Marion rentre chez elle et se rend directement dans la chambre de son fils, qui lui, tente de la déshabiller. Elle le stoppe dans son élan pour lui faire part de son idée d’aller dans une boîte à partouze.
Stephen est surpris par la demande de sa maman et hésite à lui poser des questions.
Tous les deux essaient de s’occuper, Stephen de son côté se pose des questions. Pourquoi sa mère veut-elle aller dans un club à partouze ?
Et Marion, d’un autre côté, veut savoir si ses fils sont juste pour un plan cul comme les autres ou si elle est tombée amoureuse d’eux.
Mais Stephen décide de rompre le silence et dit à sa mère :
— La bite de Stéphane et la mienne de te suffisent plus ?
— Bien sûr que si, pourquoi tu dis ça mon chéri ?
— Pourquoi veux-tu que je te mate à te faire baiser par d’autres mecs ? À moins que tu veuilles me voir baiser d’autres femmes.
— Ce n’est pas ça, je veux savoir si je suis capable de me faire sauter par d’autres hommes ou si je ne peux que faire ça en famille, mais ne t’inquiète pas, on continuera à baiser ensemble, j’aime trop votre sexe à tous les deux.
Marion et son fils se préparent pour aller au club, Marion habillée en mode grosse pute, ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas mis les pieds dans un club à partouze. Ça remontait à une semaine avant la mort de son mari, mais elle n’aurait jamais imaginé y aller avec un de ses fils.
Mais elle doit savoir où elle en est sur sa sexualité. Soit elle est redevenue la nymphomane d’avant, soit elle est devenue la pute de ses fils. D’un côté c’est excitant de coucher avec ses fils, même si ce n’est pas normal, c’est même immoral.
Elle sait qu’au fond d’elle que ça ne peut pas durer des années. Ses fils devront rencontrer quelqu’un et faire leur vie, mais en attendant elle en profite. Faut dire qu’ils sont doués, et puis Marion fait plus jeune
que son âge, on dirait plus quel fait 29, 30 ans que 37 ans. De plus, ses seins sont bien fermes, ça peut durer encore un peu.
Marion descend, enfile un long manteau et attend Stephen. Enfin, il descend l’escalier mais en faisant la gueule. ça se voit à sa tête que ça ne lui ne plaît pas, mais qu’il est obligé d’y aller pour faire plaisir à sa mère.
— Bon chéri, ce soir tu ne m’appelles pas « maman », mais par mon prénom. Avant d’y aller, nous irons manger au restaurant.
Comme simple réponse Stephen fait juste un signe de la tête, Marion désabusée prend ses clés de voiture. Ils prennent ensuite la route, elle a décidé d’aller à une boîte et au restaurant à plus de 100 kilomètres de chez eux pour ne pas rencontrer de personnes qu’elle connaît, il ne faut pas oublier qu’elle est prof, elle a quand même une réputation de femme sérieuse et froide, si les gens savaient quelle salope elle est en réalité.
Elle qui couche, elle doit plus dire "se fait baiser", comme une traînée par ses fils et par quelques hommes de la famille.
Au bout de 1h30 de voiture ils arrivent dans la petite ville de Souillac.
Marion et son fils vont tout d’abord se rassasier au restaurant, ils mangent léger, une petite salade et un peu d’alcool pour se donner courage. Une fois le repas fini, Marion règle la note et tous les deux se dirigent vers la boîte à partouze.
Marion voit que son fils tremble, elle lui prend la main. Pour elle, ce n’est pas nouveau et elle sait très bien que son fils le fait parce qu’elle
lui a demandé de venir avec elle, pour lui donner du courage Marion l’embrasse avec passion, en lui roulant une pelle d’enfer.
Ils entrent dans la boîte, Marion paie l’entrée pour elle et son fils. Ils vont d’abord au bar pour boire un verre et observent pendant une bonne demi-heure.
Deux hommes viennent chercher Marion pour lui demander si elle d’accord pour une relation avec eux dans une chambre.
— OK je suis d’accord si mon ami Stephen peut regarder.
Les deux hommes acceptent et tous les quatre partent en direction d’une chambre.
Les deux hommes commencent à se déshabiller sous le regard de Marion et son fils. Un des hommes suce les gros seins de Marion puis ils la baisent à tour de rôle. Marion regarde en direction de son fils, elle ne le voit plus. Et puis Marion ne prend aucun plaisir, avec les deux mecs qui baisent mal, au bout de 45 minutes les mecs éjaculent dans leur capote.
Marion se rhabille et part à la recherche de son fils, elle le trouve en compagnie de deux belles cougars qui lui sucent la queue.
Marion se rend compte qu’elle est jalouse, et comprend qu’elle peut se faire sauter par d’autres mecs, mais elle ne prend pas son pied si son fils n’était pas là.
Les deux cougars s’appliquent à tailler une bonne pipe à Stephen, et ce dernier s’amuse de voir sa mère crever de jalousie. Au bout de 30 minutes de pipe, Stephen éjacule sur les seins des deux cougars.
Marion s’approche de son fils lui dit
— J’ai ma réponse… on part tous de suite.
— Pourquoi je suis bien ici.
— Non, on part !
Ils repartent en direction de leur voiture. Marion est furieuse.
— Comment as-tu pu me laisser toute seule avec ces deux mecs, pour te faire sucer par deux vieilles ?
— Dis donc maman, c’était toi qui as voulu te faire baiser pour trouver tes réponses, je n’allais pas rester là à te regarder et puis les deux femmes suçaient très bien, moins bien que toi, mais bien.
— En fait, ton truc, ce sont les vieilles.
— Arrête un peu ! Dis-le que tu es jalouse.
— Ben oui je le suis ! Ça se voit, putain ça se voit.
Ils rentrent au bout de deux heures de route et prennent leur douche tous les deux.
Marion appele son fils dans sa chambre, Marion est nue sur son lit jambes écartées.
