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Magali – Une rencontre inattendue – Chapitre 2

Magali - Une rencontre inattendue - Chapitre 2



Un mois passe depuis notre dernière soirée. Je ne sais pas comment vont se passer nos retrouvailles après notre dernière discussion. Dans mon esprit, il est clair que notre relation va à son terme, même si lidée dassouvir quelques fantasmes ne me laisse pas insensible. Cest donc très angoissé que jarrive le lundi au travail, mais la journée se passe comme à son habitude. En fin de journée, on convient de se retrouver à ma chambre dhôtel avant quelle ne rentre chez elle.

— Max, on a quune heure devant nous, jai dis à mon mari que je rentrai à 19h30.

— Tu vois, cest bien ce que je disais le dernier coup, on est dans la routine ! On tire un coup, puis on rentre chez nous comme si de rien nétait. On tombe dans la caricature.

Pour le coup, mes paroles stoppent net son enthousiasme. Visiblement grognon, elle reprend la parole.

— On a déjà eu cette discussion le mois dernier, et on était daccord pour mettre un peu de piment dans nos rapports. Tu ne te sens pas à la hauteur pour me faire découvrir de nouveaux plaisirs

Elle a visiblement vite repris le dessus. Son but est atteint, je me vexe.

— Bien sûre que si, mais je ne suis pas sûre que toi tu sois prête à aller au-delà de tes interdits et de me suivre dans cette voie.

— Je tai dit que je te suivrai.

— Ok, tu es donc prête à suivre mes enseignements sans rechigner petit scarabée ?

A la vue de son regard interrogateur, je note quil faut aussi que je lui fasse des cours sur les classiques du cinéma.

— Oui, je suis toujours partante pour de nouvelles pratiques !

— Jai des doutes.

— Moi non.

— Ok, alors on va jouer un petit scénario, ça te dit ?

— Oui.

— Au risque de tomber dans le fantasme de base des mecs, on va jouer au maître de maison et à sa gouvernante dévouée. Ça te dit ?

— Pourquoi pas, quitte à aller dans la caricature, allons y jusquau bout, dit-elle avec un grand sourire.

— Tu es prête à mobéir ?

— Oui, mon maitre dit-elle espiègle, la main se glissant dans mon pantalon.

Même si je ne suis toujours pas convaincu par la poursuite de cette relation, lopportunité dassouvir des fantasmes ne se refuse pas. Car autant vous dire, que cest la première fois que je vais sortir du trio pipe/cunni/pénétration. Mes relations précédentes étant restées très conventionnelles. Mais à ces paroles, ma bite commence à bander. Je pense que je suis aussi stressé quelle. Je nai pas la moindre idée doù cela va nous amener, mais jy vais avec appréhension. Mon imagination tourne alors à plein régime, toutes les histoires et vidéos de cul remontent à la surface. Pour un peu jen éjaculerais davance !

— A partir de maintenant, tu mappelleras donc Monsieur ! Compris ?

— Oui.

— Pardon ? dis-je dun ton sec, mais très peu autoritaire.

— Oui, Monsieur, sourit-elle.

— Tu ne parleras que quand je ten donnerai la permission.

— Bien, Monsieur.

— Très bien mademoiselle.

Mon cur bat à 200 à lheure. Pour Magali, ce nest pour le moment quun petit jeu, et pour moi aussi dailleurs. Aussi con que cela puisse paraitre, entendre une femme mappeler Monsieur est jubilatoire. A lépoque, ça me paraissait incroyable quune femme puisse prendre du plaisir dune situation pareille. Japprendrai au cours de notre histoire commune, que ce sentiment peut se révéler fortement jouissif pour la personne soumise.

— Déshabille-toi !

— A vos ordres Monsieur ! dit-elle toujours aussi espiègle.

Elle se déshabille alors doucement et avec sensualité, son visage irradié de bonheur et son corps émoustillé par nos derniers échanges. Elle retire tout dabord son chemiser quelle pose sur le bras de fauteuil, puis dégrafe son soutien-gorge quelle laisse glisser très lentement le long de ses bras. Elle se retourne puis défait son jean slim quelle enlève en se tortillant du cul. Enfin, après sêtre retournée pour me faire face, elle retire sa culotte quelle pose avec le reste de ses affaires.

— Donne-moi ta culotte ! Dun ton toujours aussi peu autoritaire.

Je veux vérifier une chose. Elle savance en me regardant droit dans les yeux, la culotte pendant au bout de son index, et la pose dans ma main. Sa culotte est bel et bien trempée, je lapproche de mon nez et la renifle. Magali est vraiment surexcitée par cette situation.

— Je vois que ça texcite ma cochonne

Elle devient rouge écarlate. Je métonne moi-même du terme employé. Il y a six mois, cest elle qui me prenais par la main et qui était entreprenante, aujourdhui, les rôles ont changé, et de quelle manière ! Je me déshabille à mon tour et massied au bord du lit, la bite au garde à vous.

— Suce-moi !

— Oui, Monsieur !

Elle se met à genoux, écarte mes cuisses et débute en léchant mes testicules pendant quelques instants, puis rapidement, et ce pour la première fois, les prend complètement en bouche. Elle me regarde alors les yeux brillants de luxure alors que sa langue joue avec mes boules dans sa bouche. En parallèle, avec sa main, elle masturbe mon chibre au ralenti. Après cette entrée en matière, elle abandonne mes couilles pour soccuper de ma verge. La tête penchée sur le côté, bouche ouverte, elle glisse sa langue le long de ma bite de bas en haut, et ce à plusieurs reprises. Enfin, après quelques coups de langues bien fermes sur mon frein, mon gland disparait dans sa bouche. Excité par le début de soirée, il ne me faut pas longtemps pour que je décharge. Je me retire de sa bouche et éjacule sur ses seins, qui se recouvrent de ma semence. Je pousse un énorme cri de plaisir.

— Ouah, quel pied, tu suces vraiment comment une princesse !

— Merci,

— Je crois que tu as oublié quelque chose ?

— Merci, Monsieur !

— Pour que tu comprennes bien que cest moi le maître de la situation, aujourdhui je ne te donnerai pas de plaisir. Maintenant rhabille toi. Par contre je garde ta culotte et ton sous-tif.

Totalement surprise, déstabilisée et surement frustrée, Magali ne répond pas et se dirige mécaniquement vers la salle de bain.

— Je ne tai pas demandé de te nettoyer !

Elle rebrousse chemin et se rhabille mécaniquement en me tournant le dos, son chemisier recouvrant le sperme en train de sécher sur sa poitrine, ses yeux tout humide. Elle semble perdue, et je crois quelle réalise à ce moment que nos rapports ont irrémédiablement changé. Moi-même, je ne suis pas fière de moi. Je vais peut être trop loin avec cette femme que jaime au fond de moi. Je nose plus dire un mot.

— Au revoir Max.

— A demain.

Elle sort. Je passe la soirée et la nuit à imaginer les choses les plus lubriques que lon pourrait faire. Lidée que cette soirée fut aussi la dernière me hante une grande partie de la nuit. Le lendemain, notre journée de travail se déroule dans une atmosphère étrange. Mais, tout comme la veille, on se retrouve à ma chambre dhôtel après le travail. Je lui ouvre la porte, elle entre.

— Magali, pour hier s

Elle me coupe.

— Oui, la soirée ma particulièrement déstabilisée et je dois tavouer quen sortant, jétais très remontée. Jai failli faire demi-tour pour reprendre mes sous-vêtements et ten mettre une.

— Je suis déso

— Mais je ne voulais pas te faire ce plaisir.

Ca y est, je voulais que ça sarrête, je vais être servi.

— Et bah tu sais quoi ? Sur le chemin du retour, jai eu limpression que tous les passants me dévisageaient et savaient que jétais nue sous mes vêtements, et qui plus est, recouvert de ton sperme. Cest dautant plus ridicule que quil faisait nuit noire. En arrivant chez moi, jétais trempée dexcitation. Mon mari nétant pas encore revenu, jai fait ce que je nai pas dû faire depuis des années, Je suis montée dans la chambre, jai fermé la porte à clé, je me suis doigté dans mon lit et jai joui. Mais joui comme jamais. Le soir venu, jai sauté sur mon mari, et on a fait lamour avec la vigueur de nos vingt ans. Et jai encore joui.

Après une courte pause.

— Alors merci à toi de mavoir laissé sur ma faim hier soir, car jai eu une de mes meilleure soirée sexe avec mon mari. Et dommage pour toi, dit-elle en souriant.

— Si je comprends bien tu ne men veux pas ?

— Si, encore un peu. Mais le résultat en valait le prix !

— Tu es toujours daccord pour continuer dans cette voie ?

— Oui plus que jamais.

— Quand je parle de cette voie, je parle de notre relation dhier soir !

— Oui jai bien compris. Je suis daccord pour continuer à être ta petite élève studieuse.

— Ça va changer définitivement notre relation. Tu en es consciente ?

— Oui, et on inversera peut-être les rôles un jour.

Je ne réponds pas.

— Je vais te faire dépasser tes limites actuelles, mais pour ton plus grand plaisir.

— Oui. Jai confiance en toi. Depuis quon sest rencontré jai redécouvert le plaisir. Je sors de mon train-train quotidien. Ca fais dix ans que je suis mariée et que je couche avec le même homme, que jaime dailleurs énormément. Mais je crois quaujourdhui jai besoin de découvrir de nouveaux frissons, de me mettre en danger.

Je respire un grand coup.

— Ok, pour séparer le travail de notre relation, il va falloir que lon définisse des règles.

— Je vois là ton côté cartésien qui ressort.

— Oui, je ny peux rien, cest dans ma nature. Pour bien séparer nos petits jeux et notre vie professionnelle, je porterai donc un bracelet. Quand je le porte, tu es ma soubrette, quand je ne lai pas, nous sommes les collègues que nous avons toujours été. Ok ?

— Très bien. Par contre, si ça va trop loin, et que je ne veux pas faire quelque chose ?

— On a quà utiliser un mot code.

— Gertrude !

— Ok

— Cétait le nom de mon chat quand jétais petite.

— Si ça peut te faire plaisir. Mais dans ce cas, on arrêtera définitivement de ce voir hors du travail.

— Bien.

Je lui montre mon bracelet à mon poignet. Jen porte toujours un. Maintenant il faudra que je pense à le retirer. Mon cur manque de sortir de ma poitrine. Elle me regarde les yeux pétillants.

— As-tu tout compris soubrette !

— Oui ! dit-elle énergétiquement.

— Déshabille-toi alors !

Excitée, elle se déshabille doucement et encore plus sensuellement que la soirée précédente. Au moment où elle se trouve en sous-vêtement, je larrête. Plus que nue, cest ainsi que je la préfère, ces formes parfaites sont mises en valeur avec ces dessous. Tout comme la veille, sa culotte ne peut cacher son état. La situation semble lui plaire autant quà moi.

— Magali, on a beau se côtoyer depuis un moment, jai besoin de mieux te connaitre. Je vais donc te poser des questions sur ta vie. Et jattends de toi des réponses sincères.

— Oui, Monsieur.

Je suis assez surpris, car je ne me souvenais plus de lui avoir demandé de mappeler Monsieur. Elle prend le scenario en cur. Je débute alors une série de question qui me taraudait depuis notre rencontre.

— A quel âge as-tu fais lamour pour la première fois ?

— 19 ans, jétais à la fac.

— Pardon !

— Désolé, 19 ans, Monsieur.

— Etait-ce bien ?

— Rien dextraordinaire, cétait sa première également et ça na pas durée longtemps. Ce nétait pas le grand amour, Monsieur.

— Avec combien dhomme as-tu couché avant moi.

Elle rougie et marque un temps darrêt.

— 5, Monsieur

— As-tu déjà trompé ton mari avant moi ?

— Non jamais !

— Quand as-tu fais ta première pipe ?

— Cétait avec mon mari, avant mon mariage, cest lui qui voulait. Monsieur.

— Tu lui en fais régulièrement ?

— Non pas souvent. Il nest pas très demandeur.

— Pourtant, tu es une excellente suceuse de bite !

— Tes tu déjà fait enculer ?

— Non !! Ca ne mattire vraiment pas, Monsieur.

Un frisson lui parcoure le corps, je vois ses tétons saffermir. Elle doit surement simaginer que son petit trou ne restera plus longtemps inviolé.

— As-tu déjà avalé le sperme de ton mari ?

— Non, jamais !

Dautres questions me taraudent encore lesprit, mais jaurai largement le temps de lui poser. Mais il est temps de passer aux choses sérieuses.

— Va sur le lit et masturbe-toi ! Ecarte bien les jambes pour que je puisse admirer ton savoir-faire.

Elle retire ses sous-vêtements, puis monte docilement sur le lit, pose les oreillers au bord du mur, puis se met dans une position mis allongée, mi assise. Assis sur le fauteuil en face du lit, je contemple le spectacle. Elle me fixe dun air effronté quand elle met deux doigts à sa bouche quelle suce comme elle le ferait avec ma bite. Son autre main se glisse entre ses cuisses bien ouvertes, puis écarte ses lèvres pour me laisser voir son intimité. Ces doigts quittent enfin sa bouche pour descendre caresser son clito. Sa chatte, déjà bien humide, ne met pas longtemps à être réceptive.

Sa main droite titille sont clitoris, alors que le majeur de sa main gauche pénètre sa petite fente. Plusieurs minutes sont nécessaires pour que son corps accompagne les mouvements de ses mains. Son souffle saccélère. Elle introduit un deuxième doigt, de plus en plus de gémissements lui échappent. Son autre main navigue entre son clitoris et ses seins. Enfin, les yeux fermés, ses cuisses se contractent sur sa main. Elle crie, elle jouit.

Je me lève, retire mon pantalon et mon boxer. La bite bien raide, je monte sur le lit et lenjambe. Elle me regarde, immobile, encore sous le coup de son orgasme. Je passe ma main entre ses cuisses. Ces lèvres humides confirment le plaisir qui vient de la parcourir. Avec mon autre main, je me branle face à son visage en la regardant bien dans les yeux. Il ne faut pas longtemps pour décharger mon foutre sur sa poitrine. Quel pied ! Jétale mon sperme sur ses seins avec ma bite. Et enfin, je tapote mon gland sur son menton pour essuyer les dernières gouttes de sperme. Crispée, elle serre les lèvres et ferme les yeux pour ne surtout rien recevoir.

— Tu es une bonne cochonne, Mag ! je ne pensais pas que tu aimais tant dexhiber ! Rhabille-toi et rentre chez toi. Mais je tinterdis de te laver avant de partir.

Elle se lève, prends ses vêtements et shabille. Comme la dernière fois, son chemisier collé sur sa peau par mon sperme. Instinctivement, elle essuie les quelques traces de sperme sur son menton. Elle se recoiffe et me sourit. Je mapproche et lembrasse. Elle part.

Le lendemain, la journée de travail se passe comme si de rien nétait et je rentre le soir même sur Paris.

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