Je me suis conduite comme une vraie salope les deux mois qui ont suivi le soir ou je me suis faite partouzer chez Abdou. Quelle idée aussi d’offrir mon cul en libre service. Sur le moment, cela m’avait excitée, j’aurais mieux fait de réfléchir aux conséquences. Ils sont bien cinquante à m’avoir baisée rien que le premier mois. Des Arabes pour la plupart, mais pas que. Ils étaient souvent deux, trois à utiliser la même carte. Une seule carte pouvait permettre de m’enculer jusqu’à huit fois. Certains m’accostaient dans la rue et me montraient la carte en pointant du doigt toutes les cases encore libres, d’autres me téléphonaient directement. Mais où me faire mettre ?
Même si tous connaissent l’adresse de mon domicile, il n’a jamais été question de donner accès à mon appartement. Les premières semaines, je me faisais régulièrement foutre dans mon bureau en faisant passer mon « client » pour un livreur.
Lorsque Marc est absent ou en rendez-vous, je leur demande simplement de m’apporter un plateau-repas que je commande à l’un des nombreux restaurants situés en face de notre bâtiment.
Ensuite, tout se passe dans mon bureau. Généralement, je suis debout, prés de la porte entrouverte, un il toujours braqué dans le couloir à surveiller. Le « livreur » me trousse et m’encule par-derrière. J’ai honte de le reconnaître, mais c’était un vrai délice de faire ça au vu et au su de tout le monde.
Ces baises pendant les heures de repas ne m’ont jamais empêché de remettre le couvert l’après-midi dans les locaux de l’association ou de la paroisse.
J’avais toujours envie de baiser. Les hormones ou je ne sais quoi me transformaient en vraie nymphomane.
Dans le cadre de l’association, c’était beaucoup plus simple. En ma qualité de responsable, il me suffisait le, mercredi après-midi, de choisir mes « prétendants » dans la queue des bénévoles volontaires. Ceux qui avaient le « droit de niquer Marie » (la Présidente) se mêlaient à la file et j’en sélectionnais toujours deux parfois trois pour m’ « assister » pendant la semaine.
En tant que bénévole, leur présence se justifiait complètement et je les avais sous la main en permanence.
En quelques jours, je vidais leur carte et pas seulement leur carte. Au moins, je ne risquais pas de me retrouver enceinte et à double titre. Je précise que depuis la soirée chez Abdou je n’acceptais en principe que des rapports protégés.
C’était relativement facile de m’isoler avec eux. Généralement, cela se passait dans le local destiné au tri des vêtements. Ce local était le plus isolé. Le tri nécessitait pas mal de main-d’uvre et d’aller-retour.
J’avais eu du mal au départ à m’habituer à l’odeur, ce qui n’était pas le cas de mes partenaires qui se jetaient sur moi à peine sans même attendre que je referme la porte.
Ma grosse poitrine qui débordait régulièrement de mes vêtements qui devenaient toujours trop petits avait beaucoup de succès.
J’éprouvais un plaisir incroyable à me laisser triturer les mamelles et quotidiennement mes partenaires attentifs à mes encouragements et petits couinements de satisfaction, passaient un temps fou à me tripoter et sucer les nichons. Il en résultait des écoulements spontanés de plus en plus fréquents. Considérant mes soutiens-gorges de plus en plus souvent « humides », voire complètement trempés, je m’informais sur un site « wikihow » en tapant simplement « comment sécréter du lait » sur un moteur de recherche.
Très vite, j’apprenais que d’une : il était effectivement possible que des femmes qui ne sont pas ou n’ont pas été enceintes produisent du lait maternel et que deux : la production de lait était évidemment bien plus facile à obtenir lorsque la femme était enceinte.
Le paragraphe suivant traitait, en détail, la manière dont la lactation provoquée était censée se dérouler, pour aboutir au bout de quelques semaines seulement à une production de lait quotidienne supérieure à un litre.
Je n’en revenais pas. La méthode sélectionnée par l’auteur était la plus simple, pas de tire-lait, pas d’hormones, le résultat était garanti et pouvait être obtenu par simple trituration et pompage des mamelles toutes les 2-3 heures pendant 15 à 20 minutes.
Il était bien précisé qu’il y avait plusieurs méthodes, mais que produire du lait maternel de cette façon prendrait plus de temps et nécessiterait de plus gros efforts. Suivait toute une série de conseils destinés à permettre d’atteindre ce résultat.
Je ne sais trop pourquoi, mais sans m’en rendre compte, cette lecture me donnait insensiblement envie de devenir productrice sans attendre l’accouchement. Je continuais ma lecture.
Je retenais que pour atteindre cet objectif, il me faudrait être prête à me laisser sucer les mamelons et caresser les seins tous les jours, jusqu’à ma montée de lait.
Encore un point qui ne présenterait aucune difficulté.
D’ailleurs, les résultats étaient déjà visibles. J’avais pris une certaine avance.
Il était également précisé qu’utiliser la méthode de succion pour provoquer la lactation nécessite des partenaires qui sachent bien téter et ceci, selon un emploi du temps très strict.
Cela devenait intéressant. En fait, c’était ce qui se passait depuis quelque temps.
Je pensais qu’ils s’y mettaient régulièrement à plusieurs à me masser les seins tout entiers en utilisant chacun leurs deux mains. Un peu plus loin, il était écrit que cette autre méthode consistait à stimuler les mamelons et les aréoles en utilisant les doigts et les pouces, en les massant et en les faisant rouler entre les doigts. C’est bien cette technique qu’il me faudrait également appliquer moi-même pour au moins une séance de nuit.
En lisant ce dernier passage, je réalisais alors qu’insensiblement et sans m’en rendre compte j’avais déjà pris une certaine avance en commençant au fil de ma lecture, à me toucher et à presser mes aréoles tout en tirant sur mes mamelons. Et à n’en pas douter, c’était bien du lait qui en sortait.
J’arrêtais et essayais de me concentrer.
Tout à coup, je réalisais que mon Momo suivait à la lettre toutes ces consignes depuis des mois et des mois.
Peut-être était-il informé de cette possibilité que j’ignorais alors ?
Avait-il lu cet article ?
Je dois dire que Mohamed dit Momo s’occupe de moi pratiquement depuis que j’ai quitté le domicile de mes parents pour m’installer dans mon appartement du centre-ville. J’ai fait sa connaissance à l’association ou il venait souvent chercher des colis alimentaires. Je lui ai proposé, dans un premier temps, de venir mettre à profit ses talents de bricoleur chez moi. Mon père qui n’avait toujours pas admis mon départ du domicile familial continuait obstinément de refuser à m’apporter son aide. J’avais bien besoin d’un homme pour m’aider à finir de m’installer. Je l’ai ensuite engagé pour s’occuper de l’entretien de mon appartement. Il faisait tout chez-moi, la vaisselle, le ménage, la lessive, les courses et pour finir, il s’était même mis à préparer les repas.
Lorsque Momo s’était retrouvé à la rue, je lui avais proposé de venir s’installer chez moi, le temps de retrouver un logement. Bien entendu, à cette époque je ne connaissais ni Marc ni Georges et n’avait pas encore rencontré Max. Compte tenu de l’âge avancé de Momo, je ne pensais pas risquer grand-chose en lui proposant de vivre chez moi. Il aurait pu être mon grand-père. Mais comment les choses s’étaient elles donc réellement passées entre nous ?
Car enfin, j’en étais certaine maintenant : c’était bien Momo qui par ses caresses longues et répétées était à l’origine de ma montée de lait précoce.
Production précoce et abondante qui allait être la source de bien de plaisirs pervers pour moi et mes futurs partenaires.
Incroyable le nombre de vieux cochons qui aiment qu’une jeune femme leur donne la tétée.