En vacances, nos amis passe par chez nous. Les environs sont splendides : des panoramas comment en nen voit que dans les causses. Je voudrais emmener Marc et Mado au point sublime pour admirer les gorges du Tarn avec ses vautours. Fatigué par le voyage, Marc préfère rester à la maison. Je suis prêt à ne pas partir quand Mado insiste pour la visite. Ma femme me force presque à aller avec Mado pendant que Marc se reposera dans la chambre damis.
Nous voilà partis pour notre visite. En cours de route je remarque que la jupe courte de Mado est relevée, presque trop, je vois ses jambes à mi cuisses. Belles pièces. Si je mécoutais, je poserais ma main sur elles. Le soleil tape sur Mado qui du coup écarte un peu ses jambes : la jupe remontre encore. Je ne savais pas que Mado était si exhibitionniste. Laprès midi est assez avancée quand nous arrivons : les derniers touristes partent nous laissant toute le place.
En sortant de la voiture, Mado laisse monter sa jupe encore plus haut : je vois son petit string. Je fais lignorant, je ne tiens pas à provoquer un incident et dans son ménage et dans le mien. Elle est près de moi : je lui indique les endroits les plus admirables. Comme elle narrive pas à voir un nid de vautour, elle sapproche de moi pour suivre la direction que jindique.
Sans intentions particulières elle me donne son sein à sentir contre mon bras. Je me dégage un peu en lui passant un bras autour de ses épaules. Mon geste amical est mal perçu : elle doit le prendre pour une incitation. Mon instinct dhomme se réveille surtout quand je sens sa tête bouger vers moi.
Le paysage nous échappe totalement. Nous sommes trop près. Je regarde sa bouche qui attire mes lèvres. Elle ne se dérobe pas. Jen profite pour entrée ma langue à la recherche rapide de la sienne. La suite est trop rapide. Nous montons dans la voiture, je vais entre les buissons pour être à labri des regards indiscrets. Avant de sortir je lembrase encore. Je profite de larrêt pour poser ma main sur son genou.
Je joue à la bébête qui monte. Elle se laisse faire : sa langue est plus active dans ma bouche. Je suis sur son string déjà bien mouillé. Nous ne nous posons pas de question, sans un mot, je la déshabille totalement : cest vite fait mis à part un léger tee shirt, sa jupe et le string, elle est vite nue. Pour moi cest elle qui sen occupe : elle commence par la légère chemise, défait mon pantalon, le laisse tomber et enlève mon slip. La garce ne tient pas compte des coutumes habituelles quand un homme et une femme sont sur le point de faire une bêtise : elle prend de suite ma bite dans la main.
Je ne pensais pas quelle sache masturber aussi bien. Elle a pris ma bite dans une main ouverte, descend rapidement le prépuce pour le remonter aussi vite. Je suis tendu vers la prochaine jouissance. Elle est assez grande pour savoir que si elle me fait cracher le venin ma bite prendra un certain temps à sen remettre.
Elle le sait, maintenant quelle a oublié mon sexe, pour se serrer contre moi, ma bite entre nous deux. Je préfère ainsi. Sa bouche revient contre la mienne. Je la fait mettre ses fesses contre le capot. Sans que je ne demande quoi que ce soit, elle ouvre ses jambes attirant mon regard sur sa chatte. Ce doit être une erreur de la nature : son sexe est des plus beau que jai vu (et Dieu sait que jen ai vu). Je maccroupis devant elle : ma bouche entre dans ses lèvres pour y découvrir la source de sa cyprine. Je ne sais si cest la chaleur, elle a un goût prononcé, pas désagréable du tout, au contraire. Je trouve très vite son petit bouton, petit au sens réel. Je me demande même si elle peut jouir avec un petit morceau de chair si petit. Dès que ma langue le touche, elle sursaute. Je continue pendant quelle écarte encore plus ses cuisses. Une main sur ma tête, elle me dirige en appuyant pour que je ne cesse pas de la lécher. Elle se baisse encore un peu pour être plus à laise. Je peux mettre ma main entre ses cuisses, pour les passer derrière : je veux savoir si elle aime se faire sodomiser. Jécarte ses deux magnifiques globes pour y passer au moins un doigt. Lentement jarrive près de son petit trou, jen fais le tour délicatement. Elle ne manifeste pas son opposition alors je pose la pulpe de mon doigt sur lanus. Je ne force pas du tout quand jentre presque la moitié du doigt.
Je saurais men souvenir. Quand elle jouit plusieurs fois daffilé, jen suis satisfait : elle encore plus que moi. Ce qui métonne le plus est que quand elle jouit, elle fait le même cri quune souris quand un chat lattrape.
Quand je me relève, elle voit ma bite toujours en érection. A son tour, elle se penche. Sa bouche a vite fait de prendre le gland : je m’attendais de sa part à une fellation de femmes marié, sage en un sens. Ses lèvres souvrent juste comme il faut pour que je confonde avec son vagin. Sa tête va et vient sur ma colonne. Je suis tendu vers le visage de Mado. Elle ne me tient pas les fesses sans que jamais une main touche ma queue. Je lui demande de ne pas me faire jouir encore dans sa bouche, je lui promets de jouir là après quelle mait permis de la baiser.
Maintenant elle me mordille doucement. Enfin sa langue entre en action. Je suis tendu à lextrême, comment elle je pense quand je la léchais et lui faisait coulisser un doigt dans le postérieur. Elle sarrête pile la seconde avant mon orgasme. Dun coté je me sens privé et de lautre je préfère jouir dans son ventre.
Elle voudra maintenant se coucher par terre. Les cailloux parsèment lendroit, sauf à un endroit quelle trouve en se baladant nue. De la voir se promener ainsi à poils, ses fesses se trémoussant devant moi, je bande encore plus. Elle trouve un endroit moins caillouteux. Elle sy allonge en me tendant les bras : elle en rit ; cest vrai que jai la bite qui remue pas mal en marchant. On verra ce quelle dira quand elle laura là ou je pense. Jai à peine le temps de me coucher près delle que ses jambes sont ouvertes, avec un compas plus que grand ouvert.
Je vais la baiser comme jamais. Finalement je pense que cest elle qui me baise. Je suis sur elle, elle prend ma bite pour se branler avec. Pour moi cest agréable. Pour elle davantage à cause de ses cris de souris. Elle jouit donc facilement. Elle na qu’à poser ma queue juste à son entrée secrète. Là elle se fait poignarder : je suis saisi par létroitesse et la douceur de son vagin. Je ne vais quau fond une seule fois. Pendant tout le reste de notre union, cest elle qui mène la danse. Je la sens jouir encore deux fois pendant que je suis au fond de son ventre quand elle se retourne.
Elle se met en levrette, se mouille bien le rectum avec sa cyprine. Je nai quun seul devoir maintenant, la sodomiser. Je ne force pratiquement pas quand jentre dans son cul. Elle accompagne mes va et vient. Elle doit jouir encore deux ou trois fois. Quand je lâche ma dose de sperme il me semble lui avoir donné toutes mes réserves. En sortant de son cul jentends un ploc. Elle sassied sur lherbe pour regarder ma bite qui décroît.
— Tu mas drôlement bien baisée.
— Tu baises bien toi aussi.
— Si tu veux me faire visiter un autre endroit, demain après midi, nhésite pas.
— Tu tiens à ce que je te baise à nouveau ?
— Tu sais mon mari ne me baise presque plus depuis sa maladie, je me contente comme je peux, aujourdhui jai trouvé un bon amant, je ne vais pas le lâcher ainsi.
— Il faut que jen parle à ma femme.
— Pourquoi ?
— Parce quelle aime aussi les filles.
— Chic, ce soir je lui propose de baiser en trio.
— Cest à toi de voir.
En rentrant Marc et Babette, ma femme bavarde. Les nouvelles sont vite passées. Je parle un peu avec Marc quand les deux femmes soccupent à la cuisine. Ce nest que maintenant quil me parle de son infirmité. Il a eu un accident cérébral qui a complètement laissé la partie animale de baise. Il ne bande plus que par à coup. Il sait que sa femme a des besoins. Il sait quelle se masturbe souvent, quelle a envie dune vraie bite. Il sait que quelques fois elle sort avec des copines pour faire lamour entre filles.
— Tu serais chic si tu demandais à ta femme de passer la nuit avec elle.
— Et moi, je peux te remplacer ?
— Pour la baiser sans toi.
— Je préfère ne pas savoir.
Pendant le repas, cest lui qui remet la question sur le tapis. Ma femme lui répond quelle est daccord pour passer la nuit avec Mado. Je suis aussi volontaire, même ma femme est daccord.
Nous sortons tous un bon moment pour regarder les étoiles, puis la fraîcheur arrivant nous entrons tous. Cest Marc que se sauve vers sa chambre le premier : il nous lasse la place. Je suis un peu surpris de voir Babette embrasser Mado sur la bouche avant de venir men faire autant.
Nous sommes vite nus : je compare les plastiques des filles : de légères différences dans la grosseur des seins. A part ça, elle se ressemble assez, sauf, mais il ny a que moi pour le moment qui le sache, les fentes ne sont pas les mêmes. Je prends la première initiative en collant les deux fessiers contre la table. Mes mains prennent possessions des chattes déjà bien mouillées. Je ne cherche pas du tout les boutons. Mis à par le petit de Mado qui est le plus difficile à contenter, celui de Babette est toujours gonflé quand elle sait que je vais la branler.
Cest Babette la première qui jouit. Elle profite de ce temps de jouissance pour embrasser encore Mado qui du coup jouit vite. Nous sommes vite dans la chambre. Cest Mado qui prend la partie à son compte. Elle sait mieux que ma femme.
Elle la caresse comme jaurais du le faire. Elle la pelote juste comme elle aime. Sa main est vite sur la chatte de ma femme. Elle commence à la masturber comme je le fais. En attendant je bande de la voir faire. Babette a pitié de moi en me branlant comme elle sait si bien le faire. Elle arrête juste comme il faut. Je suis plus libre pour branler Mado. Je commence par le cul : elle ouvre ses cuisses et arrive, je ne sais comment à ouvrir son anus. Mon doigt est vite dans son ventre. Jentends encore son bruit de souris.
Babette ne crie pas : elle jouit sans bruit, en le disant simplement. Cest-ce quelle fait maintenant. Il faut croire que cest insuffisant pour Mado qui se penche pour sucer ma compagne. Là cest plus rapide : cest la première fois que Babette se fait lécher par une autre.
Je passe derrière Mado, sur les conseils de Babette. Ma queue est vite entre les fesses sans rien faire dautre que de la faire aller et venir. Lasse de ce semblant de sodomie, Mado me donne son cul. Il faut dire que le spectacle en vaut la peine : ma femme est léchée par celle que jencule.
Quand Mado jouit pour la X° fois, elle demande un repos. Une pose que je mets à profit pour baiser ma femme. Quand elle est en chaleur comme aujourdhui, cest le paradis pour ma bite, et sa chatte. Elle se positionne de façon à avoir ma queue dans son cul et sa main sur le bouton. Nous sommes allongés, moi sur le coté elle sur le dos, les jambes ouvertes pour que nous ayons nos deux membres emmêlés pendant quelle a la facilité pour se caresser et moi bien accès à son intérieur arrière. Je connais la formule par cur : jattends quelle commence par se branler : je regarde de près sa main aller et venir : quand elle se doigte, alors cest à mon tour dentrer dabord deux doigts dans le cul que je remplace vite par ma bite tendue. Lorgasme commun est trop vite là.
Mado nous regarde envieuse et se masturbe. Puis pour parachever son orgasme prochain elle offre sa vulve à la bouche de Babette qui ne se gêne pas pour laccepter. Maintenant Mado se penche vers le sexe de celle que jencule : elle prend le clitoris le lèche près de moi.
Que vouliez vous quil arrive, nous passons la nuit entière à baiser.
Le lendemain après midi, nous partons à trois visiter un autre lieu : une profonde forêt où personne ne va. Je connais une petite clairière isolée. Cest là que nous baisons encore en trio, les filles surtout en profitent : il leur tardait darriver. Elles se branlaient déjà.