Mortifiée, je suis partie dans ma chambre en claquant la porte. Quentin mavait vendue à Aurélien pour cinquante Euros, il voulait faire de moi une prostituée, cétait un salaud. Je me suis jetée sur mon lit en pleurant à chaudes larmes. Un long moment a passé et je métais calmée quand la porte sest ouverte sur Quentin qui sest approché et assis sur le lit. Il a commencé à caresser mes fesses en passant la main sous la culotte, malgré moi jai frissonné. Il la senti et a passé son autre main sous mon débardeur, suivant la colonne vertébrale ; jai retenu un gémissement de plaisir mais mon corps a réagi malgré moi. Quand il a descendu sa main entre mes fesses, jai écarté les cuisses et il a enfoncé deux doigts joints dans mon anus souillé.
Il ta rempli le cul de sperme, Aurélien. Tu as aimé ?
Non ! Tu mas fait faire la pute, tu es un salaud.
Peut-être, mais tu aimes être traitée comme une pute.
Il a asséné une grosse claque sur ma fesse droite, jai poussé un cri autant de surprise que de douleur, déjà une autre claque marquait lautre fesse. Il a bloqué facilement mes deux poignets pour pouvoir continuer à me fesser, à grands coups sonores, malgré mes supplications. Vaincue, je renonçais à lutter et restai offerte à ses claques ; plus mon postérieur cuisait, plus mon ventre devenait lourd et humide. Il a enfin arrêté de frapper mon postérieur et plongé deux doigts en moi en ricanant.
Tu as compris ? Je tinterdis de minsulter ! Et excuse-toi, vite !
Pardon, Quentin, je naurais pas dû, ne me bats plus, tu mas fait mal. Mais sache le une bonne fois pour toutes, je refuse de faire la pute pour toi, cest clair ?
On verra avec papa, mais tu as intérêt à obéir. Bon, tu la veux, ma bite dans le cul ? Ecarte bien.
Matée, jai posé les mains sur mes fesses meurtries pour offrir mon anus. Il sest enfoncé si facilement que jen ai éprouvé un sentiment fugace de honte. Puis il ma prise violemment, cherchant son plaisir sans se soucier de moi, plongeant de haut en bas aussi fort quil pouvait, tirant ma tresse et minsultant.
Alors, tu vois bien que tu es une petite pute bien soumise, tu te donneras à qui je voudrai, tu videras les couilles de mes amis, et de tous les connards qui me paieront pour ça. Allez, dis-le que tu es ma pute !
Non ! Quentin, je ne suis pas une pute, ooh ! Doucement Tu me fais mal !
Tu vas travailler pour gagner de largent en vendant tes trous à qui je voudrai.
Non, ça il nen est pas question
Javais chuchoté, anéantie. Il voulait réellement me prostituer ! Celui que jaimais comme un frère se comportait comme un infâme souteneur, il me battait, me menaçait. Malgré tout ce quil me promettait, jadorais quil me prenne sans y mettre de douceur. Il a repris ses coups de boutoir, martelant mes reins sans retenue, et je me suis cambrée pour quil aille plus profond, consciente que mon vagin délaissé était un vrai marécage. Quand il a éjaculé, jai joui à mon tour ; et quand il sest retiré, jai nettoyé soigneusement sa verge souillée. Sans quil me le demande, une preuve accablante de ma soumission.
File te laver, tu pues ; je vais téléphoner à Ahmed pour voir quand on peut aller le voir.
Sous la douche, je me suis ressaisie ; jaimais bien Quentin, mais pas au point daccepter de me prostituer pour lui. Jallais en parler à Antoine, il fallait le recadrer. Ce nest pas parce que javais apprécié de me faire sodomiser brutalement que je devais tout accepter. Je me suis habillée, petite culotte blanche, tee-shirt rose à trois bandes, short blanc assorti, tennis blanches sans chaussettes. Quand Antoine est arrivé, il ma attirée dans ses bras et ma embrassée sur la bouche et flattant mes fesses.
Alors, ma puce, bien passée, ta journée ?
Mmm Jai un souci, cest Quentin. Depuis quon fait lamour ensemble, il croit avoir des droits sur moi. Il ma expliqué quil veut me prostituer, et là, il veut memmener chez un copain à lui juste pour mapprendre A sucer, il dit que je suis mauvaise.
Cest vrai, tu nes pas très douée, ma petite. Tu narrives pas à avaler toute ma bite, ta technique est déplorable. Chez qui tu dois aller ?
Il sappelle Ahmed, je le connais pas.
Moi si, surtout son père en fait, cest une bonne idée, vraiment ! Tu feras des progrès, il tapprendra à faire des gorges profondes. Par contre, il ne fait rien pour rien, il te faudra payer, et cher sûrement.
Oui, alors Quentin veut que je reste chez lui, que je fasse lamour avec lui et je sais pas qui
Non, Marie, pas faire lamour. Te faire baiser, enculer.
Il mavait entraînée vers son fauteuil, sétais assis, il avait baissé mon short et ma culotte jusquau sol. Javais enjambé le petit tas de vêtements et, jambes écartées, mains sur les épaules dAntoine, je subissais ses attouchements ; il avait une main sur mes fesses et lautre sur ma fente, ses doigts allaient et venaient dans ma moiteur.
Quentin a raison, tu te comportes comme une pute en chaleur. Regarde, tu te laisses tripoter à poil au milieu du salon, tu mouilles sur mes doigts. Tu aimes être défoncée par de grosses queues, nous on a besoin dargent, donc tu va nous aider.
Mais, je ne veux pas !
Tu crois que je te demanderais ça si nous avions le choix ? Tu vis chez moi, tu nous aimes sinon tu ne te serais pas donnée comme tu las fait. Et je suis dans la merde sur le plan financier.
Que ce passe-t-il ? Cest le club qui marche mal ?
Oui. Les propriétaires ne sont pas du tout satisfaits, pas assez de clients, rénovations à prévoir, trop de personnel. Jai changé les horaires douverture mais le gain est peanuts. Si ça continue, fin septembre je suis viré, Quentin aussi, et je devrai rendre lappartement en plus.
Et moi, là-dedans ? Tu ne comptes pas sur moi pour renflouer le club, quand même !
Bien sûr que non, mais tu pourrais amadouer les proprios. Jolie comme tu es, ils attendraient pour nous virer, le temps quon se retourne et trouve autre chose.
Javais fermé les yeux alors quil plongeait trois doigts joints dans mon vagin, mon corps me trahissait encore et jai commencé à remuer le bassin de bas en haut sur les doigts, les inondant de cyprine. Antoine, après quelques minutes, a retiré ses doigts et me les a fait lécher avant de me basculer sur la table et de me pénétrer. Il ma prise lentement, me faisant apprécier chaque centimètre de son énormité, à chaque fois sa verge butait contre le col de lutérus et je couinais ; puis il sest retiré et a posé son gland si épais sur ma rosette. Il a attendu et mes hanches ont roulé sans que jy puisse rien. Je le voulais en moi, désespérément. Il ma enfin sodomisée, dune puissante poussée qui ma arraché quelques larmes et plus tard des cris de jouissance. Après, à genoux devant lui, jai servilement nettoyé sa verge odorante, non sans plisser le nez.
Quentin est venu me voir dans ma chambre un peu avant minuit. Je lisais encore, ne trouvant pas le sommeil. Il ma regardée un long moment sans rien dire, jétais sur les draps à cause de la chaleur, portant juste un shorty en coton blanc.
Tu es belle, surette. Tu as rendez-vous chez Ahmed demain à 19 heures. Tu as son adresse sur ce papier, tu as intérêt à être à lheure.
Tu ne maccompagnes pas ? Je peux pas y aller seule
Non, désolé, cest lui qui veut que tu y ailles seule. Il a demandé si tu étais saine, je lui ai dit oui. Tu dois faire une prise de sang demain matin à 7 heures au labo, tu sais où il est.
Et jy reste jusquà quelle heure ?
Jusquà ce quil te dise de partir, il me téléphonera pour mavertir sil taccepte.
Le lendemain étant un jeudi, jétais libre à partir de 15 heures. Il faisait si beau que jai rejoint Vanessa et Amandine pour bronzer un peu, alors que javais lestomac noué par langoisse de mon rendez-vous. Jai réussi à donner le change à mes copines qui mont gentiment charriée sur mes amants et leurs prouesses. Alors que nous étions côte à côte sur nos grandes serviettes, juste vêtues de slips de bains, Mandy ma quand même demandé :
Tu as quelque chose qui va pas ? Je te trouve tendue.
Non, cest rien, jai mangé un truc qui passe pas ce midi, et jai le dos douloureux.
Ness, tu vas pouvoir laider ?
Je peux te masser, tu passes chez nous ? proposa Ness.
Quelle heure est-il ?
Un peu plus de 17 heures.
Non, cest gentil, Ness, il va falloir que je parte.
Déjà ? Dhabitude tu restes une heure de plus.
Mais jai un rendez-vous à 19 heures Excusez-moi.
Marie ! Tu pleures, quest-ce qui se passe ?
Reste assise, respire fort ! conseilla Mandy. Encore. Tiens, un mouchoir.
Je pleurais comme une madeleine, allongée sur le ventre, la tête cachée dans la serviette ; et mes copines mentouraient, les mains sur mes épaules à essayer de me réconforter. Jai mis un moment à me ressaisir, à messuyer les yeux et à me rendre présentable. Heureusement que javais des lunettes de soleil ! Je leur ai donné une version expurgée de mes déboires.
Cest la faute de Quentin, il trouve que je ne sais pas sucer et il na rien trouvé de mieux que de menvoyer chez un copain, un homme que je nai jamais vu, pour prendre des cours La honte !
Et tu vas y aller ? Tu as quà lui dire que tu refuses !
Il va me pourrir, je vis avec lui, jai plus de famille moi ! Alors je vais y aller, mais cest pas la joie.
Cest dégueu ton truc ! Et qui sest, ce type ?
Il sappelle Ahmed, cest tout ce que je sais, il est plus âgé que Quentin.
Si cest celui auquel je pense, cest un salaud, un grand maigre qui brutalisait ses petites amies, il les insultait devant tout le monde. Pas classe.
Enfin Mandy, cest peut-être quelquun dautre, je vois celui dont tu parles, je crois quil est en prison, là.
Merci, ça va me rassurer, ça ! Je gloussai malgré moi, soulagée davoir des copines comme elles. Je suis partie après les avoir embrassées, elles avaient les larmes aux yeux toutes les deux. Je suis revenue à lappartement poser mes affaires de sport et me préparer. A quoi, je ne le savais pas. Et je suis partie, un peu avant lheure. A pied, ladresse étant à dix minutes, près du périf, dans un immeuble ancien.