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Marine et sa famille – Chapitre 5

Marine et sa famille - Chapitre 5



-3- Les cousines : Laura et Manon

Entre deux cours, Marine est venue rendre visite à son grand-père. Elle a quelque chose à demander mais pense que ce sera plus facile à faire accepter après une caresse

Ils récupèrent sur le canapé. A son habitude elle joue distraitement avec la verge souple.

— Tu sais Papy que je pars en stage pour trois mois et jaimerais que tu fasses quelque chose pour moi.

— Je ne peux rien te refuser.

— Laura

— Laura, ta cousine ?

— Oui. Elle ma raconté ses ennuis. Elle et Manon, la sur ainée de Camille, saiment.

— Elles sont jeunes, ça leur passera.

— Cela métonnerait : depuis leur adolescence je ne les jamais vu avec des garçons. Je crois quelles sont réellement amoureuses lune de lautre. Jusquici elles avaient réussi à garder leur passion secrète, même moi je ne le savais pas. Elles se rencontraient en cachette jusquà ce quelle se fasse surprendre en pleine caresse réciproque.

— Ce nest pas bien grave !

— Ce nest pas lavis de son père ni celui de Manon. Laura ma raconté la scène mémorable à laquelle elles ont eu droit. Depuis mes oncles surveillent leurs filles et leurs interdisent de rencontrer sans témoins. Jai essayé de la consoler en lui disant que lannée prochaine elles seront majeures, et comme elles prévoient de sinstaller pour leurs études dans une autre ville, leurs parents ne seront plus là pour les fliquer. Daccord a-t-elle admis, mais dici là elles supportent mal de ne pouvoir se rencontrer en toute intimité.

— Bah ! Elles nont que quelques mois à patienter.

— Tu sais, si tu étais un gentil grand-père tu leur offrirais un gite pour saimer discrètement. Je suis sûr quelles sauront te prouver leur reconnaissance.

— Tu y vas fort, contrecarrer la volonté de mes fils !

— Tu tes bien arrangé pour Camille. Ne peux-tu rien pour sa sur et ton autre petite fille ?

— Daccord je peux essayer mais ne crains-tu pas que leurs pères se rendent compte de mon rôle ? Je ne tiens pas à me brouiller avec eux.

— Tu nas quà proposer ce qui a si bien réussi avec Camille : Laura et Manon prétexteront le baccalauréat en fin dannée pour solliciter de ta part un soutien scolaire. Je suis sûre que mes oncles ny verront aucun inconvénient. Daccord ?

La verge nest plus aussi souple. Jean nest plus en état de la contredire. Ah que la main de sa petite fille est douce !

— Quand je reviendrai tu me raconteras comment cela sest passé, dit-elle en prenant congé

Il est convenu que Laura et Manon viendront le samedi après-midi. Elles auraient préféré le mercredi mais Jean tient à conserver les « leçons » avec Camille. Tout de suite il met les choses au point.

— Marine a proposé que je vous offre un endroit discret pour vous rencontrer malgré linterdiction parentale. Jaccepte mais à deux conditions. Premièrement nous ferons réellement du soutien scolaire. Je vous rassure, cela ne prendra quune partie de laprès-midi mais il faut que les résultats soient au rendez-vous sinon vous naurez plus dexcuse pour venir. Deuxièmement, jexige dêtre tout le temps présent.

Les deux donzelles font une drôle de figure !

— On croyait Marine avait dit que tu étais daccord Quon pouvait se caresser, objecte Manon.

— Vous utiliserez le temps libre comme bon vous semble, simplement je serai là. Cest à prendre ou à laisser.

Elles se consultent du regard. Laura se fait la porte parole du duo.

— On accepte, puisque cest la seule manière davoir un moment à nous

La partie studieuse est vite expédiée.

— Voyez cela na pas été trop long, vous avez le temps de vous aimer. Utilisez le canapé.

Jean prend ostensiblement un livre et sinstalle dans un fauteuil. Au début ses petites filles nosent pas se toucher, intimidées par sa présence. Laura la première se lance et tente dembrasser sa cousine. Manon jette un il effaré à son grand-père. Il plonge la tête dans sa lecture et fait celui qui ne voit rien tout en les épiant du coin de lil. Elle accepte le baiser. Peu à peu, voyant que Jean ne dit mot, les filles se dégèlent. Les mains ségarent. Les caresses se font de plus en plus précises. Le salon retentit de soupirs retenus. Aux regards quelles lancent dans sa direction il devine que sil nétait pas là elles se déshabilleraient. Il espère que la prochaine fois elles le feront, il leur suggèrera au besoin.

Lorsquils se séparent elles sont rassurées : Leur grand-père a tenu sa promesse et les a laissé saimer. Ils se donnent rendez-vous le samedi suivant. La porte refermée Jean se précipite aux toilettes pour se masturber. La conclusion est rapide à venir tant le spectacle de ces deux filles qui se câlinent la excité.

Le mercredi après la leçon, Camille réclame sa ration de caresses hebdomadaire que son grand-père lui distribue généreusement. Nétant pas égoïste elle le gratifie dune délicieuse fellation. Au moment de le quitter elle lui demande sil est vrai que sa sur vient le samedi.

— Jai le droit de recevoir mes petites-filles, non ?

— Quest-ce que vous faites ?

— Je lui donne des cours de soutien.

— Comme à moi, demande-t-elle mutine ?

— Euh Cest plus sérieux, elle passe le bac en fin dannée scolaire.

Samedi. Jean prépare la venue de ses élèves. Après les révisions Laura et Manon ne font pas de commentaires lorsquelles le voient prendre un livre. Tout de suite elles sinstallent sur le canapé et sembrassent. Tout à coup Laura linterpelle :

— Dis Papy, est-ce que tu nous permets de nous déshabiller ? Cest plus commode pour se caresser.

— Tes folle, sinsurge Manon ! Pas devant lui !

— Pourquoi pas ! Il ne nous dira rien, nest-ce pas Papy ?

— Faites comme vous voulez. Il est entendu que vous utilisez le temps à votre guise.

Laura déboutonne le corsage de Manon qui tente de résister puis laisse faire. Elle na pas de soutien-gorge. Quelle poitrine ! Jean ne limaginait pas si développée sous le tissu lâche du chemisier. Il sefforce de ne pas fixer le regard sur les seins et jalouse Laura qui les caresse. Les tétins pointent, preuve de lémoi de la jeune fille. La jupe suit, puis cest au tour de Laura de quitter ses vêtements. Elles ôtent ensemble leur culotte, dernier rempart de leur vertu. Quelles sont belles, resplendissante dans leur nudité ! pense-t-il. Malgré son envie il se retient de les toucher. Il ne veut pas, par un geste inconsidéré détruire la complicité qui sétablie entre eux. De les voir saimer nues sur le canapé exaspère son désir mais il attend leur départ pour enfin se soulager aux toilettes. Vivement le samedi suivant !

Mercredi. Le père de Camille téléphone : sa fille est malade et doit rester à la maison deux semaines. Ladolescente étant momentanément indisponible, Jean décide dobtenir de Laura et Manon un peu plus que la simple contemplation de leur corps dénudé. Cest que maintenant quil a goûté aux plaisirs de linceste il ne saurait se passer dau moins les caresser.

Le samedi arrive enfin. Il est aussi impatient quelles mais sefforce de ne pas bâcler la partie studieuse. Enfin il les autorise à refermer leurs cahiers et tout de suite elles se déshabillent

Elles se caressent en 69. Le spectacle est adorable ! Il a devant les yeux deux globes roses. Jean ne résiste plus et pose la main dessus. Manon, car le postérieur lui appartient, frémit et se dérobe. Cest maintenant Laura qui est au dessus et montre ses fesses. Il réitère son geste. Elle ne refuse pas la caresse et continue dembrasser le sexe de sa cousine comme si de rien nétait. Jean fouille la raie autour de lanus, aucune réaction. Encouragé il introduit une phalange. Toujours pas de réaction, juste un soupir. Il enfonce le doigt quil fait entrer et sortir. Ils restent plusieurs minutes ainsi, les deux filles léchant le sexe opposé et Jean pistonnant le cul de Laura

Elles reprennent haleine en buvant un peu de jus de fruit.

— Quest-ce quil te faisait Papy, demande Manon ?

— Tu veux savoir ?

Laura lembrasse et la tourne dos face à lui. Cest une invitation explicite. Il empoigne les fesses offertes. Une vague de chair de poule les parcourt. Manon se serre contre sa cousine. Jean na pas besoin quon lui fasse un dessin. Son index investit le trou du cul. Il sent les doigts de Laura visiter le vagin proche. Ils alternent les pénétrations. Sous les deux sollicitations la pauvre Manon ne peut résister et un orgasme violent la secoue

— Alors, interroge Laura ?

— Jai honte.

— Mais quest-ce que tu en penses, on le refera ?

— Tais-toi !

Manon nose avouer son plaisir mais le samedi suivant cest elle qui présente la première son postérieur aux doigts de Jean. Tour à tour il sefforce de satisfaire ses petites filles. Il est quand même un peu déçu. Cest une grande joie de patouiller des chairs aussi fermes mais il aimerait quon soccupe aussi un peu de lui. Jean tourne et retourne dans sa tête comment, sans les effaroucher, leur suggérer de le caresser. Laura le devance :

— Tu ne crois pas que Papy mérite une récompense, suggère-t-elle ?

— A quoi penses-tu ?

— Aide-moi !

Elle sagenouille à ses pieds et commence à se battre avec la braguette. « Brave fille qui anticipe mon désir ! » pense Jean. Laura extrait une verge rigide.

— Quest-ce que tu fais, sétonne Manon ?

— Tu aimes bien que je te caresse le sexe nest-ce pas ? Pourquoi Papy serait différent ? Aide-moi, je suis sûre quil ne demande que ça.

Leurs mains se rencontrent sur la queue et autour de ses couilles. Quel plaisir à son âge de se faire masturber par de jeunes presque adultes ! Il aimerait que cela dure éternellement. Malheureusement sa résistance à des limites et il sépanche entre leurs doigts.

— Satisfait Papy, interroge Laura ?

— Vous êtes merveilleuses.

— Ne crois pas quaprès ça tout te sera permis. Pas question de nous faire lamour. Nous sommes toutes les deux vierges et entendons le rester.

— Loin de moi lidée de vous imposer ce que vous ne voulez pas.

La rencontre suivante elles acceptent que Jean leur prouve quun homme sait aussi bien utiliser sa bouche quune fille et que la position 69 nest pas une exclusivité réservé aux femmes mais, lui reconfirme-t-elle, pas question pour elles de sacrifier leur virginité ! Peut être arrivera-t-il à les convaincre quil se contenterait de leur cul A défaut de grives

A suivre

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