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Ma voisine Sophie – Chapitre 6

Ma voisine Sophie - Chapitre 6



Nous en sommes resté la ce soir laSultan était redescendu, et Sophie avait besoin dune bonne douchenous nous sommes séparés avec un léger baiser sur les lèvres, pas toujours sur de savoir si ce que nous venions de faire était un début de relation ou autre chose, quoi que cela puisse être

Javoue que jai passé une nuit plus facile que je ne lavais pensé en sortant de chez SophieAvec ce qui venait de se passer javais des images qui me trottait dans la tête, tout en ayant limpression dentendre Sophie gémir de plaisir Janticipais nos retrouvailles le lendemain à la fac, mais nayant aucun cours en commun ce jour le je ne le revis que mercredi. Encore ce maudit cours de mathqui commençais à devenir plus intéressant car javais 2 heures à passer avec Sophie. Jétais arrivé comme dhabitude bien en avance et lamphi était bien vide. Ayant lhabitude de me positionner dans le premier rang jhésitai cette fois laJe voulais pouvoir discuter avec Sophie, si elle sasseyait à coté de moi, et je décidais donc de me mettre au fond. Elle arriva quelques minutes après moi, alors que lamphi ne comptait encore quune dizaine de personne. Elle me sourit, ravissante dans une jolie robe dété lui arrivant juste au dessus des genoux. Je sentis dans son regard un peu dappréhension, qui se leva immédiatement quand je lui rendis son sourire. Elle vint sasseoir juste a coté de moihésitante elle se pencha un peu vers moi et, posant une main sur son avant bras je posais mes lèvres sur les siennes dans un léger baiser. Voila donc, les choses devenait donc un peu plus sérieuseJe métais demandé si je lembrasserai, et même si ce nétait pas un vrai baiser langoureux, il avait beaucoup de sens pour moi, et encore plus pour elle comme elle me le fit comprendre.

Elle sassit, déballa ses affaires, et me dit sans me regarder:

«Je me demandais si tu me parlerai aujourdhui»

Étonné je lui répondis:

«Et pourquoi je ne taurais pas parlé? Après ce qui sest passé?»

«Je ne sais pasje métais toujours dit que si un homme me voyais faire çaenfintu voisil trouverait ça dégradantnon?»

Je souris :

« A parce que tu trouve que lundi soir javais lair de trouver ça dégradant »

Elle rigola légèrement, cette fois ci en plantant ses yeux dans les miens :

« Lundi soir tu pensais avec ton sexecomme tous les hommes dès que la situation est excitante votre cerveau principale en dessous de la ceinture prend le contrôleMais après, une fois que votre cerveau secondaire, celui qui se trouve dans votre tête, reprends le contrôle, les choses peuvent vite devenir différentesEt vous voyez les choses sous un autre angle ».

Je rigolais également.

« Ce nest pas tout à fait faux, bien que jaime à croire que notre cerveau principale est quand même celui que lon a dans notre crâne ».

« Mes expériences jusque le ne mont pas montré la même chose ».

Je restais la à la regarder en souriant.Bon ok, jétais amoureuxJe crois que je létais bien avant cette histoire et javais peur de ce quelle pourrait en penser

« Non, je nai pas trouvé ça dégradantJe veux direCest assez étrange, mais tu semblais y prendre tellement de plaisirEt Sultan semble y trouver complètement son compte »

Elle me regarda à nouveau et me lança sérieusement :

« Et toi ? »

« Comment ça ? »

« Quest ce que tu y a trouvé ? Tu as aimé ? Je dirai que oui, mais pourquoi ? »

Je ne mattendais pas à ce quelle me pose cette question, mais je me létais posé moi-mêmeEt je comprenais son appréhension sur le coté possiblement dégradant de la chose.

« Je comprends Non, cest nai pas le faite que tu te soumettes à un chien qui mexciteJe ne sais pas tropje crois que si tu ny prenais aucun plaisirou si tu te servais du chien comme dun simple objet, ça ne me ferais rien, voir même le contraire Non, la cest le fait de te voir prendre un plaisir non dissimuléPeut être simplement le fait de voir une femme se faire vraiment plaisir sans arrière pensé, sans avoir à penser ce que son partenaire pense au moment ou vous faites çaCe qui mexcite cest que tu veuille partager ça avec moi peut être aussi Peux être aussi que par ma présence japporte une pierre supplémentaire à tout çaJe ne sais pas si tu comprends ».

Elle sourit tout en se détendant. Elle ne dit rien

« Je ne sais pas si je comprends vraiment tout, mais oui, javais peur que ce qui te plaise soit le coté peut être dégradant, ou soumis de la choseJavoue quau début jai eu du mal à me faire à lidée, quand jai commencé avec SultanMais.Cest tellement bon. »

« Sil te plaîtpas en début de coursJai déjà eu du mal la dernière fois ».

Elle afficha un petit sourire mutin, et posa carrément sa main sur mon sexe au dessus de mon pantalon.

« Oh, mais moi ça mamuse de te savoir tout excité comme çaquoi que la ça à lair daller encoreAhhummmmm, dit donc tu réagis vite »

Je prenais sa main et la retirais de mon pantalon déjà déformé par une grosse bosse.

« Cest pas du jeu, cest super inconfortable davoir une érection comme çatoi tu na pas ce problème »

« Oh, tu nes pas joueur ce matinEt ça te fait quoi si je te dit que je nai pas mis de culotte ce matinpour toi ? »

Alors lacomment dire Vous avez une femme que vous aimez, qui vous excite, dont vous avez envie, et qui vous annonce ça, vous vous dites quoi ? Et bien moi ce matin la, je me suis dit que jétais un beau crétin davoir mis un jean aussi serré Et vu comment je me suis tortillé sur me siège pour essayer davoir un peu plus de place et de confort pour ce sexe qui refusait darrêter de durcir, Sophie éclata de rire qui fit se retourner une bonne partie de lamphi qui commençait à se remplir

Elle ne dit plus rien un moment, me laissant le temps de me calmer un peu. Lamphi fini de se remplir, le prof allé arriver.

« Je ne peux pas ce soir, et je suis en stage demain et vendredi ».

« Tu sera la vendredi soir ? »

Elle me répondit avec un large sourire :

« Oh bien sur, je nattends que çaon pourra prendre un peu plus notre temps que lundiet si tu veux, tu pourras dormir à la maisonenfin si tu en as envie »

Jhabitais à coté, à moins de 50 m

« Je crois que ça me plairait bien oui ».

Définitivement jadorais ce sourire, celui quelle me fit, un peu mutin, un peu timide, quand elle vit que jacceptais son invitation.

Le cours commença et nous nous sommes concentré à le suivre Seulement javais bien envie de me vengerMademoiselle navait pas de culotte, nous allions bien voir ça.

Il restait encore une bonne demi-heure de cours, quand jai posé ma main gauche sur son genou. Elle na rien dit, laissant faire. Doucement, en effleurant à peine sa peau jai commencé à remonter sur sa cuisse, par de lents va et viensmes doigts se sont glissés vers lintérieur de la cuisse, pour tirer légèrement, lui écartant les jambesLa encore elle se laissa faire, tout en continuant à suivre le cours et recopier ses note consciencieusementpuis lentement mes doigts sont remonté entre ses cuisses, se glissant sous la robe légèreJatteignais lentement le haut de ses cuisses Elle devait aimait car elle se repositionna sur son siège, les fesses posées au bord, ouvrant encore un peu plus les cuisses. Mes doigts commencèrent à glisser juste sur la naissance de son entrejambe, dessinant le contour de son intimité, me rapprochant lentement de ses lèvres. Je jetais un petit regard à Sophie et vit que sa respiration avait accéléré, et que ses joues étaient maintenant bien plus rouge quà la normal. Enfin je fis glisser mes doigts sur sa fente, la dessinant doucement, écartant petit à petit les lèvres du bout de mon majeur je me rendis vite compte que ces lèvres était déjà un peu ouverte, et quelles étaient déjà bien humidesmon majeur senfonça lentement en elle, sans aucune difficultéje la sentis donner un léger coup de reins, allant à la rencontre de mon doigt. Celui-ci ressortit lentement pour remonter glisser sur le clito que je sentais se tendre sous son capuchon. Mes caresses ne durèrent pas longtemps, car au bout de 5 minutes je vis la belle serrer les dents, sentant son bas ventre vibrer de façon incontrôlable alors que mon index tournait frénétiquement sur son clito tendu. Je bandais comme un fou mais jétais content. Je retirais ma main dentre ses cuisses et portait mon majeur à ma bouche pour le sucer.

Sophie avait arrêté décrire pendant tout ce temps, et mon attention finie par se reporter à lamphi dans lequel le cours se terminait. Personne ne semblait avoir noté notre manège, et je me suis dit sur le coup que javais peut être été un peu loin. Sophie avait repris ses esprits et recommencé à prendre des notes Voila clairement encore un cours que jallais devoir rattraper.

Le prof fini son cours et sorti, suivi petit à petit par les élèves. Sophie rangea ses affaires avant de me lancer gentiment :

« Tu me payeras ça tu sais ? »

« Ah mais quand tu veux ».

« On mange ensemble ce midi ? Il fait beau, nous pourrions allez casser la croûte au parc ? »

« Oui bien sur, je fini à 12h30, on se retrouve la bas à 12h45, le temps que jarrive ? »

Elle acquiesça et sorti de lamphi. Je restais la, quasiment seul a repenser à ce cours Enfin cours, il men manquait la moitié, et bien que je sois sur que je men souvienne longtemps, je crois que ce nest pas du contenu du cours que jaurai le plus de souvenir.

Je retrouvais donc Sophie au parc vers 12h45. Elle était assise sous un cèdre et avait commencé à manger un sandwich. Javais apporté le mien et vint masseoir à coté delle. Nous avons discuté de tout et de rien en mangeant, puis nous nous sommes allongés à lombre profitant de la chaleur de la fin de lété.

« Comment tu en es venu à faire ça avec Sultan ? »

Elle se redressa en me regardant et en riant :

« Et bien dit donc tu passe du coq à lâne toi » Elle se rallongea et continua « Ça te travaille on dirait ».

« Oui, javoue que jy pense souvent tu ne peux pas me le reprocher »

« Non, tu es un homme après tout ! »

« Tu exagère, tu es la première à mavoir dit que tu faisait ça avec Sultan dès que tu le pouvais »

« Tiens cest vrai Enfin ce nes pas grave. Ça a commencé il y a 3 mois, juste au début des vacances après les examens de fin dannée. Je navais alors jamais imaginé faire ça avec un chien, mais jai toujours aimé me caresser, prendre du plaisir, faire lamour, enfin tu vois Cétait le premier week-end de vacances et mes parents étaient parti voir ma sur du coté de Lyon. Jétais restée seule pour tout le week-end Il faisait beau et je mennuyais. Je lisais un livre dans le salon et bien quil navait rien démoustillant, jai eu envie de me caresseralors je me suis mise à laise et jai commencé à me caresser, confortablement installée dans le canapé du salon. »

« Tu tétais mise nue ? »

« Je létais déjàil faisait chaud ce week-end la Jaime bien me promener comme ça quand je suis seuleTu ne ma jamais vu par la fenêtre ? »

« NonCe soir la ou je tai vu cétait un pur hasardje nai pas lhabitude de traîner à la fenêtre pour espérer te voir. »

Elle fit une petite mou et répliqua en rigolant:

« Quelle déception, moi qui croyait que tu ne vivais que pour me mater.»

« Et bien, après tavoir vu pour la première fois avec Sultan, il faut avouer que je me suis retrouvé beaucoup plus souvent a essayer de te voirSi ça peut te faire plaisir ».

« Je savais bien que tu nétais quun sale voyeur pervers !!! »

Je me redresser sur mon coude pour la voir, me demandant si elle était sérieuse mais son regard rieur me rassura.

« Tout ça ne me dit pas comment ça a tourné ».

« Très vite en faitjétais en train de me caresser depuis un moment, javais déjà joui une fois mais jen voulais encoreÇa faisait un moment que je navais pas fait lamour, et jen avais vraiment envie Je ne me suis pas rendu compte tout de suite de ce quil se passait, jétais encore a moitié groggy de mon premier orgasme, javais 2 doigts en moi et je continuais à me caresser rapidementJai senti mon plaisir être plus intense, je ne sais pas ce qui ma ramené à la réalité, mais jai ouvert les yeux pour me rendre compte que ce nétait plus mes doigts qui était sur moi mais la langue de Sultan Un peu plus tôt je laurai repoussé, mais juste à ce moment jai senti un second orgasme monter, beaucoup plus fort que le premier. Jai joui comme je navais pas joui depuis longtemps, sa langue fouillant ma chatteJe nen reviens toujours pas de jusquoù il arrive à enfoncer sa langue En même temps jétais complètement ouverte, mais cette langue qui me fouillait, et qui ressortait pour glisser de toute sa longueur sur mon clito Jai donc eu un orgasme génialet cétait tellement bon que je lai laissé continué. Et jai joui à nouveau 5 min plus tard.

Jai fini par le repousserla jai vu son sexe tendu sous son ventre. Tu as pu voir comment il est, et bien sur le coup ça ma fait un petit choc. Mais jétais épuisé, et un peu dégoutté davoir laissé mon chien me lécher. Je suis vite allé prendre une douche, un peu honteuse, mais javais toujours la vision de se sexe rouge, pendant sous son ventre. Jy ai repensé toute la soirée. Le soir en me couchant je narrêtais pas dy penser. Javais honte, mais en même temps je me suis rendu compte que ça mexcitais énormément. Jétais trempée, alors jai commencé à me caresser. Jai joui un première fois rapidement, mais ce nétais pas assezalors jai continué, mais c’était plus frustrant que bon. Et puis jai craqué, je ne sais pas ce qui à fait le déclenchement, mais je suis sortie de mon lit, et jai appelé Sultan. Il est arrivé, et il a tout de suite plongé sa truffe entre mes cuisses. Il a dut sentir lodeur de mon premier orgasme. Mais je nai pas attendu, je me suis tout de suite mise à 4 pattes. Je me suis dit que c’était le plus logique pour lui. Il a compris tout de suite, et il ma sauté sur le dos. Il ma dailleurs bien griffé le dos. Il a tout de suite serré mes reins et donné des coups, je lai senti taper contre ma chatte, mais il ne me pénétrait pas. Il passait son temps à me monter, donner des coups sans réussir à me pénétrer, redescendre, me renifler et me lécher, pour recommencer à nouveau. Moi je ne me contrôlais plus, jétais trempée, je ne voulais quune chose, sentir ce sexe en moi. Mais il ny arrivait pas, alors un moment jai glissé ma main entre mes cuisses, quand il était sur moi, jai pris son sexe en main. Il a commencé à donner des coups de reins des quil sest senti serré entre mes doigtsJe me suis cambré pour me rapprocher et je lai guidéEt la il ma prise, hum rien que dy repenserJe ne sais pas combien de temps ça à duré. Ça a été assez vite. Jai joui quasiment après les premiers coups de reins, de le sentir me remplirEt jai joui à nouveau quand le nud est entré en moi. Jai eu peur car je savais ce que ça voulais dire, mais je savais aussi quil finirait par diminuer. Je nai pas joui ensuite, trop dappréhension sur le moment où il sortirait, mais maintenant cest le moment que je préfère, quand il est complètement en moi et quil joui. Je ne sais pas combien de temps il est resté. Il ma fait un peu mal en se retirant, mais pas tant que ça. Par contre je navais pas du tout pensé au sperme, et je me suis vidé sur le tapi de ma chambre. Il y en avait tellement. Je lai renvoyé dans le salon, jai pris une douche et jai pris 20 minutes à nettoyer le tapi. »

Elle se redressa et me regarda dans les yeux, puis son regard se baissa sur mon pantalon.

« On dirait que ça ta plut ? »

« Jai hâte de pouvoir voir ça à nouveau. Et tu as remis ça rapidement ? »

« Humil ma prise 4 fois le lendemain avant le retour de mes parents. Jétais en manque de sexe et javais à disposition un amant avec un sexe magnifique qui navait quune seule envie, me prendre, ce qui tombait bien parce quà chaque fois il me faisait monter au ciel. Ça ma quand même posé quelques problèmes au retour de mes parents »

« Pourquoi ? »

Elle regarda sa montre :

« Pour plus tard, je suis déjà en retard pour mon TD. On ne se reverra que Vendredi soir, à cause de mon stage.»

« Ça va être difficile dattendre jusque la ».

Elle sourit, me fit un tendre baiser avant dajouter en sen allant : 

« Ça nen serra que meilleur. »

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