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Mamie Louise – Chapitre 4

Mamie Louise - Chapitre 4



Chapitre IV

Au bout de dix minutes, Jérémy émergea de sa torpeur sexuelle. Ouvrant les yeux, il découvrit le visage de sa grand-mère, penché sur lui, le fixant en souriant.

Ça va mieux, lui murmura-t-elle ?…

Les sens apaisés, Jérémy fixa sa grand-mère dun il nouveau. Le sentiment quil ressentait pour elle à présent dépassait ce que tout enfant se doit déprouver pour sa grand-mère. Un penchant affectueux plus intense le poussa à se jeter au cou de celle quil continuait à appeler « Mamie », lenlaçant de ses bras.

Je taime Mamie, murmura-t-il dans un souffle.

Moi aussi je taime mon chéri, affirma Louise terriblement émue par cet aveu.

Ils demeurèrent un long moment tendrement enlacés, leurs curs battant à lunisson. Dans un geste plein damour, Louise caressa tendrement la nuque de son petit-fils, percevant le souffle de ce dernier contre la chair sensible de son cou.

Cétait bon, questionna-t-elle soudain, rompant le silence qui sétait établi et curieuse de connaître les impressions de Jérémy ? Tu as aimé ?…

Oh, oui, sempressa de répondre Jérémy On recommencera ?…

Encore une fois, Louise dut reconnaître que son petit-fils avait énormément changé ; et ça depuis le matin, depuis quelle avait pris la décision de calmer lémoi sexuel quelle avait involontairement engendrée. Cétait comme si le fait quelle ait été la responsable de sa jouissance avait créé chez Jérémy une connivence amoureuse. Et cest pourquoi il nhésitait pas à lui faire part de ses désirs.

Peut-être On verra

Louise nosait avouer à Jérémy quelle-même avait ressenti un certain plaisir lorsque le gland avait tressauté sous ses doigts, lâchant son sperme qui lui avait englué la main. Or ce plaisir avait réveillé ses sens toujours prompts à sémouvoir. Tout en cajolant tendrement son petit-fils, elle ressentait un début de désir lui embraser les entrailles. Entre ses cuisses, une source chaude avait pris naissance au plus intime de son sexe. Tentant de calmer sa libido perturbée, elle entreprit détablir un dialogue avec son petit-fils :

Tu as une copine, interrogea-t-elle ?

Oui

Ah, oui !… Comment sappelle-t-elle ?

Virginie

Elle a ton âge ?

Oui.

Mais contrairement à ce quavait espéré Louise, ce début de confidence de la part de Jérémy ne fit quaccroitre le désir qui lui échauffait lentrecuisse. Prise dune pensée perverse, elle décida de continuer son interrogatoire sur un sujet plus sexuel.

Et quest-ce que vous faites ensemble, questionna-t-elle, espérant des aveux plus intimes ?…

Ben heu

Vous vous touchez ?

Oh non !… Elle ne veut pas !… Sexclama Jérémy outré.

Tu veux dire que Virginie ne ta jamais caressé comme je lai fait ?

Non, mamie.

Alors je suis la première à tavoireee branlé ?

Heu ouuii

Apprendre quelle était la première à avoir donné du plaisir à un adolescent, même si celui-ci était son petit-fils procura à Louise un immense sentiment de bonheur, et en même temps une nouvelle flambée de désir. Au plus secret de sa féminité, la chaleur pernicieuse sétait diffusée dans au plus profond de son vagin. Le besoin de calmer cette envie sexuelle se fit soudain impérieux chez Louise. Il lui fallait calmer ce brasier qui commençait à se répandre dans ses entrailles. Aussi incita-t-elle Jérémy à séloigner :

Il va falloir que tu ailles faire un brin de toilette mon chéri, puis tu iras te coucher, lui recommanda-t-elle, impatiente de se retrouver seule

Bien quil eut aimé rester encore un moment blotti dans le giron de sa grand-mère, Jérémy acquiesça, encore ébahi par ce quil venait de connaître. Alors quils sapprêtaient à se souhaiter une bonne nuit, Louise et Jérémy, dans un même mouvement, approchèrent leurs visages lun de lautre pour échanger un baiser. Mais alors quelle attendait à recevoir le baiser de Jérémy sur la joue, comme chaque soir, cest sur ses lèvres que les lèvres de son petit-fils se posèrent.

Surprise par ce contact à laquelle elle ne sattendait pas, Louise nen demeura pas moins immobile, songeant, amusée, à la gêne que devait éprouver Jérémy. Mais lorsquelle sentit soudain la langue de ce dernier tenter de forcer ses lèvres, elle demeura un instant interloquée par laudace de son petit-fils. Stupéfaite, elle demeura pétrifiée. Jérémy tentait de lembrasser comme il le faisait sans doute avec Virginie sa copine : en amoureux.

Bouche hermétiquement close, refusant ce baiser hors nature, Louise tenta danalyser la situation et le comportement de Jérémy. Alors que la langue de ce dernier lui léchait les lèvres lui procurant un certain plaisir, Louise eut soudain une révélation. Quelques instants plus tôt, Jérémy, reprenant conscience après sa jouissance, lesprit encore perturbé par le plaisir, lui avait avoué quil laimait. Et ce quil tentait présentement, en voulant lembrasser, était sa façon à lui de lui prouver son amour. Attendrie par cette tentative de la part de Jérémy, elle cessa de refuser ce baiser et sabandonna à lagréable plaisir que lui procurait cette langue qui lui effleurait les lèvres.

Il y avait si longtemps quelle navait pratiqué ce genre de baiser. Au bout de quarante ans de mariage, ni elle, ni son mari, néprouvaient lenvie de sembrasser ainsi, même pendant leurs ébats amoureux devenus il est vrai de plus en plus rares. Au désir de savourer une nouvelle fois la saveur de ce genre de baiser, la curiosité de savoir comment Jérémy se débrouillait dans cet art sempara de Louise. Doucement elle entrouvrit ses lèvres, avide de connaitre comment allait se comporter son petit-fils.

Bien que déçu que sa grand-mère ne réponde pas à son baiser, Jérémy nen avait pas moins continué de lui lécher les lèvres avec tendresse, éprouvant un indicible plaisir. Sentant soudain celles-ci sentrouvrir légèrement, il sempressa dy infiltrer sa langue, comblé de bonheur. Fier de montrer son savoir, il entreprit aussitôt dagiter sa langue dans la bouche quil avait investie, cherchant, comme le lui avait appris Virginie, à débusquer la langue de sa partenaire.

Dabord attentive aux sensations que lui procurait le baiser maladroit, mais plein de fougue de Jérémy, Louise tenta de retrouver les souvenirs de sa jeunesse : du temps où Maurice et elle sembrassaient à tout bout de temps dune langue avide. Peu à peu danciennes saveurs quelle croyait oubliées à jamais vinrent lui titiller les papilles. Lorsque ces piments érotiques devinrent par trop prédominants, faisant naître en elle une onde de plaisir, Louise décida de répondre au baiser de son petit-fils ; voulant en même temps se prouver à elle-même quelle était encore capable de pratiquer ce type dexercice. Aussi cest le cur battant quelle repoussa la langue de Jérémy. Et retrouvant automatiquement ses habitudes dantan, elle enfonça la sienne dans la bouche de son jeune partenaire, quelle parcourut avec délectation. La saveur de la salive de Jérémy la grisa, au point quune bouffée de chaleur lenveloppa de la tête aux pieds.

Se laissant guider par un plaisir insidieux, elle explora habilement la bouche de son jeune partenaire, léchant délicatement les gencives avant den agacer la langue et le palais ; se grisant des sécrétions buccales de ce dernier.

Totalement passif, Jérémy goûta au baiser de sa grand-mère le cur battant. Ce quil ressentait à lexploration de cette langue experte le transportait dans un bonheur infini. Cela navait rien de comparable avec les baisers échangés avec Virginie. Envoûté par lart avec lequel sa grand-mère fouinait à lintérieur de sa bouche, il sabandonna au bien-être qui lenvahissait.

Retrouvant dans ce baiser les saveurs de sa jeunesse, Louise sentait le désir devenir de plus en plus intense au creux de ses entrailles. Au plus secret de son entrejambe, une source bien connue suintait dentre les grandes lèvres de sa vulve en émoi. Comprenant que si elle prolongeait plus longtemps ce baiser qui lui causait tant de félicité, elle risquait de ne pouvoir contrôler ses sens en ébullitions, elle sarracha avec regret de la bouche de son petit-fils.

Il faut que tu ailles te coucher mon chéri, réussit-elle à prononcer, dune voix que le désir rendait étrangement enrouée Et noublie pas de faire un brin de toilette, ajouta-t-elle coquine.

Bien quil eut voulu continuer cet envoutant baiser, Jérémy se retira lesprit enfiévré par ce quil venait de vivre.

Restée seule, Louise médita longuement sur ce quil venait de se passer entre elle et son petit-fils : la journée avait été riche en évènements. Tout avait commencé avec la venue de Julien son amant, quelle avait attiré dans la remise pour quil lui fasse lamour en labsence de Maurice, son époux. Tout avait démarré de là !… Alors que Julien la prenait avec toute la fougue de sa jeunesse, Louise, frénétiquement pistonnée, au comble de la jouissance avait soudainement découvert le visage de Jérémy les épiant depuis la soupente.

Suite à cette découverte, Louise avait décidé davoir une explication avec son petit-fils. Mais lorsquelle avait découvert lexcitation évidente de celui-ci, tout avait basculé dans son esprit. Encore perturbée sexuellement par ce quelle venait de vivre avec Julien, lidée lui était venue quelle devait venir en aide à Jérémy. Et cest avec énormément de plaisir quelle lavait masturbé, jusquà le faire décharger. Or depuis, Jérémy semblait lui vouer un amour qui dépassait ce que tout adolescent se doit déprouver pour sa grand-mère. Elle-même ressentait pour son petit-fils plus quune simple affection : le fait davoir tenu en main la jeune verge, de lavoir senti vibrer entre ses doigts, avant quelle néjecte sa semence, lui avait apporté un plaisir étrange, mais prodigieux. Et pour retrouver cette euphorie, elle était prête à rejeter tout principe moral, et même à ignorer le lien familial qui la liait à Jérémy

Tu ne viens pas te coucher !

La voix de Maurice, depuis la salle à manger, tira brusquement Louise de ses réflexions. Se levant de son banc, elle rentra retrouver son mari qui sapprêtait à rejoindre leur chambre.

Va te coucher. Je te rejoins dès que jaurais fait ma toilette, linforma-t-elle

Seule dans la salle deau, Louise se dévêtit prestement. Une fois sa blouse ôtée, elle dégrafa son soutien-gorge libérant ses seins, qui, privés de leur soutien, retombèrent mollement sur son torse. Puis glissant ses pouces sous lélastique de sa culotte, elle repoussa son vêtement intime le long de ses hanches, la faisant glisser jusquà ses pieds avant de sen débarrasser. Dans un reflex, tiré de son adolescence, elle se saisit de son slip, et le porta à ses narines, humant lentrejambe. Un fumet épicé la renseigna sur lhumidité qui maculait le tissu. Le désir qui lavait saisi alors quelle masturbait Jérémy avait laissé des traces évidentes dans sa culotte.

Rejetant son vêtement intime souillé, Louise, interrogative, se plaça face au grand miroir qui ornait lune des portes du meuble installé face à la baignoire. Longuement, elle examina, critique, limage que lui renvoyait le miroir. Ce quelle y découvrait, bien quelle y fût habituée, la laissa perplexe. Etais-ce à cause de ce sentiment nouveau quelle éprouvait à lencontre de son petit-fils, elle ressentit une contrariété à découvrir les rondeurs qui enveloppaient son corps. Fixant les deux masses lourdes et amollies de ses seins, elle les saisit au creux de ses mains, les rehaussant en les pressant lun contre lautre. Sa poitrine, qui avait fait sa fierté du temps de sa jeunesse, et qui lui avait attiré nombre de louanges masculines, avait perdu de son arrogance, même si elle avait peut-être gagné en sensualité. Cest ce que lui avait avoué Julien, sous lemprise de lexcitation

Tout en massant lascivement les fruits gonflés de sa poitrine, aux tétines moelleuses, dressées au centre de leurs aréoles bistre, Louise laissa descendre son regard jusquà son ventre au bas duquel moussait une abondante toison encore sombre. Là par contre, le dur travail de la ferme lui avait permis de garder un ventre plat, contrairement aux femmes de son âge, que la ménopause boursouflait disgracieusement.

Pivotant lentement sur elle-même Louise suivit son mouvement de rotation dans le miroir scrutant la partie pile de son anatomie. Contrairement à son ventre, ses hanches sétaient particulièrement arrondies, façonnant automatiquement sa croupe, la rendant plus large et même plus pulpeuse. Une vraie croupe de jument comme aimait la taquiner Maurice en lui claquant le derrière. Pinçant les chairs de ses fesses, séparées lune de lautre, parle la longue et profonde raie, elle les trouva encore fermes, ce qui lui redonna du baume au cur.

Satisfaite de son examen, Louise se dirigea alors jusquau lavabo afin de nettoyer sa vulve des sécrétions vaginales qui lavaient poissée, lors de la masturbation de Jérémy, et surtout du long baiser sensuel quils avaient partagé. Dédaignant le gant de toilette, elle se savonna copieusement les mains jusquà ce quune mousse blanche les recouvre entièrement. Alors elle passa sa paume moussue le long de sa fente, frottant ses grandes lèvres sexuelles afin de les débarrasser des restes de cyprine qui pouvait les souiller.

Mais à sastiquer ainsi le sexe ne fit que réveiller chez Louise ce sournois désir qui avait pris naissance dans ses entrailles lors des attouchements quelle avait effectués quelques instants plus tôt à son petit-fils. Lorsque la liqueur virile de Jérémy lui avait englué les doigts, un frisson lui avait parcouru le bas-ventre et elle avait senti sa fente shumidifier. Ce désir quelle avait alors ressenti à ce moment et quelle pensait disparu depuis, se rappelait à elle par un élancement voluptueux au creux du ventre. Ses doigts, dans leur besogne dablutions, venaient deffleurer cette excroissance magique, dispensatrice de félicité, nichée au creux de ses petites lèvres.

Comprenant quelle ne pourrait trouver le sommeil si le désir continuait à lui mordre ainsi les entrailles, Louise décida de calmer ce brasier quelle percevait au plus profond de son vagin, sachant que Maurice en serait bien incapable ; celui-ci devant déjà être endormi Aussi, jambes largement écartées, se maintenant au lavabo de la main gauche, elle continua à frotter les doigts de sa main droite le long de sa vulve, insistant plus particulièrement sur son clitoris dardé hors de son capuchon. Chaque passage de ses phalanges sur son bouton damour déclenchait des ondes voluptueuses qui lui procuraient dintenses bouffées de chaleur par tout le corps. Cétait comme si un brasier depuis son sexe en émoi recouvrait son corps dune sueur érotique, attisant ses sens avides.

Sous ce plaisir de plus en plus ensorcelant, Louise accentua sa masturbation. Fixant son visage ravagé dans le miroir placé au-dessus du lavabo, ce quelle y découvrit ne fit quaccentuer encore un peu plus son émoi. Ses joues sétaient étrangement colorées. De ses lèvres entrouvertes, un souffle précipité séchappait. Ses yeux brillaient dun éclat étrange, comme celui dun être possédé : dans son cas elle était possédée par le plaisir.

Alors quau creux de son vagin les langues de feu devenaient plus ardentes, Louise, rendue impatiente par ce sournois désir qui la faisait chanceler, abandonna momentanément le massage de son clitoris exacerbé. Sans avoir à chercher, tant lorifice de son sexe se trouvait dilaté, elle plongea son index et son majeur accolés à lintérieur de sa vulve gorgée de sucs vaginaux. Connaissant parfaitement les secrets de son sexe, elle entreprit den frôler la partie supérieure. Cet endroit secret de son vagin, où se situait cette zone qui lui procurait systématiquement un début dorgasme lorsquil était habilement massé. Après ce quelle venait de connaître avec son petit-fils, Louise était impatiente déteindre ce brasier qui lui consumait les entrailles.

Mais alors quelle agitait avec habilité ses phalanges à lintérieur de sa vulve, frôlant cette partie de son vagin ultrasensible, son regard se posa sur la tablette du lavabo. Trois verres y étaient alignés, chacun contenant une brosse à dents. La première appartenait à son mari, la seconde était la sienne et la troisième celle de Jérémy. A la vision des têtes de ces instruments aux poils raides, une idée aussi saugrenue que lubrique traversa lesprit de Louise. Que ressentirait-elle à frotter les poils fermes dune de ces brosses contre son clitoris exacerbé ?… A peine lidée layant effleurée quelle décida de tenter lexpérience. Retirant ses doigts de sa chatte ruisselante de mouille, elle se saisit, comble de perversité, de la brosse appartenant à son petit-fils.

Le cur battant, terriblement émue à lidée de ce quelle allait entreprendre, Louise plaça la tête de la brosse contre son bouton damour gonflé. Curieuse de connaître les effets que pouvait procurer le frottement des poils contre son clitoris, elle fit coulisser linstrument sanitaire en un mouvement de va-et-vient le long de sa fente. Sous la friction de la brosse contre son excroissance sexuelle, Louise ressentit un plaisir étrange qui la fit frissonner. Etonnée, mais enchantée par cette onde voluptueuse créée par le brossage de son bouton, à laide dune simple brosse à dents, Louise répéta le mouvement, mais en appuyant plus fortement les poils contre son clitoris. Au bout de deux ou trois frottements, une nouvelle houle incendiaire prenant naissance au plus profond de ses entrailles se propagea dans tout son corps, la faisant se cambrer.

Alors sous ce plaisir lancinant, qui tel un raz de marée, envahissait par vagues successives ses terminaisons érogènes, lui procurant une volupté de plus en plus impétueuse, Louise accéléra le va-et-vient de la brosse à dents. Le persistant désir quelle ressentait depuis que Jérémy lui avait déchargé sa semence dans la main ne put résister plus longtemps aux frottements accélérés que subissait son bouton damour. Percevant limminence de la jouissance qui allait lemporter, Louise, dans un geste fou, glissa la brosse à lintérieur de son vagin embrasé, quelle ramona activement. Les poils mi-durs raclant les parois de sa vulve embrasée embrasèrent alors la totalité de son vagin. Le corps soudainement tétanisé, sentant ses jambes se dérober sous elle, Louise se cramponna désespérément au lavabo, tandis quun orgasme dune rare violence la faisait haleter

Durant un long moment, agrippée au lavabo, elle demeura dans une sorte de torpeur sensuelle, étrangère à tout ce qui lentourait Lorsquelle reprit ses esprits, ses sens enfin assagis, elle retira délicatement la brosse à dents de son vagin apaisé. Avec un sourire complice, elle reposa lappareil dentaire quelle avait détourné de son usage premier, à sa place dans le verre appartenant à Jérémy, avant de regagner sa chambre

*

* *

Comme chaque matin, et cela depuis des années, Louise et Maurice se retrouvèrent, dès cinq heures trente, devant un bol de café accompagné de tartines. Tout en petit-déjeunant, les deux époux parlèrent des différentes tâches à effectuer.

La dernière tartine avalée, Maurice se leva de la table pour aller mener les chèvres au parc, premier travail de la journée.

Tu penses à réparer les clôtures, lui rappela Louise, tout en débarrassant la table.

Restée seule, Louise soccupa à ranger la cuisine. Tout en sactivant à ses tâches ménagères, elle se remémora sa journée de la veille. Celle-ci avait été particulièrement riche en évènements sexuels. Elle avait agréablement débutée avec Julien son amant, qui du fait de labsence de son mari à la ferme, avait pu la combler à son aise, lui faisant connaître de merveilleux instants de plaisir.

Puis il y avait eu la découverte de la sexualité de son petit-fils, quelle avait, en tant que grand-mère, voulu apaiser, ainsi quelle le faisait lorsquenfant Jérémy, éprouvait un problème. Pour cela elle avait eu une réaction que ce matin, à tête reposée, elle jugeait complètement incompréhensible. Dans un excès de tendresse et surtout de perversité, dû sans doute à ce quelle avait connu avec son amant quelques instants plus tôt, elle navait pas hésité à branler son propre petit-fils ; le faisant décharger sa jeune semence. Etrangement, à découvrir le plaisir sur le visage de son adolescent de petit-fils, elle en avait ressenti une joie incroyable : une joie dune telle intensité, que le soir même elle navait pas hésité à renouveler sa licencieuse caresse.

Ce matin, après une nuit de repos, songeant à ses attouchements de la veille à lencontre de son petit-fils, Louise dut savouer quelle avait pris énormément de plaisir à faire jouir Jérémy : même si ses masturbations répétées relevaient de linceste et quelque peu de la pédophilie. Ce qui avait surtout provoqué chez elle ce plaisir incroyable, avait été le fait de sentir tressauter dans sa main cette jeune virilité, de la voir lâcher en jets répétitifs sa semence étrangement fluide… Cela lavait ramené au temps de sa jeunesse. Cette période particulière où elle avait découvert ce mystérieux zizi des garçons, qui devenait tout raide lorsquon le manipulait et qui parfois crachait un étrange liquide.

A réfléchir à sa conduite envers son petit-fils et au plaisir quelle y avait pris, Louise songea, quelque peu honteuse, que si loccasion devait se représenter, cest avec joie quelle recommencerait. Pouvoir de nouveau presser entre ses doigts cette jeune verge, en percevoir la rigidité veloutée contre sa paume, la sentir frémir à lapproche de léjaculation. Louise, toute à ses pensées perverses, tressaillit subitement.

Bonjour, Mamie !

Oh, bonjour, mon chéri, sursauta Louise, totalement surprise !… Tu es déjà réveillé, sétonna-t-elle en jetant un regard à la pendule accrochée au mur ?

Celle-ci indiquait sept heures.

Cela faisait une demi-heure que Jérémy sétait réveillé. Comme chaque matin, son premier réflex avait été de glisser sa main sous son pantalon de pyjama où il savait trouver son membre en parfaite érection. Encore dans une semi-somnolence, il avait refermé ses doigts sur cette trique de chair qui se dressait au bas de son ventre. Plus par habitude que par envie, il avait commencé à se branler dune main indolente. Puis les brumes du sommeil se dissipant, les souvenirs de la veille revinrent en foule dans son esprit. Ce furent surtout les instants passés en tête à tête avec sa grand-mère qui ressurgirent en priorité ; ces instants merveilleux où sa tendre mamie lavait si agréablement branlé. Jamais dans ces rêves les plus fous il naurait pu imaginer un tel scénario.

Mais à se rappeler ces scènes où sa grand-mère lavait si délicieusement masturbé, jusquà le faire jouir, ne fit quaggraver le désir matinal qui raidissait sa verge. Aussi, presque inconsciemment, Jérémy accéléra le va-et-vient de sa main le long de sa queue devenue soudainement plus dure. Les yeux clos, pour mieux revivre les instants extraordinaires où sa grand-mère, avec une habileté diabolique, lavait amené à lorgasme, ladolescent activa sa caresse, bien décidé à se faire jouir avant de se lever. Soudain, un bruit venant de la cuisine lui fit tendre loreille. Connaissant les habitudes de ses grands-parents, Jérémy réalisa que sa grand-mère devait se trouver seule, son grand-père étant déjà à soccuper hors de la ferme. Un espoir insensé lui fit alors abandonner sa masturbation. Oubliant son érection, il séjecta du lit pour se rendre à la cuisine.

    Dabord surprise par lapparition si tôt de son petit-fils, Louise neut pas le temps de trop se poser la question que Jérémy se jetait à son cou, lembrassant avec fougue sur les deux joues. Amusée par cette impétuosité matinale de ladolescent, elle referma ses bras autour de la taille de ce dernier :

Arrête grand fou, tenta-t-elle de plaisanter, attendrie Tu vas me

Sa phrase resta bloquée dans sa gorge par la surprise ! Contre son ventre, malgré les vêtements qui les protégeaient Jérémy et elle, elle perçut une dureté quelle identifia immédiatement : son petit-fils était lobjet dune magistrale érection. Cette raideur, quelle détectait contre son pubis, agit alors sur ses sens comme un puissant aphrodisiaque : une bouffée de désir enflamma son sexe déjà en émoi. Elle aurait dû sécarter pour mettre un terme à ce contact licencieux, mais le plaisir quelle en éprouvait était bien trop grand pour quelle y mette fin.

Après ce quil sétait passé la veille entre Jérémy et elle, Louise refusa de se montrer hypocrite et faire semblant dêtre choquée. Au contraire. Se laissant entraîner par sa libido en désarroi, elle ondula des hanches, frottant de son ventre, le membre érigé quelle percevait.

Huumm, quest-ce que je sens là, minauda-t-elle ?… Quest-ce que tu caches dans ton pyjama ? Continua-t-elle, prenant un réel plaisir à affoler ladolescent par ses attouchements et par ses paroles.

Se reculant légèrement, de façon à laisser un espace entre son ventre et le membre gonflé, Louise y glissa immédiatement une main exploratrice. Refermant ses doigts autour de limpudique excroissance qui déformait le pyjama, elle sextasia dune voix taquine :

Oh ! Mon petit homme à une grosse envie !…

  A linstant où sa grand-mère referma ses doigts autour de sa verge en érection, Jérémy sentit tout son bas-ventre se contracter dans lattente dune caresse plus précise. Mais son attente fut brutalement stoppée lorsque Louise, lâchant sa virilité enflée, lui précisa dune voix friponne :

Déjeune dabord !… On soccupera de ton gros problème après !…

Rassuré sur la suite des évènements, certain que sa grand-mère, comme la veille, le branlerait, Jérémy sinstalla sur le banc de bois, adossé contre le mur de la cuisine.

Attendant dêtre servi comme il en avait lhabitude, il suivit dun il intéressé les déplacements de sa grand-mère. Chaque fois que cette dernière lui tournait le dos, il ne pouvait sempêcher de fixer les courbes aguichantes de ses hanches, que la blouse épousait avec une précision terriblement érotique pour ses jeunes sens. Par moment, suivant les mouvements queffectuait Louise, le tissu se plaquait sur les rotondités de la croupe, mettant en valeur les doubles rondeurs des fesses rebondies.

Lorsque tenant la cafetière fumante à la main, sa grand-mère se pencha pour remplir son bol, Jérémy ne put sempêcher de lorgner les deux protubérances qui déformaient le devant de la blouse. Depuis que sa grand-mère lui avait permis, la veille, de tâter sa poitrine, Jérémy navait cessé de fantasmer sur ces appas mammaires dont il avait apprécié lélasticité, malgré les vêtements qui les recouvraient. Une seule idée sétait implantée dans son esprit : pouvoir de nouveau palper ces seins qui le faisaient tant rêver.

Ayant remis la cafetière sur son socle afin de garder au chaud le café restant, Louise vint sinstaller naturellement sur le banc, aux côtés de son petit-fils. Elle lui avait promis de résoudre son problème sexuel dès son petit-déjeuner avalé, mais à la pensée de retrouver dans sa main la jeune verge palpitante, une impatience érotique la rendait fébrile. Regardant ladolescent déguster ses tartines de beurre, elle ne put résister au désir qui lui mordait les entrailles. Naturellement, elle posa sa main droite à même le pubis de ladolescent, sachant y trouver lobjet de ses désirs. Surprise, elle constata que le membre viril quelle espérait trouver en état dérection, navait plus la dureté quelle escomptait ; lexcitation de Jérémy était quelque peu retombée. Légèrement déçue, mais décidée quand même à aller jusquau bout de ses envies, Louise pressa tendrement la verge moins ferme.

Ça va mieux mon chéri, demanda-t-elle en massant doucement le pénis quelle percevait sous le tissu du pyjama Tu nas plus envie, continua-t-elle perverse ?…

Tout occupé à déjeuner, Jérémy avait failli sétrangler de surprise lorsque la main de sa grand-mère était venue lui presser la bitte à travers son pyjama. La fièvre sexuelle, qui lavait amené à se branler quelques instants plus tôt, lavait quelque peu abandonné. Mais la prise en main de son membre par sa grand-mère redonna à celui-ci un regain de vigueur. Insensiblement ladolescent sentit sa queue se raidir de nouveau.

Ce réveil sexuel, Louise aussi le perçut. Aussi continua-t-elle à masser habilement la protubérance qui commençait à prendre forme, soulevant le tissu du pyjama.

Finis de déjeuner, mon chéri, conseilla-t-elle à lattention de Jérémy qui avait abandonné sa tartine lorsquelle lui avait empoigné le sexe On a le temps Ton grand-père est parti réparer des clôtures, il ne reviendra certainement pas avant midi

Malgré les encouragements de sa grand-mère à finir de déjeuner, Jérémy délaissa ses tartines, trop préoccupé par les attouchements dont son sexe était lobjet. Le frottement des doigts par-dessus son pyjama, sil lui procurait une certaine excitation, ne répondait pas à ce quil espérait. La veille, et par deux fois, sa grand-mère lui avait prodigué une tout autre caresse. La première fois quelle sétait emparée de sa verge pour la branler, lémotion avait été telle quil navait pu résister très longtemps à lhabile masturbation. Il avait éjaculé au bout de quelques minutes, poissant les doigts de sa grand-mère de son sperme abondant. Le soir même Louise avait réédité sa caresse du matin, et malgré les efforts quil avait faits, Jérémy avait joui encore une fois très rapidement, même sil avait tenu un peu plus longtemps que lors de la précédente masturbation.

Mais ce matin, ladolescent était décidé, si sa grand-mère le branlait de nouveau, comme il lespérait, il sétait promis de tout faire pour retarder la jouissance.

A masser avec insistance, mais avec beaucoup de douceur, le sexe de Jérémy, quelle sentait reprendre de la vigueur sous ses doigts, Louise ressentit un immense bonheur. Elle allait de nouveau pouvoir serrer entre ses doigts cette jeune queue encore glabre, si ferme et si douce au toucher. A cette pensée elle ressentit une bouffée de désir lenvahir. Réussissant à calmer son trouble érotique, elle tenta de plaisanter :

On dirait que le petit oiseau sest réveillé Voyons voir sil est prêt à chanter, continua-t-elle en repoussant le pyjama, qui lui cachait lobjet de ses désirs.

Libéré la verge juvénile se dressa orgueilleusement. Devant ce menhir de chair qui semblait la narguer, Louise demeura un instant immobile à contempler cette virilité insolente qui sérigeait au-dessus des bourses quaucun duvet ne venait assombrir, les rendant particulièrement duveteuses. Emue devant le spectacle de cette queue affolante qui quémandait une caresse, elle referma délicatement ses doigts autour. Au contact de cette chair veloutée, si dure et si douce en même temps, un frisson sensuel la parcourut toute. Lentement, comme elle laurait fait avec un objet fragile, elle fit coulisser sa main le long du membre dressé, en une caresse quelle tenta de rendre la plus suave possible. Des années de pratique de ce genre de cajolerie lavaient rendue experte. Aussi sachant comment procurer ce plaisir que Jérémy attendait de sa part, elle accéléra insensiblement le va-et-vient de sa main le long de la jeune queue érigée. Les yeux clos, les lèvres pincées, Jérémy semblait apprécier la sensuelle masturbation dont il était lobjet. Heureuse du résultat de sa masturbation quelle sexerçait à rendre la plus sensuelle possible, Louise porta son regard sur les mouvements de sa main. A chaque fois que celle-ci opérait un déplacement vers le bas, jaillissait, tel un diablotin malicieux, le dôme rose du gland dilaté.

La vue du bourgeon de chair apparaissant entre ses doigts refermés généra un plaisir sournois chez Louise. Elle sentit une onde bien connue lui parcourir le bas-ventre, tandis quun insidieux désir lui embrasait les entrailles. Cet attouchement quelle avait entrepris dans le but dapporter du plaisir à son petit-fils la troublait singulièrement ; elle se trouvait prise à son propre jeu. Au contact du membre viril à la morphologie si stimulante sexuellement, ses sens sétaient brusquement rappelés à elle, déclenchant au plus profond de son sexe une chaleur bien connue.

Adossé au mur, les yeux clos, savourant le savoureux frôlement des doigts le long de sa verge frémissante, Jérémy appréciait cette merveilleuse masturbation que lui prodiguait sa grand-mère. Chaque effleurement sur le dôme sensible de son gland lui procurait une sensation voluptueuse. Fidèle à la promesse quil sétait faite de retarder au maximum sa jouissance, il tentait de contracter son bas-ventre dans lespoir quainsi le plaisir serait plus long à venir et quil pourrait le maîtriser.

Fixant avec envie le gland gonflé, qui, tel un champignon, jaillissait dentre ses doigts, Louise éprouva une envie irrésistible de le saisir entre ses lèvres. Déjà la veille, lors de la masturbation quelle avait pratiquée à lencontre de Jérémy, le désir de sucer cette jeune verge arrogante lavait saisi ; mais nosant assumer son envie, retenue par un étrange sentiment de pudeur, elle sétait contentée de branler son petit-fils, le faisant jouir de sa main. Mais ce matin, le désir de goûter cet envoutant fruit de chair se faisait particulièrement insistant. Ne pouvant résister plus longtemps à son indécente convoitise, Louise se pencha en direction de la jeune verge quelle maintint verticalement, pour en aspirer dune bouche gourmande le dôme joufflu. Un long frisson de plaisir lui traversa le bas-ventre lorsque ses lèvres coulissèrent le long du membre viril, jusquà ce que le gland gonflé lui obstrue le gosier.

Ivre de luxure, elle garda la bite dure et veloutée à lintérieur de sa bouche quelques minutes, appréciant sa fermeté et son moelleux. Puis lentement, millimètre par millimètre, elle la recracha, jusquà ce que le frein du gland atteigne ses lèvres avec lesquelles elle le pressa, tel un fruit mûr. Puis elle aspira de nouveau le bourgeon de chair au fond de son gosier, pour le recracher presque immédiatement, entamant une fellation dans laquelle elle sappliqua, y consacrant tout son savoir.

Percevant soudain une étrange chaleur humide envelopper sa verge, Jérémy, surpris et curieux den connaître lorigine, sempressa de jeter un coup dil en direction de son bas-ventre. Ce quil découvrit le stupéfia, décuplant dun coup le désir qui lhabitait. Penchée sur son bas-ventre, sa grand-mère avait saisi son membre dans sa bouche, doù cette soudaine tiédeur ressentie. Les mouvements alternés de la tête de sa chère mamy, de bas en haut, renseignèrent ladolescent sur loccupation à laquelle cette dernière soccupait. Sa grand-mère lui faisait une pipe ! Cette caresse dont il avait tant rêvé lorsquil parcourait les revues pornos !… Que de fois en avait-il parlé avec ses camarades de collège de cette caresse buccale, chacun donnant son avis sans jamais y avoir goûté.

Le va-et-vient chaud et humide le long de sa verge, caresse quil découvrait pour la première fois, eut très vite raison des promesses quil sétait faites. Malgré ses efforts pour retenir sa jouissance, il sentit le plaisir accéder à son sexe ; grimper graduellement depuis ses couilles jusquà sa verge tendue. Comprenant quil allait être incapable de retenir léjaculation quil sentait sur le point de jaillir de son gland dilaté, il agrippa désespérément la chevelure de sa grand-mère, occupée à le sucer.

Mamie Ça ça vient, gémit-il

Mais il eut beau tenter de repousser le visage de Louise de son bas-ventre, de lobliger à lâcher son membre prêt à exploser, il ne réussit quà enfoncer celui-ci un peu plus loin dans le gosier de sa grand-mère. Au moment où cette dernière lui empoignait les couilles, les pressant au creux de sa main, un véritable feu dartifice explosa derrière ses paupières closes. Sa verge, prisonnière des lèvres onctueuses, tressauta furieusement alors que de son gland dilaté de longs jets de sperme jaillissaient, inondant copieusement la bouche qui lavait absorbé.

Le corps tétanisé par un orgasme fulgurant, Jérémy ne put que sagripper désespérément à la chevelure de sa grand-mère pendant tout le temps que dura son éjaculation libératrice.

Gardant en bouche labondante semence virile que Jérémy lui octroyait en grognant, Louise attendit que ce dernier ait fini déjaculer avant davaler avec gourmandise la liqueur intime, appréciant le goût acre et légèrement salé. Puis la jeune verge ayant perdu sa rigidité sexuelle, elle se décida à la libérée, non sans en lécher méticuleusement le gland encore gonflé, le nettoyant des derniers résidus de sperme. Alors seulement elle se redressa pour fixer attendrie le visage extasié de son petit-fils.

Cétait bon, questionna-t-elle, émue de ce quelle venait daccomplir

Oh oui !…

Devant le regard plein dadoration de Jérémy, Louise se sentit soudainement le cur débordant damour.

Tu aimerais que lon recommence, réussit-elle à articuler ?

Oh oui mamie sil te plait

Tu as aimé ?

Que pouvait répondre Jérémy à pareille question. Jamais lors de ses masturbations solitaires le plaisir ressenti navait été si fulgurant et si agréable en même temps. Lorsquavec ses copains de collège il échangeait son point de vue pour cette caresse buccale, chacun donnant son avis, il était loin de simaginer quune fellation pouvait apporter une telle jouissance.

Tu te doutes bien mon chéri que ce que je viens de faire nest pas normal !… Une grand-mère ne peut donner du plaisir à son petit-fils, ainsi que je lai fait !… Tu comprends, mon chéri

Oui mamie, bégaya Jérémie, déjà chagriné à lidée que sa grand-mère refuse à lui prodiguer de nouveau cette si voluptueuse caresse.

Tu ne dois jamais parler de ce que nous avons fait, à qui que ce soit !… Surtout à tes copains !… Tu me le promets ?… Si jamais tes parents apprenaient, tu te rends compte de ce qui arriverait ?

Oui, mamie, je te jure que je ne dirais rien, reprenant confiance quant à la suite de son aventure amoureuse.

Cest bien, mon chéri Ce sera notre secret à tous les deux !…

On on pourra recommencer ?

Tu aimerais ?…

Oh, oui !

Eh bien, on verra Il faudra faire attention à ce que ton grand-père ne puisse nous surprendre Mais je te promets que oui Moi aussi jai aimé te donner du plaisir mais en attendant, vas faire ta toilette, et noublie pas de bien laver ton ta ton zizi

Il y avait vraiment des mots quelle ne pouvait prononcer avec Jérémy, même après lui avoir « taillé une pipe » et lavoir fait jouir dans sa bouche

Une fois seule, Louise entreprit de ranger la cuisine. Tout en débarrassant la table des couverts du petit-déjeuner de Jérémy, elle ne put empêcher son esprit de revivre les instants passés. Même si elle se rendait compte combien son comportement vis-à-vis de son petit-fils était contre nature, le plaisir que celui-ci avait connu la comblait de bonheur et suffisait à exclure le repentir quelle aurait dû ressentir. Et pour voir encore une fois son petit-fils aussi heureux, elle était prête à recommencer. Il lui fallait juste trouver le moment idéal.

Mais tout en soccupant de ses tâches ménagères, Louise ne pouvait ignorer cette douce chaleur qui embrasait son sexe ni cette source qui suintait subtilement dentre ses grandes lèvres sexuelles. Si elle avait su procurer du plaisir à Jérémy en le faisant décharger son surplus de sperme, lémission de cette semence chaude et épaisse au fond de sa gorge, avait éveillé en elle un désir sournois, qui maintenant lui taraudait le bas-ventre. Ne voulant succomber à ses sens excités, Louise sempressa de se rendre dans son laboratoire afin de soccuper lesprit à confectionner ses fromages.

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