L’autre jour, en sortant du centre commercial, j’ai rencontré Georges.
C’est mon ancien collègue de travail.
Il a toujours eu envie de moi, mais je ne voulais pas : D’abord parce que j’étais avec Loulou, qu ’il était marié, et que je ne voulais pas d’histoire de fesses au boulot.
Ce qui ne m’empêchais pas de l’allumer régulièrement : avec des décolletés vertigineux , des tenues plutôt osées (je me souviens d’un short outrageusement moulant que je portais sans rien dessous).
Et puis, je faisais mine d’ignorer ses mains baladeuses, ses frottements quand il passait derrière mon comptoir, à l’ accueil, pour corriger mes fautes d’orthographes (souvent voulues d’ ailleurs).
J’adorais voir surgir une grosse bosse sous son pantalon.
Et, certaines fois, quand il posait ses mains sur mes hanches, ou un bisou sur ma nuque, je rentrais le soir dans tous mes états et c’était Loulou qui en profitait.
Enfin bref, j’ai joué avec lui.
Et puis la boite à été restructurée, comme on dit, avec, à la clef, des licenciements.
Lui a retrouvé du travail, moi pas.
Et voilà que nos routes se croisaient à nouveau.
Il m’a offert un verre. Nous avons discuté de tout et de rien, de nos vies…
J’ai appris qu’il était veuf depuis un an, je lui ai dit que Loulou était parti .
Ça ouvre des perspectives, m’a t-il dit en riant .
Malgré ces trois années passées, il semblait me trouver toujours aussi désirable. Hummm, plutôt agréable comme nouvelle !
Et bien qu’il ait six ans de plus que moi, je l’ai trouvé, ma foi, plutôt bien conservé.
On s’est quitté sur une invitation au resto le mercredi suivant.
C’est la boite qui invite, me dit il, je te propose d’aller au M….., restaurant assez chic de la ville.
J’ai accepté avec plaisir : ça fait longtemps que je ne suis pas allée au resto, alors !
Le mercredi je me suis levée de bonne heure pour me préparer.
J’étais comme une ado qui va à sa première surprise partie !
J’ai décidé de me faire belle, rectifiant mon épilation (ça fait mal, mais il faut souffrir pour être belle), essayant diverses coiffures,vidant l’armoire pour trouver la tenue adéquate.
J’ai choisi un duo culotte et sous tif assortis, petit ensemble composé d’un chemisier boutonné sur le devant (en oubliant, bien sûr les deux boutons du haut) jupe courte mais sans trop, bas autofixants, et chaussures à talons qui m’obligent à me tenir bien droite, bien cambrée.
Dernières vérifications devant la glace : finalement je n’ai pas grossi tant que ça, et mes cheveux remontés en chignon dégagent bien ma nuque.
Vous l’avez compris, j’étais assez contente de moi, prête à reprendre mon petit jeu de séduction avec Georges.
J’ai sauté dans la voiture en direction de notre rendez vous.
A peine sortie du village, une idée folle m’a traversé la tête. Je me suis arrêtée sur le bord de la route, dégrafé ma ceinture…
Quelques tortillements, et hop, ma petite culotte a atterri dans la boite à gants.
En repartant, je me disait que j’étais folle, me demandant s’il allait s’en apercevoir, ce qu’il allait en penser, que j’allais trop loin, bref, tout ce qui peut passer par la tête d’une femme qui va , sans culotte, à un rendez vous avec un monsieur.
Mais bon, c’était fait.
Je me sentais de plus en plus émoustillée, allez savoir pour quoi !
Sur place, j’ai trouvé une place de parking tout près du restaurant que j’ai rejoint en marchant avec précautions.
C’était la première fois que je m’aventurais nue sous une jupe. En short ou en jean, c’était différent.
Là, l’air venait me caresser délicieusement les cuisses, mais plus haut aussi, et mon trouble grandissait.
J’avais l’impression que tous les passants que je croisais devinaient, mais non finalement, tout était normal.
Plus j’approchais et plus mon trouble grandissait : plaisir de braver l’interdit , honte d’être déjà presque offerte ?
Et s’il s’en apercevait ? Qu’allait il penser ?
De toutes façons, il était trop tard pour reculer.
Un garçon est venu m’accueillir : Vous avez réservé ?
Oui, j’ai rendez vous avec Monsieur C…….
Très bien, il est déjà là, la table près de la fenêtre .
J’ai traversé la salle sous le regard des clients déjà installés .
Georges était bien là, consultant le menu .
Il s’est levé avec un grand sourire pour me faire la bise.
Toujours aussi jolie, et …. les mêmes décolletés, j’ai l’impression d’ être revenu trois ans en arrière, ajouta t-il.
Agréable à entendre, ce compliment. Visiblement, je lui faisais toujours le même effet.
Il s’est montré particulièrement prévenant, m’expliquant les plats de la carte, me conseillant…
Le repas fut charmant , et, le vin aidant, je me sentais de plus en plus légère, surtout que notre conversation à tourné sur les souvenirs du temps passé au boulot.
De temps en temps, Georges me rappelait mon attitude équivoque et lorgnait de plus en plus sur mon décolleté.
S’il avait su que j’étais nue sous ma jupe, en, plus …
J’imaginais l’effet que cela devait lui faire, et rien qu’à cette idée, je sentais ma petite fente devenir toute chaude et humide .
Décidément …..
C’est moi qui offre le café dis je.
Nous pourrions aller au bar près du bureau, ça nous rappellera le bon vieux temps .
Ok, dit il en souriant.
Dehors il m’a expliqué que sa voiture était garée près de l’hôpital.
Je suis garée juste là, si tu veux on prend la mienne, je te ramènerai !
En m’installant au volant, ma jupe est remontée jusqu’à lisière de mes bas, découvrant une bande de chair blanche, mais je n’ai rien fait pour me rajuster.
Hummm, des bas, dit il. J’adore ! C’est tellement plus sexy que des collants.
J’ai souri, heureuse de me sentir désirée…
Tu n’as pas de cigarettes ? demanda t-il, j’ai laissé les miennes dans ma voiture.
Si, regarde dans la boite à gants.
Oups ! C’était trop tard !
Il a ouvert la boite à gants et la première chose qu’il a vu était ma petite culotte…
Il l’a prise avec délicatesse en demandant : t’as plus d’armoire chez toi ?
Je me suis sentie rougir, mon ventre s’est contracté.
Si, arrivais a bredouiller, ce doit être une culotte à Léa (ma fille) je lui ai prêté ma voiture ce week-end.
Et ben dis donc, ta fille se balade sans culotte, c’est du joli.
En tous cas, elle à bon goût, très jolie cette dentelle.
Tu mets les mêmes ?
Oh, arrêtes !
Il a sorti les cigarettes.
Tu en veux une ?
Oui, volontiers arrivais-je à articuler.
Il m’a présenté une cigarette devant les lèvres puis s’en est prise une.
Sortant son briquet, il l’a présenter devant ma cigarette, mais l’a laissé échapper.
Le briquet est tombé juste entre mes cuisses ou il a plongé la main.
Elle était chaude… Hummmmm, mon ventre s’est contracté une nouvelle fois, je mouillais encore plus.
Instinctivement, j’ai serré mes cuisses, emprisonnant sa main.
Arrête, tu vois bien que je conduit, on va avoir un accident !
Pourvu qu’il ne remonte pas sa main, pensais je . Il allait savoir que je ne portais pas de culotte et que j’étais toute mouillée.
Arrête, dis je encore une fois, enlève ta main !
Je veut bien, mais c’est toi qui m’emprisonne, libère moi, dit-il.
Tu l’enlèveras, c’est sûr ?
Ben oui !
J’ai desserré légèrement les cuisses et il a retiré sa main.
Cette caresse furtive sur mes cuisses m’avait mise dans tous mes états, mes seins étaient gonflés au point d’en être douloureux, mon ventre dur, et ma petite fente coulait comme une fontaine.
J’étais dans une espèce de brouillard, je ne savais plus trop ce que je faisais.
Enfin, j’ai garé la voiture, coupé le contact.
Ah, mais c’est toi qui fait le café s’exclama t-il !
J’ai réalisé à ce moment que nous étions garés devant chez moi !
Il est aussitôt sorti de la voiture.
Je n’avais plus le choix, je l’ai suivi.
J’essayais de reprendre mes esprits, imaginant ce qu-il devait penser.
J’ai mis la clef dans la serrure. Il était là, juste derrière moi, et sa présence augmentait mon trouble.
J’imaginais son sexe en érection, tout près de mes fesses, juste séparé par deux bouts de tissus…
Ma peau se hérissait…
"Sussucre" est venu nous faire la fête, je l’ai laissé dans la cour et, refermant la porte , me suis dirigée vers le salon.
Bon, tu t’assieds là, dis en montrant le canapé, je vais faire le café.
En marchand vers la cuisine, mes jambes tremblaient…
Mais, ou avais je mis ce café ?
J’ouvrais les placards, les refermais .
Ha, il est là !
Et la cafetière ?
La voici enfin !
J’étais perdue dans ma propre maison !!
Comme je dosais le café, j’ai senti sur mes fesses ses mains chaudes .
Elles sont toujours aussi jolies, et puis je vois que tu as fini par comprendre que tes culottes faisaient des vilaines marques sous tes jupes .
Tu mets des strings maintenant ?
Il a déposé un tendre baiser dans mon cou.
C’en était trop !
Je me suis retournée, posé mes bras autours de son cou et ma bouche sur sa bouche pour un long baiser à en perdre le souffle.
Ses mains couraient sur mes flancs, sur mon dos, sur mes reins.
Mon ventre plaqué contre le sien, je sentais son désir, sa longue tige bien dure.
C’était booonnnnn !
Les yeux fermés, je goûtais ce baiser passionné qu’il attendait depuis si longtemps, et moi aussi en fait, comme une exquise friandise.
Et quand nos bouches se sont séparées, je l ’ai pris par la main, et, sans un mot, l’ai entraîné vers la chambre ou régnait une douce pénombre.
Il m’a enlacée, me serrant contre lui, m’embrassant de nouveau. Nos langues, nos souffles se mêlaient…
Suspendue à son cou, je sentais ses mains courir sur mon dos, mes reins, me faisant gémir de plaisir .
Brusquement, nos bras se sont croisés ..
Non ! moi d’abord !
J’ai défait fébrilement les boutons de sa chemise, la lui ai retirée, la jetant sur le sol .
Puis sa ceinture, son pantalon, découvrant son boxer tout gonflé .
Accroupie devant lui, je l’ai fait glisser, libérant son sexe orgueilleusement dressé. Hummmmm
Je n’ai pas résisté : je l’ai gobé comme un bonbon, allant et venant, le faisant gémir à son tour .
Il m’a saisi sous les bras, me forçant à me relever, s’attaquant aux boutons de mon haut qui à bientôt rejoint sa chemise sur le sol.
Ses mains dans mon dos cherchaient avec maladresse à dégrafer mon soutif.
Je l’ai fait pour lui, puis tendu les bras pour qu’il ai le plaisir de le retirer…
Mes seins étaient enfin à lui, gonflés de désir.
Ils sont aussi beau que je les avais rêvés, murmura t-il.
Il les caressait avec douceur, les soupesait, les embrassait, mordillant doucement mes tétons qui pointaient outrageusement.
J’ai défait ma jupe qui est tombée à mes pieds.
J’étais en bas, totalement offerte.
Ses mains ont glissé sur mes reins, sur mes fesses, me rendant folle de désir .
J’ai plaqué mon ventre contre le sien, emprisonnant entre nous son sexe …..
Puis je me suis laissée tomber sur le lit, l’attirant avec moi .
Le sommier à craqué mais il a résisté.
Les yeux fermés je savourais ses baisers, ses caresses, redécouvrant le plaisir d’avoir sur moi un homme qui pesait de tout son poids, qui allait me prendre, me donner du plaisir, ce plaisir oublié depuis que "Sussucre" avait fait de moi sa femelle exclusive .
Ses mains couraient sur mes cuisses, remontaient lentement, lentement, me faisant trembler de bonheur.
J’ai creusé le ventre pour lui faire un passage, et quand ses doigts ont touché mon bouton, j’ai feulé comme une tigresse en chaleur.
Il semblait hésiter à en faire plus, mais moi j’en mourrais d’envie .
Prends moi, fais moi l’amour, j’attends ça depuis si longtemps ai je murmuré à son oreille.
D’une seule poussée il est entré dans mon ventre, me coupant le souffle .
Il allait et venait, doucement, lentement, s’arrêtait parfois pour mordiller mes seins, mes lèvres, avant de reprendre le chemin de mon ventre .
Je redécouvrais le plaisir d’ être une femme a qui un homme faisait l’amour, lui donnait du plaisir.
Il allait et venait doucement, fouillant mon ventre avec précaution, me caressait, me murmurait des mots doux…
C’était booonnnn, je gémissais doucement, toute à mon plaisir…
Et quand, d’un coup de reins plus puissant, il s’est fiché tout en moi, son ventre écrasant mon clito turgescent, une onde de plaisir a traversé mon corps, me faisant crier, trembler.
C’est bon, tu me fais jouir, tu me fais jouir ais je crié !
Il a posé sa bouche sur mes lèvres pour étouffer mes cris, nos langues se sont mêlées avec fébrilité.
Ses mains qui couraient sur ma peau, son sexe qui me fouillait le ventre, son corps qui m’écrasait.
Ces sensations oubliées depuis trop longtemps, j’airais voulu qu ’elle durent, encore et encore.
Il a étouffé un grognement de plaisir et j’ai senti qu’il se vidait en moi.
J’ai glissé ma main entre nos ventres et quand j’ai touché mon bouton d’amour, j’ai joui une nouvelle fois, le corps tendu, le souffle coupé .
Je redécouvrais le plaisir d’être nue, impudique, totalement offerte à ses caresses, ses baisers, savourant ses mains chaudes qui couraient sur ma peau, ses lèvres qui se posaient sur mon cou, les mots doux qu’il me murmurait à l’ oreille.
Nous sommes resté un long moment immobiles, reprenant notre souffle.
Le silence était troué par les jappement brefs de "Sussucre", qui grattait la porte avec furie, comme s’il avait deviné qu’il venait de perdre l’exclusivité de sa femelle.
Enfin, je me suis ébrouée doucement : je vais faire le café, c’est bien pour ça que tu es venu, non , dis je en souriant ?
Dans la cuisine, j’ai retrouvé la cafetière abandonnée tout à l’heure et j’ai réussi à allumer le gaz, chercher et trouver les tasses, le sucre …
Nue, j’allais et venait dans la cuisine, indifférente aux regards possible de mes voisins qui passaient dans la rue.
J’étais une femme comblée, qui venait de prendre du plaisir et en donner à son tour.
Bien loin de la femelle en chaleur qui s’offrait en secret à son amant canin pour une saillie brutale dont seuls les jets puissants et abondants de sperme chaud apaisaient un instant ses envies.
Je suis entrée dans la chambre, une tasse dans chaque main.
Il s’est assis sur le lit , posant ses mains sur mes hanches, me faisant trembler de désir.
Arrête, je vais tout renverser !
Poses les là, me dit il en désignant la table de nuit.
Je me suis retournée, penchée en avant pour déposer les deux tasses.
Aussitôt j’ai senti qu’il était derrière moi, son sexe bien dur palpitait contre mes fesses, ses mains emprisonnant mes seins…
Le plaisir revenait déjà !
Ses mains couraient sur mes hanches, sur mon aine.
J’adore ton petit ticket de métro, tu es toute douce murmura t ’il à mon oreille .
Ses doigts glissaient sur ma fente.
Tu es toute trempée, tu me donnes envie de recommencer, dit il .
Il s’est mis à frotter sa queue entre mes fesses, insistant sur mon petit trou.
Non, pas par là, ai je murmuré.
Il m’a forcée a me pencher davantage, et d’un seul coup, s’est enfoncé dans ma chatte trempée.
Puis il s’est mis à me besogner avec force, son ventre tapait à chaque fois sur mes fesses, faisant trembler mes seins.
Les yeux clos, ébranlée à chaque poussée, je me sentais redevenir chienne, femelle soumise, et le plaisir revenait aussi fort que sous une saillie de "Sussucre".
Et quand enfin il s’est enfoncé au plus profond de moi pour lâcher sa semence, un long râle de bonheur s’est échappé de ma gorge.
C’était booonnnn, j’avais envie qu’il continue, encore, encore…
J’avais envie de jouir, de sentir mon ventre fouillé, de m’abandonner à son désir et d’y prendre plaisir .
Mais bientôt son sexe perdait de sa vigueur, s’échappait de mon ventre …
Il s’est redressé, m’attirant contre lui, posant des baisers dans mon cou, caressant mon ventre, mes seins, ravivant mes envies .
Je me suis retournée pour me blottir contre lui.
J’adore ta peau contre la mienne, j’adore ton ventre contre le mien, j’adore caresser tes seins, j’adore te faire l’amour, te donner du plaisir ..
Tu es belle quand tu jouis, tu deviens plus belle , bien loin de la mijaurée qui faisait tout pour m’émoustiller et me laissait comme un mâle en rut !
Puis il a pris ma bouche pour un long baiser a me faire perdre le souffle.
Nous sommes resté un long moment enlacés, silencieux..
Enfin il a dit en souriant : au fait, on ne devait pas prendre un café ?
Il était froid, mais nous l’avons bu en échangeant des sourires complices.
C’est une bonne idée, ce nouveau bar. Ils servent le café froid, mais avec tant de gentillesse.
Est ce qu’ils louent des chambres aussi ?
J’ai acquiescé de la tête .
Et y a t ’il une chambre de libre pour cette nuit ?
Oui, celle là, par exemple !
Super, je réserve !
Je me suis blottie dans ses bras et nous sommes restés un long moments silencieux.
Soudain, son téléphone a sonné, brisant l’instant magique .
Zut ! c’est surement mon client avec qui j’avais rendez vous !
Ecoute, je vais prendre ta voiture, je lui dirais que je suis tombé en panne.
On ira chercher la mienne ce soir, d’accord ?
Je l’ai regardé s’ habiller a toute vitesse . J’étais triste, j’avais encore envie de lui, mais je devrais attendre son retour .
Je lui ai tendu mes clefs, il a déposé un baiser dans mon cou puis a ouvert la porte pour sortir.
"Sussucre" s’est engouffré dans le passage.
A demi cachée derrière la porte, j’ai regardé Georges s’éloigner.
"Sussucre" avait planté son museau entre mes cuisses, respirant mes odeurs, léchant avec avidité le jus d’amour qui s’échappait de mon ventre, ravivant mes envies…