Maman au concert – Chapitre 7
Vas-y mon chéri, encule-moi ! vient de me dire maman.
Quand j’appuie mon gland sur son anus, alors qu’elle a posé les mains sur le meuble de la cuisine, je remarque qu’elle tourne et baisse la tête pour éviter que je la regarde. Elle étouffe soudainement un sanglot, ce qui m’intrigue énormément.
En me penchant vers elle, je vois des larmes couler sur sa joue. J’interromps ma tentative de pénétration et reste troublé, voire confus, qu’elle soit dans cet état de tristesse.
Je me positionne sur son côté, la fais se redresser, mais elle garde la tête baissée pour éviter de croiser mon regard.
Je l’enlace tendrement et lui demande :
Qu’y a-t-il maman ? Je t’ai fait mal en te donnant cette fessée ?
Non, ce n’est pas ça…
C’est quoi alors ?
J’ai quelque chose à t’avouer !
Oui ?
C’est à propos de ma sur …
Oui ?
Je vais te demander de ne pas m’interrompre, car j’ai besoin de tout te dire, en une fois. Si tu me coupes, je n’oserais plus parler. Mais, ne restons pas ici, suis-moi.
Je suis intrigué par son attitude et la laisse me guider par la main pour la suivre.
Alors que je pense que nous allons aller vers le salon, elle bifurque et m’entraîne dans sa chambre. Maman s’allonge sur le lit et me demande de me mettre nu, d’éteindre la lumière et de la rejoindre.
Ça me fait bizarre de me glisser dans son lit, je le faisais en tant qu’enfant, mais là, je considère que c’est un gage de confiance énorme qu’elle m’accorde.
Je remonte le drap sur nos corps et l’enlace par l’épaule. Maman pose la tête sur mon torse et débute son récit:
"J’ai honte Denis, tellement honte ! Car je dois t’avouer que je t’ai trompé!
Non, ne m’interromps pas !
Je t’ai trompé… avec ma sur, quand elle venue dans ma chambre tout à l’heure. Je vais te décrire ce qui s’est passé :
Alors que je finissais d’enlever mon pantalon si serré, elle est entrée sans prévenir et m’a surprise alors que j’étais nue. Elle s’est approchée de moi en souriant, son sourire était affectueux et non pas moqueur. Elle m’a saisi la tête soudainement et m’a fourré sa langue dans la bouche.
Et moi… Eh bien, j’ai répondu à son baiser…
Nous avons ensuite bavardé un moment, puis brusquement, elle m’a basculée sur le lit, m’a retournée sur le ventre, a pris quelque chose dans son sac et après quelques secondes, j’ai senti quelque chose de froid sur mon derrière.
Elle a ensuite enfoncé son doigt dans mon anus, ça glissait tout seul, car elle l’avait enduit du lubrifiant qu’elle avait en main.
Je me suis abandonné à sa caresse intime, car j’aimais ce qu’elle me faisait.
J’ai adoré ensuite qu’elle utilise deux doigts pour me sodomiser, mais aussi qu’elle me pince les seins comme tu l’as fait, qu’elle m’embrasse avec fougue et passion comme tu le fais aussi.
Tout a été très vite et même si je connais la liberté sexuelle de Charlotte, j’ai été surprise par cette initiative à mon égard. Mais… je dois te confesser que j’ai aimé ce bref moment et que j’étais sur le point de jouir quand j’ai pris conscience que tu pourrais nous entendre.
Inutile de te dire qu’elle a tout deviné de ce qui se passe entre nous et a même émis des commentaires du genre ’ça pue le cul quand on entre chez toi, mais tu as raison de te taper ton fils, Denis est un beau garçon …’ ou bien ’Il doit avoir une belle bite, profites-en…’, et plein de sous-entendus me faisant comprendre qu’elle aimerait coucher avec toi.
Elle m’a ensuite posé des questions très intimes sur nos pratiques et a été surprise d’apprendre que je ne pratique pas la fellation avec toi. Elle m’a fait comprendre que les hommes aiment être sucés et qu’elle se dévouerait bien volontiers de te le faire si je n’y arrivais pas.
Quand elle m’a demandé si tu me sodomisais, je lui ai répondu " pas encore" et c’est là qu’elle m’a traitée de pucelle avant de me mettre sur le ventre.
Ce qui me contrarie énormément, c’est l’invitation qu’elle t’a faite pour demain, car tu as compris que l’entretien de la pelouse dont elle parlait… c’est plutôt celle qu’elle a entre les jambes et non pas les trois brins d’herbe de son jardin.
Car oui ! Même si c’est moi qui t’ai trompé, je suis jalouse de ce que tu pourrais faire avec ma sur, j’ai peur qu’elle te séduise et finisse par t’accaparer "
…
Maman sanglote de plus belle, aussi je la serre plus fort contre moi en la couvrant de bisous pour la réconforter, tout en lui disant des mots de réconfort et en la dédouanant de ses remords.
Je comprends seulement maintenant l’allusion à la pelouse de tante Charlotte, idiot que je fais !
Je comprends mieux désormais le comportement de maman, qui s’est carrément jetée sur moi pour me sucer, qui s’est laissé faire quand je lui ai donné la fessée, et qui était prête à se soumettre à tous mes caprices, jusqu’à me demander, il y a peu dans la cuisine, que je l’encule.
Je comprends alors que tout ce qu’elle a fait avec moi est une espèce de sacrifice pour me détourner de sa sur.
Ce qui est sûr, c’est que son récit m’a donné une trique d’enfer ! Je m’imaginais alors qu’elle décrivait ce que Charlotte lui faisait, contempler ces deux femmes faisant l’amour et ça m’a sacrément émoustillé.
Je n’en peux plus d’excitation et me penche pour l’embrasser. Notre baiser est salé par ses larmes, mais la passion nous gagne rapidement, l’un comme l’autre.
Sans dire un mot, je l’attire sur moi et positionne sa jambe afin qu’elle me chevauche et puisse monter sur ma bite. Il ne lui faut pas longtemps pour comprendre ce qu’elle doit faire.
Son vagin est chaud et humide quand elle introduit mon sexe en elle, avec un long soupir de délivrance. Elle garde le buste droit et j’en profite pour caresser avec douceur sa poitrine, alors qu’elle entreprend des oscillations du bassin, lentes tout d’abord, puis au trot, puis au galop !
Ses seins si doux emplissent mes mains quand elle se penche pour m’embrasser goulûment.
Maman est déchaînée désormais. Elle râle et grogne de plaisir avant de jouir avec intensité.
Abattue, elle se couche contre mon torse, me mordille le cou, l’oreille et me souffle avec passion :
Je t’aime mon chéri, je ne veux pas te perdre ! Je te veux à moi toute seule !
Ne t’inquiète pas pour ça, maman, je t’aime trop !
Tu es gentil mon trésor, mais demain, je sais que ma sur va te sauter dessus !
Rassure-toi, je vais annuler le rendez-vous si tu préfères.
Tu es un amour ! Mais je te laisse décider par toi-même.
Dis, maman…
Oui ?
Je suis toujours en toi et sens-tu comme je suis dur, tu ne veux pas continuer un peu ?
Si si, mais autrement …
Inutile qu’elle précise le reste de la phrase, car elle s’est redressée et pointe mon dard sur son petit trou.
Enfin, elle m’offre son anus ! Depuis le temps que j’attends ça !
Malgré la pénombre de la chambre, j’arrive à discerner les rictus de son visage quand elle tente d’ouvrir sa corolle avec mon pieu.
Elle cherche désespérément la meilleure posture et finit par s’accroupir en s’écartant ses fesses au maximum de ses deux mains.
Je l’aide (modestement) en tenant fermement ma verge qui, jusque-là, s’échappait à chaque tentative de pénétration. Maman grimace quand s’ouvre progressivement son illet.
Elle soupire et respire profondément pour se décontracter avant de revenir à la charge.
Elle ne peut s’empêcher d’émettre un cri de douleur quand mon gland franchit sa porte secrète.
Malgré ses couinements, elle persévère avec ténacité pour m’engloutir totalement dans son conduit si serré. Il faut quand même dire que le gel lubrifiant, que lui a oint sa sur, facilite bien les choses.
Je la laisse souffler un instant avant d’entamer de légers basculements du bassin.
Elle prend appui en posant ses mains sur mes genoux relevés. Elle contrôle ainsi la profondeur de pénétration à sa guise et mes coulissements dans son étui se font alors plus amples et plus rapides.
Quand ma queue sort malencontreusement, elle s’empresse de me la saisir pour se l’enfourner le plus profond possible. Si elle gémit, c’est maintenant de plaisir.
L’instant est fantastique, outre les sensations physiques si agréables, je suis aux anges de partager, avec cette femme sublime, la communion de nos êtres, et aussi de nos corps qui ondulent en harmonie.
Je vis un bonheur absolu d’être ainsi uni avec ma mère, cette déesse, qui s’est penchée sur mon visage pour m’embrasser avec ardeur.
Alors qu’elle est contre moi, je l’enserre fermement dans mes bras, tout en maintenant mon va-et-vient dans son fourreau. Je sens ma sève monter et en avertis maman, qui soudainement se relève, me prend la main et m’invite à quitter le lit pour la suivre.
Dès que je suis debout, elle me saisit par la queue et me guide ainsi vers le couloir obscur.
À mi-parcours, elle se retourne, m’embrasse furtivement, me masturbe un peu pour me maintenir raide et… nous reprenons la direction du salon.
D’abord surpris, je me félicite de son initiative, car je retrouve maman épanouie. Elle est joyeuse à nouveau et trouve du plaisir à pouvoir s’amuser à ce petit jeu avec moi.
Arrivée devant le lecteur de disque, elle choisit bien entendu son chanteur préféré, et bien sûr, le morceau sur lequel j’avais osé frotter ma bite tendue dans sa raie fessière lors du concert.
La pièce est uniquement éclairée par les voyants des différents appareils et l’ambiance est plus que propice à une danse langoureuse. Elle m’invite à me placer derrière elle, puis reproduit assez fidèlement les mouvements du corps qu’elle faisait le jour du spectacle, à la différence que cette fois, nous sommes tous les deux complètement nus !
Je pose une main sur son pubis en quête de son petit bouton et de l’autre main, lui pétris un sein. Elle reprend ma queue et cherche à la remettre dans son petit trou. Elle se penche en avant, écarte une fesse et appuie sa rosette sur mon vit pour s’empaler.
Je la pénètre bien plus facilement désormais et outre ses gémissements, son corps tremble de plaisir quand je m’enfonce jusqu’à la garde.
Étant tous deux dans une posture instable, maman pose ses mains sur le dossier du fauteuil le plus proche et recommence à onduler du cul, mais avec ma bite tendue en elle.
C’est à deux mains que je pelote sa poitrine dure comme du bois et je suis pris à nouveau d’une bouffée d’excitation. J’accélère mon va-et-vient dans son étui serré, alors qu’elle me prend une main pour m’indiquer son désir, à savoir que je lui pince les tétons.
De quelques violents mouvements de reins, elle me précise le rythme qu’elle souhaite pour le coït, à savoir : Du sauvage !
Les pulsions d’un animal en rut me transcendent pour déchaîner une sodomie brutale sur ma petite maman chérie. La pauvre n’arrive même plus à poser les pieds au sol tant elle a basculé sur le dossier du fauteuil sous mes coups de reins brutaux. Elle a les jambes largement écartées et ses gémissements de plaisirs ne sont pas feints. Quand son orgasme arrive, je ne puis plus me retenir et finis par éclater en elle.
Peu après que je sois sorti de son anus, elle expurge ma semence qu’elle recueille dans la main avant de l’étaler délicatement sur ses fesses comme s’il s’agissait d’une crème de soin pour la peau. Elle se retourne pour me faire face et m’enlace.
Après avoir repris son souffle, ma mère me dit :
Merci, Denis, merci !
De quoi maman ?
De m’avoir offert ce moment si délicieux.
Mais … C’était brutal et je n’aime pas te faire mal.
Et moi, j’ai découvert que j’aimais cette brutalité ! Surtout venant de toi.
Pour… Pourquoi "de moi" ?
Parce que je dois te confier autre chose, car je ne t’ai pas tout dit…
Quoi maman ?
Quand j’avais évoqué le moment où nous étions au concert et que je t’avais dit que je fantasmais sur un inconnu derrière moi, ce n’était pas exact.
C’était bien à toi que je pensais en réalité !
Quand tu te tenais serré contre moi, je me suis sentie terriblement excitée. Tu commençais à frotter ton sexe sur mon derrière et ça m’a émoustillé, j’avais très envie de toi à ce moment-là !
J’étais complètement folle et plus tu étais entreprenant, plus je te désirais et mouillais ma culotte. J’aurais voulu que toi, mon fils, tu puisses me prendre, que tu m’encules, là, sur place, devant tout le monde. Heureusement, j’ai su résister à cette bouffée délirante, mais je n’en étais pas moins troublée de constater que je désirais être sodomisée, alors que je n’avais jamais fait cela avec ton père.
Le soir même, j’ai joui dans mon lit en jouant avec mon gode. Je m’imaginais que c’était ton sexe qui coulissait dans ma vulve trempée. Depuis, je ne suis plus raisonnable.
Par exemple, je ne peux m’empêcher de t’épier discrètement quand tu prends ta douche, pour admirer l’homme que tu es devenu.
De plus, quand tu dors à poings fermés, il m’arrive de m’introduire dans ta chambre pour caresser ton corps sous les draps, je t’ai même touché le sexe ou les fesses à plusieurs reprises, tout en me caressant et en fantasmant sur toi.
À la fois, je voulais que tu te réveilles pour que tu puisses satisfaire mes désirs et en même temps, je craignais que cela arrive. Car en vérité, je suis tiraillée entre la morale et le vice.
Je tente de me raisonner, de faire bonne figure devant toi, mais dès que tu as le dos tourné, je ne peux m’empêcher d’admirer ton fessier, en rêvant de le pétrir.
…
Alors que maman cesse de parler, je me trouve plongé dans une totale confusion.
Je suis secoué, bouleversé, très ému par les révélations que vient de me faire ma mère. J’étais loin de me douter qu’elle portait tant d’intérêt à moi. Dans les moments où le démon la saisissait, quand la folie passionnée la gagnait, elle avait trouvé comme solution de danser avec moi et de m’allumer, cela afin de sentir la dureté de mon sexe contre son ventre, ou sur son derrière, et de vivre ainsi un peu de son fantasme.
Tout à l’heure, quand elle pleurait, ce n’était pas à cause de la douleur qu’elle semble apprécier, ou même qu’elle se sentait obligée de faire des choses contre nature comme je le pensais, mais plutôt à cause de l’intrusion de Charlotte et du danger que cela représente pour notre couple.
Alors qu’elle a fait preuve de franchise, moi je me dégonfle et n’ose pas lui avouer que sa sur avait été hautement provocante avec moi au point même de me branler à travers mon pantalon.
Je suis tellement soufflé suite à ses aveux, que la seule chose que j’arrive à lui répondre, c’est :
Ouah !!! Maman ! Que me dis-tu là !
J’avais besoin de te dire tout cela. Surtout pour que tu saches combien je tiens à toi !
Tu sais Claire, je serai toujours à toi, même si je devais rencontrer une autre femme. Tu pourras tout obtenir de moi quand tu le souhaiteras, et même me toucher les fesses quand l’envie t’en prend. Je t’aime trop ma chérie pour penser te quitter un jour.
Tu ne me considères donc pas comme une perverse ou une salope, ni même une femme trop possessive ?
Ne dis pas ça mon amour. Au contraire, je suis si heureux que nous sachions tout nous dire.
Je t’aime Denis.
Je t’aime Claire.
Après une très sensuelle douche commune, nous nous sommes retrouvés dans son lit pour un long câlin puis nous sommes endormis, enlacés amoureusement.