Mamie Geneviève 16
Après avoir préparé mon sac pour rejoindre ma fille cadette, Agnès, je grignote un morceau dans la cuisine tout en fixant le coffret de mon mari, que j’ai trouvé au grenier. Je me demande bien comment je vais pouvoir l’ouvrir.
N’y tenant plus, j’essaie avec des ciseaux mais ça n’est pas efficace. Je prends alors un gros tournevis et la serrure cède quand je fais levier avec l’outil.
Je découvre le contenu, ce sont d’anciennes photos à développement instantané, regroupées dans des enveloppes. Les couleurs des clichés sont passées mais je reconnais Virginie, dans des poses lascives, en sous-vêtements ou, le plus souvent, totalement nue sur mon lit.
Un autre paquet contient des photos d’Agnès, qui pose en petite tenue, exposant ses fesses ou sa poitrine. Je découvre même qu’elle a hérité de ma pilosité pubienne.
Un autre enveloppe, pour trouver deux autres jeunes filles qui ont l’air de bien s’amuser avec Agnès. Les filles s’embrassent ou se caressent mutuellement devant l’objectif.
Un autre série, et là, je le vois allongé sur un jeune corps. Je ne reconnais vraiment pas l’une des filles précédentes. Il y a au moins cinq clichés où figurent Agnès, les jambes entourant les hanches de son père, les bras autour de son cou. Il est clairement en train de la pénétrer. C’est une des filles invitées qui a dû prendre ces photos, car Virginie me l’aurait dit si c’était elle.
Ce coffret contient des dizaines, voire des centaines de photos cochonnes, que ce porc devait aimer compulser à ses heures perdues !
J’ai beau avoir eu connaissance récemment de sa perversité, j’ai envie de vomir en découvrant ces images dépravées. C’est encore plus humiliant de savoir qu’il organisait des orgies avec des gamines, sous mon toit. Je suis très blessée de découvrir, que ma fille Agnès, osait partager mon mari avec ses copines !
Je sélectionne un échantillon de preuves que je glisse dans mon sac à main, dans une enveloppe.
Il va falloir que je discute avec ma plus jeune fille de tout ça.
Dans tous les cas, je ne suis on ne peut plus satisfaite d’avoir fait l’amour sur la tombe de ce sale bâtard ! Les picotements de mon anus me rappellent les va-et-vient brutaux de la grosse bite de mon petit-fils.
D’ailleurs, j’ai envie de faire durer ce souvenir et me précipite sur les objets sexuels que je n’ai pas eu le temps de ranger. Avec un peu de lubrifiant, je m’introduis difficilement dans l’anus, une sorte de cône à collerette, désigné par « plug anal». Malgré l’irritation qui brûle encore mon petit trou, je veux avoir cet objet en moi et me remémorer les sensations vécues avec David ou Bastien quand ils m’enculent.
La grande base du cône est vraiment imposante et quand elle est totalement passée, je la sens m’envahir totalement le fondement. Je tire un peu sur mes fesses pour mettre en place mon illet. A chaque pas que je fais, l’objet me rappelle sa présence tant il est gros en moi.
Je reçois un appel de Sabine qui souhaite m’inviter à passer une soirée avec elle et son fils, mais suis obligée de décliner sa proposition pour la différer un peu, lui expliquant que je vais passer quelques jours chez ma fille..
L’image de Bastien couché sur moi pour me donner tant de plaisir me revient en tête. Est-ce lui qui me sodomise en ce moment ? Non, il n’est pas si gros, même David n’est pas si imposant. Je me sens d’une perversité absolue de vouloir me distendre le cul de cette façon, mais justement c’est ce que j’apprécie.
Ma fille, Agnès, appelle quelques minutes plus tard alors que je passe le balai dans la cuisine.
— Tu es prête maman ? Tu as bien fait ce que je t’ai recommandé ?
J’avale ma salive, avant de répondre calmement :
— Je crois que tout est prêt. J’ai mes papiers et j’ai pris ce qu’il me faut pour les jours à venir ! C’est toi qui viens me chercher à l’aéroport ou dois-je prendre un taxi ?
— Je serai là, je t’attendrai dans le hall des arrivées, je ne sais pas si les filles viendront avec moi. En tout cas, ne t’en fais pas, je serai là
Alors qu’elle parle, j’ajuste la position de mon envahisseur anal et émets involontairement une petite plainte, qui fait réagir ma fille, un peu inquiète :
— Ça va maman ?
— Oui ! Ce n’est rien, je viens de me pincer le doigt.
J’invente ce bobard spontanément. Comment lui dire que j’ai ce truc énorme qui me dilate si bien le cul ?
On se quitte par des paroles tendres et je suis fière d’avoir su garder le contrôle de mes nerfs durant cet entretien, malgré la rage qui me submerge. Ma petite Agnès qui me trompait en couchant avec mon mari, qui lui amenait même ses copines pour satisfaire l’appétit de chair fraîche de cet ignoble porc.
L’objet qui m’envahit est trop gros pour que je puisse espérer dormir avec. Son extraction se révèle presque aussi délicate que l’intromission, mais je ne regrette pas d’avoir essayé même si j’ai l’anus béant.
Une fois couchée, l’inquiétude me gagne. J’ai peur du lendemain, de prendre l’avion, de revoir ma fille Comment vais-je réussir à assumer tout ça! Je tourne et retourne dans mon lit. Si j’arrive à m’endormir, c’est en pensant à Bastien et sa mère. Ça me ferait tant plaisir de les revoir
Le lendemain, j’ai réservé un taxi pour aller à l’aéroport, mais il arrive avec retard. A cause d’un pneu crevé, m’explique le chauffeur. A l’aéroport, lors du contrôle de sécurité, j’ai le droit d’être fouillée au corps. La préposée s’applique à inspecter méticuleusement l’ourlet de ma robe pour vérifier si je n’y ai pas caché un char d’assaut ! Comme ça m’énerve tout ce tralala !
Mon sac est lourd à porter jusqu’à l’avion et, malgré tous les hommes qui sont sur place, c’est une jeune rouquine qui m’aide à le faire. La galanterie se perd vraiment !
La même jeune fille a même la gentillesse de me désigner ma place et de déposer mon sac dans le compartiment à bagages.
Malgré mon énervement, je prends la peine de la remercier chaleureusement alors qu’elle me dévisage.
Je suis coté hublot et, pour accéder à ma place, suis obligée de déranger la dame qui est déjà assise. C’est une brune élégante, quadragénaire, du genre femme d’affaire, qui était occupée sur son ordinateur portable à tapoter à toute vitesse sur le clavier.
Elle ne me regarde même pas, visiblement agacée d’être interrompue dans son travail.
Je m’installe sur le siège et tente de régler ma ceinture avec beaucoup de difficulté. Ma brune voisine, constatant mon inexpérience se dévoue pour m’assister, ce dont je lui suis gré.
Après les démonstrations de l’hôtesse qui n’ont rien de rassurant, je me tortille sur mon siège quand l’avion s’ébranle, outre que j’ai mal au derrière des intromissions récentes, je suis terrorisée d’être là. Ma voisine replie et range son ordinateur, puis désactive son téléphone.
Elle compulse ensuite un dossier sans même prêter attention à la suite des évènements. Elle doit être rompue à ce genre de moyen de transport. Si elle est si confiante, je me dois de me décontracter également. Facile à dire !
L’avion fait son point fixe, les réacteurs vrombissent et brutalement, mon dos se plaque au siège, la piste défile de plus en plus vite et je me cramponne quand l’avion se cabre et s’élève.
Je me rends compte que mes doigts se sont resserrés sur l’avant-bras de ma voisine et que mes ongles sont enfoncés dans sa chair. Je me confonds en excuses et elle fait preuve de mansuétude en posant sa main sur la mienne pour me rassurer, puis me dire :
— Donnez-moi la main, si ça peu vous rassurer.
C’est plus que de la sollicitude que je lis dans son regard. C’est plutôt comme de l’intérêt à mon égard.
J’entrecroise mes doigts dans les siens en la remerciant de sa gentillesse.
Sa main se contracte sur la mienne pour me pulser du réconfort. Je finis par me détendre un peu. Elle range son dossier, puis presse son épaule contre la mienne, tout en continuant à m’écraser la main.
Ma paume est moite, mais ça ne la dérange pas le moins du monde. Elle se penche sur moi et me désigne la vue extérieure alors que l’avion s’élève. Elle pointe du doigt un fleuve, une ville et à chaque passage de sa main, elle effleure plus ou moins ma poitrine.
Cette fois c’est ma chatte qui devient moite ! Je chevrote, presque innocemment :
— Et ça ? C’est quoi ? Non pour obtenir sa réponse, mais plus pour qu’elle me touche une nouvelle fois.
Mon invitation ne lui échappe pas, surtout que j’ai avancé le buste pour prolonger le contact.
Je soupire quand son poignet fait rouler la pointe de mon sein durant plus d’une minute. Je mouille terriblement et mon angoisse a totalement disparu.
Je lui lance un regard implorant pour qu’elle recommence et elle me fixe avec un petit sourire complice.
Elle me sait en attente d’un nouvel effleurement et quand sa main se pose sur mon sein, c’est pour saisir franchement mon globe puis exercer sur mon téton de petites pressions entre ses doigts qui me font tressaillir.
Ces décharges douloureuses me font presque avoir un orgasme spontané.
Elle me glisse :
— Tu aimes ce que je te fais ?
J’acquiesce sans relever son tutoiement et lui réponds dans un souffle:
— C’est délicieux !
— Ouvre ton chemisier
— Ici ?
— Personne ne verra rien ! Ne t’inquiète pas
Je défais deux boutons à mon chemisier et n’attends pas longtemps pour sentir sa main se faufiler et reprendre un pétrissage intense de ma poitrine qui manque de me faire défaillir.
Ma voisine me souffle :
« Ça serait mieux si tu quittais ton soutien-gorge. Va aux toilettes te mettre à l’aise, c’est au fond de l’appareil, je t’attends »
Je réajuste mon chemisier alors qu’elle se lève pour me laisser passer.
Rouge d’émotion, j’arpente l’allée et croise le regard inquiet de la petite rouquine qui m’avait aidée à porter mon sac.
Arrivée aux toilettes, je quitte mon chemisier et défais mon soutien gorge. Je regarde ma poitrine dans la glace et suis fière qu’à mon age elle se tienne encore si bien.
Je profite du lieu pour tamponner la cyprine qui s’écoule de ma chatte avec du papier hygiénique.
Je me rends compte trop tard que j’aurais dû prendre mon sac à main pour y cacher mon soutien-gorge. Tant pis, je le serrerai contre moi en retournant à ma place, j’espère être discrète.
Alors que je sors des toilettes, je tombe nez à nez avec la gentille petite rouquine qui me demande sur un ton inquiet :
« Tout va bien madame ? »
Son regard se pose sur ma poitrine, puis sur la main qui tente de cacher le soutien-gorge.
Elle esquisse un sourire, se tourne et se déplace de quelques pas pour prendre un sachet en papier dans la pochette d’un siège vacant.
— Tenez madame, mettez-le là dedans
Elle me tend le « sac à vomis », dans lequel je glisse mon dessous, toute honteuse d’avoir été surprise.
Je bafouille :
— Appelez-moi Geneviève. Je vous suis redevable une nouvelle fois!
— Enchantée Geneviève, moi c’est Mélanie.
— Me permettez-vous de vous faire une bise pour vous remercier de tout ce que vous faites pour moi ?
— Avec plaisir !
Mélanie me tend sa joue et j’y pose mes lèvres, elle se met à rougir d’émotion et m’enserre dans ses bras d’un geste spontané et incontrôlé, avant de se reprendre pour s’excuser d’avoir agit ainsi. Ce bref mais puissant contact me trouble et la fièvre me gagne à nouveau, à mon tour je cherche à l’enlacer.
Elle n’est pas dupe de mon état fébrile et me repousse délicatement. Je lui demande :
— Eh bien Mélanie ! Pourquoi vous intéressez-vous à une vielle dame comme moi?
— Parce que je vous observe depuis le décollage, votre voisine est entreprenante, n’est-ce pas ?
— Vous l’avez vue faire ?
— Bien entendu et je ne dois pas être la seule !
— Mais pourquoi m’observiez-vous ?
— Vous ressemblez tellement à quelqu’un à qui je tiens beaucoup, une femme en l’occurrence. Je me sens moins gêné pour vous le dire, depuis que j’ai constaté que vous appréciez les caresses de votre voisine. J’en déduis que vous aimez les femmes, vous aussi.
Je me dis que ça doit être gravé sur mon front, un truc du genre : « Mamie à baiser » ou « vieille en chaleur » et mes joues s’empourprent de honte.
Elle enchaîne en souriant :
— Venez vous asseoir près de moi, il y a une place disponible. J’aimerais que nous bavardions toutes les deux, rien de plus rassurez-vous. ..
Quand je rejoins ma place, la brune est replongée sur son ordinateur et ne prête nullement attention à moi. Son indifférence me blesse, s’est-elle jouée de moi précédemment ? Elle s’agace et retire vivement sa main quand je tente de l’effleurer.
Je suis vexée par cette attitude bipolaire. Elle m’a pelotée sans vergogne, et là, elle m’ignore complètement.
Aussi, en lançant un regard au dessus du siège, je vois Mélanie qui guette ma réponse et me fait un petit signe pour m’inviter à la rejoindre.
C’est décidé, j’y vais !
Je reprends mon sac à main et ma veste, fais déplacer la brune à nouveau rageuse, puis vais rejoindre ma petite rouquine.
En marchant dans le couloir, je me rends bien compte que ma poitrine est visible à travers mon chemisier. Les regards masculins sont on ne peut plus perçants pour finir de me dénuder.
Je suis tellement en colère qu’au lieu d’être gênée, j’en ressens de la fierté d’être la cible des regards de ces mecs qui bavent en matant mes nichons.
Je m’installe près de Mélanie. Elle me dit avoir vingt-six ans, mais elle en paraît dix de moins. Elle se révèle extrêmement charmante, rieuse et un brin culottée comme ma petite fille Christelle.
Rapidement, le courant passe bien et nous nous faisons des confidences à voix basse. Je lui résume ma vie et lui révèle même que ma révolution sexuelle est toute récente, grâce à un jeune homme, puis à sa sur, sa mère, son copain, la mère de son copain.
Je lui apprends que je me suis libérée pour aimer de toutes les façons des femmes ou des jeunes hommes. En évoquant tout cela, je me remémore les délicates caresses sur mon sein que me prodiguait David au cinéma, à sa façon de m’aimer ensuite, de me provoquer pour aller plus loin avec ses copains, jusqu’à m’inciter à coucher avec son ami Bastien.
Elle me demande, comme si elle lisait dans mes pensées :
— Ce jeune homme, il ne ferait pas partie de votre famille ?
— Effectivement, je ne sais pas comment vous l’avez deviné. Il s’agit de David : Petit fils mais grosse quéquette !
Nous rions tous les deux de bon cur. Je me demande comment j’en arrive à lui dévoiler mes secrets alors que je ne la connais que depuis une heure ?
Je n’en sais rien, mais je me sens bien avec elle.
— C’est fou comme vous ressemblez à mon amie ! Ajoute-t-elle, sérieuse tout à coup.
— C’est elle que vous voyez en moi ?
— Physiquement beaucoup, mais aussi autre chose, de la tendresse, de la bonté et probablement une bonne bouffeuse de minou ! Rit-elle.
— Je ne suis pas experte pour ça, loin de là ! Dis-je en rougissant
— Je suis désolée de parler aussi crûment avec vous. J’agis comme si nous étions amies de longue date !
— Il en est de même pour moi, on se tutoie ?
— Si tu veux Geneviève
— J’en ai dit beaucoup, parle-moi de toi maintenant
Mélanie n’aime que les femmes, les vraies, pas les jeunes filles et encore moins les garçons.
Elle a, depuis deux ans, une relation amoureuse intense avec une femme ayant la quarantaine, avec des gosses et mariée à un type qui la délaisse.
Elle me confie qu’elle est follement amoureuse de cette personne qui pourrait être sa mère.
Nous continuons à papoter en riant, au point que je ne suis que peu incommodé par l’atterrissage de l’avion. Nous nous promettons de garder le contact et échangeons nos numéros avant de déboucler notre ceinture.
Mélanie récupère mon sac de voyage au passage et m’aide à le porter pour traverser le tarmac.
Quand la porte dépolie s’ouvre sur le hall d’arrivée, j’aperçois ma fille Agnès et lui fais un signe de la main.
En me voyant, sa bouche s’ouvre en grand et son visage blêmit subitement.
Pourtant ma veste cache bien ma poitrine nue sous mon chemisier, pourquoi réagit-elle comme cela ?