Les dieux grecs doivent parfois céder la place à des dieux plus nordiques, des dieux pour qui le beau temps c’est une belle brise qui pousse les navires, avec un ciel si bas que de leur Olympe ils peuvent tendre une main vers nous pauvres mortels.
C’est typiquement ce qui se passe ce dimanche ou la fraîcheur est de retour et surtout des nuages qui ne conseillent pas de partir loin d’une maison. Je décide donc d’entraîner Marie pour une visite de mon chantier. Un coup de fil à Abdou, suffit à nous ouvrir les portes. Abdou c’est le gardien des lieux et avec qui j’ai sympathisé, surtout depuis mon emprunt de jumelles et à qui j’ai fini par avouer que ce n’étaient pas des oiseaux mais une belle voisine qui m’intéressait.
Il n’est donc pas surpris de me voir avec une femme. Bien entendu je ne lui avais pas tout raconté, juste assez pour lui parler du sang chaud des Marseillaises.
— Oh je suis bien placé pour le savoir.
Et il m’avait raconté qu’en plus de gardien et de magasinier il s’était fait une réputation de Marabout spécialisé en "retour d’affection". La crédulité des femmes, il ne prenait que les femmes, est sans limite! Pour certaines il proposait un "stage" pour favoriser le retour d’un partenaire. Stage et formation pour une sexualité plus épanouie.
— Tu peux pas savoir ce qu’une bourgeoise est prête à faire pour reconquérir son mari ! Enfin c’est ce qu’elles veulent me faire croire, mais moi je sais bien que "celle qui a goûté à la queue d’Abdou y a pris goût".
Et il avait éclaté de rire.
C’est donc lui qui nous ouvre la grille. Il est accompagné d’un chien, molosse du genre à ne pas souhaiter le rencontrer en train de voler sur le chantier.
— Ne vous en faites pas. Il n’est pas méchant. Au contraire très affectueux, parfois trop. D’ailleurs je vais l’enfermer pendant votre visite pour qu’il ne vous importune pas.
En effet le chien tourne autour de nous, cherchant une caresse, frottant son museau sur nos jambes.
— Passez me voir pour que je vous ouvre au retour. Bonne visite.
Et il nous laisse après m’avoir fait un clin d’il de connivence.
Ce n’est pas tellement le chantier qui mérite la visite, mais plutôt les vestiges Romains découverts lors des fondations. Ce contretemps qui avait perturbé les travaux était une des raisons de ma présence à Marseille. Pour éviter de tout stopper, il avait été décidé de construire autour, le temps que les archéologues fassent leur travail. La décision n’est pas encore prise de savoir si on garde le lieu intact ou bien de le transférer dans un musée. Il faut dire que le sol de Marseille grouille de vestiges de toutes les époques mais ce qui avait été mis à jour était moins fréquent que des thermes ou même une villa de patricien. Non, comme le fameux "lupanar" de Pompéi, c’est une maison close qui avait été découverte.
Je fais visiter à Marie ce lieu de plaisir. Les fresques sont en très bon état et donnent une parfaite idée des pratiques de l’époque.
— Regarde on dirait nous ! Toi en levrette.Marc qui te baiseEt moi qui l’enculeDécidément on n’invente rien dans ce domaine. Nos ancêtres savaient déjà profiter de la vie.
— C’est vrai. Tiens regarde celle-ciet celle-ciDeux femmesDeux hommes
Nous nous repaissons de ces scènes érotiques, lupanar d’avant, lieu de débauche, mais débauche assumée.
— Tu aurais fait une parfaire maquerelle, ou mieux une pute qui passerait d’homme en homme.
Dis-je en câlinant Marie alors que nous ressortons à l’air libre.
— Non, j’aurais été maquerelle, me gardant les plus beaux pour moi. Et pour toi je t’aurais trouvé des beautés exotiques et mieux de jeunes hommes bien faits, bien montés dont tu aurais pu te repaître. Tu aurais aimé, hein ?
La salope me passe la main contre ma braguette. Elle la défait. Ma queue apparaît en demi-érection. De quelques mouvements je deviens une belle trique.
La pute se retourne, s’appuie contre une barrière de chantier. Elle descend sa culotte.
— Tiens met là dans ta poche, je n’ai pas de sac.
L’invitation est très belle. Sa jupe, plus longue, plus chaude cache ses secrets. Je me glisse dessous. Je garde son intimité invisible. C’est excitant. Avec cette Marie couche toi là tout est excitant. Habillée, à poil, en bigote, en pute, en écolière, en soumise
Son intimité est cachée mais ma queue n’a pas besoin de voir. Elle connaît tous ses secrets. Elle se faufile, se glisse, entrebâille, avance, pénètre. La grotte est grasse, humide. Elle aussi a été excitée. C’est drôle comme des fresques suggestives mais bien moins crues que nos vidéos et photos porno, peuvent avoir de force érotique.
Je reste un moment immobile, laissant Marie tortiller sa croupe vicieuse autour de moi.
C’est bon aussi ces baises presque" familiales". Je la baise doucement.
Mais le ciel devient noir et soudain des trombes d’eau se déversent sur nous comme pour refroidir nos ardeurs, comme on cherche à séparer chiens et chiennes en chaleur.
On ne peut que se séparer. Je cherche un abri et j’aperçois la baraque du gardien avec Abdou qui nous fait des grands signes. Nous courons vers lui. Je me demande si son sourire ne serait pas celui d’un voyeur. Après tout il était peut-être sur le pas de sa porte alors que nous commencions notre danse du cul ?
Nous entrons. Sa baraque est plus proche du bungalow que de la cabane de chantier. On entrevoit un lit par une porte entrouverte et le salon/cuisine ou on pénètre est assez confortable. Le chien nous fait la fête, mais il "colle" Marie avec insistance. Il est même entreprenant et lorsqu’elle s’assied dans le seul fauteuil de la pièce il cherche à passer entre ses jambes. Je comprends que l’animal doit sentir les hormones qui marquent ce que nous avions commencé de faire dehors. Il insiste. Marie le repousse en souriant. Mais elle est embarrassée et comme elle m’a dit venir d’une famille d’agriculteur elle doit parfaitement reconnaitre ce genre de comportement.
— Excusez-le. Je vais le mettre à côté sinon, je le connais, il ne va pas cesser de vous importuner.
Abdou s’exécute et tout le monde respire.
La tension redescend.
— Je viens de recevoir un rhum arrangé dont vous me direz des nouvelles.
Sans même nous demander notre avis, nous nous retrouvons avec des verres en plastique remplis à ras bord. C’est sucré. Sucré mais trompeur, surtout pour qui n’a pas l’habitude.
— Waouh, j’ai chaud d’un coup.
Nous distille Marie dont le rose des joues devient plus vif. Et puis nous bavardons. Nous parlons de ce lupanar, merveille de l’antiquité. Abdou regrette qu’une certaine Marthe Richard ait fait fermer les maisons closes en France. Marie ne le savait pas. Abdou, pourtant de ma génération en parle comme s’il avait connu.
— Tu imagines comme cela était simple. Tout le monde y trouvait son compte. Les hommes bien entendu, mais même les prostituées qui exerçaient le plus vieux métier du monde en toute sécurité. Et que dire des bourgeoises qui venaient anonymement se faire culbuter et vivre leurs envies.
Et il parle des salons, des décors, du luxe, des chambres à thème, des spécialités de ces dames, de pratiques étranges.
Le rhum arrangé coule dans nos veines. Marie est littéralement avachie dans le fauteuil. Sa robe pourtant bien sage car plus d’hiver que d’été, est remontée. On voit ses cuisses. Le reste se devine et c’est ce qui attire le regard de notre hôte. Il voit que je le vois. Je lui souris et, rassuré, cherche le bon angle. Peut-il voir que Marie ne porte plus de culotte ? Je ne sais pas, mais je lui donne un indice en extirpant de ma poche ce qui ne peut être considéré comme cache-nez.
— Vous pouvez peut-être relâcher votre chien. Il me fait pitié de l’entendre gémir derrière la porte.
C’est vrai que la bête ne cesse de gratter comme si elle voulait à tout prix revenir.
— Si vous voulez, mais il risque de vous embêter.
— Je suis assez grande pour me défendre.
Dit Marie avec un rire qui montre bien que l’alcool fait son effet.
Dès que la porte est ouverte, le chien se précipite vers elle. Il pousse son museau entre les cuisses ouvertes et soulève le peu de tissu qui reste. On peut entendre le lapement de sa langue.
Marie rit. Elle se tortille. Elle cherche à chasser le chien mais avec si peu de force qu’il ne bouge pas.
Son rire change. C’est un rire qui cache son trouble. Nul doute que la langue râpeuse de la bête ne lui fait bon effet. La preuve est que ses cuisses s’entrouvrent encore plus. Maintenant c’est l’animal en entier qui s’est glissé entre les jambes.
Abdou s’est assis à côté de moi, sur cette banquette d’un autre âge. Il regarde le spectacle et puis vers moi. Il se penche conte mon oreille :
— Ta copine n’a pas l’air d’avoir froid aux yeux.
Que répondre si ce n’est par un " Non" accompagné d’un " C’est une vraie salope". Cet échange semble satisfaire Abdou. Je saurai plus tard qu’il utilise parfois son chien pour exciter certaines femmes.
Il se lève. Il se cale en face de Marie qui résiste, mais si peu, aux caresses du chien que son plaisir est une évidence.
— T’aimes ça salope qu’il te bouffe la chatte. Ça t’excite hein de te faire lécher par lui.
Et il attrape son chien par le collier pour l’extirper de la jupe.
Marie le regarde, puis moi. Que voit-elle dans nos yeux si ce n’est le miroir de ses propres turpitudes. Mais elle ne répond pas.
— Allez salope, relève ta jupe qu’au moins ton mari puisse te voir.
Abdou sait très bien que ce n’est pas ma femme, mais la transgression n’en est que plus forte. Il approche le museau du tissu.
— Enlève-moi ça..Ecarte les cuisses.
Le pitbull tire une langue gourmande. Abdou le libère dès que Marie s’exécute. Il bondit tel un lion sur sa proie. Une proie consentante et qui s’offre sans remord. Elle s’abandonne totalement. Le ton de commandement d’Abdou a fait son office. La bigote abandonne toute pudeur. La traînée est avec nous.
Le spectacle est affolant. Je n’avais jamais assisté à cela. Même sur le Net je n’avais pas eu la curiosité de regarder bien que sachant que tous les goûts sont dans la nature. Marie ne nous voit plus. Elle se tord sous les babines épaisses et la langue perfide du chien. On entend parfaitement le bruit de la salive qui inonde.
À côté de moi Abdou sort son sexe de son pantalon et commence à se branler. Sa queue semble énorme.
— Je te parie 100 que mon "Bijou" va se la faire ?
— Bijou ?
— Mon chien. Il s’appelle Bijou. Et donc 100 qu’il la monte.
— Mais de quoi tu parles ?
— Bijou va monter ta copine. Il va la baiser.
— Mais non !
— Mais si ! 100. Tu me laisses faire. Si elle se fait prendre par mon chien tu me dois 100, sinon c’est moi qui te paierai.
J’hésite un moment. C’est si étrange. Si étrange et pourtant si excitant malgré les interdits.
— D’accord.
Jamais je n’aurais imaginé faire un jour ce genre de pari. Mais Marie est vraiment bien partie et le chien le sent bien, dans tous les sens du terme.
— Regarde il veut la couvrir.
Dit Abdou alors que le chien se relève et chercher à mettre ses pattes sur le fauteuil pour avancer son dard. Son sexe est visible, pas énorme mais.Abdou qui suit mon regard me dit :
— Ne te fie pas à sa taille. Il grossit beaucoup après être entré.
— Ah.
Dis-je, perdu dans cette anatomie que je ne connais pas.
— Regarde comme elle le veut.
Encore Abdou qui attire mon attention sur ce que fait Marie. Marie, qui cherche à faire de la place pour que le chien puisse mieux se poser. C’est dingue mais on dirait que cela l’excite ! Qu’elle envisage..! Faut-il être perverse pour penser à ce genre de.
— Tu n’y arriveras pas comme ça salope, il faut te mettre à quatre pattes, en chienne. Tu connais ça, n’est-ce pas ?
Il suffit de demander avec un peu d’autorité. Vraiment Georges nous a laissé une parfaite soumise.
Marie descend du fauteuil et se met à quatre pattes sur le tapis.
Abdou la fait tourner pour que je la voie de profil. Abdou guide son chien par son collier et l’amène par-derrière. Le museau, les babines, la langue s’agitent avec fébrilité. Con, cul, chatte, petites lèvres sont balayés par des torrents de bave. Mais Abdou veille. Il montre au chien et celui-ci essaye de monter la femelle. Les pattes ripent mais heureusement le tissu de la robe remontée protège la peau délicate de celle qui est ma maitresse.
Deux. Trois. Quatre fois. Et à la cinquième le mâle trouve son chemin et pousse son dard dans la chatte de la femme rabaissée au rang de chienne. Une chienne peu habituée à une telle puissance et ses va-et-vient à une cadence hallucinante.
— Tu me dois 100.
Me dit Abdou qui vient reprendre place à côté de moi après son travail d’entremetteur accompli.
Marie gémit de plus en plus fort.
— Les chiens coulent tout le temps. C’est ça qu’elle sent.
— Ah.
— Et maintenant tu vas voir.
Un silence et puis bien que le chien soit calmé comme s’il attendait quelque chose.
— Oh!!!! Il coule.je le sensIl gonfle.Il gonfleC’est .Ahhhhhh
— Tu vois je t’avais dit. La bite est en train de gonfler. Attend tu vas voir.
Marie ne cesse de gémir. La bête semble chevillée en elle. Le spectacle est obscène. Comment une femme si bigote et qui prétend pratiquer sa religion, peut-elle se laisser réduire à de telles extrémités. Comment peut-elle espérer le paradis avec son attitude ? Peut-être pense-t-elle prétexter que le rhum arrangé lui a fait perdre ses repères. Mais tout de même un chien !
Pourtant, moi aussi je suis troublé de cette scène. À côté de moi Abdou a repris ses caresses sur sa bite, lentes montées et descentes avec sa main qui sert de mesure à son bel engin. Moi aussi je bande. Moi aussi je pourraisMaisEt pourquoi pas! Je n’ai pas à rougir de la taille de mon sexe. La nature m’a plutôt gâté mais surtout m’a fourni tout le logiciel pour l’utiliser au mieux. Je défais ma braguette. Abdou le remarque. Il sourit lorsque ma queue jaillit, tout heureuse de pouvoir respirer en se déployant.
Marie ne le remarque même pas. Pourtant elle n’est pas si loin et sa position de chienne lui fournirait un angle parfait sur ce qu’elle déclenche. Non, c’est le chien, son bulbe qui a gonflé et qu’elle doit sentir, véritable bouchon qui empêche ce que la bête lui crache dans le con de ressortir.
Un voyeur serait sidéré de ce qu’il pourrait voir.
Deux hommes, installés comme au spectacle se paluchant la bite. Différence de couleur. Différence de taille. Mais rassemblés dans la même perversité de regarder.
Une femme a quatre pattes. Non pas une femme, une chienne. Jamais le qualificatif de "chienne" n’a été autant mérité. Chienne, femelle couverte par un mâle. Saillie brutale qui essouffle les protagonistes. Le chien qui halète. La chienne qui respire rapidement avec des gémissements qui semblent venir de si loin que toute éducation est oubliée.
Le voyeur serait comme nous " sidéré ! Je dis comme nous, mais je pense que ce n’est pas la première fois qu’Abdou utilise son molosse pour autre chose que le gardiennage. Combien de femmes, combien de bourgeoises bien propres sur elles, bien pensantes, sont ressorties de cette cabane horrifiée après coup de ce qu’elles ont fait. Avec la grosse bite d’Abdou ou pire avec ce dard de molosse qui les a inondés de sa liqueur et de son jus.
Cela dure plusieurs minutes et puis le chien se retire. Il gambade le sexe encore turgescent entre les pattes, abandonnant des coulures de son sperme. Mais il n’est pas le seul à couler.
— Alors salope il t’a bien remplie ! Regarde mec tout ce qui coule de sa fente. Même moi je ne pourrais pas t’en balancer autant. T’as aimé hein ?
La salope semble se réveiller et nous découvrir. Elle a, tout prêt d’elle, la pièce est si petite que tout est à portée de main, nos deux bites tendues que nous flattons. J’aurais bien aimé vérifier la dureté du mandrin noir, mais je ne sais pas si Abdou apprécierait ce genre de caresse. Avec ma femme nous n’avons jamais eu l’occasion de vérifier la réalité d’une belle bitte noire. Un fantasme non réalisé. Je pourrais la faire venir un weekend ici et je suis certain qu’Abdou se ferait une joie de faire de Martine une maîtresse qu’il pourrait combler facilement avec son braquemart. Et je ne doute pas un instant que Martine puisse le décider à me regarder comme un partenaire. J’aimerais goûter de la langue la douceur de ce gland rose sombre, caresser ses bourses velues, et, s’il le veut bien, me faire prendre par son engin après que Martine m’a préparé de sa langue, de ses doigts mais aussi badigeonné le pieu de moult salive. J’ai des frissons rien que d’y penser. Mais
La claque qu’assène l’homme sur l’arrière-train de la chienne n’est pas retenue.
— AieMais faut pas te gêner!
La salope se rebiffe.
— Comment ? C’est toi qui me parles !
Nouvelle claque. Cette fois-ci Marie ne fait qu’exprimer sa douleur, pas de réprobation.
— Je te demande si tu as aimé.
— EuhC’estIl a tant coulé et il a tellement grossi que
Son regard se baisse. Elle a honte. Mais elle reprend:
— J’ai joui si fort ! J’ai honte ! Fred que vas-tu penser de moi.
— T’inquiète pas pour ton mec. Il est comme moi ça l’a fait bander. Tu vois ?
Le regard de Marie montre qu’elle prend conscience de notre état.
— T’as déjà sucé une bite comme la mienne ?
— Non.
— Alors qu’est-ce que tu attends. Tu ne penses tout de même pas que tu vas nous laisser comme ça.
Elle a juste à faire un pas vers nous. De chienne elle devient adoratrice de ce bon Dieu Grec, Priape dont elle saisit une représentation plus vraie que nature dans sa main en s’agenouillant devant Abdou. La bouche s’entrouvre, puis s’ouvre, se force car le bout rose n’est pas une sucette mais plutôt une boule généreuse servie par un glacier pervers.
Les mains noires tranchent sur la belle chevelure châtain clairet le visage rose de plaisir. C’est fou comme nous les hommes, enfin ceux qui sont fondamentalement dominants, avons des attitudes identiques. C’en est une que de saisir la tête de sa partenaire et la "forcer", non pas la forcer car c’est de son plein gré et demandeuse si elle se retrouve dans cette position, je dirai donc plutôt de la "conduire", de lui "proposer", de la "guider", de lui faire "ressentir" notre envie d’elle, en l’aidant de nos mains afin qu’elle progresse le long de notre gland, passe le sillon qui donne accès a la hampe, si longue, et au bout du chemin découvrir nos couilles qui sont déjà pleines d’une semence épaisse qui lui est destinée.
Mais la bite d’Abdou n’est pas la mienne. Elle déforme la bouche de Marie. Bosse informe que la joue révèle et qui fait croire qu’une boule se déplace. Abdou la force. Elle étouffe, ses yeux pleurent. C’est magnifique! Ce mandrin noir. Ces mains sombres Ce visage rouge des efforts. Et ce bruit terriblement excitant de gargouillis.
— Elle se débrouille pas mal, Mec, ta copine. Les bourgeoises, même les plus vicieuses ne m’en font pas tant. Oui lèche-moi ma queue.Les couilles, bouffe-moi les couillesOui, comme ça. Et mon cul. Lèche-moi le cul
La chienne devenue prêtresse s’exécute. Elle va même jusqu’à soulever les couilles de la main pour mieux atteindre l’anus qu’Abdou lui propose en se soulevant de son siège.
— Attend je vais t’enfiler. Tu vas voir mon dard vaux bien celui de mon "bijou". Suce ton mecOui je sais c’est un peu petit pour toi maintenant que tu as goutté à ma queue.
L’homme rigole de sa plaisanterie. Cela me rappelle tout ce que j’ai fait endurer à Marc en le traitant de petite bite. On est toujours la risée de plus fort que soit.
Abdou fait le tour pendant que Marie me gobe le gland, se mettant naturellement en position de levrette.
— Putain ce que tu coules encore. Mon Bijou t’a gâtée. Il a tout de suite reniflé la salope. Il a du flair mon toutou. Attends.
Il entre d’une seule poussée.
— T’es encore grande ouverte. Putain mec ou tu l’as trouvée cette catin ? Dans un bordel ? Si jeune et déjà
Il ne parle plus. Il l’enfile de toute sa taille, de toute sa puissance. Marie ne peut rien dire, la bouche délicieusement pleine de ma bite qui lui sert de point d’accrochage.
Encore une fois un voyeur y trouverait son compte.
Ce grand black dont la bite entre et sort dans ce puits sans fond. Cette bite qui étonne à chaque fois qu’elle réapparait et dont on s’attend à ce qu’elle ne parvienne pas à disparaitre totalement.
Ce contraste des couleurs. Cette peau sombre qui tranche sur la peau à peine hâlée par les premiers soleils.
Le même voyeur verrait Abdou se sucer le pouce avant de chercher à le glisser dans l’anus, stoppant un instant sa baise pour constater qu’il entre facilement et que sa large main prend appui sur les reins.
— Son cul aussi est bien ouvertLa prochaine fois
Il a repris ses poussées. Même lui est emporté par la cadence. Ses paroles sont rythmées par ses avancées :
— La prochaine foisBijou lui prendra le culJ’inviterai des copains Tu reviendras salopeHein tu n’as qu’à peine effleuré ce que Bijou peut te donner sans parler mes copains
Le grondement de Marie peut être interprété pour un "oui" comme pour un "non".
— Je te la ramènerai. Dis-je, affirmant ainsi mon pouvoir de dominant sur cette jeune catin.
— Très bienEn plus des 100, tu me donneras 1000 la prochaine fois
— Mille euros mais
— A moins que je puisse la filmerJ’ai des clients pour ça Une jeune blanche avec un chienUne jeune catin qui se fait baiser par plusieurs Oh C’est bon ! Sinon je peux te trouver des clients qui paieraientUne salope pareille
— Mais on la reconnaitra.
— Tu lui mettras un masqueUn petitIl faut qu’on puisse bien voir sa bouche de pute
Est-ce les assauts d’Abdou ou nos échanges, parlant de celle qui est entre nous, soumise volontaire, mais Marie me bouffe la queue comme jamais. Je comprends que cette fille n’a pas de limite. Que le masque de la bigote tombe dès qu’un homme s’adresse à elle avec un peu d’autorité. Cette autorité qui a fait défaut à son copain. Tiens à propose de Marc, je pourrais lui vendre la vidéo de sa copine devenue le jouet d’hommes et d’un chien. Un chien qui encule sa copine, enfin son ex-copine, alors que lui n’a réussi que grâce à moi et encore en acceptant d’être humilié.
Putain que c’est bon de se répandre dans cette gorge.
Putain que c’est beau de voir Abdou s’immobiliser et déverser tout ce foutre que ses grosses couilles ont préparé, foutre qui vient s’ajouter a celui de Bijou, le maitre et le chien ayant honoré la même chienne
— Demain c’est possible ?
Je demande alors que nous reprenons nos esprits.
Marie me regarde. Elle ne peut que deviner ce que sous-entend ma question.
— Pas de problème pour moi. Un coup de fil et j’ai dix copains qui viendront si je parle de ta copine.
— Dix c’est peut-être un peu beaucoup.
— Juste une façon de dire que je ne vais pas manquer de candidats quand j’aurais parlé de ta copine.
— A bon.
Est-ce bien un soulagement ? Ou bien une déception dans ce regard échangé avec elle.
— Et pour le masque ?
— Ne t’inquiète pas, j’ai ce qu’il faut. Par contre je voudrais que tu me l’amènes un peu excitante. J’imagine qu’elle doit avoir une garde-robe et tout ce qui va avec au niveau de ses aptitudes.
— A quelle heure ?
Pas un mot de Marie.
Pas une protestation.
Et pourtant il va en falloir des cierges, des actes de contritions, des "Je vous salue Marie"