Certitudes
Une fois chez elle Marie repensa à cette aventure avec son maître de stage. Ce mec qui lavait vue nue en fouillant dans son ordi, et qui lavait forcée à lui faire une fellation. Elle pensa à tout dire à la police, mais elle savait que sa vie professionnelle dans ce domaine serait fichue puisquil passerait le mot quelle utilise linformatique du boulot pour envoyer des photos nues… Finalement elle se convaincu que ce nétait plus que de passé et quil fallait passer à autre chose.
Le lendemain Marie partit au travail en jean et un haut gris très très peu décolleté. Elle mit un gilet un gilet noir par-dessus et des baskets/chaussures écrues afin dêtre banale. Tampis pour les gens du bus…
Une fois au travail, elle salua Denis en baissant la tête et en rougissant. Il lui dit un «bonjour Marie» avec un ton qui ne laissait pas de doutes sur le fait quil repensait à la veille. Elle passa son chemin et se mise à travailler. Tout au long de la journée elle jetait des regards par la vitre pour regarder son chef. Par moment il croisait son regard, elle se retournait alors rapidement vers son écran. 16H30… 16h45… Marie voyait les 17h de rigueur arriver et pas de nouvelles de son chef, il avait travaillé de son côté. Ouf, il est lui aussi passé à autre chose, elle est tranquille avec cette histoire. 16h55… Marie rangea ses affaires, lorsque Denis passa la tête par la porte :
«Vous viendrez me voir avant de partir, jai un dossier quon vient de me donner et quil faut que lon traite rapidement»
Marie éteignit son ordinateur, ferma les fenêtres et la porte, puis se rendit dans le bureau de son maître de stage.
«Entrez, et fermez la porte derrière vous». Il avait un ton sec mais pas plus quà son habitude, Marie fût donc rassurée, elle qui commençait à angoisser de revivre la même chose que la veille.
«Asseyez-vous. Marie, ce dossier ce nomme certitudes. Je veux être sûr de quelque chose»
Je alors quon venait de lui donner le dossier… Marie avez peur de la suite
«Levez-vous et tournez vous! Lui dit-il de façon autoritaire.
Non monsieur, répondit Marie avec une grosse boule au ventre comprenant que la situation se répétait.
Pardon! Lève toi! Jai tes photos, des sauvegardes au cas où, donc noublie pas, pour que je ne les diffuses pas tu dois mobéir! Tu nas pas oublié?
Non monsieur, mais je croyais que…
Que quoi? Quune pipe allait me suffir ! En plus en les regardant dans la journée jai eu une grosse envie de toi! Tu vas me soulager aujourdhui encore! Lève-toi et tourne toi que je vois ton beau petit cul dans un jean!»
Marie se leva, recula un peu pour sécarter des chaises et elle se tourna. Elle sentait le regard de son supérieur sur elle, en train de scruter ses fesses. Soudain, elle se surpris à relever son haut et son gilet de quelques centimètres pour bien dévoiler ses fesses. Elle avait honte et surprise de vouloir offrir la meilleure vue possible à Denis. Elle le voulait car elle se sentait désirable et elle aimait cette sensation.
«Viens ici, lui ordonna Denis. Tourne toi que mes mains en profitent aussi»
Il caressa alors les fesses de Marie, puis il les pétrissa.
«Quel cul! Hummmm, très jolie forme et en plus bien ferme, tu ferais vraiment bander nimporte qui! Allé, tourne-toi et soulage moi»
Marie sagenouilla devant Denis. Il avait juste enlevé le bouton de son pantalon. Elle baissa la fermeture éclaire et sorti son pénis de son caleçon. Elle le caressa dabord de façon hésitante sur la hampe, de nouveau surprise par la taille et la largeur de se sexe. Denis se racla la gorge, elle compris son impatience et elle fit le tour de se pénis avec sa main droite. Elle le branla doucement, et elle se surprit à apprécier la douceur de ce sexe, et encore plus de le sentir grossir entre ses doigts. Au bout de deux minutes, Denis se racla de nouveau la gorge. Marie savança, et posa doucement ses lèvres sur le gland.
«Et bien, tu comprends vite et tu écoutes bien, on va pouvoir faire beaucoup avec toi…» Marie fût choquée de cette phrase et des sous-entendus, elle qui pensait en finir déjà hier, elle espérait en finir ce soir, le week end arrivant en plus. Pour autant, ses lèvres étaient comme attirées par ce sexe et elle reposa rapidement le gland entre ses lèvres. Elle descendit ses lèvres lentement et avala le bout dans sa bouche. Elle ne bougea plus ses lèvres et elle posa sa langue sur le sexe. Elle tourna autour. Alors quelle navait pas aimé ses deux fellations avec Arnaud et celle dhier avec Denis, elle commençait à aimer le contact du gland sur ses lèvres et sa langue. Denis quand à lui se concentrer pour bien ressentir les caresses de cette langues inexpérimentées sur son sexe. Il posa sa main droite sur les cheveux de Marie, et sans quil nait le besoin de faire quoi que ce soit, Marie repris ses va-et-vient avec sa bouche et avec sa main droite qui navait pas lâchée ce gros sexe. Avec un peu de difficultés au début, elle savoura cette fois de sentir ce membre, la chair coulisser entre ses doigts et surtout rentrer et sortir de sa bouche. Elle accéléra petit à petit, et elle le faisait avec de plus en plus denvie. Le plaisir et lexcitation avait pris le dessus, et elle essayait à chaque mouvement denfoncer cette bite de 58 ans un peu plus loin dans sa bouche. Malgré la taille et la grosseur, elle était fière delle lorsquelle en mit les deux tiers dans sa bouche. Avec lenvie, elle aspirait de plus en plus et jouait de plus en plus avec sa langue sur le gland. Denis fût surpris par cette envie soudaine de cette jeune fille débutante et cela lexcita très vite. Il sa contracta et rapidement il largua son sperme dans la bouche de Marie. Surprise, elle recula mais elle se rappela très vite quil lui avait demandé la veille davaler pour ne pas le salir. Pensant que cela allé mettre fin à cette histoire, elle reprit vite le phallus de Denis en bouche et un seul jet avait fini sa course sur sa joue gauche. Elle avala une gorgée puis une petite deuxième, mais le goût lui fit avoir un haut-le-coeur et elle recracha le reste sur ce membre qui lui avait rempli la bouche.
Elle releva la tête et Denis vit dans son regard un mélange entre le dégoût et le plaisir, ce qui lui déclencha un sourire. Il la fit se relever et lui tendis un mouchoir.
«Essuie-toi. Cétait mieux quhier. Mais encore une fois tu mas salit! Tu recommenceras donc dès lundi, et ça tous les soirs tant que tu navaleras pas tout.
Quoi?! Oh non. Je…je…
Tu vas quoi? Tu ne diras rien car je tai filmé, et on voit très bien que tu as pris de plaisir à sucer ton chef. Regarde» il lui montra la vidéo sur son téléphone. Effectivement, on voyait et on entendait quelle y mettait du sien. Elle était coincée, forcément on penserait que cétait pour une meilleure note, ou autre chose.
« Alors?! Dit-il dun ton sournois
Euh oui…
Tu vois, mon dossier est fini : jai la certitude que tu ne diras rien et jai la certitude que tu vas vite aimer le sexe»
Marie était choquée et elle eu les larmes aux yeux.
«Allé rentre chez toi, et reprend des forces»
Marie alla se rincer la bouche et rentra. En chemin elle repensait à ces phrases on va pouvoir faire beaucoup avec toi, reprend des forces. Elle comprit quil ne la laisserait pas sen tirer aussi facilement, et elle espérait que cela se limiterait à la fellation le soir. Toutefois, elle se demanda aussi ce que procurait un sexe de cette taille dans un vagin, et elle sentit lexcitation monter en elle. Elle sinterdisa dy repenser, mais se promis dun jour trouver quelquun aussi bien monté pour essayer, et de moins bedonnant pour que ce soit plus sexy.