Je vous ai raconté dans mes deux premiers chapitres mon histoire avec ma chère voisine Jacqueline qui a 49 ans, avec des seins lourds et des fesses bien pleines, pour ma part j’en ai 19 ans. Je vous avais promis de vous raconter comment j’ai eu droit à déflorer ma voisine par son petit trou.
Nous avions depuis quelques temps des rapports, au début Jacqueline était résistante mais petit à petit elle devenait de plus en plus adepte de nos relations.
Une après-midi que mes parents étaient absents comme souvent et que son mari était parti à la chasse je me rendis chez elle.
— Ah c’est toi entre cela faisait longtemps que je ne t’avais pas vu me dit elle.
je m’approchais d’elle et l’embrassais sur la bouche. Oh mais tu es bien en forme me dit elle. Mes mains descendirent pour emprisonner ses gros seins et ses tétons prirent de suite du volume. Mais dis donc coquin je vois que malgré notre différence d’âge tu as toujours envie de moi. OH oui Jacqueline j’ai toujours envie de toi. Elle ajouta tu sais le week-end dernier mon mari m’a fait l’amour il a très vite éjaculé et il a fallu que je pense à toi pour avoir un orgasme, j’ai même crié ce qui a surpris mon mari et ce dernier m’a dit il y a longtemps que je ne t’avais pas entendu crier.
Ses paroles me donnèrent encore plus envie d’elle, je lui ouvris sa robe et je la trouvais en soutient gorge rose à dentelle où les seins débordaient et en culotte assortie. je lui passais la main sur sa fente qui très vite se mouilla.
— Ohh toi tu m excites, mais tu commences déjà à mouiller, je me mis à genou et commençais à lui lécher l’entre cuisse. Oh non fais pas ça tu me rends folle. Je descendis sa culotte et j’introduis un doigt, ouah tu me fais du bien allons dans la chambre. Arrivés dans cette pièce, elle défit le lit rapidement et je me déshabillais. Ohh mais tu es toujours aussi bien fait tu es énorme par rapport à mon mari, je lui soulève les jambes et reposais ma bouche sur son sexe et je commençais à la sucer en jouant avec son clitoris. Ohh coquin tu vas me faire jouir si tu continue, prends moi et m’approchant de son oreille, je lui dis: j’ai envie de ton anus et de tes grosses fesses blanches. Oh! on avait dit pas encore, tu sais que je suis vierge par là. Oui mais cela m’excite tellement de te prendre par là. Ohh tu es un vilain tu me fais faire n’importe quoi. Je sentais que j’avais gagné et que j’allais pouvoir arriver à mes fins. Je continuais à la sucer pour qu’elle s’excite à fond. Elle poussait des râles de plus en fort. Je lui soulevais bien les jambes et je passais ma langue sur son petit illet. Ohh! là tu m’excites trop dit elle. Je sentis qu’elle était prête. Sans rien lui dire j’introduisis mon majeur dans son petit trou. Ohh! cela fait un peu mal. Ohh! mon homme je ne vais pas arriver à supporter ton gros sexe dans mon petit trou ajouta t’elle
Je l’ai placée en levrette et introduisis mon pieux dans son sexe. Ohh! t’arrêtes pas chéri, tu fais jouir ta femme mure, ohh! oui c’est bon, je ressortis et j’écartais bien ses fesses et je me plaçais devant le petit trou et je rentrais. AHH nonnnn tu me défonce, tu es trop gros. Ohh tu me déchires, je te sens ohh salaud tu viens de me dépuceler l’anus.
Je ne bougeais pas dans un premier temps puis d’un coup je commençais à bouger. Ohh! mais dis j’ai une chaleur qui monte dans mon ventre ohh! c ’est terrible. J’accélérais mon mouvement ohh! dis donc mais c’est terrible ohh! quelle sensation mais dis: c’est trop bon quel plaisir ohhh! je jouis par le cul. Elle donnait des violents coups de rein s’empalant sur moi à chaque fois. Elle se mit à crier des mots crus comme ohh! bourre le cul de ta salope de vieille, ohh! ouiii défonce moi mon petit trou, ohh! tu me fais jouir tellement fort salaud, que c’est bon. J’avais placé mes mains un coup sur ses hanches et puis je tirais sur les tétons. Je sentis monter ma jouissance et je lui dis: ohh! j’en peux plus. Elle me répondis, vas y, jouis dans mon gros cul et je me déversais par de longs jets entre ses fesses
je l’entendis dire ohh! que c’est bon coquin tu m’a dépuceler et tu m’as fait jouir comme jamais. Elle s’effondra et quand elle repris ses esprits elle me dis: oh excuse moi, j’ai du être vulgaire, tu m’as tellement fait du bien, je ne pensais pas que cela pouvais faire un bien pareil. Tu es un coquin parce que tu me fais faire n’importe quoi. Oh il faut que je change les draps regarde dans l’état où nous les avons mis. Elle se leva et commença à défaire les draps et en prenant d’autres. La voyant ainsi bouger nue je me remis à bander alors qu’elle était penchée en avant je me replaçais derrière elle et je l’a pénétrée d’un coup sec ohhh! mais dis donc tu es insatiable en quelques mouvement nous eûmes un orgasme commun.
Je continue à voir ma chère voisine et nous avons des relations continues depuis maintenant 3 ans et je vous raconterai une autre histoire avec elle dans ma chambre d’étudiant.