une fesse, puis je recommence plusieurs fois de suite après avoir entendu Salomé laisser échapper un petit gémissement.
— Alors, ça te plaît ?
— Plutôt, ouais…
— Tant mieux.
Ma bouche repart aussitôt à la recherche de son sexe que je me remets à lécher, tout en lui malaxant les fesses en même temps. Voyant les beaux cheveux blonds en cascade sur son dos nu, je les attrape d’une main et tire dessus, relevant ainsi sa tête de quelques centimètres, tout en continuant mes caresses buccales.
En lui demandant de se mettre sur le ventre, j’ai évidemment une idée derrière la tête. Après lui avoir léché la minette de haut en bas, je dirige ma bouche doucement jusqu’à son petit trou sur lequel je commence doucement à m’attaquer. Ne sachant pas comment va réagir Salomé face à cette pratique dont Ophélie était friande, je décide d’y aller doucement, guettant ainsi ses réactions pour voir si je pouvais continuer.
Je continue de lui titiller la rondelle du bout de la langue, lui écartant même les fesses pour pouvoir m’y immiscer davantage puis, n’obtenant toujours pas de réactions, je m’interromps.
— Ça va ? Je demande.
— Tarrête pas…
— C’est vrai, tu aimes ça ?
— Oui, on me l’avait jamais fait…
— Tant mieux.
Ayant obtenu son consentement, ma langue redescend aussitôt sur son petit trou que je reprends en bouche, tandis qu’une main se pose à nouveau sur son sexe que je me remets à tripoter. Une fois de plus, je sens que Salomé à du mal à tenir en place, ce qui me fait accélérer la cadence de mes gestes et de mes coups de langue, car j’aime la voir dans cet état-là.
Après quelques secondes, ma bouche redescend sur son sexe, tandis qu’un doigt se glisse doucement vers son petit trou que j’essaye de pénétrer. Je sens aussitôt que le passage est difficile, aussi je décide de lui humidifier la rondelle avec un peu de salive, avant de poursuivre mon exploration. Rapidement, je constate que ses gémissements de plaisir semblent se transformer en des légers gémissements de douleur, et je retire aussitôt mon doigt.
— Ça te fait mal ? Je demande.
— Non, c’est juste que… c’est bizarre !
— Tu veux que j’arrête ?
— Non, réessaye…
Je lui lèche à nouveau le petit trou pour l’humidifier avant de réessayer de mettre un doigt. Cette fois-ci, la première phalange s’y insère doucement, puis une deuxième, et je commence un léger va-et-vient.
— Ça va ?
— Toccupe pas de moi, continue.
Je lui réponds par un sourire et, pendant que je continue de lui doigter le cul, ma main se glisse vers son sexe que je me remets à branler à toute vitesse. Quant à Salomé, en sentant ses deux orifices envahis par mes doigts, elle a beaucoup de mal à tenir en place et, bientôt, ses gémissements résonnent dans la chambre.
Après avoir joué avec ses orifices pendant deux minutes, je les retire puis, je remets Salomé sur le dos. Quand je vois son visage cramoisi et que ses yeux croisent les miens, je constate qu’elle a l’air encore un peu dans les vapes, et j’en suis ravi car cela veut dire qu’elle a apprécié mes caresses.
— C’était… trop bon ! S’exclame-t-elle, un peu essoufflée.
— Et c’est pas fini, crois-moi…
Je me débarrasse rapidement de mon pantalon de pyjama, puis de mon boxer, dévoilant ainsi mon sexe bandé comme un arc qui pointe légèrement vers le haut. Quand Salomé le voit, un nouveau sourire illumine son visage.
— Intéressant…
J’attrape Salomé par les jambes et la tire vers moi, la faisant ainsi s’asseoir sur le rebord du lit. Ensuite, ma bite se dirige instinctivement vers sa bouche, et c’est toujours en souriant que Salomé l’accueille, avant que je n’entame des va-et-vient. En fait, ce n’est pas elle qui me suce, c’est plutôt moi qui lui pilonne la bouche et, quand mes mains se posent derrière sa tête et que j’appuie dessus pour intensifier cette fellation, elle se laisse faire sans broncher.
Quant à moi, en sentant la langue de Salomé s’enrouler autour de mon gland, et ses belles lèvres s’activer sur la hampe de mon sexe, j’ai l’impression d’être au septième ciel, et j’ai d’ailleurs peur de cracher la purée rapidement. J’essaye donc de me retenir en pensant à autre chose mais, comme si elle lisait dans mes pensées, Salomé m’agrippe la bite de sa main droite, et commence à me branler en même temps qu’elle me suce.
Je la laisse faire pendant quelques secondes puis, je lui bloque la main et accélère mes coups de reins dans sa bouche. Quand je finis par la ressortir, un long filet de salive s’écoule de mon gland et de la bouche de Salomé qui une fois de plus me surprend, puisqu’elle sourit toujours.
— T’as aimé ça ? Je lui demande.
— Oui, j’adore sucer !
— Tant mieux…
Ma bite retrouve aussitôt l’entrée de sa bouche, et je recommence à lui appuyer derrière la tête pendant que je lui martèle le gosier. Au bout de quelques secondes, je la retire à nouveau, puis recommence, puis arrête à nouveau, et je recommence ça plusieurs fois de suite.
Après quelques minutes, je me retire de sa bouche une dernière fois, et repousse Salomé pour qu’elle se remette sur le dos, ce qu’elle fait sans broncher. Très rapidement, trois doigts se glissent dans sa chatte que je mets à branler à toute vitesse, tout en lui caressant le clito avec le pouce. Une fois de plus, des gouttes de cyprine virevoltent autour de son sexe, et plusieurs s’écrasent sur moi. Quant à Salomé, elle ne peut s’empêcher de gémir de plaisir au fur et à mesure que je lui fouille l’intérieur.
Une fois que j’ai terminé, je regarde sa chatte, et constate que celle-ci est bien ouverte, ce qui signifie que je vais enfin pouvoir m’y insérer.
— T’es prête ?
— J’attends que ça…
— Caresse-toi, j’arrive…
Salomé m’obéit et se met aussitôt à jouer avec ses fines lèvres d’une main, tout en se caressant les seins de l’autre. Je la regarde faire pendant quelques secondes, puis je me dirige vers ma table de nuit de laquelle je ressors une capote que je déroule aussitôt sur mon sexe. Je continue de regarder Salomé se tripoter encore un peu puis, elle s’arrête d’un coup et écarte les jambes.
— Baise-moi !
Il ne faut pas me le dire deux fois. Je commence par lui remettre deux doigts que je gigote dans tous les sens puis, je les remplace rapidement par mon sexe qui glisse tout seul à l’intérieur. Putain que c’est bon ! Une fois que je suis complètement dedans, mes coups de reins reprennent, et j’y vais à fond dès le début. Comme je l’avais prévenu quelques minutes auparavant, il n’y aurait pas de tendresse dans nos ébats, et j’avais à cur de tenir mes engagements. C’est pour ça que, sans préambule, je lui matraquais le sexe avec le plus d’ardeur et de cadence possible, chose qui, à entendre ses cris de plaisir, avait l’air de lui plaire.
Tout en la baisant, mes mains agrippaient ses seins qu’une fois de plus je m’amusais à maltraiter en les pelotant, et en tirant sur ses tétons. Quant à Salomé, elle me regardait m’acharner sur sa chatte, avec un visage cramoisi et crispé par le plaisir, qu’un sourire de satisfaction illuminait parfois lorsque nos regards se croisaient.
Bientôt, une main glisse vers son clitoris que je me mets à tripoter dans tous les sens, tout en continuant à la baiser et à lui tripoter un sein.
— Putain, qu’est-ce que c’est bon ! S’exclama Salomé, la voix saccadée par les coups de reins qui résonnent dans son entrejambe.
— T’en veux encore ?
— Oh que oui…
— OK, à quatre pattes, alors !
Je retire aussitôt mon sexe gonflé du sien, et Salomé m’obéit en changeant de position, m’offrant ainsi une vue sublime sur sa croupe dégoulinante de cyprine. Je lui écarte ses fines lèvres du bout des doigts, et j’y glisse ma langue que je tournoie dans son antre chaud et humide. Une fois que c’est fait, je me positionne derrière et, très rapidement, je l’enfourne à nouveau avec ma bite enrobée de caoutchouc.
Comme quelques minutes plus tôt, je décide d’y aller à fond dès le début, et je m’agrippe même à ses épaules pour appuyer mes coups de reins. Visiblement, la levrette n’a pas l’air de lui déplaire puisque Salomé se laisse à nouveau faire avec plaisir et, quand je lui claque vigoureusement les fesses comme je l’avais tout à l’heure, elle laisse échapper des petits cris de surprise.
— Putain, mais tu me défonces ! S’exclame-t-elle.
— C’est le but, ma jolie…
Comme tout à l’heure, je lui agrippe à nouveau les cheveux de la main gauche puis, sans cesser mes allers-retours à toute vitesse entre ses jambes, l’index de ma main droite se glisse dans son petit trou pour suivre la même cadence.
— Ça te plaît ?
— Oui, continue…
Pour une petite jeune de 19 ans, elle n’est pas farouche, la coquine ! Cependant, j’obéis à ces ordres sans broncher, et je continue de lui pilonner le sexe, tout en lui doigtant le cul, dans lequel j’insère rapidement un deuxième doigt.
Cependant, après avoir joué avec ses deux orifices pendant cinq bonnes minutes, il est temps que je passe à la dernière étape. En plus, je lui ai tellement léché et doigté le petit trou qu’à mon avis, je vais pouvoir m’y glisser comme dans du beurre.
— T’es prête ? Je demande à Salomé.
— À quoi ?
— À ce que je te la mette dans le cul.
— Ah, oui, vas-y, mais mollo, sil te plaît…
— Je garantis rien…
Je retire donc mon sexe du sien puis, doucement, je le glisse dans son petit trou et, comme je l’avais prévu quelques secondes plus tôt, il s’y insère facilement.
— Ça va ?
— Oui, c’est… bon !
Soulagé d’entendre ça, je ne patiente que quelques secondes avant d’entamer une série de va-et-vient de plus en plus rapide. Elle encaisse bien, la petite, ça me plaît ! Finalement, moi qui m’en voulais de tromper Ophélie avec elle, je m’éclatais pas mal, avec cette petite salope !
Tout en la sodomisant intensément, une de mes mains se glissa vers son entrejambe, et j’en profitais pour lui titiller le clito, ce à quoi Salomé ne tarda pas à réagir en poussant à nouveau des gémissements de plaisir. Qu’est-ce que c’était bon !
Cependant, j’avais envie d’aller encore plus loin et, aussitôt, une idée me traversa la tête.
— Bouge pas, je reviens, ordonnais-je à Salomé en me retirant de son cul.
Je me dirige aussitôt vers la table de nuit de Salomé, de laquelle je sors du tiroir un gode avec lequel nous avions l’habitude de jouer, tous les deux. En le voyant, Salomé m’afficha un sourire enchanté.
— T’es plein de ressource, me dit-elle.
— Remets-toi sur le dos.
Salomé m’obéit aussitôt et, après avoir recouvert le gode d’un préservatif, je retourne près d’elle, et je lui enfonce dans la bouche.
— Suce-le, ordonnais-je.
Salomé ne se fait pas prier et se mit à sucer ce jouet sans me lâcher des yeux. Elle l’enfournait dans sa bouche, le ressortait pour le lécher de haut en bas, le prenait à nouveau en bouche, bref, cela m’excitait à mort, et elle s’en rendait compte puisqu’elle en jouait. Pendant ce temps-là, mon sexe avait repris possession de son petit trou, et je continuais de lui marteler l’intérieur, tout en la regardant s’amuser avec ce gode. Au bout de quelques secondes, je lui arrachai des mains, et lui enfonçai moi-même dans la bouche avant de faire des va-et-vient avec, ce qui ne lui déplut pas, puisqu’elle se laisse faire sans broncher. Quelle petite salope !
Cependant, si j’avais décidé de sortir ce jouet, ce n’était pas uniquement pour qu’elle le prenne en bouche, loin de là. Tout en continuant de m’occuper de son petit trou, je lui arrachai à nouveau le gode des mains puis, après lui avoir tripoté le sexe du bout des doigts, j’y enfonçai l’objet avant de l’agiter de haut en bas à toute vitesse.
Cette fois-ci, c’en fut trop pour Salomé qui, alors que ses deux orifices étaient pris d’assaut par des gros calibres, poussa de longs râles de plaisir et, quelques secondes après, des jets de cyprine émanèrent de son sexe et s’écrasèrent sur moi. Je crois que c’était clair, je venais de la faire jouir, et à mon avis, pas qu’un peu !
— Putain, c’était vraiment… trop bon ! S’exclama-t-elle, haletante.
— Attends, le meilleur pour la fin…
Je me retire aussitôt de son cul, ôte le préservatif qui protégeait mon sexe puis, je me mis à genoux sur le lit et me mis à me branler à toute vitesse, juste au-dessus du visage de Salomé qui me regardait faire avec envie. Quelques secondes après, de longs jets de semences blanches allèrent s’écraser sur son joli visage, et elle en récupéra une bonne partie d’un coup de langue. Ensuite, je me laissai tomber juste à côté d’elle, sur le lit, pour me remettre de mes émotions.
— Ça va ? Me demanda-t-elle après quelques secondes.
— Je suis… rincé ! Et toi ?
— Je vais avoir du mal à m’asseoir demain, je pense…
— Désolé…
— Pas grave, c’était… waouh !
— Tant mieux. Tu peux aller te nettoyer dans la salle de bains, si tu veux…
— Merci…
Toujours complètement nue, Salomé se leva, et je la regardai se diriger vers la salle de bains qui était attenante à la chambre. En voyant ses jolies fesses onduler devant moi, je réalisai à nouveau ce que je venais de faire, c’est-à-dire une grosse connerie vis-à-vis d’Ophélie. Comment allais-je faire ? La retrouver vendredi et faire comme si de rien n’était, sachant que je venais de baiser sauvagement notre voisine de palier ? Comme j’aimais Ophélie, je n’avais pas le choix, mais je savais déjà que j’allais avoir du mal à vivre avec ça sur la conscience.
Plongé dans toutes ses réflexions et épuisé par cette partie de jambes en l’air, je m’endormis assez rapidement.
Lorsque je me réveillai quelques heures après, il était cinq heures du matin, et Salomé avait disparu. J’en déduisis aussitôt qu’elle était rentrée chez elle, et je me levai rapidement pour aller fermer la porte d’entrée à clé avant de retourner me coucher.
Lorsque je revins du travail après une journée à me morfondre sur la nuit que je venais de passer, une drôle de surprise m’attendait dans ma boîte aux lettres : une lettre non timbrée adressée à mon nom, et dans laquelle se trouvait une photo qui, en la voyant, me souleva le cur et les tripes.
Quelques secondes après, je frappais à la porte de chez Salomé, et celle-ci m’ouvrit quasiment aussitôt, avant d’afficher un grand sourire. Une fois encore, vêtue d’un simple tee-shirt blanc moulant et d’un jean serré, elle était belle à tomber, mais je n’étais pas là pour ça, au contraire.
— Salut, mon mignon, dit-elle.
— C’est quoi ça ? Je réponds en lui montrant la photo que je venais de trouver.
Celle-ci représentait un selfie de Salomé qui se trouvait dans ma chambre, avec le haut du corps nu, et on m’apercevait en arrière-plan en train de dormir dans mon lit.
— Appelons ça une garantie, me répond-elle.
— Une garantie pour quoi ?
— Pour faire simple : si un jour tu recommences à me faire chier en me disant que je fais trop de bruit ou que ma musique est trop forte, je montrerais cette photo à ta copine, c’est clair ?
— Tu plaisantes, j’espère ?
— Pas du tout, non. Et si tu balances à l’agence que je fais du bruit, pareil, ta jolie Salomé aura du courrier en un rien de temps !
Choqué par ce renversement de situation, je reste sans voix pendant quelques secondes, ce qui semble amuser Salomé qui me regarde en rigolant.
— Bah alors, mon chéri, t’as perdu ta langue ?
— T’es vraiment une salope, je réponds.
— Non, j’aime pas qu’on m’emmerde, c’est tout.
— Si tu mas fait du rentre-dedans hier soir, c’était uniquement pour ça ? Pour pouvoir ensuite me faire du chantage ?
— Oui et non, j’avais aussi très envie de baiser, et tu es tombé à pic…
— Espèce de…
— Bon, c’est pas que tu m’ennuies mais j’ai autre chose à faire !
Elle commence alors à refermer sa porte d’entrée puis, juste avant, elle me jette un dernier regard.
— Et au cas où, si tu as envie de remettre le couvert un jour, hésite pas, c’était pas mal, hier soir !
Cette fois-ci, je n’ai pas le temps de répondre qu’elle me claque la porte au nez. Quant à moi, je suis sous le choc, et j’ai besoin de quelques secondes de silence avant de rentrer chez moi et de réaliser ce qui venait de se passer. Pour faire simple : je m’étais fait piéger, et en beauté.
Evidemment, quand Ophélie revint de son déplacement en fin de semaine, je ne lui dis rien de ce qui s’était passé mais, rapidement, dans les jours qui suivirent, elle sentit que quelque chose n’allait pas et, comme je ne voulais rien lui dire, cela ne fit qu’aggraver les choses.
Quand Salomé organisa une soirée chez elle une dizaine de jours après, qu’elle fit beaucoup de bruit et que je ne fis rien pour y remédier, cela n’arrangea pas les choses. Surtout qu’en quelques semaines, cela arriva plusieurs fois et, à chaque fois qu’Ophélie envisageait d’aller l’engueuler ou de prévenir l’agence, le fait que je l’en empêche n’arrangea rien.
Du coup, plus cela allait, plus Ophélie et moi nous nous engueulions, si bien que, quatre mois après, nous décidons de nous séparer d’un commun accord. Tout ça à cause de cette salope de Salomé…