Mes précédentes rencontres avec des dominatrices mont conforté toujours un peu plus dans mes besoins de soumission. Mes sentiments sont encore diffus, mais je ne peux mempêcher dorganiser de nouvelles rencontres lors de mes déplacements professionnels.
Ma nouvelle destination est Lyon, et jai pris contact avec Maitresse Sulfure.
La voix de Maitresse Sulfure au téléphone est trompeuse. On dirait une petite fille toute douce, et je vais bientôt mapercevoir que sa voix ne reflète en rien sa personnalité. Comme chaque année, début juillet, jorganise un déplacement pour profiter du festival de jazz à Vienne. Cette année, jirai voir Ray Baretto. Maitresse Sulfure a accepté de me recevoir tard dans la soirée, vers minuit.
En fait, je ne peux attendre cette heure si tardive, et je quitte le théâtre antique de vienne avant la fin du concert, trop pressé de rencontrer cette dominatrice dont la voix ma tant intrigué. Elle ma donné son adresse à Villeurbanne, et je dois lappeler une fois mon véhicule garé.
Jarrive au pied dun immeuble propre et récent, et cest le cur battant que je frappe à sa porte. Jentends résonner des talons derrière cette porte qui souvre pour me laisser pénétrer dans un appartement sombre.
Maitresse Sulfure, juchée sur de hauts talons, a revêtu une robe noire qui cherche à cacher ses formes. Elle est jeune, un rouge à lèvres noir tente de durcir son visage juvénile.
Je baisse instantanément les yeux, car, malgré sa petite taille, son allure générale mimpressionne. Elle me fait entrer dans son salon, un salon ordinaire, nullement équipé en donjon, ce qui métonne et me déçoit un peu. Les deux premières dominatrices que jai rencontré jusquà ce jour mavaient en effet reçu dans des pièces aménagées en donjon.
Elle ne cherche pas vraiment à me connaitre, il faut dire que je lui ai envoyé un mail circonstancié pour me décrire au préalable.
Confortablement installée dans un fauteuil, elle me demande de lui faire un striptease. Je dois avoir lair parfaitement ridicule en retirant mes vêtements un par un en me dandinant devant elle. Cest pour moi une véritable torture, dautant quelle ne se prive pas de railler ma prestation.
Une fois nu, elle me demande de ma présenter, comme se présente un soumis. La encore, cest nouveau pour moi, et je reste bêtement devant elle, attendant des instructions plus précises. Elle mindique une position à genoux, cuisses écartées et les bras en avant, et je dois me présenter en récitant la phrase suivante : « je suis votre soumis titou, jaime être humilié, je vous présente mon cul ouvert en signe de total soumission ». Avec le stress qui ma gagné, je dois my reprendre à plusieurs fois avant de réciter le texte en entier.
Elle mordonne ensuite de me lever, et de me pencher sur le dossier dune chaise, les fesses bien cambrées, et elle maveugle avec un bandeau. Elle sait que je suis à la recherche dune fesseuse, et cest dans cette position quelle me réchauffe le cul, lentement, progressivement, mais surement. Elle va ensuite cherche un martinet pour compléter son uvre. Cette séance est plutôt courte, mais cest heureux car les fesses me brulent. Elles doivent avoir une belle couleur rouge.
Toujours dans la même position, je vais passer du chaud au froid. Je sens brusquement un doigt enduit de gel titiller mon anus. Elle est en train de me lubrifier le cul avec un doigt, puis deux, peut être trois. Je sens maintenant un objet tenter de me pénétrer, un gode probablement. Avec précautions mais fermeté, elle réussi enfin à me sodomiser, et je commence à prendre du plaisir.
Toujours aveuglé, elle maide à mallonger par terre. Le carrelage est froid et je frissonne, ou bien est-ce linquiétude de la suite.
Elle mécarte les cuisses, me mettant dans une position totalement exhibitionniste. Elle reprend le gode et me sodomise avec entrain, tout en me donnant ses pieds odorants à lécher. Elle vient de me donner la permission de me branler, et en moins de temps quil ne faut pour lécrire, jéjacule sur mon ventre. Rapide mais efficace.
Et pour la première fois de ma vie, elle va me faire gouter mon sperme, le recueillant de ses doigts gantés sur mon ventre pour me le faire lécher. Au bord du dégout au début, jaccepte cette humiliation avec perversité.
Cette séance fut plus que rapide, et quand je reprends ma voiture pour rentrer à lhôtel, et je me sens un peu frustré.
Je ne suis pas sur, à cet instant davoir envie de revoir Maitresse Sulfure.