-5- Les parents
Ils vont passer le week-end chez les parents du garçon. Marine a un peu peur de cette confrontation. Comment réagira la mère de Julien ? Ne sera-t-elle pas jalouse de la jeune fille qui lui vole son fils ?
Sylvie lui réserve un accueil chaleureux.
— Je suis heureuse de rencontrer celle qui a su séduire mon fils. Je sais quil vous a parlé de nos relations et que cela ne vous a pas rebutée. Jen suis heureuse. Ne voyez pas en moi une rivale. Jespère simplement que vous ne lempêcherez pas de nous voir.
Marine souhaite que son père se comporte pareillement lorsquelle lui présentera Julien. Patrick le père de son copain limpressionne. Waouh ! Quel homme ! Il se dégage de lui un tel magnétisme, pire que Philippe ! Elle se sent gênée comme une gamine sous son regard perçant.
La soirée se passe fort bien et ni Sylvie ni Patrick némettent de remarque lorsque Julien emmène Marine dans sa chambre pour la nuit.
— Alors que penses-tu de mes parents, demande-t-il ?
— Ils sont très sympathiques.
— Tu as fait une grosse impression sur mon père, tu sais.
— Tu Tu crois ?
— Nas-tu pas remarqué quil ta dévisagé toute la soirée ?
— Euh Tu nes pas jaloux ?
Il arbore un sourire énigmatique.
— Embrasse-moi au lieu de dire des bêtises !
Le lendemain Julien se lève tôt.
— Déjà, grogne Marine ?
— Reste couchée, je reviens plus tard.
Elle devine quil va rejoindre sa mère, cétait tacitement entendu entre eux lorsquils avaient décidé de venir ici. Elle est un peu jalouse, quest-ce quelle a de plus quelle cette Sylvie ? Ce sentiment sefface quand elle réalise quelle agira de même lorsquils iront chez ses parents. Elle se rendort
Elle se réveille vaguement : une personne se glisse à ses cotés sous le drap et câline son postérieur. Julien est de retour pense-t-elle. La caresse se précise. Elle ne bouge pas attentive à la progression de la main. Un doigt tourne autour de lanus, cherche à senfoncer. Cest inhabituel entre eux mais si bon ! Une phalange force le passage.
— Oui ! Continue, murmure-t-elle.
Le doigt pistonne lorifice. Elle saplatit sur le drap pour profiter au mieux de lintrusion.
— Tu aimes ça hein ?
La voix ! Ce nest pas celle de Julien, cest Patrick ! Marine veut se retourner. Une main sur les omoplates lempêche de se relever.
— Ne bouge pas, laisse-toi aller.
Elle ne peut presque plus remuer et nen a bizarrement pas envie. Le doigt qui fourrage dans lanus annihile ses velléités de révolte. Elle sabandonne à la caresse quon ne lui avait jamais pratiquée jusquici. Et puis cest la faute à Julien, il navait quà ne pas rejoindre sa mère ! Un autre doigt, puis un troisième viennent rejoindre le premier. Marine a limpression quon lui déchire le sphincter mais curieusement cette douleur mêlée de plaisir nest pas insupportable Au contraire. Son postérieur va au devant de la main.
— Cest bien, tu es une bonne fille Ecarte les jambes.
Marine obéit. La douleur satténue laissant la place à la jouissance.
— Là Accepte la caresse Nest-ce pas que cest bon ?
Patrick prélève de la cyprine qui suinte abondement du vagin et en enduit sa verge. Il se place entre les cuisses ouvertes. Marine sent une grosseur douce chercher lanus, sintroduire de quelques millimètres.
— Décontracte-toi Là, cest bien.
Le gland entre dans lorifice bien préparé. Une petite douleur lorsque le bouclier force le passage, la queue senfonce à petits coups dans lintestin. Ça nen finit pas. Enfin les testicules butent contre le postérieur. Patrick reste immobile un instant puis la verge se retire. Oh cette sensation de vide ! Marine a limpression que tout lintérieur de son corps suit le sexe. La queue senfonce à nouveau. La jeune fille soulève les fesses comme si cela permettait daller plus profond. Le va et vient continue. Une jouissance inconnue mêlée dun zeste de douleur envahie son corps. Elle ne peut réprimer un gémissement de plaisir.
— Mmmh !
— Hein que cest Han ! Bon !
— Mmmouiii ! Aaah ! Aaah ! Aaah ! Mmmmmmh !
Un orgasme fulgurant la transperce. Au même moment la queue crache son sperme.
— Aarrgghh !
Le vide occasionné quand la verge se retire déclenche une nouvelle secousse.
— Mmmmmmh !
Il se lève et embrasse les cheveux de Marine.
— Repose-toi jeune fille.
Elle perçoit le bruit de la porte qui se referme. Le silence retombe dans la chambre. Marine nen revient pas de ce qui sest passé. Sil ny avait pas la douleur diffuse dans son fondement elle dirait quelle a rêvé. Elle sest fait enculer et elle a aimé ça !
Julien revient la rejoindre dans le lit. Elle lenlace et se colle à lui.
— Aime moi, le prie-t-elle, aime moi très fort !
Ils font lamour presque sauvagement. Il a de la peine à conclure. Dame, deux coups à peu dintervalle ça vous met un homme à plat !
— Mon père est venu, nest-ce pas ?
— Oh jai honte !
— Pourquoi ? Na-t-il pas su te faire plaisir ?
— Euh Si mais
— Je ne suis pas jaloux de lui si cest cela qui te préoccupe. Je crois quil est temps de se lever.
Joignant le geste à la parole il écarte les draps et saisit une robe de chambre. Marine de son coté enfile son déshabillé. Ils rejoignent les parents de Julien à la cuisine. Sylvie laccueille avec le sourire.
— Bonjour, avez-vous passé une bonne nuit Marine ?
Patrick sapproche et flatte ses fesses.
— Comment se porte ton petit cul, a-t-il bien récupéré ?
La jeune fille rougit et baisse les yeux. La mère de Patrick entoure les épaules de ses bras.
— Mon mari ma raconté ses exploits. Soyez tranquille je ne vous en veux pas. Je suis même contente que cela vous ait plu car moi je ne suis pas fana de ce sport et accepte de plus en plus difficilement ses lubies sodomites.
— Dautant plus que je suis là, intervient Julien.
— Je nen fais pas mystère. Nous profitons chacun à notre manière de votre présence. Quel mal y a-t-il ?
Le soir le père de Julien les emmène au restaurant. Marine est un peu éméchée lorsquils reviennent à la maison. Elle pousse un petit ricanement coquin quand une main sempare de ses fesses sous la jupe. Cest Patrick, devine-t-elle. Veut-il rééditer son exploit du matin ? Elle nest pas contre, le souvenir de la grosseur dans son sphincter la obsédé toute la journée mais quen pensera son copain ? Pour linstant celui-ci semble plus préoccupé par sa mère que par la jeune fille.
— Laissons-les au salon, ils nont pas besoin de nous, propose Patrick. Allons dans ma chambre.
— Vous pouvez rester, déclare Sylvie, vous ne nous gênez pas.
— Ce nest pas la peine de tisoler Marine, ajoute Julien. Nous avons tous compris que la sodomie pratiquée par mon père tattire. Tu nas pas à en avoir honte, moi je ne cache pas le plaisir que jéprouve à faire lamour à ma mère.
— Oh vous Ooh !
Marine sinterrompt car Julien, écartant la culotte vient denfoncer une phalange dans lanus.
— Laisse-les dire. Occupe-toi seulement de ton plaisir, susurre-t-il à loreille de la jeune fille.
Le doigt pistonne dans lorifice. Comme ce matin cela lui ôte toute volonté de révolte. Patrick peut sans difficultés lui ôter le dessous et la placer cul nu, jupe retroussée sur les hanches, contre un fauteuil.
Lintroduction est plus facile que la première fois. Le gland noccasionne quune faible douleur lorsquil force le passage. Sous les coups de rein elle sent se développer la même jouissance quelle avait découverte le matin. Elle ouvre les yeux et croise le regard amusé de Sylvie que son fils besogne.
Cen est trop ! Dun coup de cul Marine se dégage et senfuit vers sa chambre. Patrick veut la suivre.
— Laisse-la, intervient Sylvie. Aide Aah ! Aide nous plutôt.
Julien a compris ce que propose sa mère, quil se fasse prendre par son père pendant quil la baise ! Cest vrai quil adore ! Patrick se positionne et après une petite préparation introduit un sexe qui navait pas débandé
Plus tard le jeune homme rejoint sa chambre. Marine fait semblant de dormir mais il sen aperçoit. Après une discussion houleuse et une mise au point ils se réconcilient. Il a repris suffisamment de force pour être à la hauteur !
Le dimanche matin ils annoncent leur intention de rejoindre au plus vite leur appartement.
— Vous nallez vous en aller tout de suite ! Jai déjà préparé le repas de midi, rouspète Sylvie !
— Bon daccord nous restons, mais nous partirons juste après manger, concède Julien.
Patrick saute sur loccasion.
— Cela nous donne le temps de parfaire notre connaissance mutuelle, nest-ce pas Marine ?
— Euh
Julien devine le trouble de sa copine. Elle est tentée cest indéniable mais il sait quelle refuse de se livrer en public.
— Tu peux aller avec Papa dans notre chambre, de mon coté jai quelque chose à demander à Maman.
— Mais
Patrick annonce dun ton grandiloquent :
— Marine, je promets solennellement de ne jamais exiger de toi autre chose que ton cul !
Il entraine la jeune fille qui le suit tête basse
Dans la voiture qui les ramène chez eux ils commentent leur week-end.
— Comment as-tu trouvé mes parents ? interroge Julien.
— Tu aurais pu mavertir pour ton père !
— Tu nas pas aimé ? Javais cru comprendre
— Euh Ce nest pas le problème. Jaurais apprécié que tu me mettes au courant.
— Je ne savais comment te lannoncer ni comment tu réagirais, aussi jai préféré que tu le découvres par toi-même.
— Il na jamais essayé avec toi ?
— Cette question ! Mais il a attendu que Maman et moi Entre eux deux jai eu des moments fort agréables Maman prétend que je fais mieux lamour quand Papa mencule. Faudra quon essaye tous les deux.
Marine ne répond pas. Elle simagine coincée entre son père et Patrick qui lui font une double pénétration. Est-ce que cela fait mal ?
— Tu mécoutes ?
La jeune fille émerge de sa rêverie.
— Quest que tu disais ?
— Quand irons-nous chez tes parents ?
— Euh Pas le week-end prochain, le suivant. Je leur téléphone
Lorsquils leurs rendent visite, si comme prévu Marine a fait lamour à son père, Julien na pas de chance auprès de Nathalie.
— Je sais, dit-elle, ma fille couche avec mon mari quand elle est à la maison. Je ne suis pas jalouse et nai besoin daucune compensation.
Ils décident de ne plus retourner ensemble chez les parents de la jeune fille. Les week-ends ils se séparent : Julien rejoint sa famille et Marine se consacre aux siens. Cette situation les désole et ils parviennent à réunir tout le monde. Les deux couples sapprécient. En plus des relations particulières quils entretiennent avec leurs enfants ils se découvrent dautres points communs et sont daccord pour se revoir.
— Je suis bien contente quils sentendent bien, déclare Marine quand ils se retrouvent seuls.
— Moi aussi.
— Que dirais-tu si leurs relations évoluaient vers Euh
— Une tournure plus sexuelle tu veux-dire ?
— Quest-ce que tu en penses ?
— Je nai rien contre. Entre ton père et ma mère cela ne devrait pas poser de problèmes, réfléchit Julien, mais quelle sera lattitude de Nathalie ?
— Maman simagine quelle est condamnée à un seul homme : Papa !
Ils mettent au point un stratagème pour la rencontre suivante
Dans laprès-midi Marine sisole avec son père et Julien avec sa mère. Nathalie et Patrick restent en tête à tête.
— Je constate que lon nous a laissé tomber.
— Je ne comprends pas, dhabitude Marine me fait venir avec elle.
— Navez-vous pas envie de vous défouler en ma compagnie ?
— Oh Patrick ! Bien quil couche avec ma fille je nai pas lintention de tromper mon mari.
— Qui parle de tromper ?
Plus tard dans laprès-midi, toute rougissante Nathalie se confie à sa fille.
— Sais-tu ce quil ma fait ?
— Je men doute.
— Je naurais jamais cru apprécier. Le plus fort cest que je navais pas limpression dêtre infidèle à ton père !
Marine sourit. Le stratagème manigancé avec Julien a été un succès ! Cette réussite les encourage. Ils organisent des vacances en commun.
Les couples apprennent à mieux se connaitre et très vite se mélangent. Philippe et Sylvie sont les premiers à sauter le pas. Sur la prière de Julien, Marine accepte de lui faire lamour pendant quil est enculé par Patrick. Elle doit reconnaitre que la mère de son copain a raison : il est plus performant quand il a une queue dans le cul ! Est-ce que cela marcherait avec son père ? Elle na pas encore réussi à convaincre celui-ci de se faire sodomiser en même temps quil la baise mais ne désespère pas y parvenir.
Nathalie ne fait plus de difficultés lorsque Julien ou Patrick la sollicitent. Elle réalise même un de ses plus anciens fantasmes : subir une double pénétration.
— Tu te rends compte, confie-t-elle à sa fille, faire plaisir à deux hommes en même temps !
— Cela ne fait pas mal ?
— Un peu mais ce nest rien comparé à la joie que cela procure !
Poussée par sa mère Marine essaye, son père devant et Patrick derrière car celui-ci est resté fidèle à sa promesse : se limiter au cul de la jeune fille ! Elle ne recommencera pas : cela fait trop mal malgré la satisfaction de contenter à la fois les deux hommes. Sylvie nest pas tentée. La possession arrière très peu pour elle. Elle est contente : depuis quils fréquentent la famille de Marine, son mari na plus besoin de la solliciter pour assouvir ses pulsions sodomites ! En plus des étreintes avec son fils et Philippe, Nathalie et sa fille lui font découvrir la douceur des caresses féminines
En été ils se retrouvent tous au bord de la piscine chez les parents de Marine. Au début Julien, Sylvie et Patrick nosent pas se déshabiller, surtout les hommes. Ils ont peur dexhiber une virilité exacerbée. Marine se moque deux :
— Vous avez tort. Nous sommes fières de constater que nos charmes ne vous laissent pas insensible !
Quelques temps après la jeune fille rend visite à son grand-père quelle avait un peu négligé. Un peu honteuse elle accepte pour se faire pardonner de lui faire lamour. Lorsquil refait surface elle linterroge.
— Comment cela se passe avec mes cousines ?
— Je nai plus de nouvelles de Laura et Manon depuis quelles sont parties de X. Jai, par des relations, appris quelles filaient le parfait amour. Ces ingrates mont oublié.
— Et Camille, prend-elle toujours des leçons ?
— Oui son père a exigé que nous continuons jusquau bac.
— Et évidemment tu ne pouvais refuser ! Tu te restreins toujours aux caresses, nest-ce pas ?
— Euh Elle a tellement insisté
— Que tu las dépucelée, nest-ce pas ?
— Même pas ! Cette gourgandine avait déjà baisé ! Sûrement avec un voyou de son âge !
— Pauvre Papy ! Tu es vraiment à plaindre !
— Cest ça ! Moque-toi de moi !
Un soir après une tendre étreinte Marine avoue son désir de maternité.
— Que dirais-tu si nous fabriquions un bébé ?
— Rien ne me ferait plus plaisir, sécrie Julien ! Mais devrons cesser de voir ton père et le mien un certain temps. Je tiens que cet enfant soit de moi !
— Ton père, tu peux être tranquille. Avec moi il sest toujours limité à la sodomie et a promis quil ne changera pas. Que dirais-tu si nous passions quelques temps chez tes parents ?
— Parce que ton cul nenvisage pas de prendre du repos ?
— Et toi sil te reste quelques forces après avoir rempli le devoir conjugal tu pourras toujours baiser ta mère !
Aussitôt dit aussitôt fait ! Ils annoncent que la jeune femme a besoin de repos et quil serait mieux quils passent les prochains jours chez les parents du jeune homme ! La chance leur sourit : quelques semaines après Marine annonce quelle et enceinte.
— Avez-vous pensé à la situation de cet enfant ? Ne pensez-vous pas quil serait temps de vous marier ? suggère Philippe.
Les noces se déroulent dans lintimité, juste avant laccouchement. Ce chamboulement nempêche pas les rencontres entre les couples. Simplement les grand-mères se disputent presque pour assurer la garde de leur petit-fils quand ses parents prennent du bon temps.
Deux ans plus tard la jeune femme propose de sinstaller à nouveau pour quelques semaines chez les parents de Julien.
— Tu veux un autre enfant, nest-ce pas ?
— Ça te gêne ?
— Pas du tout ! Jai hâte davoir une fille !
Ce sont des jumelles que Marine accouche dix mois plus tard !
— Tu es content, demande-t-elle sur le lit de la maternité ?
— Cest parfait : un fils pour toi et une fille
— Deux filles !
— Oui deux filles pour moi, que vouloir de plus ?
Marine ne répond pas et ferme les yeux. Elle se projette dans lavenir et imagine Julien et elle initiant aux plaisirs leurs enfants devenus grands comme lont fait ses parents et ceux de son copain
Fin