Avant toute chose, une précision : pour des raisons familiales, j’ai été retardé pour vous transmettre cette suite. Je vous présente mes excuses.
Le soir même, Mme Jean rendit visite à ma mère pour lui expliquer que, dans 2 jours, elle devait aller dans la résidence secondaire de ses parents située à 50 km de chez nous afin dy accomplir quelques petits travaux de rénovation ; et elle avait pensé, si ma mère était daccord, et bien sûr, moi aussi, (mais là vous connaissez mon dévouement) que je laccompagne afin de laider. Cela larrangerait beaucoup et, pour moi, ça me ferait un peu de vacances puisque cest au bord de la mer.
Nous étions installés dans le salon, moi sur le fauteuil, ma mère et Mme Jean sur le canapé en face. Ma mère me demanda ce que jen pensais : Je fis semblant de réfléchir quelques instants, et, regardant dans la direction de Mme Jean, je vis quelle écartait légèrement ses cuisses et moffrait ainsi une vue sur sa culotte toute rose ; ce qui, bien évidemment, provoqua une érection. Je profitai de ma réflexion pour garder les yeux fixés sur lentrejambe tant désirée ; et cette salope (parce quil ny a pas dautre mot) jouait à ouvrir et fermer plus ou moins ses cuisses.
La gorge sèche, je réussis quand même à répondre : « que je navais rien de prévu et que cela me ferait plaisir de rendre service et de profiter de la plage. Ma mère dit quelle allait en parler avec mon père, mais que, normalement, il ny avait pas de problème ; mais justement mon père arrivait et elle pourrait avoir sa réponse tout de suite si elle avait 10 minutes.
— Oui bien sûr, répondit Mme Jean, mais tu permets que jutilise tes W.C. ? Oui, dit ma mère, tu connais le chemin.
Mme Jean était donc au W.C. quand mon père entra dans lappartement ; après les bonjours, ma mère lui expliqua que Jeannette (tjs pas son prénom) était là et quelle avait besoin de moi.
Jeannette sortit des toilettes et reprit sa place sur le canapé pour continuer à discuter avec mes parents. Mon père lui dit que lui aussi était daccord ; elle lui dit que ça larrangeait beaucoup et elle en profita pour ouvrir à nouveau ses cuisses ; ce qui me provoqua une décharge dans tout le corps car elle avait profité de sa visite aux toilettes pour enlever sa culotte et javais donc une vue splendide sur sa chatte en ticket. Nen pouvant plus, je méclipsai dans la salle de bains pour me soulager un peu, voire même beaucoup, vu la quantité de sperme que jéjaculai au bout de quelques va-et-vient manuels sur ma queue raide au plus haut point.
Je revins au salon ; Mme Jean comprit très bien la raison de mon absence et me sourit dun sourire qui vous électrise toute la colonne vertébrale. Puis elle se leva pour partir ; embrassa mes parents ; et quand elle membrassa, elle me murmura au creux de loreille : « Jespère que cétait bon ; rendez-vous après-demain » et, profitant dun angle de vue caché me caressa, avec sa main gauche, le sexe qui, bien sûr, avait déjà réagi.
Après une journée dattente insupportable, faite danxiété, de nervosité et surtout dimpatience, vint le matin tant attendu où nous partîmes tous les deux dans sa voiture ; après dinterminables adieux, surtout avec mes parents, faits de recommandations afin que je nembête pas Jeannette.
Sensuivit un voyage dune petite heure, pendant laquelle nous sommes, je crois tous les deux (pour moi cest sûr) tendu, impatient et curieux de lavenir qui nous attend. Cependant nous arrivons à nous parler et, notamment, je lui confirme (car elle sen doutait fortement) quelle mavait drôlement excité lautre soir. Elle-même me confie quelle est très excitée depuis deux jours et quelle narrête pas de penser à moi ; et quelle sest certainement masturbée plus de fois en deux jours quen cinq ans dabstinence sexuelle.
Après avoir déchargé la voiture, nous nous trouvons enfin seuls dans la maison, et nous échangeons notre premier baiser.
Car elle mavait bien précisé quelle ne voulait pas quon nous voit, et donc rester sages dans la voiture. Et alors là, dêtre dans ses bras, cest vraiment divin, je suis chargé à 100.000 volts, je sens cette langue en moi et jessaie de suivre le rythme. Je commence à promener mes mains le long de ce corps tant désiré et je sens des formes qui me ravissent ; rien à voir avec celles des filles de mon âge que jai pelotées jusquà maintenant ; cest ferme, voluptueux et surtout cela me procure un plaisir énorme. Sentant notre excitation monter, elle me dit quil vaut mieux finir de ranger et de vite prendre nos douches avant de passer à laction.
Cest donc Jeannette qui prend sa douche en premier pendant que je finis de ranger ; elle en ressort en peignoir. Je prends sa place, je mempresse de faire au plus vite et lorsque je suis en train de me rincer, Jeannette entre dans la salle de bains et me dit « je viens taider » ; elle entre nue dans la cabine, me demande de me retourner ; elle commence à me frotter le dos avec ses mains, puis se colle à mon dos et, passant ses mains sous mon bras, me caresse le torse, les tétons, le ventre ; je suis tétanisé, jai ses seins, si doux et si fermes à la fois, contre mon dos ; ses mains qui me procurent un plaisir inconnu pour moi jusquà ce jour, je sens son souffle dans le cou et sa bouche me couvre de baisers et me lèche le cou. Je ne suis pas aux anges mais carrément au Paradis ; ma queue a immédiatement réagi et est droite au maximum, jattends avec impatience quelle vienne sen occuper et le lui dis : Elle me répond : « Ne sois pas impatient, en amour on nest pas pressé et il faut profiter de tous les plaisirs. Elle me retourne, membrasse, commence à me faire des bises sur le torse, puis avec sa bouche prend un téton, lembrasse, le lèche, le suce, le titille avec sa langue et le mordille ; et là, cest une découverte pour moi, car je maperçois que cest une zone hyper sensible et même jouissif. Devant elle, mon pénis devenu énorme et qui commence à me faire mal, attend avec impatience quon soccupe de lui ; elle commence par quelques bises dessus, le lèche sur toute la longueur, le caresse et me dit « tu sais, Manu, tu as vraiment un sexe énorme, je peux te dire ; certes, je nai pas eu beaucoup dhommes dans ma vie, mais je nen ai jamais vu de si gros » ; sur ce, elle le prend en bouche, menglobe le gland, me le calotte et me le décalotte avec ses dents, le titille avec sa langue, je sens son souffle chaud tout au long de ma colonne de chair, je suis tétanisé par le plaisir ; et progressivement elle enfonce ma bite dans sa gorge et lengloutit entièrement ; je sens sa glotte ; elle marque un temps darrêt, ne bouge plus pendant quelques secondes, puis commence des petits va-et-vient qui, au fur et à mesure, saccélèrent. Le plaisir monte à une vitesse vertigineuse et je sais que je ne vais pas résister longtemps et le lui dis ; elle continue encore plus fortement et dans un cri de bête sauvage ma queue se vide par un long jet de sperme, inonde sa bouche, son visage. Je suis là, debout, en train de jouir comme jamais je ne lavais fait, jai les jambes coupées, qui flanchent et ne me portent plus. Je mappuie sur la paroi et Jeannette vient membrasser avec mon foutre dans la bouche et men dépose dans la mienne ; je goûte pour la première fois du sperme. Puis elle me dit « Finis de te rincer et rejoins-moi ».