Si je suis d’un naturel à peine anxieux, avec cette nouvelle donne, mon stress est au maximum à chaque instant. Je ne peux me reposer sur aucune certitude, ni même sur aucune expérience passée. J’ai bien compris que ce qui pouvait passer un jour donnerait lieu à une punition un autre jour. La tension est maximale et je suis en permanence aux aguets de ma Femme, de la maison et de tout notre environnement, passant mes nuits à penser à ce qui pourrait lui faire plaisir ou au contraire lui déplaire. C’était épuisant et difficile. Je suis d’une fébrilité folle, cela me prend toute mon énergie, mais paradoxalement dope encore plus ma libido. Je ne comprends vraiment pas comment je fonctionne !
La première punition tombe à un retour du travail de ma Femme, celle-ci trouvant une assiette sale dans l’évier que je n’avais pas encore mise au lave-vaisselle. Je m’en veux, car j’aurais dû savoir que cela lui déplairait. La cuisine est impeccable, tout est rangé, sauf cette maudite assiette. Elle me convoque à ses pieds, je me mets à genoux et après une dizaine de gifles à toute volée sur mon visage, elle m’ordonne de porter les pinces crocodiles avec les poids de 200 grammes jusqu’au coucher. Je suis habitué à des punitions de 10 minutes, mais là, il s’agit de plusieurs heures ! Je suis interloqué de la différence de traitement. Je me demande ce qui d’un coup l’a rendue bien plus exigeante et sévère. Avant, elle avait peur que ce soit trop dur, de me blesser, que je la déteste de souffrir ainsi, que je me rebelle. Et maintenant, plus rien de tout cela, juste une volonté implacable qui me séduit. Je dois l’avouer.
Autant les punitions me laissaient de marbre auparavant, autant là ce n’est plus le cas.
La douleur s’intensifie et je ne pense plus qu’à cela, ma fébrilité augmente et j’ai peur de faire de nouvelles erreurs. Je redouble d’attention pour lui servir le repas, elle ne s’inquiète en rien de ma douleur, et converse comme si de rien n’était.
Et d’ailleurs, ce n’est rien pour elle, je le comprends parfaitement. Je fais attention à chacune de mes paroles et je suis très concentré sur l’usage du vouvoiement. Dans cette situation, le tutoiement me semble vraiment déplacé et je ne voudrais pas dune autre punition. Celle-ci est finalement supportable même si la douleur est terrible quand j’enlève les pinces, sous son regard sadique et excité, ne retenant pas un cri étouffé. Elle adore m’entendre souffrir, c’est même sa plus grande excitation. Il est temps de se coucher, et comme tous les soirs, elle me désigne le plug qu’elle veut que je mette devant elle. C’est un autre de ses grands plaisirs, les intromissions, et toutes les nuits désormais, je dors rempli. Parfois le gode est anecdotique, mais cela reste rare. Ce soir, comme elle est très excitée, c’est l’énorme plug métallique de 2 kilos que je dois engouffrer dans mon cul tout propre. Car il n’est pas question qu’il soit souillé le lendemain matin quand je l’enlève !
Elle ne veut pas savoir comment je me débrouille, d’ailleurs elle ne veut rien savoir et ne s’ennuyer avec aucun détail. Je dois me faire des lavements pendant la journée, des lavements profonds pour être certain que rien ne viendra souiller mes godes, ou sa main lorsqu’elle désire me prendre et me défoncer elle-même. Après quelques tâtonnements, je trouve la technique de trois lavements de 2 litres et demi chacun, qui me vident totalement, au sens propre comme figuré. J’ajoute du sel pour que l’eau ne soit pas trop agressive sur mes intestins. Je prends l’habitude de procéder ainsi le soir avant la rentrée de ma Femme. Il y a quelque chose de très humiliant qu’elle ne soit même pas au courant des contraintes folles que je dois subir pour obéir à son caprice, mais c’est la loi de notre couple.
Parfois plusieurs jours passent sans punition, et j’en suis surtout content pour elle, ce qui signifie qu’elle est satisfaite en tout point et n’a pas à se préoccuper de quoi que ce soit. Je prépare des repas à son goût, en cherchant toujours de nouvelles recettes, j’y passe un temps fou. Heureusement, elle a gardé notre femme de ménage, ce qui m’évite sans doute des punitions sans fin sur le ménage et le repassage, même si je nettoie dorénavant la maison tous les jours avant son retour. Je guette, je la surveille, je fais attention à tout, même à mon allure. Je veille à avoir une barbe de quelques jours en permanence, car je sais qu’elle n’aime pas que je sois rasé. Mais cela ne suffit pas. Un jour, c’est une chaise mal rangée qui l’irrite après une journée difficile de travail. Un autre elle s’énerve de ne pas trouver de chaussures et me punit pour que je range au mieux ses dizaines de paires. Je dois veiller à ce qu’elles soient toutes en bon état et bien cirées.
Une autre fois, elle trouve que j’ai mal parlé à sa mère. Ou bien c’est la poubelle du bébé qui n’est pas vide.
Les punitions sont le plus souvent passives pour elle : pas question de se fatiguer. Et elle s’est mise à expérimenter. Sur les couilles, déjà bien compressées par la cage de chasteté, un parachute permet d’attacher des poids de fonte que j’utilisais en musculation. Elle note qu’à 6 kilos, la punition est facile, qu’à 8 kilos je fatigue et finalement fixe son dévolu sur 10 kilos. Je gémis d’emblée et cela lui plaît. Mes punitions seront un nombre pair d’heures avec ces 10 kilos en place ! Je crois mourir à chaque fois, dans mon coin à supporter ces poids, pendant qu’elle vaque à ses distractions sans prendre la peine de me regarder ou de me calculer. Parfois, quand mes gémissements la dérangent, j’ai droit en plus au bâillon. Elle souhaite des punitions disproportionnées pour que chacune soit gravée dans mon esprit, c’est réussi. Et si c’est insupportable de souffrance pour moi, c’est que cela rentre.
Le bâillon est ce que je redoute le plus, et la seconde des punitions. Il distend ma mâchoire, et me fait horriblement souffrir. Enfin, ma Femme s’est rendu compte que les pinces crocodiles tenaient bien sur mes tétons et pouvaient soutenir un poids de 1 kilo sans se déchirer, tout en me faisant terriblement mal. Ce sera une alternative de punition tranquille pour elle. Et terrible pour moi. La douleur irradie ensuite des heures durant après avoir ôté les pinces.
Inutile de dire que je file droit. Si je suis amateur de séances BDSM, ces punitions n’ont rien d’une partie de plaisir et je les redoute plus que tout. Et pour être honnête, elles sont tellement dures que je les redoute encore plus que le simple fait de lui avoir déplu. Sans surprise, autant le stress et la peur de ma Femme augmentent, autant mon Amour et ma dévotion pour elle grandissent à un point inimaginable. Chaque regard d’elle, chaque contact est pour moi un bonheur incroyable que je ne pouvais imaginer. Parfois, je partage son lit, et sentir sa chaleur, parfois son poids sur moi, suffit à me faire jouir profondément. Plus je suis attentionné et plus je la sens épanouie, heureuse et en pleine possession de ses moyens, en pleine puissance. Tout ceci est dorénavant tellement naturel pour nous.
Je n’ai plus de recul, d’une part je suis épuisé, et ensuite en manque permanence de sexe. Je suis certain que si je pouvais éjaculer, je prendrais un peu de recul et me rebellerais. Mais j’ai bien compris que cela n’arriverait plus. Rien que cette idée me transcende. J’aimerais comprendre pourquoi, mais j’ai de plus en plus de mal à aligner deux pensées cohérentes de suite.
J’ai accumulé beaucoup d’idées pour son anniversaire, je la sais friande de tant de plaisir. Une paire de Louboutin me paraît s’imposer, elle aime tellement les chaussures. J’hésite entre deux paires, je me dis que je suis stupide et je prends les deux. J’hésite entre plusieurs robes. Elle aime les belles choses, mais n’aime pas que cela coûte trop cher, aussi, je vais chez Maje et Sandro et j’en ressors avec deux robes qui lui iront à ravir : sa taille est idéale, car facile à trouver, même s’il faut veiller à ce que les seins ne soient pas trop comprimés, car avec la grossesse, elle a maintenant une poitrine imposante sur un corps fin. Tous les hommes se retournent sur elle, et je les comprends ! Comme cela me manque de ne pouvoir toucher son corps aussi souvent que je le faisais, masser ses seins, sucer ses tétons !
Mon dernier cadeau est plus intime : j’ai commandé des stylos à cautériser pour me faire un branding. J’ai choisi la cuisse, car c’est facilement accessible pour moi. Je dessine un grand cercle de 12 centimètres et à l’intérieur ses initiales stylisées. Vient alors l’épreuve du marquage, avec un fer à 1200 degrés qui brûle ma peau. La douleur est supportable, l’odeur moins. Je ne faiblis pas, je passe profondément, je veux une marque qui dure, qui se voit, qui revendique mon appartenance. Je suis en sueur, je commence à être épuisé, mais je continue. Le résultat est spectaculaire, j’espère que cela lui plaira, elle pourrait être fâchée, mais je ne le réalise qu’après et c’est trop tard !
Nous allons dîner dans un restaurant étoilé, un autre de ses péchés mignons. Comme à notre habitude, elle prend en mains les choses, passe commande, choisit les vins et nous passons un merveilleux dîner en amoureux. Elle porte une des robes que je lui ai offertes avec une des deux paires de Louboutin, et elle est splendide. Sans sous-vêtements, je suis au comble de l’excitation. En temps normal, je serais allé la prendre dans les toilettes, mais mon sexe est définitivement cloîtré. Elle porte d’ailleurs la clé autour du cou, comme un clin d’il, entre ses deux magnifiques globes qui forment un décolleté incroyable. Cette frustration me rend dingue d’elle, au sens premier du terme. Je me mets à genoux pour embrasser ses mains devant tout le monde, avant de ma rasseoir à regret. Je me demande si je recevrais une punition, mais son sourire satisfait m’indique que non.
Elle me titille me demandant avec quel serveur elle pourrait aller se faire sauter dans les cuisines. Je la sais trop timide pour cela, mais je me plie à son jeu. Nous choisissons un jeune qui est adorable et très prévenant avec nous. Je suis suffoqué quand elle lui demande de l’accompagner aux toilettes. Il comprend qu’il faut lui montrer où sont les toilettes, mais elle insiste et avec un temps de retard, il rentre avec elle dans les toilettes. Je frotte mon sexe au travers de sa cage, sans grand résultat malheureusement, tellement la situation me trouble et m’excite. Elle a dû boire pour oser s’afficher ainsi. Le temps s’écoule, mon excitation est à son paroxysme, je crois que je vais mourir. Elle sort enfin, les joues rosies, la robe un peu plissée, un sourire dévastateur sur le visage. J’aurais droit à tous les détails, tandis que j’embrasse fébrilement sa main. Elle me force à laisser un pourboire complètement déraisonnable.
Je la suis à quelques mètres quand nous quittons le restaurant, elle est simplement somptueuse. J’ai une chance folle, je cours pour la remercier, elle rit.
Rentrés à la maison, la baby-sitter raccompagnée, je lui annonce que j’ai un autre cadeau pour elle. Je me suis préparé en ayant enlevé le pansement, et elle découvre abasourdie la marque que je me suis faite. D’un ongle, elle suit les contours, appuyant pour me faire mal, se remplissant de cette marque indélébile de propriété. Elle me demande les détails, ce que je dois faire comme soin, comment s’assurer que la marque soit le plus visible possible à l’avenir. Je la sens heureuse et touchée et j’en suis comblé. Elle me met à 4 pattes, prend sa culotte porte god, et choisit le gode le plus gros que nous n’avons jamais utilisé en pegging ainsi. C’est un grand jour, me dit-elle après m’avoir ouvert de ses doigts et de son poing, elle me prend longuement. Jamais je ne me suis senti autant lui appartenir. Ni autant défoncé.
La soirée aurait pu et dû se terminer sur cette image fusionnelle, mais ma Femme en a décidé autrement, et ce depuis son parcours aux toilettes avec le serveur. Elle m’annonce que je vais être puni, car elle est déçue de moi. Je m’effondre après tout ce que j’ai fait pour elle aujourd’hui, mais c’est que je lui ai déplu, c’est atroce. Elle me demande si elle est belle. Quelle question, elle est absolument magnifique, le rêve de tout homme non homosexuel et encore ! Elle me demande de me regarder dans la glace et de me dire si je la mérite. Je me regarde et je comprends ce qu’elle me reproche. Non pas mon âge je n’y puis rien, mais mon relâchement, mes 15 kilos de trop, mon ventre qui n’a pas perdu de sa vigueur. Elle me commande qu’elle ne veut plus voir mon ventre, ni ma poitrine qui tombe, que je ne la mérite pas ainsi. Je m’effondre, comment vais-je pouvoir faire.
Pour terminer cette soirée incroyable, elle m’allonge sur le lit et m’assène elle-même sa punition du jour. Et comme c’est son anniversaire, la punition sera doublée. 200 coups de cravache sur les fesses et 200 coups de canne sur mon immonde ventre que je dois perdre. Lorsque le dernier coup tombe, je suis dans un état à peine conscient, je sais juste que je suis rempli d’amour et d’adoration comme jamais et que dès le lendemain, je vais me mettre au régime et au sport. Sans supervision de ma Femme, ce sera difficile, mais je sais qu’elle a raison et que je ne la mérite pas. Je dois être au niveau du branding que je lui ai offert.
Pendant toute la semaine, je me suis remis au sport, une demi-heure de rameur, du vélo elliptique, un peu de fonte pour mes pectoraux, un peu de gainage d’abdominaux. Je commence doucement, cela fait longtemps que je n’en ai plus fait malgré ma salle de sport équipée chez moi ! Côté nourriture, je diminue drastiquement, mais sans couper tous les plaisirs, je sais que sinon je ne tiendrai pas. C’est vraiment difficile ainsi tout seul, sans même que ma Femme ne s’intéresse à ma perte de poids. En fait, c’est au moins 16 kilos que je dois perdre et je pourrais en perdre encore 10 de plus s’il le fallait. J’ai bien compris que le poids elle s’en moque, c’est que je sois présentable qui importe.
J’ai fait un pansement occlusif sur mon branding qui me brûle sans cesse. J’attends le plus longtemps possible puis je le gratterai avec de l’acide chlorhydrique qu’il soit lui aussi magnifique. Je suis motivé même si cela vient s’ajouter à toutes les contraintes et les angoisses qui sont les miennes.
Juste une semaine après son anniversaire, ma Femme est allongée, somptueuse dans son lit, dans une tenue en soie qui moule ses seins à la perfection et me fait bander malgré ma cage. Elle me demande de me tourner et me demande si je suis satisfait du résultat de mes efforts. Je la connais trop bien, je connais son ton de voix, et je ne peux que répondre non, alors que j’ai perdu plus d’un kilo en une semaine quand même. J’étais content, mais impossible de l’exprimer, car je sais qu’elle m’attend au tournant. Sa réponse c’est que je suis toujours aussi bedonnant et indigne d’elle. Mais comment pourrais-je l’être en une semaine ? Je me garde bien de le lui demander.
Elle m’annonce d’une voix claire que je serais donc puni ce soir. Et que ma punition sera double. D’une part, je suis toujours aussi repoussant ! D’autre part, je l’oblige à énoncer des règles que je dois suivre, ce qu’elle a toujours refusé de faire. J’apprends ainsi qu’en termes de nourriture, je mangerai exactement comme elle, voire moins, car je n’aurais jamais droit à du pain sous quelque forme que ce soit. Le matin, café et un yaourt. Finis mes chocolats et mes tartines au beurre. Le midi, je mangerai les restes de la veille. Et le soir, je ferais un repas léger pour elle en trois parts. Une pour elle, une pour moi et une dernière pour le déjeuner du lendemain. Fini le coca, les glaces, le chocolat. Et son dîner, un dîner équilibré, de légumes, sans féculent. J’ai atrocement faim rien que de l’entendre !
Pour le sport, elle me fait monter dans la salle de sport et regarde les différents instruments. Je dois lui amener le paperboard. Chaque semaine, je dois réaliser un nombre de calories minimum sur le rameur et le vélo elliptique ainsi que le tapis de cours. Elle me les fait tester à différentes forces pour évaluer ce que je consomme en calorie, et calcule 10 heures de rameur, 4 heures de course et 4 heures de vélo elliptique par semaine. Je devrais noter chaque semaine le résultat de chaque instrument, ainsi que noter le nombre de pompes, la durée de gainage que je fais, ainsi que lever 8 kilos de fonte sur chaque bras. Là, elle ne pourra pas vérifier, mais si elle me demande de faire 30 pompes ou un gainage de 10 minutes, je dois en être capable. Les autres appareils gardent en mémoire les calories cumulées, impossible de la tromper. Elle pourrait me surveiller avec une caméra, mais elle a autre chose à faire, cela ne l’intéresse nullement.
Je calcule qu’il va me falloir faire 4 à 5 heures de sport par jour, cela me paraît tout bonnement incroyable. Je voudrais lui dire que c’est démentiel, que je n’aurais le temps de rien d’autre, mais je ne dis rien, pour ne pas aggraver les choses. Et sans rien manger en plus. C’est certain que je vais fondre comme de la neige au soleil. Oh comme je regrette. Ma vie devient vraiment un enfer, je n’ai plus le temps de rien d’autre que d’être un esclave à chaque instant et sans même que ma Femme n’ait à se soucier de contrôler ou diriger quoi que ce soit. J’apprends que si je ne fais pas les calories chaque semaine, les calories manquantes seront triplées et à faire avec un gode de 8 centimètres de diamètre que je ne supporte pas plus de quelques secondes ! Cette fois-ci, je suis terrorisé et je sais que je n’ai plus le choix.
Elle me laisse dans la salle de sport, les mains menottées dans le dos, avec comme punition, les 10 kilos accrochés à mes couilles et les pinces crocodiles lestées de 1 kilo chacune à mes tétons. Elle me rappelle que c’est à cause de moi, car je l’ai obligée à se pencher sur mon régime. Les clés du cadenas sont dans la maudite boîte, sans surprise, je la vois régler le temps sur 4 heures. Elle descend se coucher et me permet de la rejoindre quand je me serais libéré. Je tremble déjà de souffrance physique, mais surtout émotionnelle. J’ai tellement envie de pleurer. Mais je l’aime tellement, je voudrais la remercier. J’ai oublié de le faire, je m’en veux. Je me sens terriblement coupable. J’ai tellement peur de la perdre.
Ma femme contrôle mes progrès bien plus que je ne l’aurais pensé. Pas tellement par suspicion, mais simplement, cela l’a motivée pour reprendre le sport, aussi nous le faisons ensemble tous les week-ends. Elle vérifie sur le tableau et les machines que je fais bien les calories exigées, et me fais faire les gainages, pompes et autres exercices pour contrôler que tout va dans le bon sens. Satisfaite, elle n’a pas touché au programme en le maintenant ainsi aussi difficile. J’ai totalement fondu avec le régime alimentaire drastique. Les premières semaines ont été terribles, mais je n’avais pas le choix. C’était très difficile de faire le sport en me sentant si faible, mais mon corps s’est adapté. J’ai perdu presque 23 kilos en 6 mois, et je remets des vêtements qui m’étaient interdits depuis des années. Je dois également en changer même si je n’en utilise que très peu : quelques chemises, quelques jeans et des polos, voilà tout.
Ma Femme est ravie même si elle trouve que mes pectoraux ne sont jamais assez musclés, et me punit régulièrement, car mes abdominaux ne sont pas saillants. Il est vrai que par rapport à Elle, je ne fais pas le poids, son ventre est tout simplement sublime. Mes muscles sont devenus assez mous, et mes fesses, ma fierté, elles aussi toutes molles. Ma Femme me dit qu’ainsi, je fais bien plus chienne et salope. Certes, Elle aimait le côté viril de ma corpulence, mais en tant qu’esclave, cela me correspond bien mieux. Il faut juste que j’intensifie mon travail sur les pectoraux. L’idée lui est venue maintenant que je n’étais plus totalement un homme. Elle m’impose une épilation intégrale, n’aimant pas trop mes poils. Et contrairement au début, je dois me raser de près tous les jours, Elle trouve que cela fait plus esclave.
Mes jambes maintenant toutes lisses doivent être bien gainées par des bas toute la journée, Elle adore me savoir ainsi femelle et la vision de son esclave ainsi, avec un string spécial homme en dentelle pour masquer son enfin disgracieux l’excite fortement. Nous avons acheté ensemble des chaussures à talons, le vendeur était à plat ventre devant Elle, me lorgnant avec jalousie d’avoir une telle Maîtresse. Je suis maintenant assez à l’aise avec. Elle adore m’entendre déambuler dans la maison avec le bruit des talons, en me sachant ainsi si fortement contrainte. Ma carrure l’empêche d’aller plus loin, même si j’ai dû sortir plusieurs fois avec un soutien-gorge bourré. Cela m’avait fortement excité, et j’aime vraiment cette idée d’être une poupée qu’Elle transforme à sa guise pour en faire la sissy de ses envies.
Bêtement, je me sens fier du résultat, mais aussi de sa satisfaction. Cela m’excite de me sentir fondre et plus je suis léger, plus ma Femme prend du poids dans la relation, dans les échanges extérieurs, je suis naturellement éteint et peu considéré par les interlocuteurs : dans un magasin ou un restaurant, c’est à Elle exclusivement que le personnel s’adresse. Et je dors moins du coup, n’ayant rien à digérer, j’ai encore plus de temps pour rêver ma vie et rêver à Elle. Qui rentre de plus en plus souvent très tard dans la nuit, ce qui me laisse me reposer et dormir sans être pluggué puisque je ne dois le faire qu’en sa présence pour qu’elle profite du plaisir soit de l’insérer brutalement en moi, soit de voir l’engin sélectionné disparaître entre mes fesses, avant de le cadenasser.
Chose surprenante avec les kilos envolés, certains gods à la longueur invraisemblables trouvent maintenant leur place et Elle est terriblement excitée de cadenasser ces monstres de plus de 30 centimètres au fond de mon cul pour la nuit. Cependant parfois, je reçois l’ordre de l’attendre dans le lit, mais avec la fucking machine en action, et c’est ainsi qu’Elle me retrouve de nombreuses heures plus tard.
L’idée de lui demander ce qu’Elle fait de ses soirées ne me traverse pas l’esprit. Et je ne suis même pas certain qu’il y ait mal à y penser, Elle aime voir ses amis, cela la distrait. Et si elle a des amants, qu’y puis-je ? Je ne suis pas jaloux, j’aimerais pouvoir lui faire l’amour, mais j’ai une place unique à ses pieds, et je sens qu’avec tous les efforts que je fais, cette situation lui convient parfaitement. Elle m’aime profondément, j’en suis certain et je n’ai pas peur de la perdre ainsi. C’est quand je suis puni qu’alors je perds pied, je la sens tellement déçue et contrariée que je me dis qu’un jour, Elle pourrait alors se lasser de moi et je redouble d’ardeur. Mais l’attente de ces soirées est surtout difficile, car Elle me manque tellement. La déchausser, lui baiser les pieds, masser ses mollets, pouvoir parfois la masser quand elle le souhaite. La boire est un bonheur et elle prend cette habitude au lever, que je sente profondément son goût en moi toute la journée.
Et comme je pue, je n’ouvre pas la bouche du petit-déjeuner, ce qu’Elle apprécie par-dessus tout, pouvant écouter tranquillement ses émissions favorites à la radio !
J’apprends que nous partons 4 jours à Ibiza tous les deux en amoureux. Ses parents débarquent garder notre bébé, et sans que j’aie le temps de dire ouf, nous voici dans l’avion, une valise lourdement chargée en soute. C’est un peu l’inconvénient de ce genre de relation. Le passage à la douane n’a pas été facile, ma ceinture métallique sonnant de toute part. Il a fallu m’isoler dans une cabine et que je me mette nu. A ma grande surprise, je n’ai aucune remarque, et je peux me rhabiller sans discussion. Ma Femme a pris la clé quand même pour le cas où, me dit-elle. Voiture de location luxueuse pour faire les quelques kilomètres qui nous séparent de notre hôtel 5 étoiles, cela sent la fête, le soleil, j’ai toutes les papilles exacerbées, je me sens tellement bien.
Et tellement frustré il est vrai. Notre suite est superbe, le lit immense, tout est luxe, calme et volupté. Ma Femme m’envoie l’attendre dans la salle de bain, je me mets à genoux et j’attends qu’Elle m’appelle. Lorsque je la vois, j’ai un choc. Elle est allongée lascivement sur le lit, dans la parure que je lui ai offerte pour ce week-end incroyable où je l’ai demandée en mariage ! Le porte-jarretelles à large bande qui moule son ventre magnifique, ses seins qui jaillissent du soutien-gorge maintenant deux bonnets trop petits. Je m’approche timidement, tant de choses sont différentes maintenant, je la vénère comme jamais. Je la crains aussi. Et je sais que plus rien ne m’est possible par moi-même. A ma stupéfaction, elle prend la clé de ma cage, enlève le cadenas, m’intime l’ordre d’aller me doucher et de revenir propre à ses pieds. Elle me donne aussi un stimulant sexuel à avaler, j’en avais quelques-uns. Je n’en reviens pas ! Son sourire me rassure.
Au sortir de la douche, mon sexe est plus bandé que jamais, j’ai l’impression que mes chairs vont exploser de désir. Elle, elle n’a pas bougé, me fait m’allonger à côté d’Elle. Elle me dit qu’Elle a envie de faire l’amour avec moi, que c’est une pause, qu’il n’y a aucune punition ni contrôle, juste une Femme et son mari venus à Ibiza pour s’éclater comme jamais. Je m’allonge à ses côtés, je commence par l’embrasser doucement, mes mains massant ses chairs subtiles, caressant son ventre incroyable, soupesant ses seins voluptueux. Comme un gamin, je pourrais jouir de ses caresses. Nos bouches se trouvent, notre baiser est interminable. Sans quitter sa bouche, je me glisse sur Elle, l’écrase de tout mon poids comme je sais qu’Elle aime parfois, j’écarte son shorty noir tandis que sa main me guide en Elle. Je la prends doucement, je savoure ce plaisir ineffable. Je n’ai plus aucune pensée, sinon de lui donner tout le bonheur qu’Elle mérite.
Je suis concentré sur sa respiration, ses frémissements. Tout son corps me parle à cet instant.
Mes mains soulèvent ses fesses qu’Elle sente mieux mon sexe lui caresser l’intérieur du vagin, et je perçois que malgré ses soupirs, Elle se lasse déjà de cette position. Je me relève en l’embrassant de partout, la fait pivoter pour qu’Elle s’allonge sur le dos, les jambes bien serrées, je me positionne sur Elle et la prends dans cette position si confortable et si signifiante pour nous deux. Mon prépuce vient frotter la paroi supérieure de son sexe. Elle est au firmament et moi aussi. Je n’ai pas joui depuis si longtemps, mais je me retiens, heureusement la pilule m’aide bien.
Jouis ! Son ordre me surprend, étouffé dans l’oreiller, et sans me contrôler il ne me faut que quelques secondes pour me répandre en Elle. Je la sens frémir, Elle a toujours adoré ces moments de jouissance et de sentir le sperme couler en Elle. Nous restons quelques minutes en sueur l’un sur l’autre. Puis ma Femme se retourne, écarte les cuisses, me demande de la lécher doucement. J’aime tellement, je suis comme un chien affamé et je me contrôle pour ne pas être trop brusque. Ma langue tourne autour de son clitoris que j’aspire et fait rouler. Malgré lé sperme dans son sexe, j’introduis un puis deux doigts pour la masser comme elle aime. Son ventre ondule, cela dure une éternité, mais je ne me fatigue pas. Je sens son plaisir qui monte à chaque instant, je sais qu’Elle le retient, Elle aurait pu jouir depuis longtemps. Quand enfin Elle se lâche, je suis inondé par un mélange de mouille et de son éjaculation de femme fontaine, que j’avale avec bonheur.
Ses cris doivent résonner dans tout l’hôtel et j’en suis bien fier.
Nous sommes allongés tous les deux. Le sommeil nous emporte rapidement. Quand j’émerge douloureusement des abysses, Elle est à genoux à me regarder, massant mon sexe qui retrouve vite sa vigueur. Elle m’enjambe et s’empale d’un coup sur mon dard, le serrant avec ses muscles intimes. A cet instant, je me rappelle qu’aucune femme ne m’a jamais fait l’amour à moitié aussi bien qu’Elle. Elle se penche sur moi, m’offrant sa bouche, mes mains sur ses seins somptueux. Les yeux dans les yeux, je sais ce qu’Elle veut, je ne me retiens pas et je jouis à nouveau, c’est presque douloureux.
Elle est dans mes bras, une image qui date de si longtemps. Elle me demande comment je suis. Nos regards ne se croisent pas, le mien tendu vers le plafond tandis que son visage est enfoui dans mon torse. Merveilleusement bien, je lui dis. Comment cela pourrait-il être autrement ? Ce n’est pas ce qu’Elle me demande. Elle voudrait savoir dans notre vie quotidienne comme je me sens, est-ce que ma vie me convient ? Evidemment à cet instant, la seule pensée qui me vient est qu’Elle en a marre de cette vie et qu’Elle veut changer. Du coup, je ne sais pas quoi lui répondre, sinon que vivre avec Elle est mon seul bonheur, que je suis profondément heureux et épanoui dans cette vie si dure et difficile qu’Elle m’impose, mais que je vivrais de la façon qu’Elle veut si Elle désire changer quelque chose.
Elle ne se dévoile en rien, veut savoir ce que j’éprouve, si de tels moments comme ceux que nous venons de vivre ne me manquent pas ? Si je ne suis pas jaloux qu’elle voit des amis, ait des amants réguliers, fasse absolument tout ce qu’Elle veut alors que je n’ai aucun libre arbitre ? Si c’est vraiment la vie que je veux vivre ? Je lui réponds le plus sincèrement du monde, que je suis tellement heureux pour Elle de la sentir forte, sûre d’Elle, qu’Elle voit ses amis, qu’Elle prenne les amants qu’Elle veut et pour faire ce qu’Elle veut, que rien n’est plus important pour moi. Je lui demande si me dresser et me posséder n’est pas trop lourd pour Elle ? La réponse est un éclat de rire, car Elle ne fait aucun effort jamais, ne se force jamais en rien, et que j’ai bien révélé en Elle non pas un dragon, mais une Femme toute puissante et que c’est totalement naturel en Elle.
Elle ne veut pas changer une virgule à notre style de vie, mais souhaite être certaine que c’est ce qui me convient.
Elle me fait promettre solennellement que c’est bien la vie que je veux et que je l’accepte même après l’avoir vécu ainsi près d’une année. Que j’accepte que cela aille plus loin encore si Elle le désirait ? Je réponds avec ferveur par l’affirmative, ayant tellement peur qu’Elle souhaite autre chose. Ainsi après cette période d’essa,i je serais définitivement son esclave, sauf 4 jours par an où nous irons à Ibiza en mari et Femme faire des folies ! Je la serre très fort et nous refaisons l’amour comme des fous. La nuit est tombée, nous sortons faire la fête comme deux amoureux. Je me sens plus nu que nu sans ma cage de chasteté, d’autant que je bande en continu. Nous ferons encore l’amour sur la plage, avant de finir à 4 heures du matin chez un tatoueur. Sur mon torse, Elle fait inscrire de façon indélébile mon appartenance qui est ainsi publique et que je suis fier de revendiquer.
Avant de repartir à l’aéroport après ces jours de folie, je dois remettre ma cage de chasteté. Je me sens à nouveau en sécurité. Et toujours autant esclave, même pendant ces 4 jours, seule Elle comptait. Je reprends le vouvoiement, c’est fou comme tout nous semble naturel. Ce n’est qu’une fois dans l’avion, bien installés qu’Elle me susurre dans l’oreille qu’elle avait calculé les dates pour que nous fassions une petite sur à notre fils. Et que mes spermatozoïdes ont intérêt à être en forme sinon je serais très sévèrement puni ! Les vacances sont bien finies.