Cette histoire s’est déroulée, il y a maintenant trois ans, à l’époque je venais juste d’avoir 19 ans et mes parents étaient partis quelques jours en vacances. Depuis de longues années il est vrai que je fantasmais sur ma voisine qui était une copine de ma mère. Elle avait 49 ans. Il m’arrivait souvent de me caresser en pensant à elle et surtout à ses énormes seins. Jai appris plus tard qu’elle faisait un 105d.
Comme je vous l’ai dit ma voisine avait 49 ans avec des hanches larges des fesses bien pleines et elle était très brune et il est vrai un peu ronde ! Pour ma part je fais 1m96 assez sportif.
Cet après midi là, alors que j’étais en train de travailler sur mon ordinateur, on sonna à la porte. J’allais ouvrir, je me trouvais en présence de Jacqueline ma voisine. Je l’invitais à rentrer dans le salon.
— Je venais voir comment tu allais et je venais te remercier pour le service que tu m’as rendu en début de semaine. Je veux vraiment te remercier, que puis-je faire.
Je lui répondis.
— Ce n’est rien, !
Elle me dit.
— Non c’était très important pour moi et tu peux me demander ce que tu veux !
Je la regardais fixement et m’attardais bien sur, sur son énorme poitrine, moi qui suis quand même d’un tempérament assez timide, je me surpris à dire :
— j’ose pas c’est un peu particulier !
— Mais si ose, je te dis que tu peux !
— Bon alors, je me lance, je voudrais que tu me montres ta superbe poitrine !
— Oh ! Mais Paul, pour qui tu me prends, je suis mariée, je pourrais être ta mère et je suis copine avec elle en plus.
— Tu vois ! Tu me dis que je peux tout te demander et je te dis ce qui me ferait plaisir et tu ne veux pas.
— Oui mais c’est particulier, il est vrai que j’ai remarqué que tu as tendance à fixer cet endroit de moi mais de là à me déshabiller quand même.
-il y a que cela qui me ferait plaisir.
Tout d’un coup je l’ai vu qui ouvrait les boutons de sa robe, puis elle fit tomber le haut de son vêtement, m’apparaissant en soutient gorge, elle ôta également ce dessous et là je vis apparaître l’objet de mon fantasme.
Deux superbes seins, blanc laiteux un peu tombant, il est vrai avec des auréoles très foncées et des tétons très longs. Je me mis à bander comme un fou.
Elle me dit.
— Bon ! Tu as vu ? Je vais me rhabiller !
Je m’approchais encore plus d’elle et je posais ma main sur le sein droit.
— Oh non! Sil te plait je suis trop sensible à ce niveau, je suis mariée s’il te plait.
Je m’apercevais que plus je jouais avec son téton et plus elle s’abandonnait. Je posais ma bouche maintenant sur ce sein énorme et aspirais le téton que je mordillais et recommencer à le sucer. Elle ne disait plus rien et respirait de plus en plus fort.
Je jouais aussi bien avec un sein qu’avec l’autre. Elle se laissait complètement aller à mes caresses.
Je défis la ceinture de sa robe, elle m’apparut portant une culotte d’un rose en dentelle très jolie. Je passais ma main sur cette culotte que je trouvais humide. Mes doigts passèrent sous l’élastique et je trouvais très rapidement son sexe trempé.
— Ohh ! Arrête, je ne vais pas tenir longtemps, mon mari ne pas fait l’amour depuis un moment, oh c’est trop bon !
Je lui enlevais son sous-vêtement et l’assis sur le canapé. Je me plaçais à genoux et ma bouche se posa sur son bouton. Je commençais à sucer longuement avec des coups de langue, mes mains étant restées sur ses tétons, je l’entendis pousser des gémissements, elle bougeait ses hanches.
J’ouvris bien ses jambes et entrer, un, puis deux doigts, à l’intérieur de son sexe.
Tout d’un coup je l’entendis dire.
— Ouiiii oohh !
Je m’aperçu qu’elle venait de jouir. Elle reprit ses esprits et me dit:
— Oh tu es vilain d’avoir fait ça mais c’était tellement bon !
Je me levais et lui dis.
— Jacqueline tu ne peux pas me laisser comme ça, regarde !
Jouvris mon jean et sortis de son fourreau mon sexe. Elle ajouta.
— Mais tu es énorme par rapport à mon mari !
Elle le prit en main et commença à le masturber en me caressant en même temps les bourses. Elle me dit.
— Viens !
Nous, nous allongeâmes tous les deux sur le canapé et je la pénétrais doucement. Je commençais à la pistonner, elle me dit.
— Vas doucement s’il te plait je veux que ça dure et avec un pieu aussi puissant je ne vais pas tenir longtemps !
Je ralentis ma cadence, ce qui me fit du bien aussi à moi car sinon moi aussi j’allais jouir. Nos langues maintenant n’arrêtaient pas de se mélanger, je lui suçais les tétons goulûment, je la sentais qui me donnait des coups de reins, nous étions vraiment dans le rythme.
Bien qu’essayant de me retenir le plus longtemps possible, je sentis que je n’en pouvais plus je lui dis.
— Oh je viens !
Elle me répondit.
— Oui vas-y, moi aussi je jouis !
Jenvoyais de longs jets. Elle m’embrassa longuement et me dit.
— cétait génial pour moi !
Nous passâmes une après midi de rêve que je vous raconterais dans un prochain chapitre