Voici la suite de mon histoire pour ceux qui n’auraient pas lu les précédentes je nous présente Claude et Marie. Marie est une femme de 50 ans à l’époque 1.75 pour 60 kg, rousse, yeux bleus 95C.
J’ai découvert par hasard au bout de quatre ans de vie commune qu’elle fantasmait en secret sur le fait d’être soumise. Ayant moi même le fantasme de jouer les maîtres depuis longtemps, je suis devenu son mentor pour son plus grand plaisir et maintenant j’assouvis avec elle tous mes désirs pervers. J’ai remarqué au fil des discussions qu’elle a eu avec Élise sur MSN qu’elle avait un potentiel bi et j’ai créé une fiche sur Netechangiste (recherche Cple femme soumise ou femme dominatrice).
… Voici donc ce qui arriva dans les semaines qui suivirent…
Au début notre fiche était peu émaillée de photos et de ce fait peu de contacts, je pris donc soin de créer une galerie avec toutes celles que j’avais prises lors de nos séances SM en cachant nos visages évidement. Le résultat ne se fit pas attendre, nous croulions sous les messages; surtout d’hommes morts de faim… Sourire… Mais heureusement aussi de couples et femmes qui flashaient sur nos photos Marie avait la consigne de ne répondre qu’aux couples et femmes ce qu’elle fit. Nous fîmes ainsi connaissance avec Val femme soumise, petite brunette piquante à souhait à qui je proposais un plan à trois. Par précaution, elle nous demanda un premier rendsez-vous dans un lieu public ce que nous acceptâmes. Elle nous proposa de se retrouver le jeudi soir suivant à "L’Inattendue" un club libertin situé à Roquebrune. Nous avions ni moi ni Marie jamais mis les pieds dans un tel club et nous fûmes surpris aussi d’apprendre qu’il en existait un dans notre ville, mais j’acceptais l’invitation.
Marie mise devant le fait accompli me fit part de ses craintes, nous navions pour l’instant jamais pratiqué l’échangisme et elle craignait pour notre couple. Je fis taire ses appréhensions en lui rappelant que depuis qu’elle avait accepté de m’être totalement soumise, mes idées perverses lui avaient apporté beaucoup de plaisir.
Nous préparâmes donc notre future rencontre en allant à la boutique érotique de Puget sur Argens. Marie avait besoin d’une robe adaptée pour une sortie en club. Cette fois-ci Marie fut beaucoup moins gênée de venir dans cette boutique, elle sympathisa même avec la vendeuse qui la guida pour choisir sa tenue car nous étions les seuls clients, elle hésitait entre deux tenues une robe blanche et un fourreau rouge et je lui proposais d’essayer les deux. Nous allâmes vers la cabine d’essayage. Elle commença par le fourreau rouge. Il était moulant et court et ne descendait pas à plus de 20cm au-dessous de sa chatte laissant apparaître la couture de ses Dim-ups. Je le lui offris. Quand elle voulut essayer la robe blanche ce fut beaucoup plus difficile elle était de forme portefeuille pour le large décolleté devant et derrière son dos complètement décolleté était juste formé de fines bretelles s’entrecroisant. Elle entrouvrit le rideau me murmurant qu’elle n’arrivait pas à l’enfiler. La voyant nue, vêtue juste de ses bas me donna une idée sachant qu’elle m’avait révélé un penchant bi récemment. J’appelais la vendeuse pour lui demander si elle pouvait aider Marie à mettre cette robe. La boutique toujours vide elle vint à notre aide.
Elle ouvrit le rideau de la cabine d’essayage, Marie rougit elle se retrouvait nue devant une inconnue qui plus est une femme qui savait ses penchants soumise puisqu’elle nous avait conseillé pour l’achat de jouets SM et dans une position compliquée la robe coincée au niveau de son cou les bras pris le filet des bretelles du dos. Elle eut un sourire moqueur et la contempla de haut en bas…
C’est vrai, dit-elle, j’avais oublié de vous dire qu’elle est compliquée à enfiler. Je vais vous aider…
J’observais Marie confuse, je savais à voir les lèvres de sa chatte entrouvertes au-dessous de sa courte toison que cette situation l’excitait. La vendeuse lui demanda de se tourner pour l’aider à se libérer, ce qu’elle fit et ce qui nous donna une vue magnifique sur son cul. Elle la libéra.
Tournez-vous, dit-elle. Marie obéit. La vendeuse passa ses bras dans la robe de façon à ce que toutes les bretelles soient bien placées, puis regardant Marie qui cachait ses seins et baissait la tête lui demanda de sortir de la cabine pour que ce soit plus facile. Elle se plaça derrière elle et lui demanda de lever les bras ce que Marie fit. Se collant derrière elle, elle fit placer les bras de Marie à l’intérieur de la robe puis retira les siens. Marie se retrouvait ainsi bras levés la robe sur la tête. La vendeuse saisit délicatement son poignet droit et le passa dans l’emmanchure, puis fit de même avec le gauche. Elle fit alors glisser la robe le long de ses bras jusqu’à ce que sorte la tête de Marie. Elles étaient de dos mais dans le reflet de la glace, lorsque son visage apparut yeux fermés je sus qu’elle appréciait. La vendeuse fit alors glisser le tissu sur le corps de Marie prenant soin bien plus que nécessaire de lisser le tissu au niveau de la poitrine, ce qui eut pour effet de faire bander les pointes de seins de Marie puis elle ajusta les entrelacs de bretelles du dos et fit se retourner Marie. De nouveau elle réajusta le décolleté de forme portefeuille en fixant Marie dans les yeux, ce qui augmenta sa gêne encore plus. Qu’en pensez-vous ? Me dit-elle ?
La bosse de mon pantalon témoignait du plaisir que m’avait procuré cette exhibition. La robe était vaporeuse on voyait les auréoles des seins de Marie à chaque mouvement qu’elle faisait le décolleté découvrait ses seins. Par transparence on voyait aussi sa courte toison.
Super ! Dis-je… Nous prendrons les deux.
Marie retira la robe et se rhabilla. Lorsqu’elle sortit je vis à la complicité des regards de la vendeuse et de Marie que chacune avait apprécié cet essayage.
Le jeudi arriva, lors de l’essayage j’avais remarqué que si la pilosité de la chatte de Marie était faible elle pouvait se voir sous certaines robes et depuis un moment j’avais envie d’avoir une salope à chatte lisse. Aussi le soir dans la salle de bain alors qu’elle allait prendre sa douche je l’arrêtais.
Chérie, pour ce soir je veux que tu aies la chatte complètement lisse, dis-je, en lui tendant un rasoir…
Mais ça n’est pas assez court comme ça ? Dit-elle, une chatte lisse ça fait petite fille…
Non, je dirais plutôt salope soumise, mon amour, dis-je… Et c’est ce que je veux que tu sois ce soir.
Elle prit le rasoir en baissant les yeux.
Tu me montreras après, je t’attends au salon.
Quand elle sortit de la salle de bain, elle vint devant moi et souleva sa jupe. Sa chatte était complètement lisse et indécente. Je passais ma main sur son m’ont de Vénus pour apprécier la douceur de sa peau, son bassin s’avança à la rencontre de ma caresse, glissant un doigt dans la fente de son sexe je pus sentir une humidité naissante.
Tu vois que tu aimes, dis-je, ta chatte ressemble à celle d’une star du porno maintenant, tu ne trouves pas cela plus joli ?
Elle ne répondit pas, mais sa chatte s’ouvrit un peu plus sous la pression de mon index, elle commençait à vraiment mouiller. Je me mis à genou et déposai un baiser sur son clito, elle soupira.
Ma langue commença à le taquiner pendant que deux de mes doigts investissaient son puits d’amour qui dégoulinait de cyprine. Son bassin s’appuyait de plus en plus fort sur mon visage et elle eut rapidement un orgasme.
Me relevant nous échangeâmes un long baiser et je lui dis alors qu’il était temps de choisir sa robe pour notre sortie.
Elle choisit finalement le fourreau rouge car la robe blanche était vraiment impossible à enfiler seule alors que celui-ci fermait par une fermeture éclair devant elle portait dessous juste ses dim-ups. L’heure de partir approchait.
Nous arrivâmes au club vers 23h ; il n’y avait pas grand monde, juste le patron, sa femme, Natacha un travesti et dans une alcôve une petite brune.
Le patron, voyant que nous étions nouveaux au club, entama la discussion et insista pour nous faire les honneurs d’une visite guidée de son club.
Le RDC comprenait une piste de danse, les vestiaires, un bar, et l’espace sauna hammam piscine à remous. L’ambiance était très sympa : bonne musique et dans toutes les pièces des écrans sur lesquels passaient des films pornos ; normal vu l’endroit. Il nous fit visiter l’espace câlins au premier ou se situait de nombreuses salles dont certaines à thème. Partout la propreté était irréprochable et des préservatifs étaient en libre-service. Cela nous rassura tous les deux et nous redescendîmes au bar.
Lui indiquant que nous avions s un rendez-vous avec Val il nous indiquant l’alcôve où nous avions vu une femme. Nous primes nos verres et nous dirigeâmes vers elle. Elle portait une mini en cuir très courte ne cachant pas la couture de ses bas un chemisier transparent, des cuissardes. Malheureusement, je vis à l’attitude de Marie que le courant ne passait pas et après une discussion sympathique nous décidâmes d’en rester là.
Retournant au bar nous fîmes la connaissance d’un couple d’habitués et d’un travesti très sympas mais rien de sexuel. Nous parlions sexe évidemment et peu à peu Marie se détendait. Un couple de femmes vont plus tard et elles firent un numéro de pool dance auquel Natacha le travesti se mêla faisant rire tout le monde puis les heures passant nous nous retrouvâmes seuls au bar avec lui à discuter ; et là il se passa une chose à laquelle je ne m’attendais pas.
Marie était assise sur un haut tabouret de bar sa robe couvrait à peine la couture de ses dim-ups. Natacha posa en discutant la main sur sa cuisse. Elle ne réagit pas si ce n’est son regard qui plongea dans le mien intensément. Il commença à lui caresser la cuisse. Un silence s’installa, je décidais alors de prendre les choses en main.
J’ai glissé alors la mienne vers la fermeture éclair au bas de sa robe lui caressait toujours sa cuisse en haut de ses bas. J’ai alors remonté celle-ci jusqu’au-dessus de sa chatte et j’ai ordonné à Marie d’écarter ses cuisses. Sa chatte lisse et brillante apparut et Natacha le travesti remonta sa main jusqu’à elle pour l’explorer.
Un dernier sursaut de pudeur envahit alors Marie.
"On va nous voir…" dit-elle.
"Et alors ? Nous sommes dans un club libertin chérie et tu fais ce que je veux, non ?"
Sa réponse fut juste un Hoooo ! Natacha venait d’envahir sa chatte de deux doigts. Il portait un mini short, je dis alors à Marie de prendre sa bite en main. Elle hésita mais je voudrais moi-même sa main et il baissa son short pour l’aider. Il bandait mou. Je saisis alors l’autre bout de la fermeture éclair dans son décolleté et l’abaissa presque jusqu’au nombril. Je saisis l’autre main de Marie et la posa sur ma braguette.
"Branle-moi salope !" dis-je.
Elle ouvrit ma braguette et sortit ma bite dure et ce fut irréel. Elle nous branlant moi et Natacha en cadence. Ayant les mains libres je me mis à lui caresser les seins et lui pincer les tétons de mes deux mains. Natacha maintenant le branlait de trois doigts à toute vitesse elle eut très vite un orgasme qui fut suivi du mien. Natacha le travesti resta jusqu’à la fin mou. Quand nous reprîmes contact le patron était de nouveau derrière son bar. Il avait dû se régaler. Marie remonta la fermeture du décolleté et nous primes une dernière coupe avant de rentrer chez nous.
Ce soir-là en rentrant nous fîmes l’amour comme des bêtes. Tant nous étions excités de notre première soirée en club.