Elle me raconte lhistoire avec un grand sourire. Une collègue de travail, sans gêne, peut-être à voile et à vapeur, et qui lui fait des compliments sur sa poitrine quelle trouve fort jolie et quelle jalouse et quelle a envie de toucher. Et cette dernière de joindre le geste à la parole en avançant une main leste qui caresse les deux mamelles de Margrett.
— Je nai pas eu le temps de réagir, dit-elle en riant!
— Ben voyons, répondis-je, émoustillé à lidée de toucher les seins de Margrett.
Du coup je fais mine davancer une des miennes dans la direction de ses petits seins. Elle recule, mévite et rit. Jinsiste, et la voilà qui rit de plus belle. Cela prend une tournure de duel. Je lui indique quil est interdit dessayer sur moi. Une invitation quelle accepte dun geste rapide en criant « touché ». je ne parviens pas à la toucher mais je l’agrippe et elle se retrouve collée contre moi, sourire aux lèvre. Mon sang ne fait quun tour. Javance mes lèvres vers les siennes. Elle tourne la tête, se dérobe, jinsiste. Je réussis à voler un baiser. Je persiste et parviens finalement à lembrasser vraiment. Mes mains courent sur sa robe longue. Nos langues semmêlent, nos salives se mélangent et mes mains se font plus insistantes, précises. Margrett bouge comme un serpent, pour méviter. Mais je réussi à glisser une main dessous et la plaque sur sa culotte. Margrett continue cependant à me donner sa bouche, je la sens comme une glace qui fond. Ma petite main sincruste dans la culotte, et se pose sur sa chatte. Surprise: la demoiselle se rase! Pas intégralement, certes, mais suffisamment pour que mon sexe se redresse tout à coup. Je commence une masturbation douce, légère, mais précise et soutenue. Mon autre main sest lancée dans le déshabillage de la jolie blonde. Margrett le subit sans plus de protestations, et sa langue nest pas moins hardie sur la mienne. Au contraire me semble-t-il. Je laisse tomber la robe et retire sans difficulté le soutien-gorge. Je baisse enfin mon visage vers les petites choses roses et en prend une entre mes lèvres. Je lèche, je tète, je mords. Margrett râle. De plaisir. Et puis mon autre main ne mollit pas et remue désormais dans un sexe ouvert et plutôt trempé. Ce qui ne veut pas encore dire victoire. Pas doptimisme déplacé! Mais lorsque je fais glisser le slip sur ses chevilles, cest elle qui sen débarrasse. Je peux malaxer son superbe cul, poser ma langue partout, laisser aller mes mains à laventure. Elle a un dos magnifique que je lèche sur toute la longueur, que je caresse avec avidité. Je presse sa poitrine entre mes mains et mord les bout. Ses magnifiques fesses procurent beaucoup de plaisir à mes yeux et mes manipulations. Je lembrasse de plus belle et maccroupis. Je commence un léchage en règle de cette chatte presque nu. Jagace, je frôle, je presse. Elle lève une jambe quelle pose sur laccoudoir proche du canapé. Je glisse un doigt dedans, puis deux et continue mes manigances orales. Elle jouit semble-t-il! Oui! Je glisse derrière. Pas question de ne pas profiter de ce cul formidable et dont elle est si fière. Jécarte des deux mains et appuie tout de suite à lentrée. Le sphincter cède tout de suite, alors je mintroduis. Le trou sélargit, je pousse, je mengage, je vais plus loin, plus loin encore. Margrett gémit, se touche le bouton. Jarrive à la voir se malaxer les seins comme une malade. Je remplace ma langue par un index. Il va et vient sans révolte. Jy joins un majeur plus coriace. Elle se masturbe le bouton, sa langue mouille ses lèvres. Je nen reviens pas. La blonde jouit pour la seconde fois, devant, derrière! Debout derrière elle je sors ma queue tendue comme la corde dun arc. A lentrée du vagin je pousse à peine, cest plutôt lui qui maspire. Margrett est plus profonde que ce que je croyais et je menfonce en entier en elle. Je maccroche à sa poitrine et lèche sa bouche qui souvre pour laisser sortir une langue que je lèche à son tour. Mes va et vient se font plus rapides, plus systématiques, plus violents et profond. On dirait que mon chibre veut transpercer cette créature. On dirait que cette chatte veut avaler ma bite. Je la masturbe de plus belle. Elle jouit une troisième fois. Avec moi. Je me répands dans ce trou imbibé de mouille et de foutre. Mais je ne débande pas pour autant. Cest bien la première fois! Je pointe mon mandrin splendidement dressé à lentrée de lanus. Refus poli de la belle! Margrett nest pas encore la femme délurée que je souhaiterais. Quà cela ne tienne, je menfonce de nouveau dans sa chatte et, cette fois lime comme une brute épaisse. Je veux lui faire mal, la punir de ce refus. Mais la belle blonde encaisse avec un plaisir certain tous mes coups de hanches, mes caresses. Ultime concession, je glisse à nouveau deux doigts sournois dans le cul ouvert. Margrett jouit encore, fort. Et moi, comme pour lhumilier, je me masturbe entre ses fesses, contre mes propres phalanges et je jouis, jévacue mon sperme sur son dos. Je mécroule avec elle et lembrasse de plus belle, à pleine bouche.
***
Je la connais assez maintenant pour lengager sur une voie quelle naurait pas empruntée. Enfin, peut-être pas! Lorsque je lui fais part de ma proposition, lidée de se retrouver confrontée à lignoble, le laid, la crasse et le sordide, leffraie littéralement. Et lexcite follement. Je le voie dans ses yeux. Elle refuse, jinsiste. Rien à faire.
Le lendemain, jai prévenu les frères Guérin, Luc et Marc et jamène Margrett dans leur petit atelier. Arrivée sur les lieux, elle ne peut plus rien opposer, de crainte de la réaction des deux olibrius. Ils sont infects, comme prévu, et laids à souhait. Le visage incrusté de boutons, de crevasses, de verrues. Luc est blond, Marc, brun. Ils sont en bleu de travail et gros godillots. Sans prévenir je la pousse dans les bras de Luc. Il est ventru et lorsque ses grosses mains de mécano se posent sur les bras menus de Margrett, je trouve limage improbable. Luc embrasse Margrett sans ménagement. Et lorsquil la passe à son frère, Margrett se laisse embrasser à pleine bouche. Ils sont tels que je limaginais : sans imagination. Des brutes excitées qui cèdent à la moindre envie. Margrett se retrouve nue devant eux presquimmédiatement. Leur caresses sont frustres et ils déballent leurs engins aussitôt. Impressionnant! Des matraques dau moins vingt cinq bons centimètres. Et je juge court, croyez-moi! Margrett, apeurée, refuse de sucer ces choses. Jaurais pensé que les frères aurait mal pris la chose, mais non! Ils rigolent, habitués à faire peur sans doute. Luc salive sur son sexe et une fois Margrett couchée sur latelier lui écarte les jambes superbement fuselées. Il crache sur les lèvres et senfonce dun coup dans la chatte délicate de Margrett. Elle crie. Il faut dire que de tels engins doivent salement faire de leffet. Mais lorsque Marc remplace Luc, les sanglots de Margrett se font plus modulés. Elle commence à apprécier dêtre ainsi malmenée. Il faut dire que les frères Guérin la bourre de coups de reins puissants. Et ils doivent cogner au fond car ils ne peuvent pas enfoncer en entier leur trique trop longue, trop large. Margrett commence à prendre du plaisir. Elle secoue la tête de gauche à droite, shumecte les lèvres, caresse, à son tour, les poitrails, saccroche aux bras musculeux, pousse vers eux. Elle jouit. Mais les frères sont plus gourmands et plus malins quil ny paraît! Et puis, je les ai avertis. Ils retournent Margrett et la couche de coté, écartent les fesses et enfoncent chacun un doigt dans lanus. Surprise, Margrett étouffe un nouveau crie. Ce qui naurait servi à rien. Luc, laîné, salive sur lanus et renouvelle la pénétration manuelle avec conviction. Cette fois, Margrett subit trois doigts anaux. Et Marc sest porté au-devant de la dame, le chibre à la main. Et il entend bien se faire sucer. Margrett, cette fois, ne peux quouvrir la bouche et engouffrer cet énorme mandrin comme elle le peut! Si, au début, elle semble au bord de lécurement, voir au vomissement, elle y met peu à peu du sien et réussi tout à fait à gober un bon morceau de cette viande quelle apprécie de plus en plus. Et puis Luc, lassé dune trop longue préparation, pointe déjà le bout de son mandrin devant lanus détendu. Il pousse sans faillir, par à-coup et fait rentrer la bête centimètre par centimètre. Je vois les yeux exorbités de Margrett sagrandir au fur et à mesure. Et Marc na à ce moment-là aucune pitié. Lui aussi pousse, mais dans la bouche. Margrett est alors embrochée par le haut et le derrière, et se fait limer par ces deux monstres sans douceur. Je suis surpris de voir une Margrett se faire sodomiser sans pleurs ni hurlement. Les chibres vont et viennent en cadence et Margrett assure une pipe affamée à Marc qui commence à dodeliner de la tête. Cest le moment choisit pour effectuer un changement. La blonde se retrouve à quatre pattes, jambes écartée, comme les fesses. Je me surprends à me demander si Margrett est vraiment vierge de lanus comme elle le prétend. Car lorsque Marc lembroche par le rectum, la bite y entre sans résistance, ou presque, et sy enfonce sans encombre. Et Margrett, si elle souffle fort, ne hurle pas de douleur. Au contraire. Elle est assez concentrée pour ouvrir la bouche lorsque Luc lui présente son morceau de chair sous les yeux. Je la vois faire des efforts pour Marc de même que pour Luc. Cest elle-même qui sécarte les globes fessiers et facilite la sodomie. Je ne peux mempêcher de me masturber en regardant ce spectacle. Je sais déjà que je vais avoir envie, moi aussi de la posséder. Les deux frères, sans se consulter décident de changer de trou et cest Luc qui revient enculer Margrett sans ménagement, dun coup de rein sec. On sent quil aime ce cul, sy enfoncer, y prendre ses aises. Il le ramone aussitôt, concentré sur son propre plaisir. Marc saisi le visage de la blonde sous le menton, pointe sa queue raide devant la bouche qui souvre comme par réflexe. A son tour, il y entre en prenant soin de bien remplir cette bouche trop petite pour un outil de son calibre. Il va au plus profond, y reste un instant, se retire, revient. Chaque fois je vois sur son visage le rictus hideux du délice mesquin. Luc accélère lallure dans lillet de Margrett qui commence à gémir. Ses trémolos indiquent une sourde jouissance anale. Les deux horribles ne sy trompent pas et attendent un peu avant, de nouveau, déchanger leur place. Cette fois Margrett dévore la bite de Luc qui sort de son anus alors quelle étire ses fesses comme une insensée pour bien montrer sa cible rectale à Marc. Il ne se fait pas prier et transperce le sphincter sans résistance. Et il ne mollit pas dans la cadence quil dicte. Cest un marteau piqueur démesuré qui pilonne lanus de la jolie blonde. Cela se termine forcément par une coulée de lave épaisse. Marc et Luc se vident alors sur le visage dune Margrett aux yeux révulsés mais assez lucide pour avaler de longues giclées de sperme et les avaler en le montrant bien à ses deux inquisiteurs.