CHAPITRE 2
Sculpter au toucher ??
J’imagine immédiatement la scène ! Et ce que ça peut donner et ma première question est…
« Maisvous sculptez des femmes en entier ? » Je demande d’une voix faussement curieuse mais intriguée.
« Des bustes et des corps entiers oui et maintenant même des couples ; J’ai beaucoup de demandes »
« Ah bon ?? »
« Suis-moi »
Il se lève et entre dans un atelier qui jouxte la cuisine. Je pense à me rhabiller mais je suis toute mouillée. Je parle de l’eau bien sûr…
Je ramasse alors rapidement la serviette qui était tombée dans la piscine et que j’avais posée en boule sur la margelle mais qui est encore trempée.
Tant pis, je m’enroule dedans et le suis.
La pièce en question renferme un atelier de poterie sauf que sur les étagères, il y a plein de bustes.
La pièce est sombre à cause des volets qu’il garde fermés pour préserver un peu de fraicheur mais aussi parce qu’il n’a pas besoin de lumière.
« Qu’est-ce qui coule par terre ? » me demande-t-il.
« Heu… c’est ma serviette qui s’égoutte »
« Mais qu’est-ce que tu fais avec une serviette trempée sur le dos ? Va la mettre à sécher sur la terrasse. Ton maillot de bain va sécher tout seul sur toi »
Je m’exécute et reviens. Complètement nue.
« A moins que tu préfères retirer ton maillot pour le faire sécher aussi ? Ça ne change rien pour moi. »
Je me sens décontenancée. « Heu, j’y réfléchirai… »
Finalement, il me montre son travail et m’explique qu’après avoir enseigné à l’école où je me suis inscrite, il a été viré et a ensuite donné des cours particuliers chez lui et depuis fait des sculptures à la demande pour divers clients réguliers.
Je regarde un presse book dans lequel sont photographiées toutes ses uvres.
« Ah, vous avez des clients dans la région ? »
« Oui, des particuliers mais aussi des commerçants, des restaurants, des discothèques… »
Je vois des bustes de femmes et d’hommes, puis des statues entières, certaines habillées ou partiellement dévêtues, d’autres entièrement nues…
« Mais, vous vous basez sur qui pour faire ces statues ? Vous avez des modèles ? »
« Justement, j’ai du mal à en trouver. C’est un travail rebutant et c’est rare qu’ils reviennent »
« Vous les payer ? »
« Bien sûr… 20 Frs de l’heure mais ce n’est pas facile de tenir la pose pendant des heures et il faut accepter de poser nu la plupart du temps… »
Quelle aubaine me dis-je, il me faut justement un job pour financer mon logement et mon école.
« Mais… heu quoi ? Il faut poser nue ? »
« C’est ce que je viens de dire »
Et il sculpte au toucher !!
Rien qu’à l’idée, je frémis malgré la chaleur et mon cur manque un battement ou deux.
Au moment où je dis ça et alors que je continue de feuilleter son presse book, je vois des photos de statues aux poses de plus en plus équivoques !
« Comme tu peux le voir, les sculptures représentent des corps dénudés. Mais si tu veux poser, je dois d’abord connaitre tes proportions. Connais-tu tes mensurations ? »
J’hésite à répondre. Du coup je ne suis plus sûre de vouloir ça.
« Heu… je ne suis pas sûre… 95… heu »
« Bon, mets-toi debout bien droite et écarte un peu les bras et les jambes »
Le ton est si autoritaire qu’avant de réfléchir si je me sens de faire ça ou non, je m’exécute.
Mince ! Il va découvrir que je ne porte pas de maillot et que je suis une petite menteuse et coquine par-dessus tout…
Je m’apprête à refuser et fais un pas en arrière.
« Ne t’inquiète pas, c’est strictement professionnel »
Il me saisit la taille fermement et me tire à lui. Je crois fondre. Je me tiens droite et écarte un peu les jambes.
Il me lève les bras au-dessus de ma tête.
Je reste ainsi alors qu’il s’approche de moi à quelques centimètres. Je respire fort et mon cur s’accélère.
Il pose alors ses mains sur mon visage et l’englobe en l’auscultant dans tous les sens. Je trésaille.
« Joli minoisbelles lèvres épaisses »
Il tâte mes joues, passe ses mais dans mes cheveux. Je sens l’excitation me gagner…
« Hum, les cheveux courts, c’est bien, c’est plus facile pour moi »
Puis il descend sur mon cou et mes épaules. Il sait déjà que si je porte un bikini, il n’a pas d’attache au niveau du cou…
Il remonte sur mes bras qu’il triture un peu, estime la longueur, l’épaisseur
Puis il descend ses mains sur ma taille qu’il palpe longuement en passant dans mon dos.
Il sait maintenant que je n’ai pas de haut mais ne dit rien…
Il s’attarde sur mon ventre…. Je trésaille à nouveau…
« Eh bien, je te fais peur ou quoi ? C’est juste technique »
« Non…non désolée » « Un ventre parfaitement plat magnifique »
Je redoute le moment où il va s’apercevoir que je suis complètement nue ! Je respire difficilement et sens mes jus affluer !
Ses mains remontent dans mon dos jusqu’aux omoplates puis il s’accroupit et m’enserre le buste. Ses cheveux effleurent mes seins.
Je respire fortement. Mon cur s’emballe carrément. Je me dis que c’est juste " technique"…. Mais si c’est de la technique, c’est de la technique fichtrement sensuelle !
Je ne peux qu’admettre que ces attouchements "professionnels" me mettent en émoi…
Mes tétons se durcissent. Inexorablement.
Comment va-t-il réagir lorsqu’il va découvrir que je ne porte pas de bas non plus…
J’essaye de détourner son attention.
« Excusez-moi, mais pourquoi vous avez été viré ? »
« Parce qu’un ancien élève qui a ouvert une discothèque m’a un jour demandé de sculpter des colonnes en forme humaine et qu’ensuite, de fil en aiguille, pour des Clubs spécialisés, on m’a demandé des sculptures plus évocatrices. Lorsque l’école a appris ça, ils m’ont demandé de partir. Incompatibilité de valeurs ils ont dit. »
« Ah c’est pour ça que dans votre catalogue, j’ai vu des statues dans des poses assez osées… Mais c’est… c’est pour qui ce genre de statues ? Des Clubs vous dites ? »
Il garde le silence un instant, le temps que ses mains redescendent de mon dos jusqu’à la taille et passent devant où il les fait glisser en remontant…Elles s’approchent de ma poitrine généreuse… Je halète presque et mon cur bat à tout rompre. Il doit le sentir et même l’entendre me dis-je…
Soudain, il englobe mes seins et les prend à pleines mains !!
Mes jambes flageolent.
« C’est pour des discothèques et des clubs des environs, des clubs libertins, y’en a pleins et j’ai beaucoup de demande »
« Li…libertins ? Oh, je…je vois… » je balbutie embarrassée.
« 95….exact »
Je rougis.
Puis, ses mains descendent, entourent à nouveau ma taille…
« 70….excellent »
Elles glissent ensuite autour de mes hanches qu’elles caressent longuement sur toute leur rondeur…
« 95…100… vraiment parfaite…tu fais du sport ? »
« De la danse rythmique et des étirements. J’adore ça ; je suis très flexible. Je peux même faire le grand écart par exemple »
« Flexible en plus…Excellent, pas de limite dans des poses scabreuses alors… »
Tout en discutant, ce que je craignais arrive…. Ses mains glissent plus bas et caressent alors mes fesses…nues !
Puis reviennent sur le devant et descendent le long des cuisses qu’il pétrit mécaniquement…puis les genoux, les mollets et enfin les pieds.
Il sait que je ne porte rien mais ne pipe pas un mot. Je suis cramoisie. Quelle chance qu’il soit aveugle.
Il se relève alors que ma cyprine humidifie mon entrejambe qu’il n’a heureusement pas touchée !
« Bien, alors si tu es d’accord, je peux te montrer ma technique en même temps que tu poses pour moi et je te paye 20Frs de l’heure »
« Eh bien, je ne sais pas, c’est une technique tellement inhabituelle… c’est embarrassant… je dois dire que… » Avec un ton hésitant.
« Oui. Tu dois juste dire : Oui » en m’interrompant.
« Bon, ben on peut faire un essai, oui. » dis-je avec une pointe de nervosité. Mais je repense à cet argent qui sera le bienvenu.
« Mais tu as vu le Press-book ? Je ne vais pas sculpter que ton visage et ton buste »
« Oui, oui, je comprends… »
« Alors pas de réticence une fois le travail entamé ; autrement, je ne te payerai rien du tout car tu m’auras faire perdre mon temps »
« J’ai plusieurs commandes en attente ; une colonne humaine avec un corps féminin et des couples aussi. Mais on en reparlera plus tard selon tes aptitudes et ton degré d’implication et si je trouve un modèle masculin aussi ; tu veux commencer quand ? »
« Heu ben en fait quand vous voulez »
« Alors demain. Il faut que je prépare la glaise et tout le matériel. Viens après déjeuner et profite encore de la piscine si t’en as envie »
Je le remercie, trop contente d’avoir trouvé un gagne-pain et de pouvoir utiliser sa piscine à mon gré.
Et quel tact… Il n’a pas fait allusion au fait que je ne portais rien.
« Et t’as raison. Nager nu est bien plus agréable »
Ma tête se déconfit et suis même incapable de bafouiller une réponse.
De retour chez moi, je me mets à cuisiner et à préparer une ratatouille. Il fait tellement chaud et comme je suis seule, je reste nue mais je trouve un vieux tablier que j’enfile autour de mon cou et qui me protège devant.
Je mets la radio, puis découpe les légumes et me prépare une salade tout en dansant de bonheur tant je suis contente de me trouver ici et d’avoir fait cette incroyable rencontre qui m’excite comme une puce.
De temps en temps, je passe devant une grande glace accrochée au fond du couloir dans laquelle je me vois danser avec pour seul vêtement, ce tablier tellement étroit que mes seins en sortent sur les côtés au gré de mes mouvements. Je me trouve trop sexy et ça me fait marrer.
Le soir, comme je n’ai pas de pyjama et qu’il fait trop chaud, je m’allonge nue sur les draps. Je n’arrive pas à dormir tant je suis excitée à l’idée de poser nue pour lui ! Même s’il ne me voit pas, il va me toucher…. On ne m’a pratiquement jamais touchée avant….
Je me caresse à cette idée en m’endormant la main entre mes cuisses humides.
LA PREMIÈRE SÉANCE
Le lendemain, je passe la matinée à étudier les livres ramenés de la bibliothèque et abandonne la peinture flamande au XVI et XVII siècle sur lequel mon nez avait tendance à piquer, à celui traitant de l’histoire de la sculpture de l’Antiquité à nos jours avec de belles photos à l’appui.
J’avoue être allé voir directement les pages de Rodin et Camille Claudel
Si les Grecs et les Romains avaient un talent vraiment remarquable pour sublimer les corps de leurs Dieux et de leurs athlètes, la sensualité et l’érotisme qui se dégageaient des uvres de Robin me troublaient.
Je me voyais déjà poser dans ces postures osées entre les mains du Prof aveugle.
La matinée passe. Je suis fébrile. L’heure convenue arrive.
Je passe la haie, le cur battant.
Non seulement il a préparé tout son équipement, mais il a commencé sans moi !
Je vois une grande statue de glaise informe mais dont le squelette ressemble à une personne debout, les bras en l’air.
Je retire mes vêtements dans la pénombre de l’atelier aux volets fermés. Je me sens moins exposée mais j’ai le trac.
Je prends la pose comme indiquée, à savoir, debout, les bras en l’air et les jambes serrées, un pied devant l’autre.
Afin de faciliter cette pose fatigante à la longue, il a installé un trapèze au plafond que je tiens pour soulager mes bras.
Puis il commence. Par les jambes d’abord et tout en me palpant, il m’explique la technique ; comment garder la terre glaise humide, comment évider les pièces, comment les stabiliser, les cuire au four, etc…
Ses mains alternent entre mon corps et sa masse de glaise qu’il met en forme grossièrement.
Il revient vers mes jambes qu’il palpe avec professionnalisme mais les sensations procurées me donnent des frémissements dans tout le corps.
Ses mains couvertes de glaise humide glissent sur ma peau en la souillant.
Je mouille comme une folle et gesticule un peu.
« Qu’est-ce que tu as ? Tu dois garder la pose sans bouger »
Je ne sais pas quoi inventer comme prétexte, alors je lui sors une excuse vaseuse…
« J’ai du mal à tenir le trapèze, je transpire. Alors mes doigts glissent et fatiguent »
Sans un mot, il se lève, prend une lanière en cuir et m’attache fermement les poignets au trapèze…
« Comme ça, tu peux te laisser aller, tu resteras suspendue »
Je suis maintenant attachée les bras en l’air, nue et complètement à sa merci.
Je vérifie si je peux me détacher mais je constate qu’il a vraiment bien serré la lanière et que je suis carrément prisonnière.
Être entravée ainsi à sa merci m’excite encore plus ! Ma cyprine suinte de tout mon sexe.
J’ai des bouffées d’air chaud et mes joues sont brulantes.
Je vois la glaise prendre forme petit à petit et mon corps se dessiner avec de plus en plus de précision. Ses mains me pelotent de haut en bas puis de bas en haut, sur les hanches, sous les aisselles, les bras, redescendent sur ma tête, mon visage… il m’enserre le crâne de ses deux mains et le tâte longuement en laissant des trainées de glaise.
Mon cur bat à tout rompre et mon souffle est court. Ses doigts glissent sur ma bouche et suivent le pourtour…. J’ai envie de les sucer !
Je sais que c’est technique, mais c’est d’un érotisme insupportable.
Mes lèvres s’entrouvrent alors que je ferme les yeux et profite de ses tâtonnements que j’assimile à des caresses d’une sensualité troublante.
Tout en me pelotant, il continue de parler de sa voix profonde et de m’expliquer comment évaluer la taille du sujet et préparer le volume d’argile en conséquence.
Puis il m’explique le rôle des différents outils, le couteau de base mais aussi les ébauchoirs en buis, les mirettes pour retirer de la terre en profondeur…
Je l’écoute fascinée et enivrée car je sens la passion de son travail qui vibre dans sa voix grave de stentor.
Le temps passe…. Je reste dans un état d’excitation avancé mais je tiens bon. Je fatigue aussi. La chaleur et la pose. Je transpire et j’ai soif.
Il m’apporte de l’eau sans me détacher. L’eau verse à moitié dans ma bouche et sur mon corps
Un filet d’eau coule entre mes seins et mes jambes emportant un mélange de cyprine et de glaise laissé par ses mains. C’est d’un érotisme délicieux. Les pensées se bousculent dans ma tête. Si les filles de mon lycée du Nord me voyaient !
Il y a encore une semaine, j’étais une petite lycéenne discrète, timide, insignifiante, …pudique (..) et sans aucune expérience de la nudité ou de ce que pouvait être une vraie sensation érotique…
Et me voilà nue, attachée (!) à la merci d’un homme d’âge mûr qui passe ses mains sur mon corps. Je crois rêver.
Au fur et à mesure que je vois mon corps se former dans la terre glaise sous mes yeux, je suis de plus en plus chaude et brulante.
Lorsque ses mains descendent plus bas dans mon dos, puis font le tour, malgré la chaleur, j’ai carrément la chair de poule !
J’ai du mal à maintenir ma poitrine et mon ventre immobiles tant je respire profondément.
Je mords mes lèvres au moment où ses mains englobent alors mes seins…
Mes tétons sont gros et durs et il passe ses mains plusieurs fois dessus lentement ; c’est un bonheur indescriptible.
Il les pétrit comme de la pâte à pain pour en mesurer tout le volume et les fait rouler entre ses doigts gluants de glaise…
Je fonds littéralement de plaisir et ne sais plus comment ne rien laisser paraitre.
C’est intenable. S’il touche à mon sexe, je pense ne pouvoir plus rien contrôler mais je ne peux quand même pas jouir devant lui sous ses palpations !
En plus, comme si de rien n’était, il continue de m’expliquer ce qu’il fait. Je n’arrive plus à enregistrer !
Je suis concentrée sur l’effort surhumain que je dois faire pour résister à la pression de l’orgasme qui monte inexorablement…
Je vois ma poitrine se former sur la sculpture qui est magnifique.
Je ne sens plus mes mains et demande à faire une pause pour reprendre mes esprits aussi, mais il me dit qu’il doit finir.
Je me dis que c’est moi qu’il va finir !
Ses mains abandonnent alors provisoirement ma poitrine qu’il n’a pas entièrement terminée et descendent sur mes hanches qu’elles contournent en glissant jusqu’à mon bas ventre.
Il retourne à sa glaise qu’il peaufine de longues minutes ce qui me permet de faire baisser la tension mais pas l’état de mon sexe trempé.
Faire baisser la tension, oui, comme celle de la corde d’un arc, tendue à l’extrême et dont chaque brin casserait l’un après l’autre, rendant la corde de plus en plus fragile jusqu’à ce qu’elle claque et que l’arc se détende violemment d’un coupcar en fait, pour être honnête, je suis sur proche d’atteindre le point de non-retour et je redoute le moment fatidique où la corde va casser net !…
C’est alors que ses mains humides et sales reviennent encore et encore sur mon corps qui tressaille.
Soudain, ses doigts s’infiltrent entre mes cuisses et remontent vers le V !
S’il remonte plus loin, il va s’apercevoir que je mouille comme une folle !
Mais il n’écoute que son travail.
Je regarde avec mes yeux affolés sa main qui monte et glisse doucement entre mes cuisses serrées et soudain, ses doigts viennent buter sur ma chatte !!
Je sursaute de plaisir et déglutis. Il reste imperturbable alors que je le vois retourner à la sculpture avec des doigts poisseux !!
Il ne peut pas l’ignorer. Je suis au bord de l’orgasme qui oscille entre – j’y vais – j’y vais pas.
Il revient une nouvelle fois sur mes cuisses. Je n’en peux plus.
Ses mains couvertes de glaise s’approchent à nouveau de mon entre jambe… Il agrippe mes fesses d’une main avec son index qui s’enfonce dans ma raie moite, tandis que l’autre main glisse verticalement du nombril sur ma toison qui se couche sous ses doigts qui s’infiltrent profondément entre mes cuisses, glissant sur mon sexe en pressant innocemment mon clitoris.
Je fais un ultime effort surhumain pour me contrôler mais cette fois-ci.
C’est trop tard.
J’EXPLOSE dans sa main !!
Ma chatte trempée et spongieuse se déverse sur ses doigts qui glissent profondément dans toute la longueur de ma fente en train de jouir…
Je n’ai plus le contrôle de mon corps.
Je suis prise d’un vif spasme que je ne peux refréner. Mes yeux se révulsent sous la puissance de l’orgasme. Un deuxième spasme me faire perdre l’équilibre mais je suis retenue par mes mains attachées.
Je ressemble à un pantin désarticulé. Le Prof ne bouge plus ses mains qui restent scotchées sur ma chatte et mes fesses.
Il attend que je finisse de jouir !!!! La honte me submerge.
Malgré mes efforts désespérés, un petit cri suivit d’un long gloussement de plaisir m’échappent et me font monter le rouge aux joues…
Suspendue au trapèze, je jouis longuement, les jambes affaissées, les bras tendus. Je perds la pose et mes jambes s’écartent.
Je me relâche complètement, puis récupère doucement mes esprits et la pose.
Sa main reprend alors les palpations comme si de rien n’était !
Un jet de cyprine a dû jaillir de ma chatte au même moment car quand il la retire enfin, elle est toute brillante et gluante.
Je vois sa main étaler mes jus sur le sexe de la statue de glaise et remercie le ciel qu’il ne puisse pas voir le rendu luisant si indécent.
Il ne dit rien
Puis, il s’essuie méticuleusement les doigts avec un torchon.
Je m’apprête à m’excuser de cet incident mais il me devance.
« Je crois que je peux finir les détails tout seul »
Sur ce, il me détache.
« Tu peux prendre ton argent dans le tiroir de la cuisine et t’en aller »
Je suis un peu décontenancée… Je me sens comme une gamine coupable et tellement embarrassée.
J’articule d’une voix rauque « Oui Monsieur… »
« Va te rincer sous la douche et demain, tu peux revenir te baigner si tu veux. Je te montrerai la sculpture finie quand elle sortira du four »
« En…entendu Monsieur… à demain »
Je récupère mes vêtements et m’enfuie littéralement, honteuse mais complètement retournée par cette expérience incroyable. Le soir, je me suis masturbée comme une folle en repensant à cette après-midi et aussi en imaginant déjà… la prochaine.
J’ai mal dormi et le lendemain, alors que je m’apprêtais à sortir pour m’acheter des sous-vêtements et un maillot de bain, Alain me fait enfin une visite surprise.
Je le reçois un peu sèchement après ce que j’ai découvert sur lui l’autre jour mais il est tellement sympa avec moi.
Il a apporté une pizza qu’on se partage. J’ai envie de lui parler de la fille que j’ai vue avec lui dans son magasin mais je me retiens. Ce ne sont pas mes affaires après tout.
Pareil pour le sculpteur. Je voulais lui en toucher deux mots mais je n’en fais rien. Il risque de poser des questions et je ne me vois pas en train de lui expliquer ce qui s’est passé…
Je porte un short que j’ai découpé à la va vite dans un jean qu’il m’a apporté l’autre jour car il fait tellement chaud que je n’arrive pas à supporter un pantalon.
Alain me félicite pour cette initiative qu’il trouve très… seyante d’autant que c’est le jour de lavage pour mes sous-vêtements…
Il n’est pas difficile de voir que je n’ai pas soutif sous mon T-shirt et que je porte le short à cru.
Je vois bien que ça trouble Alain qui me reluque de haut en bas avec un air gourmand. Je suis un peu gênée. Je rougis et me positionne pour faire en sorte que ça ne se voit pas trop et repense à sa copine en me disant qu’il ne va pas quand même courir deux lièvres à la fois ?
On échange avec quelques signes. Je lui dis que je lui proposerais bien d’aller se promener ensemble mais que j’ai quelque chose à faire. Il me répond que mes progrès sont éblouissants et que lui aussi de toute façon est attendu et il s’en va en me lançant un grand sourire. Oui c’est ça, va rejoindre ta copine qui me ressemble je me dis agacée. Mais mon agacement retombe vite lorsqu’il sort une nouvelle rose qu’il me met dans un vase avant de partir.
Mais oui, j’ai quelque chose à faire. Quelque chose qui m’excite au plus haut point. L’après-midi arrive et mon cur se met à battre de plus en plus fort à l’approche d’une nouvelle rencontre avec le sculpteur aveugle.
LE MYSTÉRIEUX MODÈLE
Je franchis la haie ainsi vêtue. Il est là. Sous son olivier et à peine posé le pied dans son jardin, il m’invite à venir voir ma sculpture terminée.
Je le suis et dans la salle, je découvre mon propre corps, nu dans la position que j’ai tenue pendant des heures. Le corps est lisse et propre.
Mes yeux sont attirés par la poitrine qui ressort tellement. C’est presque indécent me dis-je. Ma poitrine est si grosse que ça ?? Le ventre est si plat mais bien formé et les fesses si rebondies. Je dois dire qu’elle en jette de sensualité. Elle est incroyablement pulpeuse, on a envie de la caresser.
Puis il me dit de profiter de la piscine comme je veux. Je lui demande si une autre séance de sculpture est prévue.
« Pas aujourd’hui car je dois sculpter quelqu’un d’autre tout à l’heure ; mais nous serons enfermés dans la maison. Personne ne viendra te déranger, alors profites bien »
Je suis un peu déçue…J’imaginais déjà ses mains me pétrir tout le corps et rien qu’à cette idée, je mouillais déjà…Et puis c’est qui ce modèle. Je croyais qu’il n’y avait que moi.
Il reste dans le jardin à lire tandis que j’enlève mon t-shirt et fais glisser mon short à mes pieds.
Je plonge dans l’eau turquoise et nage sous l’eau dans un bonheur indescriptible. Je nage et nage et commence à m’amuser, à avoir des pensées cochonnes, à me toucher sous l’eau…quand soudain, j’entends le carillon. Il se lève et me dit de rester à profiter de la piscine aussi longtemps que je veux et qu’on se verra demain.
« Ah au fait » me dit-il d’un ton neutre et détaché, « Pour la prochaine pose, ce serait bien d’enlever un peu de ta pilosité…. Même complètement si ça ne te dérange pas ; ça faciliterait grandement mon travail »
« Heu… sous les aisselles vous voulez dire ? »
« Complètement. Partout. Sauf tes cheveux bien sûr »
Je reste une seconde interloquée puis rougis instantanément à l’idée de devoir me raser le sexe et aux sensations nouvelles que cela doit procurer de se faire palper un sexe imberbe !
Avant que j’arrive à prononcer un mot, il ajoute « Je suppose que tu n’as pas ce qu’il faut pour ça, alors prend mon rasoir mécanique et de la mousse dans le petit sac sur la table »
Il avait déjà tout préparé.
Je ne sais même pas quoi répondre.
Mes joues sont rouges et brulantes en pensant à ce que je vais faire, puis je me demande qui il va sculpter, dans quelle tenue et dans quelle pose…
Mais c’est peut-être une simple sculpture décente pour un commerçant. Ou un restaurant. Juste une tête peut-être.
Je continue de nager et de me caresser. Le temps passe, je m’allonge nue sur le bord de la piscine.
Je me caresse doucement mais soudain, j’ai peur qu’on m’observe au travers des volets. Inquiète d’abord, finalement la curiosité me taraude.
Je me demande s’il sculpte une autre fille nue à l’intérieur… j’ai trop envie de savoir et de regarder…
J’enfile mon short et mon t-shirt et m’approche de la porte de la cuisine. Elle n’est pas fermée à clé… je la pousse tout doucement et écoute. J’entends le bruit de la glaise qu’on malaxe dans l’atelier mais pas de voix…
Je n’y tiens pas, j’avance à pas de loup jusqu’à la porte ouverte de l’atelier.
Je passe la tête et retiens ma respiration…
Et là… je vois le sculpteur de face et son modèle de dos…. C’est un homme ! Un jeune homme je dirais plutôt.
Son corps est magnifique, son dos, ses fesses…il est musclé et se tient debout comme moi la veille, les mains agrippés au trapèze.
Il ne bouge pas, ne dit mot. Le sculpteur est concentré et ses mains alternent entre la masse de glaise, et le corps du jeune homme.
Je suis très excitée…j’aimerais bien le voir de face ! Juste au moment où je me demande à quoi ressemble son sexe, le sculpteur passe ses mains sur ses hanches et je les vois disparaitre sur le devant du jeune homme qui trésaille ! Ça me rappelle quelque chose et je me mets à mouiller abondamment !
Les mains du sculpteur s’attardent au niveau de son sexe. On dirait qu’il est en train de lui palper ! C’est trop excitant ! Si je pouvais voir ça !
Le jeune homme gesticule un peu mais ne dit rien. Je me demande si son sexe réagit ??
Je respire difficilement et sens une vague de chaleur m’envahir.
Je commence à me toucher mais je me ravise car je ne veux pas me faire prendre.
Je ne le saurai jamais mais tant pis. Je me contrôle comme je peux et rebrousse chemin le plus discrètement possible.
Une fois rentrée chez moi, je ne peux pas m’empêcher de me masturber à nouveau en repensant à ce jeune homme nu et au sculpteur qui devait lui palper le sexe !
C’est trop chaud ce que je viens de voir. Je me fais alors jouir en un instant….
Puis, je prends le rasoir et me rase sous les aisselles jusqu’à ce qu’elles soient parfaitement lisses tout en pensant à ce que ça va faire sur mon sexe…
Je passe ma main sous mes aisselles glabres et c’est très agréable même si ça picote encore un peu.
Je me positionne devant la glace et je regarde ma toison une dernière fois, écarte les jambes et saisis le rasoir….
Doucement, je mélange la mousse à ma toison et commence à racler la lame doucement…. C’est froid et ça pique un peu.
Je passe et repasse jusqu’à ce que ce soit complètement lisse au toucher. Puis je rince, me sèche et reviens devant la glace…
C’est tellement beau ! On voit tout ! C’est… c’est même comment dire… obscène ! Je le caresse longuement et ne peux plus m’arrêter.
Je mouille encore et m’endors bercée de très mauvaises pensées…
La nuit est agitée entre rêves diaboliques et deux puissants orages successifs.
J’ai dû me relever plusieurs fois pour caler les volets.
LA DEUXIÈME SÉANCE : LE VOYEUR
Le lendemain, le soleil brille à nouveau et je suis impatiente de revoir le sculpteur qui me fascine tant. Je veux m’habiller mais mes sous-vêtements que j’avais mis à sécher sur le balcon se sont détachés et ont disparus ! Ce doit être le coup de vent de l’orage qu’on a eu dans la nuit. Mince. J’ai cherché partout dans la rue, mais rien à part une pince à linge.
Alain me rend encore visite et m’apporte toujours de la nourriture que je lui paye dorénavant, mais je n’ai pas la tête à m’attarder avec lui car je ne pense qu’à ce qui m’attend ; du moins j’espère.
Il me reluque toujours avec des yeux lubriques. Il est vrai que, n’ayant plus de sous-vêtements, je ne porte toujours pas grand-chose. Je me débarrasse de lui avec gentillesse mais fermeté. Pourtant, comme à son habitude, il me touche toujours autant avec son rituel de me laisser sa belle rose que je m’empresse de humer et de mettre dans un vase.
Pour ma tenue, c’est bien embêtant car je n’en ai pas d’autre. C’est donc avec le short porté à cru et un nouveau t-shirt que je me rends chez le sculpteur. Ma chatte suinte déjà à l’idée de sa main sur mon sexe imberbe et des sensations que ça va me procurer. Je respire déjà lourdement rien qu’en y pensant.
« Ah, Marie, suis-moi…. J’ai une nouvelle sculpture pour toi. L’autre était pour une discothèque. Celle-ci est pour un Club… »
Il me tend une petite figure érotique. « Oh ! » Je suis surprise par l’indécence de la pose. Je dois me mettre à quatre pattes, bien cambrée et la tête qui regarde derrière moi.
« Je sais, c’est assez osé mais c’est ce qu’ils veulent dans ces Clubs. Mais si ça te pose un problème… »
« Heu… eh bien… C’est à dire que… »
« Pour ce style de pose, tu recevras 20 Frs de plus en bonus à la fin de la séance. Tu n’imagines pas ce qu’ils me payent »
« 20 Frs de plus ?? Ah ok alors » je fais avec un grand sourire. Je vais pouvoir me racheter des sous-vêtements déjà.
« Prête ? »
« Oui, oui, je me déshabille entièrement et prends la pose »
« Tu t’es rasée ? »
Je déglutis et rougis. « Oui… » dis-je dans un souffle à peine audible.
Il commence à vérifier que la pose est bonne et me fait changer un peu certains angles. Je me cambre encore plus, forçant mon arrière train à se bomber encore tout en écartant les jambes un peu plus…La pose est vraiment osée. Heureusement que personne ne me voit ainsi !
Mes seins lourds pendent sous moi tandis que je tourne la tête vers l’arrière.
Puis il commence à me palper les pieds, les mollets, les avant-bras, les épaules…
Il retourne longuement à sa sculpture qu’il a déjà dégrossie avant mon arrivée et revient me pétrir les cuisses.
Je meurs d’envie de lui demander ce qu’il a fait hier… qui était ce jeune homme et si je pouvais voir la sculpture…. Mais la douce chaleur qui m’envahit tandis que ses mains glissent et progressent sur mes cuisses brouillent mon esprit. Je mouille abondamment…
Il retravaille la sculpture de longues minutes, me délaissant sans état d’âme alors que mon cur bat fort et que mon cerveau anticipe déjà les attouchements suivants.
Il revient enfin sur mon corps et prend la mesure de mes hanches, englobe mon flanc, caresse mon dos, ma nuque…
C’est insupportable de sensualité et tout mon corps s’enivre doucement de plaisir tout en se couvrant de fines trainées de glaise humides. Ses doigts m’effleurent parfois simplement la peau pour ensuite emprisonner mes chairs comme pour mieux en évaluer les volumes. Le supplice est abominablement délicieux.
Je trésaille à nouveau ; comme le jeune homme hier.
Ma chatte est brulante et me démange.
J’attends le moment inévitable ou ses mains vont se poser sur mes seins et mon sexe avec une angoisse mais un désir insupportable.
Rien qu’à cette idée, je suis au bord de l’orgasme et redoute déjà de ne pouvoir me contrôler…
Le temps passe, je sens des crampes mais je n’en ai cure et ne dis rien. Ses mains reviennent enfin… le visage… il pose ses mains sur mes yeux, mon nez, ma bouche, je transpire de la chaleur étouffante et de l’excitation qui grandit inexorablement.
J’ai envie de lui sucer à nouveau les doigts quand ils s’attardent sur mes lèvres en passant et repassant lentement.
Je gémis aussi discrètement que je peux alors que mes jus coulent sans interruption entre mes cuisses ouvertes.
Ses mains couvertes de glaise glissent sur les formes arrondies de mon corps cambré qu’elles pétrissent comme de la pâte.
Je frémis à chacun de leurs passages et me tortille comme une chatte en chaleur.
Soudain, j’entends un petit bruit dans la cuisine.
Je vais pour l’interroger quand ses mains reviennent une nouvelle fois et cette fois-ci englobent mes seins !
Je gémis sans retenue et suis prise d’un petit spasme de plaisir alors que je sens l’orgasme monter d’un nouveau cran. Mes tétons sont abominablement durs et se dressent, suppliants, vers ses doigts agiles.
Je suis proche du point de non-retour. Je déglutis bruyamment.
J’ai du mal à garder la pose et m’agite de plus en plus. Je me déhanche de plaisir alors qu’il triture mes tétons et me pelote mes gros globes qui pendent et oscillent au gré de mes gesticulations. Ma chatte est en feu !
Il retourne encore à la glaise pour finir ma poitrine lorsque j’entends à nouveau un petit bruit dans la cuisine.
Cette fois, j’ouvre la bouche pour lui demander mais au même instant, ses mains agrippent mes fesses ! Je pousse un petit cri. Il les malaxe longuement et les caresse sur toute leur surface bombée pour appréhender leurs courbures exactes …le plaisir est si grand que je sens mes bras vaciller. Je baisse la tête et laisse échapper un profond soupir rauque.
Je me tortille pour échapper à l’inéluctable et là, sans crier gare, il plonge ses doigts dans la raie de mes fesses grandes ouvertes !
Il prend la mesure de la raie en faisant glisser ses doigts sur toute la longueur, évaluant la profondeur, la largeur, l’angle et la progression de la courbe qui descend jusqu’à mon gros abricot rebondi et tout juteux…Ses doigts s’enfoncent dedans une fois, puis remontent, puis repassentindéfiniment.
Je souffle comme une grosse vache qui se fait traire ou qui attend la saillie. Je remue de plus en plus malgré moi.
« Tiens-toi tranquille »
Le regard hagard, l’esprit embrumé, je n’arrive pas à sortir un mot de ma bouche sèche et grande ouverte qui respire en haletant ; en attendant l’estocade.
Ses doigts de la main gauche glissent toujours dans la raie et frôlent mon anus dilaté, repassent dessus, en fond le tourlorsque subitement son index le titille carrément pour en appréhender sa forme exactetournant en vrille en plein centre comme s’il voulait le pénétrer !
La honte me submerge et je me mords les lèvres pour contenir mes cris mais c’est à ce moment-là que son autre main englobe d’UN COUP toute ma chatte visqueuse et imberbe. Le contact est si soudain et direct qu’il m’ELECTRISE !!
Je suis prise d’une violente convulsion que je ne peux réfréner.
La sensation est si puissante que je jouis instantanément.
Je lâche un profond râle de plaisir tandis que je m’effondre sur les coudes, projetant mon cul écarté en l’air, le sexe lisse et trempé complètement offert à sa main qui continue de le frotter mécaniquement de bas en haut tandis que son autre main inspecte toujours mon petit trou qui se met à palpiter de multiples contractions.
Je réalise soudainement avec effroi que mon sphincter se referme sur son index qui s’y est vaguement enfoncé à la faveur d’un relâchement !!
L’orgasme me submerge longuement.
Mon bouton bandé à mort et complètement décalotté vibre de plaisir sous la friction persistante de sa paume humide. De nouveaux spasmes incontrôlables me secouent.
A ma grande honte, je ne peux m’empêcher de pousser mon cul contre sa main poisseuse pour accroitre la pression et faire perdurer à l’infini cet orgasme extraordinaire.
En poussant ainsi ma chatte sur sa main, deux doigts entrent involontairement dans ma fente grande ouverte ! Je hurle alors de plaisir et me cambre violemment comme une chienne en chaleur foudroyée par un éclair de jouissance.
Soudain, un nouveau bruit provient de la cuisine.
Cette fois, je prends peur.
N’ayant pas fini de jouir, je fais un effort surhumain pour reprendre mes esprits et quitte la pose, attrape une serviette pour m’envelopper et déboule dans la cuisine toute pantelante. Personne. La porte ouverte bouge encore. Je m’avance dans le jardin. Personne non plus.
Je suis troublée et reviens sur mes pas lorsque je marche dans quelque chose d’humide et pâteux.
Du sperme !!
« Qu’est-ce qui se passe » s’enquière le sculpteur sur un ton proche de l’indifférence.
« Comment ça ? Vous n’avez rien entendu ? Vous qui avez l’oreille si fine ? »
« J’ai entendu une jeune fille jouir… » me rétorque-t-il alors que je renifle le liquide visqueux qui dégouline de ses doigts pour avoir confirmation.
Je suis tellement embarrassée que je n’ose pas lui parler du sperme et donc, d’un sale voyeur !
Je balbutie… « Je… excusez-moi… Je n’ai pas pu me contrôler mais ça ne se reproduira pas. Heu…est-ce qu’on a fini ? »
« Oui, tu peux y aller, et non, je n’accepte pas tes excuses. Tu n’es pas la première à qui ça arrive et tu ne seras pas la dernière ; Vu ma technique si particulière, c’est une réaction complètement naturelle et tu n’as pas à en rougir ; à demain. »
Je reste sans voix devant son analyse froide et logique mais si je comprends bien, d’autres modèles ont joui entre ses mains… ça me rassure et je me sens moins honteuse. Je me demande ce qu’il en est des modèles masculins ! Ça m’excite terriblement d’y penser. J’enfile rapidement mon short et mon t-shirt et rentre chez moi en regardant aux alentours sans voir âme qui vive.
Je suis tellement troublée par tout ça que je m’endors encore difficilement. Je me touche encore et encore et jouis plusieurs fois dans la nuit étouffante, nue sur mes draps tachés.
L’APPRENTISSAGE
Les jours suivants, il doit peaufiner les sculptures déjà réalisées et n’a pas besoin de moi dans l’immédiat.
Je retourne donc me baigner et profite de son accueil et de sa merveilleuse piscine dans laquelle je nage sans vêtement avec bonheur et insouciance.
Je sens l’eau glisser sur ma chatte rasée…. Quel pied ! Je me douche toujours devant lui à quelques mètres et me fait régulièrement jouir discrètement sous la douche. J’espère qu’il ne s’en doute pas… En tout cas, j’ai perdu un peu de ma pudeur maladive. De toute façon, il ne peut pas me voir, ni m’entendre car je reste discrète.
Finalement, je me suis trouvé un job à domicile. Et quel job !
Du coup, je ne ressens plus le désir de sortir malgré les propositions d’Alain qui vient toujours me rendre visite, me relancer etfleurir mon séjour.
J’ai demandé au Prof la permission de me servir de sa superbe chaine Hi-Fi. Du coup, je nage avec le Top 50 de l’époque. C’est super. Et quand, à nouveau, j’entends le DJ saved my life, je ne peux m’empêcher de danser dans l’eau en éclaboussant partout avec mes seins qui gigotent dans tous les sens. Ça m’excite encore plus et des fois, sur le bord de la piscine avant ou après la douche, je danse sur ce rythme répétitif et lancinant.
« Je payerais cher pour te voir danser » me dit-il un jour.
Je souris et vois mon reflet dans une fenêtre de la maison. Je me trouve à croquer et je suis bien d’accord avec lui. Je rigole toute seule.
J’attends avec impatience la prochaine séance mais il me propose de m’apprendre à sculpter en prenant un visage et se propose comme modèle.
Je suis très intimidée. Je sors de la piscine et enfile rapidement mon t-shirt sans même remettre mon short. C’est tellement plus confortable. Et puis le t-shirt est assez long et couvre une partie de mes fesses et y’a personne pour me voir de toute façon.
Il prépare tout et me laisse devant le gros m