L’héroïne, dont les exploits adultes sont relatés dans « L’histoire de Marie Christine » que je lui ai consacrée, avait connu avant de rencontrer son maître, une vie sexuelle assez conventionnelle avec son artisan d’époux.
La série qui s’ouvre ici montre qu’elle disposait cependant, dans sa jeunesse en amont de son mariage, de quelques belles prédispositions.
A l’âge de 18 ans, bachelière, elle quitta son bled natal pour entamer une vie estudiantine qui ne donna pas de résultats probants. Par contre elle découvrit la vie en général et le sexe plus particulièrement.
Fière de son physique, sportive, avec sa poitrine charnue sur un corps musclé, la jeune brune aux cheveux courts affichait 1,65m pour 52 kilos. Ce format de poche ne déplaisait pas aux hommes, qui la courtisaient avec assiduité. Son pucelage, perdu quelques années plutôt avec un garçon de son village, n’était déjà plus qu’un lointain souvenir.
Au bout de quelques mois elle avait eu plusieurs amants, dont parfois deux au même moment et même une courte aventure saphique avec une petite blonde, prénommée Jenny. Sa découverte de plaisirs moins ordinaires débuta avec la rencontre de Robert, que tout le monde appelait Bob, à sa demande, car il trouvait ce pseudonyme moins ringard.
Bob donc était officiellement le prof de compta dans l’IUT que ne fréquentait pas assidument Marie Christine. Mais ses brèves escales dans ce cours particulièrement ingrat avaient suffi à son enseignant pour la remarquer. Il l’aborda à la fin d’une séance, à l’occasion d’un de ses brefs passages, et lui demanda si c’était par manque d’intérêt qu’on la voyait si rarement.
La réponse de l’adolescente ne laissait guère de doute… Ses parents avaient choisi pour elle cette formation car celle-ci lui donnerait certainement un emploi, mais à titre personnel elle s’emmerdait beaucoup sur les bancs de l’Institut. Elle était beaucoup plus attirée par l’art et la culture, mais pour ses parents ce type d’activités ne la conduirait à rien.
Une fois cet impasse évoqué, la conversation prit un autre ton et, comme Bob n’était pas vilain garçon, Marie Christine passa sur ses 45 ans et sur son corps par la même occasion dans la semaine qui suivit. Bob était plus cultivé que les types avec qui elle avait couché auparavant. Il avait aussi plus d’humour. Bref Marie Christine sombra dans un état pénible, parfois exaltée, parfois ayant peur de perdre, état qu’on appelle communément le tomber amoureux.
René Kaes a écrit là dessus . Donc je vous laisse à sa lecture, si vous voulez plus d’explications sur le sujet.
Robert, dit Bob, avait deux passions, les jeunes filles et le poker. Sa fonction d’enseignant le ravitaillait largement pour la première et sa connaissance des maths lui conférait certains avantages pour la seconde. Il retrouvait régulièrement une bande de zèbres plutôt louches qu’il plumait en général assez facilement. Ce qui est un tour de force tant la plume est rare chez cet animal.
Par contre ce soir là, Marie Christine débarqua chez lui un poil trop tôt. La partie n’était pas finie. Trois types, deux gitans et un marocain, étaient encore attablés en compagnie de Bob. Il la présenta comme sa nièce, ce qui arracha un sourire aux types, tant sa propension pour les adolescentes étant universellement connue.
La partie traînait en longueur car les types s’étaient ligués contre Bob. Ils perdaient cependant à tour de rôle mais limitaient la casse. Marie Christine prit une chaise et un peu à l’écart observa plus les gars que la partie, car elle n’entendait rien au jeu. Les deux gitans étaient assez âgés, la soixantaine environ, chauves et gras. Le marocain était sec et anguleux et sa physionomie svelte rendait plus difficile la détermination de son âge. En fait, du haut de ses soixante cinq ans, c’était le doyen de l’assemblée.
Question jeu, l’amoureux des probabilités qu’était Bob rentra alors dans un phénomène bien connu des spécialistes de la discipline, la loi des séries. En quelques tours il perdit sa mise initiale et dut se «recaver» à 1 000, qui disparurent à leur tour comme neige au soleil. Persuadé que le sort aller tourner en sa faveur il persévéra, tel un rat de casino qui s’obstine à jouer le rouge quand le noir sort sans arrêt.
Une heure plus tard il accusait un débours de 5 000 et déclara qu’il mettait un terme à l’hémorragie. On allait s’en tenir là quand l’un des deux gitans, qui matait sournoisement la petite bombe brune à intervalles réguliers, fit une proposition. Il offrit à Bob la possibilité de se refaire en jouant la fille.
Bob regarda Marie Christine dans les yeux. Elle était perplexe, ne sachant trop ce que cela entendait pour elle. Prenant son doute pour une réponse positive, le prof valida l’offre. De toute façon poussé par son vice, il aurait donné sa chemise pour continuer, donc la fille était quelque part un moindre mal.
La partie reprit. Le hasard des cartes avait ce soir là définitivement choisi son camp. Le plus gros des gitans emporta la manche suivante. Il se leva passa derrière la fille toujours assise sur sa chaise et lui massa le buste à travers son t-shirt. Marie Christine interloquée ne pipait mot. Elle cherchait du regard l’aide de son amant, mais son air amusé l’informa qu’elle ne devait rien en entendre.
Elle laissa l’homme la peloter quelques instants. Bizarrement ses caresses rudes générait en elle un émoi inattendu, qui peu à peu prit le pas sur sa pudeur. Le gros bonhomme l’abandonna et reprit la partie. Il gagna encore la main suivante. Marie Christine commençait à se demander si Bob ne perdait pas volontairement.
L’obèse libidineux s’approcha à nouveau d’elle et souleva son t-shirt, révélant à l’assemblée un soutien gorge en dentelle noir du plus bel effet. Il enleva finalement le t-shirt et la pelota à travers le tissu. Finalement il saisit un à un les seins de la fille et les dégagea des bonnets protecteurs. L’apparition des organes jumeaux ravit l’assistance.
Marie Christine attendit ainsi exposée que le vainqueur du tour suivant se manifeste. Elle sentait en elle un désir inconnu l’envahir. L’arabe eut cette chance. Il ne tergiversa pas et défit l’attache du sous vêtement. Le buste de la jeune fille affichait un bon 95B qui contrastait avec son corps mince. Après avoir flatté les aréoles larges de sa proie, il saisit les tétons entre ses doigts et commença à les vriller, tirant sur les pointes à la limite du supportable.
Marie Christine gémit tandis que la moiteur de son entrecuisse l’informait sur l’état réel de sa situation. Au tour suivant, Mohamed , à nouveau victorieux, lui fit ôter son jean et présenter sa croupe à ses partenaires de jeu. En attendant la suite, il la fit positionner debout, la culotte légèrement baissée laissant apparaître sa toison pubienne.
Le deuxième gitan qui n’avait encore rien remporté fut servi par la chance et différa son avantage. Il décida que Marie Christine devait se raser la chatte puis revenir s’asseoir sur ses genoux une fois cette tâche accomplie. Bob lui indiqua la salle de bain et l’adolescente docile partit effectuer le mise à jour souhaitée de son intimité.
Elle se rasa consciencieusement et profita de ce moment de solitude pour se caresser. Cette situation inédite lui permettait de découvrir à la fois son penchant certain pour la soumission, additionné à une forte tendance pour l’exhibition. Un orgasme soudain la surprit rapidement.
Elle revint entièrement nue dans la pièce, un bras censé masquer son buste tandis que l’autre main formait un cache sexe peu convaincant. Elle s’installa pour la suite de la partie sur les genoux du vieux gitan. Celui perdit le fil, trop occupé qu’il était à promener ses mains calleuses sur la peau tendre de l’étudiante.
Si cette histoire rencontre l’intérêt des lecteurs, la partie continuera dans le deuxième épisode où nous verrons l’héroïne soumise à bien d’autres turpitudes.