Comment moccuper pendant ce grand pont de quatre jours ? Il était environ 17h et cétait la question que je me posais, en tapotant machinalement, sur ma tablette.
— As-tu mis tes vêtements dans ta corbeille à linge sale, mon chéri ?
— Oui maman !
Sitôt après avoir répondu à ma mère, je me suis replongé sur Google. Javais 22/23 ans à cette époque, mais ma mère, sadressait toujours à moi comme si javais 15 ans lol. Jétais à moitié avachi sur le pouf de ma chambre, sans aucune envie de rien faire. Après quelques minutes, jai entendu toquer à la porte, puis immédiatement après, et sans même attendre ma réponse, comme elle avait lhabitude de le faire, ma mère entra dans ma chambre. Elle se dirigea vers mon placard, pour y mettre des vêtements propres. Aussitôt après, elle se pencha quelques instants, vers la corbeille de linge sale, ce qui attira immédiatement mon regard.
Maman était à lépoque de ces faits, une femme de 48 ans, divorcée de mon père, depuis une bonne dizaine dannées déjà, et elle soccupait très bien de moi. Les cheveux châtains clairs, et de taille moyenne, elle était ce quon pouvait appeler, une très belle femme, sexy et séduisante. Sexy par limage quelle dégageait et séduisante, par le nombre dhommes qui gravitaient toujours autour delle. Elle était totalement libérée et navait jamais caché son amour pour la vie. Une vraie épicurienne, qui semblait profiter de tous les plaisirs quelle lui offrait. Javoue que bien des fois, mes yeux se posaient sur son corps tout entier. Sur ses belles courbes, ses beaux et gros seins lourds que je devinais, ses fesses magnifiquement courbées et ses cuisses, musclées.
Elle était sportive et avait su entretenir son corps, pratiquant la danse, en moyenne 4 fois par semaine, depuis lâge de 10 ans. Cétait sa passion, elle aurait pu se passer de bien des choses, sauf de la danse ; ceci expliquait cela… Pour le moment je me contentais de reluquer ses fesses, et le haut de ses jambes qui laissaient entrevoir, la démarcation de ses bas, pendant quelle faisait le tri, dans mon linge sale.
Combien de fois avais-je fantasmé sur le cul et la petite chatte de maman ? Je crois que depuis que jai lâge de bander, jai dû y penser chaque jour. Combien de fois je me suis masturbé, en la regardant par exemple, tout simplement faire pipi, par le trou de la serrure, un nombre incalculable ; et combien de fois également, jai glissé ma main dans mon pantalon, la surprenant au lit avec dautres hommes, sans quelle sache même que jétais déjà rentré, je ne saurais le dire non plus. Mais ce qui est certain, cest que ma mère me faisait vraiment fantasmer. Je savais que mes pensées étaient malsaines, et parfois même jai eu limpression, quelle me regardait dune manière bien particulière. Quelques fois même, je me sentais surveillé, quand le soir, seul dans ma chambre, il marrivait de me branler. Javoue que jai ressenti cela à de nombreuses reprises, mais aucune certitude jamais.
Après quelques minutes de rangement, maman quitta ma chambre, non sans déposer, un petit baiser sur le bout de mon nez. Si javais un peu levé la tête accidentellement, elle aurait embrassé mes lèvres… Elle ferma la porte, et immédiatement, des pensées incestueuses vinrent à moi. Javais honte de moi cest vrai, mais pouvais-je maîtriser mes pensées ? Machinalement je fermais les yeux, et ma main droite vint irrémédiablement caresser mon sexe. Est-ce que ma mère me regardait au travers de la serrure ? Je lignorais, mais je lespérais… En tous cas, le seul qui fut présent à ce moment-là, était Black, le chien que nous avions à lépoque. Doucement devant lui, jai baissé mon jeans, jusquaux chevilles. Black avait pris lhabitude depuis quelques mois, de me lécher la main, chaque fois ou presque, que je me touchais ou mieux encore, quand je finissais de me masturber.
Lodeur sans doute de mon sperme, je ne sais pas, jétais trop jeune à lépoque pour me documenter sur le sujet, et à vraie dire, tout comme le fantasme de posséder un jour ma mère, je tentais docculter également, cette excitation que me procurait cette forme dexhibition, devant mon chien. Chaque fois que cela se produisait, je fantasmais sans doute, sur le fait quil vienne lécher mon membre pendant mes érections, plutôt que ma main après… Comme à son habitude, il sapprocha, sarrêta à moins dun mètre de moi, sassit sur son postérieur et se mit à me reluquer, pendant que je faisais mes va-et-vient avec ma main. Javais lhabitude, et ça mexcitait plutôt quautre chose. Je savais quil attendait patiemment que je finisse pour quà son tour il nettoie ma main.
— Cest ça que tu veux mon chien ? En lui tendant ma queue !
Avait-il compris autre chose ? Si bien quau lieu dattendre bien sagement que je me finisse, il sapprocha soudainement de ma queue en érection et sarrêta si près, que je pouvais sentir son souffle sur le bout de mon gland. Je restais comme paralysé. Quallait-il se passer ? Je tenais ma queue avec ma main droite, sans plus oser bouger. Seul mon gland tout entier, dépassait. Black tendit son cou tout doucement, comme sil guettait une réaction de ma part, et il enroula dun seul coup de langue, mon gland. – Hoooooouuuuu ! Cest le seul son qui sortit de ma bouche, tout en fermant les yeux.
Black resta immobile quelques secondes… Je fis très très lentement, 2 aller et retour sur ma queue sans le quitter des yeux, et je laissais ma main, à la base de mon membre. A présent, ce dernier était droit comme un i et dépassait totalement de ma main. Après son premier coup de langue, ma queue avait déjà, considérablement gonflé. Jétais sans réaction, linitiative de mon chien mavait laissé sans voix, cétait une première pour moi. Sentant que je ne disais rien et que je navais aucune réaction, il revint tenter un deuxième assaut.
Cette fois il sapprocha plus timidement, et lécha directement, tout ce qui dépassait de ma main, cest-à-dire ma queue tout entière. Dabord de bas en haut, puis sur toute la longueur. Cétait vraiment très excitant, je navais jamais connu cela auparavant. Puis il saccroupit totalement, et enfonça son museau entre le pouf et mon entrejambe, et se mit à lécher dans tous les sens, mes couilles, quil prit sans aucun ménagement. Ooooh que cétait bon !! On aurait dit quil devinait mes pensées et mes envies, ce qui mexcitait, et ce qui me faisait bander davantage. Sans perdre une seconde, jai fini denlever mon jean et je lai jeté. Soudainement, ce que je redoutais arriva très vite. Black senfonça encore un peu plus, et se mis à me lécher le cul, comme sil voulait me fouiller lanus. Putain comme cétait bon ! Pendant ce temps, je narrêtais pas de me branler, tandis que le chien soccupait de mon petit trou.
— Ooooh ! Taimes ça mon salaud, taimes bien lécher mon cul hein ? Lui disais-je, comme pour me convaincre que je ne parlais pas à un chien.
Je nétais pas trop expérimenté à lépoque, mais je savais seulement que ça me faisait beaucoup de bien. Puis machinalement, je me suis retourné sur le côté gauche, pour offrir plus de facilité à cette langue, qui me rendait déjà fou dexcitation. La porte nétait pas fermée à clé, et ma mère pouvait entrer dune seconde à lautre qui sait !? Jétais stressé et partagé, par lenvie davoir du plaisir encore, et la crainte de le perdre, si je me levais pour fermer… Je neus pas le loisir de choisir, jentendais déjà les pas de maman. Juste le temps de repousser rapidement le chien, et poser sur ma queue, la serviette de bain qui était sur mon lit à quelques cm de moi.
— Ça va mon chéri ? Jai limpression que je dérange là non ? Tu jouais sur ta tablette ?
— Non non, enfin oui un peu… Jétais vraiment gêné de cette intrusion et je navais rien eu le temps de préparer, ni même la réponse à sa question.
— Mais quest-ce quil fait par terre ce jeans ?
Elle me vit rougir, et embarrassé, je ne trouvais pas de réponse.
— Hooooo toi, tu faisais lidiot, je pense, me dit-elle en souriant… La prochaine fois je frapperai avant dentrer, je crois.
— Heuuuu non non pas du tout, sans même contrôler que la serviette ne cachait quune grosse bosse.
Elle sapprocha de moi, et en se baissant pour ramasser mon jeans, elle me fit un bisou sur le bout du nez comme dhabitude.
Tout en membrassant, ce qui masquait ma vue, jentendis, dun ton rieur.
— Et ça cest quoi ? Me dit-elle, en posant sa main droite sur ma bite.
Wow ! Je ne my attendais pas, et ma réaction fut immédiate. Ma queue se leva instantanément.
— Et bien mon chéri ! Ça cest un bon réflexe. Tu as bien grandi toi dis donc, depuis la dernière fois que je tai vue, sadressant à mon sexe en érection.
Ma mère avait beau plaisanter, moi jétais vraiment très embarrassé. Jai tout de même essayé de reprendre le dessus, mais elle nétait pas dupe.
— Tes sérieuse maman ? Mais non ya pas de problème.
— Pas de problème, pas de problème, cest pas vraiment ce que jai vu. Dit-elle en riant.
Il valait mieux que jen reste là, pour ne pas au moins, menfoncer davantage. Elle ramassa mon jeans et quitta la chambre. Inutile de dire que le reste de laprès-midi jusquau dîner je nai pas quitté ma chambre, tellement jétais gêné.
— Tu descends mon chéri ? Cest prêt !
Il était environ 20h30 et le dîner était servi. Bien quencore embarrassé, jai essayé de donner le change, apparaissant le plus naturel possible. Une trentaine de minutes plus tard, et le dîner avalé, jai préféré remonter dans ma chambre ; un ami de ma mère devait passer prendre un verre, et dans ces cas-là, je naimais pas rester. Le chien ma suivi, normal, il me suivait toujours. Au bout dun moment jai entendu toquer à la porte, et ma mère daller ouvrir. Je me suis alors penché sur la balustrade, pour voir de qui il sagissait. Un homme dune cinquantaine dannées, peut-être un peu plus, venait darriver. Manifestement ils se connaissaient bien. Une certaine familiarité entre eux le laissait supposer en tous cas.
Moi, je ne lavais encore jamais vu. Ma mère sétait faite toute belle pour loccasion. Elle avait mis une jolie petite robe noire, très près sur le haut du corps, et plus ample, de la taille jusquà mi-cuisses. Elle savait se mettre en valeur, et connaissait parfaitement bien, tous les codes pour émoustiller les hommes. Vu la couleur ambrée de ses jambes, jai deviné quelle avait mis des bas et probablement une belle lingerie. Maman ne mettait que très rarement des collants. Puis, je suis retourné dans ma chambre et les ai laissés à leurs occupations. Je narrêtais pas de penser à ce qui sétait passé laprès-midi même, dans la chambre où je me trouvais et sur le pouf même où jétais assis. Jétais très excité, et pensant être tranquille cette fois, jai baissé mon jeans et jai ressenti ma queue de ma braguette.
Black ne mis quune seconde à réagir. Il sest immédiatement approché de moi, et cette fois sans aucune timidité, il est venu directement lécher le bout de mon gland. Mais quelle sensation ça me procurait ! Je narrivais pas à le croire. Ce chien me suçait avec une telle dextérité, un tel savoir-faire, cétait juste incroyable. Cette fois jétais tranquille, je savais que je ne serais pas dérangé, alors je me suis laissé aller. Je me suis penché en arrière, et jai bien écarté mes cuisses. Je pensais à ma mère, à ce quils allaient faire dans un petit moment sans doute, et à la chance quavait cet homme dêtre là avec elle. Ces fantasmes incestueux menvahissaient ; et comme si le chien sen doutait, il narrêtait pas de lécher ma queue et mes couilles. Je ne pouvais pas écarter plus mes jambes, et jétais déjà au bord de lexplosion.
— Vas y mange-la bien, tiens, mange-la !
Il me fallut à peine une minute cette fois, pour atteindre le plaisir. Dun seul coup, plusieurs jets sont partis dans tous les sens, et je narrêtais pas de saccader. Jétais bien, wow, javais joui tellement fort, cétait incroyable. Mon chien avalait tout ce qui sortait du bout de ma queue et léchait absolument tout. Goulûment, il fit plusieurs fois le tour de ma queue et de mon gland, jusquentre mes couilles et même dans la raie de mes fesses. Je crois quil ne laissa pas une goutte de mon sperme. Il semblait vraiment aimer ça.
Pendant les quelques minutes qui ont suivi, je me suis complètement avachi, je navais plus la force de rien. En revanche jai laissé mon chien me faire un nettoyage complet. Il me léchait partout, même sil ny avait plus rien. Il passait en revue le moindre pli de mon prépuce, de mes boules et à un moment, jai même levé un peu les jambes, pour quil puisse bien me lécher lanus. Cétait si bon…
Combien de temps était passé, dans cet instant de béatitude total ? Je ne saurais le dire une bonne dizaine de minutes. Ce qui ma tiré de mon assoupissement cétait la voix de maman. Je me suis levé doucement, et sans faire de bruit, jai ouvert la porte de ma chambre et je suis descendu en silence pour voir ce qui se passait. Ils étaient assis côte à côte, et doù jétais ils étaient pratiquement face à moi. Lhomme avait son bras gauche sur le dossier juste derrière maman, qui elle, était complètement adossée, ce qui fait quil avait son bras pratiquement sur ses épaules. Il était penché un peu sur elle, et avait posé sa main droite sur la cuisse droite de cette femme quil convoitait. Maman avait les jambes un peu ouvertes, ce qui me permettait de voir très nettement quelle portait réellement des bas, et une petite culotte blanche.
Je ne pouvais pas entendre ce quils se disaient, mais manifestement, elle navait pas lair dêtre daccord avec lui. Je lentendis à peine dire :
— Non pas ce soir, une autre fois.
Je compris alors quelle ne voulait pas céder aux avances, qui avaient dû lui être faites. Lhomme insista tout de même un peu, sans toutefois être trop pénible. Je le vis avancer sa main, plus profondément entre les jambes de ma mère, et elle, alors quelle semblait se refuser à lui, écarta ses cuisses. Il se pencha alors sur elle, et ils échangèrent un long, et semblait-Il, baiser passionné. Je voyais cette main qui écartait le string de ma mère et qui sinfiltrait dans sa petite chatte. À présent, je voyais parfaitement bien, son doigt qui fouillait son intimité, et ma mère décarter ses jambes pratiquement à 180 degrés, sa souplesse ajoutait une immense excitation.
Putain je bandais comme un fou de nouveau, en regardant ma mère se faire branler par un inconnu. Jentendais leur bouche et leur langue se mêler, cétait insensé. Combien dhommes avaient eu la chance de piner ma mère ? Combien ? Comme jaurais aimé figurer dans cette liste ! Elle était si excitante et si provocante ! Un vrai appel au viol cette femme, et cétait ma mère ! Puis, contre toute attente, elle se redressa, et lui dit :
— Non pas ce soir, je suis crevée, et puis mon fils est là, je ne suis pas certaine quil dorme, il pourrait nous entendre.
Mon sentiment était partagé, entre le fait que jétais content que ce type ne saute pas ma mère, et la frustration de navoir pas vu cet homme lui faire des choses et bien la baiser.
Jaurais aimé la voir se faire prendre cuisses ouvertes sur le dos, en missionnaire, ou à 4 pattes en levrette. Mais jaurais également aimé, la voir sucer la bite de cet homme, comme parfois je lavais si bien vu faire avec ses amants de passage. Mais bon, elle avait choisi, de sabstenir, bah tant pis pour lui. Je suis remonté dans ma chambre très discrètement avant quils ne sapprochent de la sortie, javais pris soin de laisser le chien enfermé dans ma chambre, sinon il aurait tout gâché. Jétais dans mon lit depuis un long moment, je mastiquais doucement, en revoyant les scènes de ce soir, quand jai entendu les pas de ma mère monter jusquà moi. Jai alors vite éteint la lumière, il ne sagissait pas quelle rentre dans ma chambre et quelle voie de nouveau, ma queue dans cet état.
La maison était dans le noir, mais à travers la lumière, que la lune reflétait sous la porte, je voyais son ombre qui était là. Javais bien fait déteindre, métais-je dit. Puis jentendis quelle tourna doucement la poignée, pour sans doute, ne pas me réveiller. Jétais sur le dos, les yeux presque fermés et la tête légèrement tournée à droite, en direction de la porte. Je respirais fort pour simuler que je dormais. La porte était à présent grande ouverte, et ma mère se tenait là, les jambes écartées. Le contre-jour dévoilait une silhouette parfaite. Je pouvais deviner ses formes, et ça mexcitait encore plus, mais que faire ? Surtout ne pas bouger. Ma mère sapprocha sans faire de bruit, presque sur demi-pointes, avec cette grâce qui la caractérisait tant. Elle était encore avec ses talons aiguilles, qui lui faisaient des jambes superbes.
— Tu dors mon chéri, me chuchota-t-elle.
Je ne répondis naturellement pas, jétais censé dormir, afin docculter cette érection qui ne me lâchait pas. Elle regarda tout autour si rien ne traînait, et alors que je pensais quelle allait partir, elle sassit sur le bord de mon lit, et me regarda dormir quelques secondes. Contre toute attente, elle écarta un peu ses jambes, et réajusta ses bas. Enfin, elle sassura une dernière fois que je dormais bien, et se pencha vers moi pour me faire un bisou comme elle en avait lhabitude, mais cette fois, et alors que je respirai la bouche légèrement ouverte, elle posa ses lèvres chaudes sur les miennes, et elle sy attarda un long moment. Jétais comme pétrifié, maman membrassait sur la bouche ? Je devais sûrement rêver. Elle se redressa quelques secondes et replongea sur mes lèvres ! Mais que se passait-il ? Cette fois, cest sa petite langue pointue qui entra la première dans ma bouche.
Ma queue était comme une tour, et totalement verticale. Même dans le noir et sous une couette, ma mère ne pourrait pas lignorer, très longtemps encore. La langue de maman fouillait délicatement ma bouche, pendant quelle essayait de louvrir encore un peu plus. Faisant mine de dormir, je relâchais ostensiblement ma mâchoire, afin quelle paraisse souvrir naturellement. Le crut-elle ? Je ne sais pas mais tant et si bien, quà présent, sa langue se promenait au fond de ma bouche et caressait ma langue et mes dents, avec une volupté, que je naurais jamais connue tout le long du reste de ma vie.
— Doooors mon BB dors et ne te réveille pas, maman va te faire du bien, tu vas voir beaucoup de bien. Ce sont les mots quelle me susurrait doucement, entre deux baisers.
Jétais presque pris de soubresauts, tellement jétais excité, mais je nai pas osé bouger. Jai alors senti sa main droite passer sous la couette, et glisser délicatement sur mon ventre, en leffleurant et le caressant à peine ; à tel point que je sentais à peine ses doigts. Puis doucement, elle est descendue encore un peu, et elle sest saisie de mon membre tout entier. Je me souviens quelle la tenu sans bouger, pendant quelques secondes, puis elle a commencé à le caresser en glissant doucement mon fourreau, de haut en bas. Elle sattardait avec ses longs doigts sur mes bourses quelle massait délicatement. Ma queue était à présent à son apogée de dureté, et ma mère me branlait doucement, cest sûr, elle savait y faire.
Je pense quelle sétait aperçue que jétais réveillé, car après quelques minutes de ce petit jeu-là, elle a lâché ma bouche quelques secondes, pour me dire :
— Je sais que tu aimes ça mon chéri et que tu ne dors pas. Tu vas voir, laisse-toi faire, maman va bien soccuper de toi.
— Maman, quest-ce que tu fais ?
— Chuuuuuut ne dis rien, et profite mon BB. A ces mots, elle descendit lentement et commença à soccuper de mon sexe avec sa bouche.
Javais déjà eu de nombreuses relations avec des copines de passage, mais aucune ne mavait jamais sucé comme ça.
— Mmmmmm maman, ta bouche est chaude et bonne. Jétais vraiment gêné, je ne savais pas trop comment madresser à elle. Ce nétait pas une fille de passage, cétait ma mère et même si je fantasmais sur elle depuis des années, elle restait ma mère.
— Tas une très jolie queue mon garçon.
Jespère que tes copines savent bien sen occuper. Je nosais rien répondre je subissais. Elle commença à engloutir ma bite entière au fond de sa gorge. Ce que javais fantasmé, il y a quelques heures encore, avec lhomme de ce soir, était en train de se réaliser, mais avec moi. Et jentendais cette fois, ce bruit si excitant, que fait une bouche lorsquelle prend une queue au fond de la gorge. Ce sentiment de totale pénétration et de trop-plein. Sa bouche, pleine de salive déglutissait, tant elle voulait absorber ma queue jusquau fond. Voyant que jétais plutôt sur la réserve, elle dégrafa elle-même le haut de sa robe est sorti un sein. Pris ma main et me dit :
— Caresse-les bien, fais-toi du bien et fais-moi du bien, mon chéri, jadore ça.
— Daccord maman je vais bien les caresser. Le deuxième sein sorti tout seul.
Putain comme ils étaient bons et lourds.
— Maman tu mexcites cest dingue, jai envie de te toucher les cuisses, je peux ? Lui dis-je timidement.
Quasi instantanément, elle prit ma main, écarta un peu plus ses jambes, et la posa sur le haut de ses cuisses, juste à la hauteur de ses bas. Quelle secousse waouh ! Sa peau était douce, et le contact de ma main sur ses bas, mexcitait comme jamais je naurais imaginé. Je profitais de cet instant, et je caressais et caressais encore et encore, ces superbes jambes et cette peau si satinée, qui avaient provoqué tant de masturbations en cachette, ces dernières années. Ma mère narrêtait pas de pomper ma queue, avec une certaine avidité. Avait-elle secrètement les mêmes fantasmes que son propre fils ? Ma queue en tout cas, adorait ça, elle me la bouffait vraiment très bien, tout en imprimant un mouvement de va-et-vient.
Cétait vraiment un pur délice, et je sentais toutes les veines de mon sexe gonfler de plus en plus.
— Cest bon ça, hein mon chéri ?
Jaurais eu envie de lui répondre : tes une salope maman, tu me suces comme personne, vas y continue sale pute ! Mais malgré cette situation, javais encore du mal à me lâcher verbalement, et la seule réponse que je pus lui faire, ce fut :
— Oui trop bon maman.
Ma queue était tendue à lextrême, et ma mère avait du mal à lenfoncer jusquau bout de sa gorge. Cest le moment quelle choisit, pour se retourner et se coucher sur le lit. Elle prit ses deux genoux dans les mains et écarta ses jambes à 180°. Le spectacle de sa robe qui était retombée jusquà la taille, de ses longues jambes, gainées de ses bas, et ce petit string blanc… Tout cela soffrait à mes yeux, et cétait comme dans mes rêves les plus fous, mieux encore.
Je me souviens être resté comme ça à la regarder pendant 2 ou 3 secondes, puis elle lâcha ses jambes, qui restèrent naturellement dans cette position, vu sa souplesse. Elle écarta son petit String sur le côté, et me proposa sa petite chatte. Une magnifique petite fente, propre, rosée et parfaitement épilée. Elle neut rien besoin de me dire, je me suis jeté dessus comme un mort de faim, comme un petit puceau devant sa première petite copine. Couché à plat ventre, je léchais cette petite chatte, dont javais si souvent rêvé. Je la bouffais et laspirais comme une huître. Mon Dieu que cétait bon, ma mère mouillait comme une petite catin, preuve, quelle devait apprécier ce moment.
— Maman, cest bien ce quon fait ?
Sans arrêter de la lécher.
— Chuuut, me répondit-elle.
— Ce sera notre secret à tous les deux.
Mais continue mon chéri, continue de bien lécher ta maman, tu lui fais beaucoup de bien.
Tout se mélangeait dans ma tête, et maintenant javais besoin de plus. Je voulais baiser ma mère. Je voulais salir cette femme qui mavait mise au monde, et qui sétait occupée de moi depuis. Je voulais pénétrer sa chatte et baiser cette pute. Elle était trop belle, elle était trop excitante, elle était simplement trop ! Alors, je me suis redressé et je me suis couché sur elle, et si vite, quelle na pas eu le temps de réagir. Maintenant maman, je vais te baiser jen ai trop envie. Ma mère mouillait, ou plutôt trempait comme une vieille salope. Je nai eu besoin daucun préliminaire supplémentaire, et après 1 ou 2 tentatives comme laurait fait un chien, ma bite, a trouvé son trou immédiatement. Ma mère a mis une main de chaque côté de mon visage et ma ramené sur le sien, prenant ma bouche tout entière, et avalant ma langue jusquà la gorge.
Nous étions très excités tous les deux cétait quelque chose dincompréhensible, parce quil sagissait dune mère et de son enfant. Elle cracha sa salive dans ma bouche, chose que lon ne ma plus jamais faite, le long de ma vie, et ça ma terriblement excité. À présent, je la bourriquais comme un chien, jétais en train de réaliser mon fantasme. Je la limais fort, et ma salope de mère aimait ça cest sûr.
— Cest bon mon fils, vas y continue, tu vas me faire jouir, cest booooon trop bon.
— Oui maman, je vais bien te baiser. Moi aussi jai envie de jouir.
— Vas-y, naie pas peur, et vide bien tes couilles dans ma chatte, je prends la pilule alors donne-moi tout, rempli mon ventre, vide-toi en moi mon BB, je veux sentir tout ton sperme couler entre mes jambes.
Cétait vraiment trop violent, trop excitant et moi pas suffisamment expérimenté. Lécouter dire ces mots, sentir sa langue qui mangeait ma bouche tout entière, ses doigts qui pétrissaient mes fesses, cétait plus que je ne pouvais en supporter. Après quelques minutes, ma queue a explosé dans son ventre, et jai senti mon sperme qui se vidait en elle. Ma mère cria pratiquement instantanément.
— Hooooooooo ouiiiiiii mon BB cest bon
Elle criait fort, je navais jamais entendu ça. Je ne savais même pas quon pouvait jouir ensemble, au même moment. Le chien arriva aussitôt, pensant peut-être quil se passait quelque chose, danormal. Il sapprocha aussitôt de mes boules et de la chatte de maman.
En effet il se passait vraiment quelque chose danormal.
Mais la suite fera lobjet dun prochain récit, si vous le voulez bien et si vous avez aimé mon histoire. En tout cas jespère lavoir choqué personne, cest la vie, il faut juste savoir que ça arrive…