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Maman l'espace d'un instant – Chapitre 19

Maman l'espace d'un instant - Chapitre 19



C’était un beau dimanche ordinaire ou le soleil était radieux, un moment estival que n’importe qui se doit d’apprécier à sa juste valeur en profitant de ces belles températures. Ce dimanche, je le passais chez mes parents pour donner de l’aide à papa qui était venu me chercher à mon appartement, et aussi faire la cuisine. Je l’avais promis une semaine auparavant, je me tenais donc de devoir respecter cet engagement.

Passé deux bonnes heures à travailler dans le jardin à tailler les arbustes et autres divers travaux de jardinage, papa me dit qu’il finirait seul pour le jardin et que je l’avais bien aidé jusque-là. Je pris la décision de rentrer dans la maison rejoindre maman qui était debout depuis les aurores pour faire son ménage, et qui peut être se reposer maintenant, on ne sait jamais, et j’avais bien raison.

Allongée sur le dos en travers du lit conjugal, je me suis mis à côté d’elle à genoux sans faire un bruit, puis par précaution lui ai mis une main sur la bouche pour qu’elle ne soit pas trop désagréablement surprise, et lui ai caressé les seins le plus simplement et naturellement du monde. Je lui ai même tiré sur les tétons tout durs et qui pointaient, puis lui ai mis des petites claques sur ses mamelles qui étaient opulentes et donnaient très envie à ce moment-là.

Je lui ai écarté les cuisses, mais elle m’a grandement facilité la tâche, elle m’avait peut-être senti venir qui sait. J’ai donc attrapé à pleine main sa chatte et j’ai tiré dessus très fort, puis elle a commencé à gémir sous ma main qui était toujours sur sa bouche, parce que papa était encore en bas dans le jardin.

J’ai passé ensuite mon majeur entre ses lèvres qui étaient trempées de mouille et gonflées par une possible excitation. Je lui ai glissé un doigt dans la fente et c’est rentré comme dans du beurre, et je m’y attendais un petit peu. J’ai donc mis un second, puis un troisième, et enfin un quatrième doigt dans sa belle minette ouverte à moi. C’est à cet instant précis qu’elle s’est lentement réveillée.

Une énorme trace de mouille sur le lit m’a conforté que ma mère était bien en osmose avec moi pensant à une délicieuse et torride envie. Je me suis essuyé la main sur son visage et je me suis mis au bord du lit entre ses cuisses, j’ai enlevé mon bermuda, mon caleçon et j’ai sorti mon sexe déjà hyper tendu qui ne demandait qu’à arroser sa promise.

Elle a tenté de se relever malgré tout, mais je l’ai gentiment poussée en arrière. J’ai frotté ma queue entre ses lèvres plus que brûlantes, et j’ai poussé d’un coup de reins ce qui l’a fait littéralement hurler et m’a fait sursauter. Par bonheur comme papa tondait la pelouse et qu’il avait un casque sur les oreilles, il n’a pu rien entendre de tout cela, nous étions rassurés.

J’ai donc continué de la sorte et me suis enfoncé lentement dans son vagin en l’attrapant par les cuisses pour l’attirer vers moi et mieux la sentir se déhancher. Elle m’a aidé et a replié les cuisses sur son ventre pour que j’aille plus loin en elle comme pour me dire viens maintenant.

Cela a été bref, mais vraiment intense cette union amoureuse ou deux corps ne font plus qu’un.

Je n’ai pas dû durer plus de dix minutes dans cette position. Je la baisais vigoureusement et je lui tirais sur les tétons pour me faire revenir en elle. Je lui ai sobrement percuté le vagin avant de vider en elle par saccades épaisses la purée qu’elle adore tant.

Je me suis essuyé la dernière goutte de sperme dans sa bouche, elle m’a fait un clin d’il. Ensuite, je me suis dépêché pour filer sous la douche, et elle ne se passa simplement qu’une fine lingette entre ses cuisses.

Lorsque je suis sorti de la salle de bain, je me suis trouvé face à face avec elle qui m’embrassa à pleine bouche. Elle était tout sourire et vraiment radieuse, ces yeux brillaient de bonheur et de joie.

Le restant de l’après-midi se passa agréablement et tranquillement, puis elle me ramena chez moi le soir me gratifiant d’une somptueuse fellation derrière ma porte d’entrée, et j’étanchais sa soif via sa gorge profonde.

Elle repartit ainsi me faisant un dernier sourire en démarrant, et moi j’étais comblé et amoureux tout comme elle d’ailleurs.

Oui, c’est vraiment beau l’amour dune mère pour son fils.

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