A 32 ans, Chantal est une jeune mère très proche de son fils Aurélien, 16 ans. Elle est enseignante, et fait partie de la génération ’post mai 68’ qui a été élevée avec une philosophie : ’Il est interdit d’interdire’. Les cheveux châtains clairs, mi-longs, elle a pourtant adopté un style très BCBG lui va très bien, le fait de se mettre en tailleur et collants lui donne une classe qui met une distance naturelle entre elle et ses élèves. Bien qu’attirés, ils n’osent pas voir en elle le côté sexy, elle représente l’autorité et presque l’austérité. Pourtant, elle a tout pour plaire et c’est à se demander pourquoi son mari est parti il y a deux ans maintenant avec une de ses élèves a qui elle donnait des cours particuliers. C’est certain qu’elle est très loin de cette mijaurée en survêtement et tennis, et elle s’était bien dit qu’il était hors de question qu’elle joue à la petite fille pour attirer son mari, il n’avait qu’à apprécier son côté femme! Un coup d’oeil dans la glace avant de se doucher, en enlevant son chemisier, elle laisse apparaître un corps très sportif: ses abdominaux, sans être trop saillants, sont bien dessinés, elle retire son soutien-gorge de lycra beige transparent pour soulager sa poitrine qui était malgré tout un peu engoncée. Sans être vraiment imposante, sa poitrine est mise en valeur par la finesse de sa taille et la marque du soutien gorge du maillot de bain laisse une trace blanche sur sa peau encore bien bronzée. Lorsqu’elle laisse glisser sa jupe à ses pieds, elle regarde ses fines jambes galbées dans le collant brun: le volley-ball porte ses fruits, là-aussi, les muscles sont présents, et le brillant du collant met en relief le galbe de ses cuisses, en se retournant, elle regarde ses jolies fesses gentiment bombées qui cachent le string assorti, et elle ne voit rien à jeter! Elle les masse, pour tester la fermeté, et tout est parfait. De face, elle effectue le même test avec ses seins libres, le résultat est le même. Elle retire pour finir le collant et le string, laissant e
nfin visible sa petite chatte, la rigueur de l’entretien est la même que pour le reste du corps, tout est en place, le petit triangle de poils châtains est bien entretenu, très court, comme elle aime. Soudain, dans le miroir, elle se rend compte que, perdue dans la contemplation de son corps, elle n’avait pas vu que derrière elle, Aurélien se masturbe frénétiquement dans l’embrasure de la porte!!! D’abord étonnée, elle se retourne pour le gronder:
— Petit obsédé, va! Ca ne va pas ou quoi? Mais qu’est-ce que tu fais?
Elle attend la réponse, mais se rend compte que c’est sa chatte qu’il regarde.
— Allez, pars dans ta chambre!
Il ne s’arrête pas, dépassée par les évènements, elle l’attrape et l’emporte dans sa chambre, il ne s’arrête toujours pas et en profite même pour lui toucher la chatte. N’en pouvant plus, elle lui promet une fessée s’il ne s’arrête pas et, devant son oination, elle doit s’exécuter. Alors, elle le place sur ses genoux, lui met une claque sur les fesses, et oh!!!
Le salaud, a mouillé sa jambe d’une longue trace blanche! Ne sachant plus que faire, elle le laisse seul et part se baigner en claquant la porte, espérant que ça lui mettra les idées en place! En arrivant dans la salle de bains, elle regarde le sperme le long de sa jambe en se disant: ’Mon dieu, déjà…’ Elle ne pensait pas avoir à faire face à ce genre de pensées vis à vis de son fils si tôt, et à en croire la quantité de liquide gluant qui macule sa jambe, ça ne doit pas être la première fois… Elle repense à ce que disait son mari, adepte de toutes les pratiques sexuelles déviantes: sodomie, échangisme, exhibitionnisme, voyeurisme, SM… Il disait donc, quand elle lui demandait s’il était normal, qu’à son avis, s’il était devenu autant obsédé, c’était à cause du non-dit qui entourait le sexe dans son enfance, il n’avait aucune conversation avec sa mère. Elle comprenait alors qu’elle, elle avait refait exactement la même chose, en disant que c’était mal, elle avait peut-être traumatisé son fils! Tout en pensant, elle joue avec le sperme collant, faisant des fils entre ses doigts et sa jambe, lorsqu’elle s’en rend compte, elle rougit… Elle se plonge dans le bain chaud et se relaxe. Elle continue à penser: que faire? risquer le même schéma et le même comportement pour son fils une fois adulte? Et puis, que voulait-il vraiment? Quelles idées passent par sa petite tête? Il faudrait peut-être en parler… Peut-être voir ce qu’il voudrait faire? Jusqu’où il voudrait aller??? Tout en se laissant aller à ses pensées, sa main atteint sa chatte, sa caresse lui fait un bien fou, ça fait tellement longtemps qu’elle n’a pas connu d’homme! Elle s’endort dans cette douce sensation de chaleur et de bien-être. Son sommeil n’est que de courte durée car un bruit proche d’elle la réveille en sursaut. Elle ouvre les yeux et se retrouve face à sexe avec son fils. Il se tient debout, là, devant la baignoire dans laquelle elle est allongée, nue, sa main encore sur sa chatte, il a son sexe à l’air, les yeux mi-clos sous
l’effet du plaisir que lui procure la masturbation. Elle le regarde dans les yeux alors qu’il la mate littéralement et lui dit:
— Qu’est-ce que tu fais Aurélien?
— Ben, je te regarde, Maman. Tu es si belle!
— C’est très gentil de dire ça, mais tu ne peux pas faire… euh… ça!
Aurélien n’arête pas pour autant d’agiter son petit membre sous le nez de sa mère qui arrive même à distinguer l’odeur du sperme qui l’a maculée tout à l’heure!
— Pourquoi, Maman, je te fais du mal?
— Non, mon chéri, au contraire, ça me fait plaisir que tu me trouves jolie, mais une maman ne peut… euh… comment dire… Il y a des choses qu’une mère et son fils ne peuvent faire, c’est tout. Tu comprends?
— Non, je ne comprends pas pourquoi, si tu me dis que je ne te fais pas de mal, au contraire, parce que moi, ça me fait vraiment du bien, tu sais.
Elle ne sait pas comment réagir pour lui faire entendre raison, et alors qu’elle ouvre la bouche pour lui répondre, il répète:
— Ca me fait vraiment du bieeeeeeen!!!!!!
Et pour la deuxième fois de la journée, son fils lui éjacule dessus, mais cette fois-ci, en plus de lui en mettre plein la figure, la première giclée lui arrive directement au fond de la gorge, la forçant à ravaler sa théorie avec une sauce au sperme maison! Se reculant, elle reçoit malgré tout la suite comme maquillage!
Surprise, mais pas en colère, elle le regarde dans les yeux, à travers une longue goutte qui part du cil à sa pommette, il est tout penaud de ce qu’il vient de faire et alors qu’il renifle comme s’il allait pleurer, elle lui dit:
— Mais non, mon amour, il ne faut pas pleurer, ce n’est pas grave, tu t’es fait du bien, je m’en fais parfois, mais on ne doit pas faire ça ensemble, c’est tout.
— Tu t’en fais aussi??? Mais comment tu fais, t’as pas de zizi?
A le voir regarder son visage couvert de sperme avec les yeux si pétillants, elle réalise instantanément l’énormité de la bêtise qu’elle vient de dire! Il est beau comme tout, et elle a du mal à lui refuser quoi que ce soit… Il veut découvrir…
— Allez, Maman, s’te plaît… Apprends-moi…
Se sentant prête à craquer, mais sachant qu’il ne faut pas, elle ne trouve rien de mieux que de lui dire qu’ils en parleront après qu’elle ait fini de se doucher. Aurélien la regarde tout triste, se retourne, sort de la pièce en traînant les pieds…
Elle se sent si coupable! Elle ne sait pas quoi faire, elle a toujours jugé les pédophiles, et encore plus les incestueux, comme des personnes qui abusent des enfants, mais jamais elle n’a pensé qu’un enfant pourrait adopter ce comportement… Et encore moins SON enfant! Elle se rend compte qu’elle est en train d’avaler le sperme qui coule dans sa bouche et se demande si elle n’est pas en train de basculer dans la folie… Sa chatte gonflée de l’excitation de ce qu’elle vient de vivre, même interdite, la titille, depuis son mari, personne n’avait eu le droit de lui éjaculer sur la figure, et voilà que son fils vient de le faire et sans même demander l’autorisation, en plus!
Elle finit donc sa toilette, se nettoie bien le visage et la jambe et sort du bain, bien décidée à réagir! Elle ne sait pas encore comment, mais elle sait que la pire des choses serait de ne rien faire. Elle enfile un string et un collant blancs, une robe d’été couverte de fleurs colorées qui lui arrive au genou et sort de sa chambre la tête remplie de doutes. Son fils, ne l’attend pas, il est dans le salon en train de regarder la télé. Elle le rejoint, s’assied à côté de lui sur le canapé, et lui demande:
— Tu veux qu’on parle?
— Non!
— Tu es fâché?
— Oui!
— Pourquoi?
— Parce qu’avec toi, on peut jamais s’amuser, se faire plaisir, rigoler, c’est toujours le travail, il n’y a jamais de plaisir ici, je préfère être chez Papa, là-bas, au moins, il ne s’occupe pas de moi, il est avec des filles, mais je peux faire ce que je veux!!!
— Quoi? Elle vient de recevoir tout ça comme un coup de poing en plein coeur! Tu n’es pas bien ici?
— Non!
Au bord des larmes, la suite de ce qu’il a dit vient de lui faire peur:
— Mais Euh, Papa, ou les filles, tu les as touchés, vus?
— Non, tu es la première.
— Ouf, elle a eu peur, mais si tu pouvais faire ce que tu voulais, tu ferais quoi?
— Je peux même pas le dire, tu crierais encore ou tu me punirais!
— Et si je te promettais de ne rien faire de cela?
— Je te connais, tu dis ça maintenant, mais tu ne tiendrais pas tes promesses!
— Ecoute, regarde-moi bien dans les yeux!
Elle lui prend le visage pour arracher ses yeux de la télé.
— Je veux bien essayer: JE TE PROMETS QUE PENDANT UN JOUR, TU PEUX DIRE OU FAIRE CE QUE TU VEUX, JE NE TE DIRAI RIEN, ET JE NE T’EN TIENDRAI JAMAIS RIGUEUR.
Ses yeux s’ouvrent un peu plus:
— Peut-être, mais tu ne voudras pas jouer avec moi!
— Je jouerai à tout ce que tu voudras.
Sentant qu’il peut abuser, il ajoute:
— Tu feras tout ce que je voudrai?
— Je te le jure!
Ses petits yeux pétillent:
— Crache, et on commence tout de suite!
— Je ne vais quand-même pas cracher, ça
Sans lui laisser le temps de finir sa phrase, il rajoute:
— Tu vois, tu ne veux pas faire ce que je veux!
Elle se racle la gorge, crache et dit:
— Promis!
A première vus, il ne croit pas ce qui se passe, il la regarde dubitatif, elle lui demande:
— Tu ne me crois pas? A quoi veux-tu jouer, de quoi veux-tu parler?
— On joue au Papa et à la Maman?
— OK, tout ce que tu veux!
— Bon, alors, je boirais bien un jus d’orange, chérie.
— Bien, mon amour.
Et alors qu’elle se lève et passe devant lui pour aller à la cuisine, il passe la main sous sa robe et palpe ses fesses. Comme foudroyée par une décharge électrique, d’un bond, elle se retourne, arme le bras pour lui mettre une gifle, il se protège en criant:
— T’es qu’une menteuse!!!
Prise au piège, elle se ravise, rougit et le prend dans ses bras en lui demandant pardon.
— Tu peux faire ce que tu veux chéri, excuse-moi… Tu veux que je me fasse pardonner?
— Oui.
— Qu’est-ce que je peux faire?
Il tente une main sous sa robe, sur sa cuisse et elle se laisse faire. Il la sent qui se tend alors qu’il remonte jusqu’à ses fesses, mais elle se laisse quand même faire. Il caresse alors allègrement le cul de Chantal et dit:
— Chérie, retourne-toi et touche tes pieds.
Interloquée, elle s’exécute, et comprend en sentant qu’il fait remonte sa robe sur son dos. Elle comprend aussi qu’il y en a un qui doit avoir une belle vue! Il la caresse pendant plus d’une minute, prenant un plaisir non dissimulé, et alors qu’elle commençait à aimer ça, lui impose:
— Ah, oui, n’oublie pas d’enlever ta culotte, tu devrais savoir que tu ne dois jamais porter de dessous.
Elle se relève, lui lance un regard assassin, mais se retire de la pièce en maugréant. Elle part dans sa chambre, claque la porte en pensant: ’Maudit soit-il! Tel père, tel fils!’ Elle retire une jambe de son collant, enlève son string le regarde en transparence de la lumière en se disant: ’il est pourtant joli! J’adore cette transparence!’. Elle remet son collant, se dirige vers le miroir où tout à commencé, soulève sa jupe et se rend compte que ce joli collant ne cache rien du tout, on pourrait même compter ses quelques poils, se dit-elle.
Sur ce, elle redescend sa robe en tirant un peu dessus, avec l’espoir qu’elle restera en place le plus longtemps possible… Elle prépare le jus d’orange pendant que mille craintes lui passent par le tête. Et alors qu’elle se dirige vers le salon, elle entend la fin d’une phrase de son fils:
’[…] c’est vraiment top qu’elle soit soumise, la salope, tu verras.’
Surprise d’entendre ce vocabulaire de la part de son fils, elle lui demande:
— Tu me parles?
— Non, je viens d’inviter Julien et Alex à souper, tu sais, mes collègues de bureau.
Trouvant le jeu de moins en moins drôle, elle lui dit en lui remettant le verre:
— Tu sais, mon coeur, si j’ai accepté de faire cette promesse, c’est surtout parce que je veux parler avec toi, parce que je t’aime, et que je ne veux pas que tu aies de mauvaises pensées et que
— T’as pensé à ta culotte?
— Mais je te parlais!
— J’ai passé une rude journée, alors montre, et ne me casse pas les oreilles aujourd’hui!
Vexée mais soumise, elle baisse la tête et remonte doucement sa robe, exhibant malgré elle d’abord ses genoux, puis ses cuisses couvertes de lycra blanc, elle arrive à la démarcation un peu plus opaque du collant, la dépasse jusqu’à montrer son petit triangle de poils, elle s’arrête lorsqu’elle a passé la bande élastique du collant.
— Superbe! Magnifique! Je ne sais pas pourquoi vous, les femmes, vous ne nous montrez pas ça plus souvent, même pour pas longtemps, mais c’est tellement beau!
Flatée, elle reprend confiance en son fils, relâche la robe, s’approche de luis alors qu’il dit:
— D’ailleurs, ce soir, je voudrais que tu mettes une jupe encore bien plus courte.
— Mais tes amis vont tout voir!
— Et alors? Ils profiteront aussi de ta beauté.
— Et alors, je ne suis pas une pute, même le Papa ne dit pas ça à la Maman!
— Alors on change de jeu, on joue au patron et à la servante, et le patron veut une servante avec une jupe très très courte!!!
— Les désirs de Monsieur sont des ordres!
Et elle ressort de la pièce en claquant la porte! C’en est trop, il faut qu’il arrête, il ne peut pas faire ça, c’est son fils, et elle est sa mère, il ne peut pas disposer d’elle comme ça! Elle n’est pas son Jouet!
Et si! Elle réalise, mais un peu tard que cette journée sera sûrement la plus longue de sa vie!
Elle fouille dans sa garde-robe et trouve enfin une vieille jupe plissée très courte, elle retire sa robe pour se retrouver vêtue en tout et pour tout d’un simple collant blanc. Elle se drape dans cette jupette plissée, elle boutonne les quatre boutons sur le côté, enfile un chemisier blanc puis retourne au salon bien décidée à montrer son désaccord.
Elle s’assied à quatre bons mètres d’Aurélien, comme ça il ne la voit pas beaucoup, alors, il se lève et se dirige vers elle en demandant:
— Debout!
Elle se lève. La jupe est tellement courte qu’il voit le début de la démarcation opaque de la culotte du collant:
— Mouais, la longueur de la jupe est bien.
— Merci, Monsieur! répond-elle sèchement.
— Hola, dit-il, tu te rebelles, servante?
— Non, Monsieur.
Il dégrafe le chemisier, de manière à faire sortir les seins de sa mère, ils sont fièrement dressés et maintiennent la chemise ouverte. Profitant de la vue et du toucher, il se régale, mais se demande pourquoi rien ne se lit sur le visage de Chantal. Ni haine, ni amour, ni énervement, rien. Il essaye de la faire réagir en lui disant:
— Tu sais que tu es bandante, salope!
— Je ne suis pas au service de Monsieur pour me faire insulter! Dit-elle toujours aussi sèche.
— D’accord, mais tu es à mon service pour m’obéir et me faire bander!
Il lui dégrafe donc trois des quatre malheureux boutons qui retiennent sa jupette, dévoilant ainsi tout le côté de sa hanche. Il regarde son oeuvre, cherchant encore une trace de réaction en vain. Il détaille les jambes, la droite est complètement découverte, seul un bouton cache un petit rien. Il remonte un peu la jupette, découvrant ainsi le gousset de coton du collant qui cache sa vulve; déçu, il demande:
— Tu pouvais pas metre des collants sans ça?
Il touche le petit bout de coton qui protège les lèvres de la chatte de sa mère.
— Si, mais…
Puis elle se ravise en se rappelant qu’elle a décidé de ne plus rien lui montrer de ses sentiments.
— A vos ordres, Monsieur!
Et pour la troisième fois, elle sort de la pièce, mais elle espère que cette fois, il va se rendre compte qu’elle est sa mère et qu’il doit la respecter, que ce n’est pas d’un objet dont il a besoin!
Elle rentre dans sa chambre, enlève ses collants, ouvre son tiroir de sous-vêtements à la recherche d’une paire de Victoria’s Secret sans aucune couture. Quand elle les trouve et les enfile enfin, elle voit dans le miroir que ceux là, sont absolument transparents depuis la large bande élastique blanche jusqu’au bout des pieds. Ils ne font que donner une couleur blanche immaculée à sa peau, ils augmentent aussi le contraste entre sa peau bronzée et la marque du bas du maillot de bain.
— Cette fois, j’ai vraiment l’air d’une pute! Ses seins maintiennent la chemise écartée, sa jambe droite est complètement dénudée hormis le même bouton. Sa chatte dépasse un peu de sous la jupette tant son fils l’a remontée… C’est alors qu’elle décide de se venger sur lui ou sur ses copains dès qu’elle le pourra!
Elle retourne dans le salon, dans cette tenue outrageante, mais sans cillier, elle reste à côté de lui. Il la toise longuement, visiblement satisfait de ce qu’il voit, Il sort son sexe pour commencer à profiter du spectacle et montrer sa satisfaction, qui, si l’on en croit sa taille déjà bien développée, doit être grande.
— Parfaite, tu es parfaite!
En disant cela, il se lève et fait courir ses mains sur son corps en continuant sa masturbation. Il caresse ses seins, puis les masse, elle ne montre toujours rien des sensations qui commencent à lui plaire, surtout au moment où il lèche et suce ses seins, elle adore, mais ne bronche pas! pendant ses léchages, il frotte son sexe sur la jambe de sa mère, se procurant ainsi du plaisir. C’est au moment où sa main commence à toucher la toison de sa mère que la sonette retentit.
— Enfin! S’écrie-t-il.
Elle commence en revanche à se sentir vraiment mal.
— Allez ouvrir!
— Mais… Ses yeux implorent, mais Aurélien reste de marbre, il veut visiblement en mettre plein la vue à ses copains.
Elle se dirige donc vers la porte d’entrée, sans savoir encore si elle ne va pas se trouver mal, se cache derrière la porte, regarde par le judas pour vérifier, puis ouvre la porte en ne passant que la tête et leur faisant signe d’entrer.
— Bonjour, Madame. Disent en coeur les deux invités alors qu’elle est toujours cachée derrière la porte.
Elle leur répond ’Bonjour les enfants.’ en leur faisant signe d’avancer de la tête. Les deux enfants obtempèrent sans même prêter attention à la tenue de la mère de leur ami et arrivent au salon:
— Salut, Aurélien.
Etonné de leur manque de réaction, Aurélien est déçu, il leur demande:
— Alors?
— Alors quoi?
— Ben, comment elle est ma mère?
Les deux nouveaux arrivés se regardent interloqués.
— ???
Comprenant qu’ils n’ont en fait rien vu, il appèle sa mère:
— Maman!
Lorsqu’elle fait son apparition dans la pièce, et même si Chantal a reboutonné son chemisier et sa jupette, les deux gamins restent bouche bée devant cette femme, redevenue un peu moins pute, un peu plus BCBG, c’est incroyable comme elle peut dégager de la classe, même avec cette tenue diablement sexy! Les yeux des gamins partent de ses talons hauts, remontent le long de ses interminables jambes recouvertes de blanc, ils ne manquent pas de remarquer la vulve de la chatte de Chantal qui dépasse nettement de la jupette. Chantal se sent nue et gênée, ne sachant pas si elle doit réagir comme la mère ou continuer à honorer sa promesse, elle attend un signe de son fils alors que les yeux des deux invités semblent fouiller son intimité. Leurs yeux se baladent maintenant sur sa poitrine, et elle se demande même un instant si la chemise n’est pas tout à coup devenue transparente… C’est Alex qui brise le silence le premier en disant:
— Vous êtes vraiment ravissante, j’adore tout ce que vous portez! Avec ce que vous mettiez d’habitude, je ne m’étais jamais rendu compte à quel point vous êtes belle!
Chantal apprécie le compliment en souriant, mais attend toujours un signe de son fils qui vient à sa rescousse:
— C’est normal, j’ai eu la chance de pouvoir choisir aujourd’hui! Et je trouve que j’ai très bon goût, n’est-ce pas, Maman?
— Oui, mon chéri.
Elle reprend avec plaisir le rôle de mère, et en oublie même ses habits pour un instant.
— Vous voulez manger quoi, les amis?
Par cette phrase, Aurélien sort ses amis de leur torpeur et ils arrêtent de bloquer sur la chatte de sa mère.
— Euh… Comme tu veux!
— Ben, on va laisser ta mère choisir, non? Julien a l’air très gêné.
— On a qu’à l’aider à préparer!
Quand Aurélien propose cette aide, c’est bien évidemment dans l’objectif de faire profiter de la situation à ses amis, mais Chantal apprécie cette aide même si elle sent bien qu’il y a anguille sous roche, elle préfère le ton de son fils maintenant.
La préparation du repas se passe gentiment, avec trois petites bites bien tendues dans les pantalons, quelques moments d’apothéose, entre autres quand Chantal a dû se mettre sur la pointe des pieds pour attraper la balance pour peser la farine pour le gâteau, dévoilant ainsi totalement ses fesses sous les yeux émerveillés des enfants. Aurélien n’a rien dit à ce moment là, même si ce n’était pas l’envie qui lui manquait de se jeter sur son cul pour les caresser, les masser, glisser ses doigts entre ses superbes fesses pour assouvir sa curiosité, mais il n’a rien fait, laissant ses amis en profiter et laissant surtout sa mère prendre confiance en elle dans son rôle de mère malgré ses exhibitions. Un autre moment fort a été quand Chantal s’est renversé de la farine sur la jupette alors qu’elle était assise, elle a donc attrapé le bord pour éviter que la farine ne tombe par terre et lorsqu’elle s’est relevée pour mettre tout ça à la poubelle, les enfants se sont retrouvés avec l!
a tête à la hauteur d’une superbe chatte dont ils ont clairement distingué les lèvres. Chantal a même joué avec le malaise de Julien qui rougissait à chaque fois qu’il voyait son minou en se penchant, les jambes un peu écartées pour mettre la farine à la poubelle, et en regardant les yeux qui détaillaient ses lèvres nettement visibles sous le bord relevé par sa position. Elle s’est même amusée à lui toucher la bite sous prétexte de lui nettoyer le pantalon taché de farine, en regardant ses yeux sortir de ses orbites!
Tout ce petit monde passe à table passablement excité, y compris Chantal qui commence à apprécier les regards hésitants, mais intéressés des garçons. Elle dégrafe même un bouton de son chemisier en allant chercher le plat à la cuisine et se penche ensuite en servant Julien et Alex, de telle sorte qu’ils profitent d’une vue imprenable sur son décolleté. Aurélien a l’air fier et ravi. Il sent que tout le monde apprécie son petit scénario, mais il commence à avoir envie de redevenir le centre d’intérêt. Lorsque sa mère repart chercher le dessert à la cuisine, il demande à ses amis:
— Le spectacle vous plaît?
— Ah oui! Répond Julien.
— Le spectacle, comme tu dis, est génial, mais j’aimerais pouvoir voir sans avoir à attendre des occasions de se rincer l’oeil comme ça!
— C’est bien ce que je pensais…
Sur ce, Chantal rentre dans la pièce avec le gâteau dans les mains. Elle le pose sur la table au moment où son fils lui dit:
— Je crois que tu n’as plus rien à cacher, Maman, comme tout le monde a pu apercevoir ce qu’il y a sous ta jupe, elle ne te sert vraiment à rien. Autant que tu l’enlèves, ce sera plus joli.
Chantal feint de ne pas être surprise ni gênée, puis elle se retourne, dégrafe lentement les quatre boutons, laisse glisser la jupe, de manière à devoir se baisser pour la ramasser, les garçons restent ébahis devant ces fesses et remarquent que le collant est taché à la hauteur de ses lèvres, ils adoreraient toucher, caresser ces jambes et ces fesses, mais, pour l’instant, ils se contentent de regarder. Et lorsque Chantal se retourne enfin, toute l’assistance se met à applaudir et à siffler devant son charme.
* Ce n’était pas si difficile, pense-t-elle, et en plus, ils sont gentils. Ils apprécient en tout cas ce qu’ils voient, les flatteurs!
Elle se met même à tourner, puis avancer, comme si elle défilait, elle rit et commence à se prendre pour un top-model. Elle sert les enfants qui, même si leurs yeux ne peuvent se détacher de sa chatte et son cul, la complimentent sur sa beauté. Lorsqu’elle sert Alex en tournant le dos à Aurélien, elle sent sa main se poser sur sa cuisse, remonter vers l’intérieur, atteindre sa raie des fesses, les masser… Alex qui ne voit pas Aurélien derrière Chantal ne comprend d’abord pas pourquoi elle a arrêté de le servir et pourquoi elle ferme les yeux comme ça. Ce n’est que quand il voit la main de son copain courir sur les fesses qu’il comprend le signal et part aussi à l’assaut de cet objet de tous les désirs.
Elle pose le gâteau et sent maintenant quatre mains courir sur ses jambes.
Julien, toujours gêné, mais intéressé, se rapproche, regarde et détaille ce corps dont il rêve depuis un moment de découvrir les secrets, regarde ces longues jambes, le plis qui relie ses cuisses et ses fesses, sous l’effet des massages d’Alex qui pétrit carrément le cul de Chantal, il voit s’ouvrir devant ses yeux émerveillés la fente qui montre alors un anus qui se contracte et se détend alternativement, montrant l’excitation de Chantal. Il est fasciné et ose alors passer ses petits doigts tout le tour de cet orifice, il joue comme un fou à faire ouvrir et fermer le petit trou jusqu’au moment où, sans le faire exprès, il rentre un doigt arrachant un : ’Oooohhh!?!?’ de surprise à Chantal.
— J’ai une super idée!!! Crie Aurélien.
— Je croyais que tu l’avais déjà eue! dit Alex en lui faisant un clin d’oeil.
— Non, c’est l’heure du dessert, non?
Alex, déjà très occupé à découvrir les contours de la chatte de Chantal, regarde d’un air interrogatif Aurélien.
— Ben, je pense que Maman devrait manger son gâteau avec NOTRE crème!
Sur ce, il sort sa bite, imité par Alex, ils se branlent furieusement. Chantal, qui avait passé les derniers instants à profiter de ces mains curieuses qui cherchait à fouiller ses entrailles, jusqu’à enfoncer au bout de leurs doigts le collant dans son cul et dans sa chatte, Chantal se reprend et comprend ce que vient de dire son fils. Elle le regarde alors qu’il lui demande de se mettre à genoux, elle s’exécute. Il place l’assiette à dessert devant son visage, lui met une part de gâteau dessus, elle a ensuite pour consigne de sortir ses seins et de manger son gâteau en profitant de la crême qu’ils vont lui donner.
Les garçons se placent ensuite en demi-cercle autour d’elle et elle voit des glands s’agiter devant son visage. Elle mange une première cuillérée, entend les gémissements, se prépare une deuxième part, ouvre la bouche pour l’engouffrer et reçoit la première sauce, c’est du jus de son fils… Toujours aussi excité, il a attendu que sa mère ouvre la bouche pour lui envoyer une bonne dose de sperme avec cette part de gâteau, Chantal a reçu cette giclée jusqu’au fond de la gorge et se rend compte de la présence de ce goût salé mélangé au sucré du gâteau au moment où la suite vient s’écraser sur sa bouche et rentre jusque dans son nez. Elle avale vite sa gorgée de gâteau car la giclée de foutre de son nez l’empêche de respirer. Elle ouvre la bouche pour reprendre sa respiration et reçoit en prime l’éjaculation d’Alex qui, sous la vision de son pote crachant sa purée sur le visage de sa propre mère, a senti le plaisir monter depuis ses testicules jusqu’à son gland et il s’applique!
maintenant de son mieux à viser la bouche grande ouverte, croyant que la raison de cette position est une énorme envie de sperme, il est heureux de pouvoir la contenter. Chantal, dans l’impossibilité de respirer par le nez, et la bouche remplie de semence, elle avale à toute vitesse pour pouvoir respirer, mais reçoit des couches supplémentaires sur son visage, et des gouttes coulent sur ses seins et son collant jusque là immaculé. Chantal n’en croit pas ses sens, tant de sperme venant de si petites queues!!! Et c’est alors que Julien crie son plaisir à son tour, Chantal ferme les yeux mais ne sent rien arriver, elle ouvre les yeux pour se rendre compte que Julien n’a tout simplement pas encore de sperme!
Elle regarde ses aspergeurs, Aurélien prend la petite cuillère, récupère délicatement le sperme, le donne gentiment à manger à sa mère comme elle le faisait pour lui il n’y a encore pas si longtemps. Chantal mange consciencieusement sans en laisser une goutte, hormis les taches sur ses seins et ses collants. Et alors qu’elle vient de finir d’avaler son dessert, elle remarque que Julien n’arrête pas de caresser ses jambes, et surtout à l’endroit de la marque de sperme…
— Tu veux parler de quelque chose? Lui demande-t-elle.
— Pardon?
Alors qu’Aurélien et Alex s’allongent pour profiter de leur jouissance et de la vue de cette salope de mère, Julien s’assied sur ses genoux.
— J’ai bien remarqué que tu t’intéresses plus aux collants, à mon trou du cul, au sperme et aux sexes des deux autres qu’à mon minou ou mes seins, non?
— Euh… Ben, c’est à dire que je ne sais pas vraiment ce qui m’excite…
— Tu ne sais pas si tu préfères les garçons ou les filles?
— Peut-être…
Elle le prend par la main.
— Les garçons, on revient, je dois faire un truc avec Julien.
Elle les entend se dire:
— La salope, elle ne peut plus s’arrêter!
— Ouais, elle est chaude du cul et elle aime vraiment le sperme!!!
Chantal commençait à avoir une idée de ce qu’elle pourrait faire pour se venger. Dans la chambre, elle lui parle de manière à lui montrer la mère qui est en elle:
— Raconte-moi tout ça.
— Ben, Madame, c’est que, quand je me branle, je fais pas comme les autres.
— Ah, oui? Et comment fais-tu?
— Je,…. Je, euh, je me suce!
Chantal n’en croyait pas ses oreilles:
— Quoi????
— Oui, je me plie en deux, et je me suce.
— Peux-tu le faire pour moi, s’il te plaît?
Sur quoi, Julien visiblement habitué s’allonge sur le lit, enlève pantalon et slip et , sous les yeux ébahis de Chantal, avale sa petite bite jusqu’aux boules. ’Quelle chance!’ pense-t-elle.
— C’est magnifique, lui dit-elle, tu as envie qu’on joue un peu, tous les deux?
— Oui, comment?
— Si tu veux, tu peux te déguiser en fille, et on pourrait aller voir leur réaction, pour rigoler.
Que n’aurait-il pas fait pour elle? Elle le regardait en lui caressant la bite et les boules, accroupie au-dessus de sa tête, de manière qu’il ait sa chatte à quelques centimètres de la bouche…
— Choisis ce que tu veux mettre.
En disant cela, elle ouvre un tiroir rempli de bas, collants, et sous-vêtements en tous genres. Il s’approche, attrape des collants noirs avec une couture le long de la jambe, derrière, elle lui tend une robe, et le voilà en tain de se préparer.
Pendant ce temps, Aurélien et Alex ont commencé à discuter de ce qui leur arrive :
— Mais comment t’as fait pour en faire une telle chienne ?
— Je t’expliquerai, c’est surtout grâce à
Sans avoir le temps de finir sa phrase, Aurélien bloque sur les deux filles qui viennent d’entrer, il n’en croit pas ses yeux, sous la perruque brune, il reconnaît Julien, mais ses habits et son maquillage le bluffent ! Alex demande :
— Mais pourquoi t’as fait ça ?
— Je me suis permis de l’aider à se rapprocher de ses envies, si vous l’aviez vu se sucer le sexe !!! Chantal se régale de voir son plan fonctionner
— Quoi ?!?
— Oh, il ne vous en a jamais parlé ?
— Montre nous ! Demande Alex.
Et avec la même agilité, Julien s’allonge sur le dos, sort son sexe de son collant et se l’enfourne en entier dans la bouche.
— Ca alors !
Aurélien s’allonge à côté, essaye de faire pareil, mais le manque d’entraînement lui fait cruellement défaut et il reste là, avec son sexe bloqué à une vingtaine de centimètres de sa bouche.
— Merde ! En disant cela, on sent qu’il regrette vraiment de ne pas avoir réussi à se sucer au moins le gland.
— Attends, j’essaye.
Et voici maintenant le troisième larron, plié en deux, dans la même position qu’Aurélien, incapable d’aller plus loin.
Chantal se masse le clitoris devant le spectacle de ces trois gamins en manque de bite dans leur bouche. Elle jubile et s’excite
— Il y a peut-être un moyen
— Ah oui ?
— Si tu n’y arrives pas avec la tienne, essaye avec celle de ton voisin
Et les garçons se mettent naturellement en rond et commencent une découverte des plaisirs oraux, personne n’est oublié, si ce n’est Chantal qui atteint malgré tout l’orgasme en voyant la voracité de son fils qui mange carrément la bite de son meilleur copain. On voit qu’ils se donnent vraiment beaucoup de bien et que leur instinct ne les trompe pas sur la manière de se faire du bien. Pour plus de facilité, Alex troue le collant de Julien pour mieux accéder à sa bite.
— Tu crois que tu peux en prendre deux, Juju ? Demande Alex.
— Euh, ouais
— Alors, suce-toi !
Il s’exécute avec toujours la même facilité, Alex reprend sa bite de la bouche d’Aurélien et vient la mettre à côté de celle de Julien, dans sa bouche. Vexé, Aurélien proteste :
— Et moi ?
— Démerde-toi ! Lui rétorque Alex qui profite visiblement de son plaisir.
En colère, il se lève, se dirige vers le cul de julien, prêt à l’enculer de rage lorsque Chantal l’interrompt :
— Attends, tu vas lui faire mal !
— M’en fous !
— Regarde, il faut d’abord lubrifier, et Chantal place délicatement sa langue sur la corolle de Julien, et lui masse avec beaucoup de salive
— A mon tour !
Aurélien pousse sa mère pour lécher l’anus de son copain. Mais, loin d’être tendre, sa langue pénètre l’orifice ! Julien râle de plaisir, et se régale de ce qui arrive. Aurélien, se sentant encouragé, se relève, place son gland à l’entrée de l’anus, et, d’un coup sec, s’enfonce complètement. Julien est subjugué, il grimace un peu au début, mais jeune et élastique comme il l’est, cette fouille anale ne lui pose bientôt plus de problème. Trois bites s’occupent alors de lui : la sienne côtoyant celle d’Alex dans sa bouche, son petit cul défoncé par son copain, il sent qu’il ne va pas tenir longtemps
Chantal, qui pendant ce temps, masse sa chatte trempée comme une forcenée, commence à pousser un cri de plaisir, et c’est en quelque sorte le signal.
Entendant sa mère, Aurélien jouit, remplissant le cul de Julien qui découvre encore une sensation nouvelle en recevant ce liquide chaud dans son ventre et contracte son abdomen, ce qui a pour effet de faire ressortir le foutre. Ce jus coule alors entre ses jambes jusqu’à ses bourses, puis le long de sa bite jusqu’à sa bouche, et il jouit en ayant l’impression que c’est le sien. Alex rejoint tout le monde en giclant de toutes ses forces sur les amygdales de son copain
Tout ceci s’est passé presque instantanément. Aurélien s’allonge, réalisant qu’il vient d’enculer son ami et de lui jouir dans le cul, il le regarde, habillé en fille, l’anus encore large ouvert, dégoulinant de sperme, le collant taché de leurs spermes, le visage dans le même état Alex, lui aussi, est allongé, le regard perdu en direction de Julien Chantal caresse les corps de ces enfants qui savent pourtant déjà tant de choses en matière de sexe.
Ils sont tous en train de profiter de leur extase lorsque, tout à coup, la sonnette retentit !
— Merde, c’est mon père !!! Julien se remet debout en un rien de temps.
— Vas te changer, je vais le retenir.
Chantal se lève, referme tant bien que mal son chemisier, elle réajuste sa jupette et se dirige vers la porte d’entrée. Elle ouvre la porte en disant :
— Ah, bonsoir, monsieur, les enfants étaient occupés à jouer, ils ne pensaient plus à l’heure, mais Julien va arriver.
— Bonsoir Ohhh, si j’avais eu la mère d’un copain aussi band euh, belle, je serais aussi venu plus longtemps, mais j’aurais emmené mon père pour qu’il puisse en profiter aussi !
— Merci, mais vous savez, j’avais déjà assez à faire avec eux sans devoir m’occuper de vous aussi, dit-elle.
— Non, mais, je ne vous aurais pas beaucoup gêné, vous regarder me suffit, vous savez.
— Merci.
— De rien, mais c’est bizarre, on dirait que vous êtes tachée, ici. Et, en disant cela, il attrape la courte jupette pour montrer les taches de sperme, révélant au passage sa chatte.
— Ah, oui
— C’est dur, comme une tache de Mais vous êtes tachée dessous aussi ! Il relève carrément le tissus, montrant les taches de sperme et la tache encore humide sur le collant, preuve du plaisir qu’elle vient de se donner.
— Et oui.
— Que c’est beau, ça me fait vraiment bander !
— En effet ! Chantal attrape sa bite et la sort.
Il la plaque alors contre le mur du couloir d’entrée, déchire son collant, et la pénètre d’un coup sec. L’humidité qui restait de sa masturbation récente aide le coït, elle entoure son corps de ses jambes, ondule au rythme des coups de hanches, se retourne et voit Julien qui, pas très caché, profite de la leçon que lui donne son père. Des voitures passent dans la rue alors que ce dernier se déchaîne sur Chantal qui se régale de se faire enfin prendre par un homme, depuis qu’elle n’y avait pas eu droit Elle sent que le rythme s’accélère, que la respiration de son amant devient plus rapide, et sent un flot se déverser directement dans ses entrailles, *Ma parole, mais il n’a pas éjaculé depuis des mois ! pense-t-elle. Il se retire, en la regardant honteusement et balbutiant une piètre excuse, comme quoi sa femme n’est pas aussi belle, qu’elle ne veut plus de lui, mais elle ne le laisse pas finir et lui dit :
— Non, non, ne vous excusez pas, c’était très bon !
— Et vous voudriez recommencer ?
— Pour ça, il faudra demander à Julien s’il veut revenir
Ce n’est qu’à ce moment-là que son père s’aperçoit de sa présence, il se rhabille en vitesse, mais Julien dit :
— Ce que tu lui as mis ! J’espère que la prochaine fois, tu me montreras comment on fait, ou alors, que tu me le feras
Son père le regarde avec des yeux exorbités, elle retourne dans le salon retrouver son fils, alors que Julien la regarde passer, il voit le sperme de son père couler le long de ses jambes, mais c’est à ce moment là que Chantal entend la porte de la salle de bains cogner, et son fils crier :
— MAMAN, MAMAN, tu vas bien ???
Ce n’est qu’alors qu’elle comprend que tout ceci n’a été qu’un rêve et que le somme qu’elle a commencé dans son bain ne vient que de s’achever, elle retire sa main de la chatte pour voir que son clitoris est rouge, en feu, elle répond à son fils en lui disant :
— Oui, mon chéri, tout va bien, mais, dis-moi Tu veux parler à Maman ???