Résumé du chapitre 1.
Mamer a vu son clan complètement détruit par le clan du taureau. Il est le seul a s’être échappé. Par ruse, il a réussi avec son ami Jondlar à capturer le clan du Lion et a pris sa revanche avec le clan du Taureau où il a trouvé les survivants de son clan réduits en esclavage. Il y retrouve notamment sa mère et sa cousine. On le retrouve, dans la case du chef, le soir du premier soir de liberté pour ces deux parents.
— Mère, pour garder le sang de la famille, je n’ai pas d’autres choix que de te prendre comme épouse, ma cousine n’était pas d’essence de la famille des chefs.
— Mais mon fils, je ne suis plus toute jeune et je ne sais si c’est encore possible.
— Mère dès ce soir, on va essayer, tu as toujours tes lunes ?
— Oui bien sûr.
— Alors cela doit aller. Mais il y a un petit hic, tu seras ma première femme, il faudra un peu de compréhension.
— Mon chéri, de m’avoir tiré des griffes ou plutôt des sabots du taureau est tout simplement énorme, je vais tout t’enseigner sur le statut de chef et de mari.
… En premier, si tu veux que tes femmes t’apprécient, il faut être propre, donc prendre un bain juste avant. Tes femmes aussi, sinon, tu sentiras toute la sueur qu’elles ont amassée pendant la journée.
Après avoir fait leurs ablutions, les voilà qui se retrouvent sur la couche du Lion. Mamer prend sa mère dans ses bras, il est tellement heureux de la retrouver, que pour lui. Il commence à l’embrasser un peu partout, mais curieux, il met rapidement sa main entre ses cuisses, où se situe le secret maternel.
— Mon fils, ne soit pas si direct, il y a beaucoup d’étapes à franchir pour faire un bon amant et non pas un soudard. Il faut commencer à caresser ce qui fut ton garde-manger tes premières années, spécialement les bouts, le mieux, c’est de mettre la bouche dessus et d’imiter un bébé.
… Ensuite, quand tu vois que ta partenaire commence à apprécier le traitement, tu peux explorer plus bas. Je sais qu’un chef d’habitude ne s’encombre pas de ceci et va droit au but, mais si tu ne passes pas ces étapes, ce sera moins bon, tant pour toi que pour ta partenaire.
… Voilà, c’est bien comme cela, par les baisers que tu me donnes, la boule du plaisir envahit mes reins ; l’étape suivante, qui est facultative, c’est de mettre ta langue dans l’antre qui t’a vu naître et que tu cherchais prématurément à découvrir et ensuite tu peux découvrir tout ce qui concerne cet endroit, notamment la statue d’Hator. Qu’il faut longuement embrasser. Comme cela, tu me fais fondre mon fil.
— Mais Maman, il faut chaque fois faire cette procédure.
— Cela dépend, si tu veux simplement avoir un rapport sans partage, juste délester ton excès d’énergie ou un rapport complice et que ta partenaire en redemande sans se forcer.
— Maintenant pour la première fois que tu vas mensemencer, tu vas venir sur moi et me mettre ta queue dans ma tire-lires. (c’est un très gros anachronisme, car les Égyptiens ont connu que très tard les avantages de la monnaie par les Grecs et ont principalement pratiquer le troc)
… Mais ne te dépêche pas d’envoyer ta mayonnaise, attends que j’ai pris mon plaisir, c’est le moyen de faire un garçon plutôt qu’une fille.
… Voilà, c’est bien, c’est très bon, je sens que je suis en train de m’offrir à Hator, si tu es prêt, tu peux prendre ton plaisir.
— Mais maman, c’est trop bon, je ne vais pas me dépêcher comme tu as dit.
Se tendant comme un arc, sa mère a un puissant orgasme et le fait que son fils n’a toujours pas déchargé sa marchandise, elle repart dans le plaisir et à sa deuxième montée orgasmique, les deux ensembles jouissent très fort.
— Mon fils, c’était très bien pour une première fois, je crois que tu feras un très bon amant, pas seulement avec moi, mais maintenant, toutes ces émotions m’ont terriblement fatiguée, je vais m’endormir.
C’est ainsi que les deux s’endormir dans les bras l’un de l’autre et que les ébauches de la première dynastie s’ébauchait. Par la suite, elle eut encore deux autres fils et 3 filles.
Mais il restait le reste de l’Égypte à conquérir, mais Mamer savait que ce serait dur, les autres clans étaient avertis qu’ils auraient des difficultés. Les moins concernés étaient dans le clan de l’éléphant, mais devant la dénatalité et les pertes pendant les différentes batailles, ces pachydermes ont préféré l’exil en remontant dans l’Afrique.
La campagne suivante a été bien facile, c’était la possession de la ville de Memphis, capitale du clan du chacal Anubis. Le chef de ce clan était très âgé, sans descendance mâle et il avait toujours eu de bon rapport avec le clan du delta. Mamer envoya sa mère pour négocier et elle obtint que Mamer prenne pour épouse sa fille unique Laferkiri. Ce fût une révélation pour Mamer qui trouva une fille chaude comme la braise, sa minette sentait le bois de santal, ses nichons le goût du bonbon à la mente, sans parler de ses aisselles qui refoulait le thym fraîchement coupé. Même si elle avait déjà servi, pour ne pas perdre la face, elle lui proposa une petite piqûre sur le bras pour remplacer le sang virginal sur le drap à afficher. Elle lui dit :
— Le principal, c’est pas ce que j’ai fait avant, mais ce que je vais faire après et là, je te dis que tu me plais le plus de tous les hommes que j’ai connus; en plus, je connais mon devoir.
En sus, elle était dotée d’une intelligence supérieure. C’est à cette époque qu’inspirée, elle a commencé à tracer les premières lettres divines. Ce qui facilitait les communications dans son empire qui s’agrandissait.
C’est à ce moment là qu’arriva à la cour un sage venant de Mésopotamie qui fuyait son pays car il s’était permis de faire trop plaisir à la reine qui était veuve, mais son fils le grand Kodonosor n’a pas aimé que sa mère soit intime avec ce savant. Il a dû fuir pour ne pas être exécuté.
Il a très vite améliorer le niveau des connaissances des Égyptiens, notamment en leurs enseignant comment faire des bateaux de grande taille avec les papyrus avec également des connaissances de mathématiques et de médecine.
Comme sa mère l’appréciait bien, Mamer lui dit :
— Mère, je sais que tu apprécies beaucoup Sandar le Babylonien et que tu n’es plus fertile après m’avoir donné une bonne descendance, descendance que je compléterai désormais avec mon épouse principale. Je te permets de sortir du harem et de vivre avec lui si cela te convient.
— Merci mon fils, j’ai bien remarqué que depuis que Laferkiri partage ta couche, tu as tendance à me délaisser. Cependant, il ne faudrait pas te tromper de trou si tu veux compléter la descendance, mais sera parfait, mais surtout j’aime apprendre de Sandar. Il me surprend, en 3 mois, il a appris notre langue parfaitement. C’est un génie cet homme.
— Il faudra que je m’entretienne plus souvent avec lui, j’ai tant de questions où il pourrait m’aider, je vais le nommer vizir, cela me déchargera et j’aurai sa sagesse à la main.
C’est ainsi qu’à l’âge de trente ans, Mamer avait presque touts les clans réunis sous sa tutelle. Les gazelles avaient spontanément accepté sa suzeraineté, il ne restait que le Clan de Sobek, le crocodile. Là encore le hasard a bien fait les choses.
Les éclaireurs rapportèrent qu’une troupe disciplinée, tirant un navire en bois à travers le désert était en train d’arriver.
ooo0000ooo
À travers la plaine qui sépare la mer rouge du Nil, une troupe disparate de soldats tire un navire en bois, sur un système de plaques et de rouleaux de bois, la progression est lente, les officiers même commencent à trouver la tâche insurmontable.
— Ne penses-tu pas Simbad, que l’on s’est pris une tâche impossible ?
— Il ne reste que sept jours à tirer pour y arriver si tout va bien et j’ai reçu un émissaire d’un chef de clan, celui du crocodile, il va nous envoyer des vivres et des esclaves pour nous aider en échange d’alliance.
— Tu ne vas pas t’allier avec un bouseux d’Égyptien ?
— Je n’ai pas besoin de le lui dire maintenant. Continuons à tirer.
S’époumonant à tirer, la barque arrive enfin sur les bords du Nil et les membres de Crocodile applaudissent à cet exploit.
— Maintenant que vous êtes là, il vous faut vous attaquer à Memphis, la ville royale, je vous aiderai à faire ce qu’il faut.
Ooo0000ooo
Pendant ce temps, au palais de Mamer, on tient conseil, devant ce semblant d’envahissement et de la conjoncture avec Crocodile. Les bateaux en papyrus ne feront pas le poids contre ce navire tout en bois et ses haut-bords rendrons difficile la prise d’assaut.
À ce moment-là, Laferkiri énonce une petite vérité :
— Si ni les armes, ni le feu peuvent avoir raison de ce bateau, il faudra bien qu’il aborde quelque part.
La ville est bien protégée, on a suffisamment de soldats pour tenir tous les côtés. Je proposerais de les attirer à l’intérieur et de prendre leur bateau désarmé. Pour cela, si je ne me trompe, les habitants du Delta sont particulièrement doués pour les opérations sur l’eau. Ce serait le moment de demander de l’aide.
— Excellente idée, j’envoie Amin aux pieds agiles pour le leurs demander moyennant des facilités pour le commerce et protection contre les Libyens.
Il faut bien une semaine pour qu’ils puissent remonter du Delta, mais ils arrivent avant que les babyloniens, car à droite et à gauche, ceux-ci pillent, massacrent etc.
Avec Jondla et Juri qui est le chef des gens du Delta, Mamer établit un plan :
Je vais avec les Deltaliens discrètement nous transporter sur l’autre rive du Nil à la faveur de la nuit et le lendemain,
Jondlar va les provoquer de manière qu’ils abandonnent leurs navires et avant que les crocos arrivent. Ils seront obligés de venir en force, donc de délaisser leur navire. Une fois le navire déserté, nous les Deltaliens on va s’en emparer, le redescendre dans un des méandres du delta et revenir pour soutenir Jondlar avec la moitié des troupes, le reste surveillant le delta et éventuellement préparant un piège pour prendre des troupes aventureuses au piège.
Tout marche comme prévu et dès que nous avons pris le bateau, Jondlar se réfugie derrière les murs de la ville, laissant les babyloniens sur leur fin. Dépités, ils prennent la direction du Delta, mais là, au milieu de l’entrelacs des bras d’eau et de la végétation, ils ne passent pas inaperçus. Tendre un piège est une tâche très facile, il suffit d’allumer des feux de nuit pour les attirer où on veut les piéger. Un grand filet de pêche est prêt pour leur tomber dessus pour les empêtrer et pouvoir les flécher à bout portant dans une zone où ils sont à moitié dans la vase pour avancer.
Mission accomplie et en trophée, on rentre avec la tête du général vaincu. En la présentant à Sandar, il ne peut se retenir, c’était son cousin, mais qu’est-ce qu’il venait donc faire en Égypte ? Il se décide à aller trouver le solde des troupes babyloniennes pour s’enquérir et éventuellement les désarmer si amnistie voire les retourner contre Sobek.
Il apprend que suite à sa fuite, un ordre de conquête et d’assassinat à son endroit avait été lancé et que Sinbad n’avait eu d’autres choix que d’accepter, sous peine d’être lui-même assassiné.
C’est ainsi que s’est terminée cette expédition babylonienne, mais le sexe dans tout cela où est-il ? Il est latent partout, il fallait peupler le pays, après que Memphis ait reçu son enceinte de murs blancs, Mamer reçu encore 3 épouses qui furent éduquées pour le plaisir du lit par Laferkiri,
Et Jondlar dans tout cela ? Lui aimait les jeunes soldats, sachant que les amitiés viriles étaient ce qui est le plus important sur les champs de bataille. On peut toujours compter sur son amant pour te seconder ou te secourir.
Mamer mourut pas mal d’années plus tard et son nom est resté comme le premier pharaon, (la lumière du peuple) à avoir uni les deux terres.
Si il y a un intérêt dans ce genre de discours, je continuerais avec un épisode trouble l’invasion Hyskos qui survint de nombreux siècles plus tard. J’espère que j’arriverai à pimenter un peu plus le récit avec des bites et des cons, sans oublier les culs.
