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Martine X : un film obscène – Chapitre 1

Martine X : un film obscène - Chapitre 1



une aventure de julienx et Martine)

Bonjour, après quelques temps d?absences, me voici de retour pour raconter les aventures pornographiques de ma mère Martine. Je tiens à préciser avant toute chose cet épisode est assez malsain. Comme vous le savez, ma mère, Martine a décidé de s?offrir à moi afin que je guérisse de mon obsession sur elle. Hélas, ce n?était pas la solution, cela n?a fait qu?empirer les choses et je ne pense qu?à la baiser tous les jours. Je ne la vois plus seulement comme une mère, mais aussi comme une salope aux atouts terriblement attirants. Depuis cet inceste , je suis devenu un pervers inimaginable, un drogué du sexe ne pensant qu?au cul tous le temps. Je suis donc assis sur le canapé dans mon salon entrain de réviser quelques cours. Je suis peu concentré, d?autant plus que le latin n?est pas forcément une matière intéressante. C?est alors que je vois ma mère étendre son le linge. Je décide d?aller la voir. Elle me voit et sourit aussitôt : ? Alors, Julien, tu révises ? ? J : ? oui, maman, et c?est pas très intéressant les déclinaisons. ? M (ma mère) :  ? Je te comprends , j?en ai fait un peu mais je n?ai pas poursuivi. ? J :  ? Oui, mais il me faut mes deux années, tu sais ! ensuite , je deviendrai prof ! ? M : ? Aah ! oui mais tu sais que tu as aussi des talents d?écrivain, n?est ce pas ? ?. Elle me fait un clin d?oeil. Elle fait référence aux nombreuses histoires hards que j?ai écrite sur elle. Moi, j?ai essayé d?oublier cela car elle a eu de graves problèmes à cause de ces textes pornographiques. La voilà qui tend un de ses soutient gorge à armature. Autrefois, elle avait honte mais là, elle les exhibe dans le jardin de la maison cossue. J : ? Tu n?as pas honte d?exhiber tes dessous ? ? M : ? Julien, pourquoi voudrais-tu que j?ai honte ? Ce sont mes dessous et qu?elle mal y?a t-il à les exhiber ? ?. Elle accroche le gros soutient-gorge en dentelle. Comme le fil est assez haut, elle tend les bras et son chemisier blanc compresse ses seins. Elle a vraiment de gros seins. Je bande aussi sec à la vue de sa poitrine. Elle s?en rend compte mais ne dit rien. Elle sourit. Je me retiens de plaquer mes deux mains sur ses grosses loches et de les malaxer. C?est alors qu?elle se penche pour ramasser le linge de la corbeille en plastique. Là, j?ai le bonheur de voir les deux mamelles pendre lourdement, retenue par son soutient-gorge. Elle l?a fait exprès pour me provoquer. M :  ? Alors, mon chéri, tu regardes ma poitrine ? Tu n?en as jamais assez ! ? J :  ? Tes seins sont si gros, si beaux ! Je les peloterai pendant des heures ! ? M :  ? Julien, il va falloir te trouver une copine à nouveau ! Choisis en une qui a une poitrine comme la mienne ! ? J : ? Ta poitrine est incomparable ! En plus, elle est naturelle et pas comme mes actrices de porno préférée. ? M :  ? Oui, je sais, Julien, mais elles sont obligés tu sais ! ? J :  ? Tu aurais très bien pu te lancer dans le porno, maman ! ?. Ma mère rougit . M :  ? Julien, tu es gentil de me dire cela ! Je sais que tu es fier de moi mais je ne suis plus toute jeune hélas ! ? J :  ? Franchement, tu ne fais pas ton âge. Je te donnerai facilement dix ans de moins ! D?ailleurs, comment expliques tu tous les hommes qui te désirent sur le net ! ? Elle m?embrasse tendrement. Je bande toujours autant. Mais elle ne semble ne pas se rendre compte de la chance qu?elle a d?être aussi bien conserver. Je vais vous la décrire un peu. Ma mère est brune aux yeux marrons. Ses cheveux coupés au carré et toujours impeccable. Son visage, tous les jours maquillés n?a presque aucune ride et il ressemble un peu à la présentatrice Evelyne T.. Elle porte un chemisier blanc, à manche longue et une robe bleu marine, fendue sur le coté et qui descend jusqu?à ses belles chevilles. Ce qui ressort d?elle aussi, ce sont ses deux énormes seins qu?elle n?hésite plus à mettre en valeur. Ils déforment souvent les tee-shirt moulants et autre chemisiers à cause de leur taille. Croyez-moi , elle a du mal à trouver les soutient-gorges appropriés. Elle ne met pas de bas car elle aime exhiber ses cuisses et ses mollets bien épilés. Ses fesses sont encore bien fermes. Elle a juste un peu d?embonpoint sur les hanches. C?est son seul défaut. Mais bon, elle a eut deux grossesses : ma soeur et moi. Dire que mon père ne pense qu?à travailler au lieu de la baiser. Mais ma mère semble se complaire de la chose. Heureux que je suis de profiter de ses charmes. Je l?aide à étendre le linge en espérant que cela me calmera mais non. Je tiens entre mes mains ses culottes, ses strings et surtout ses énormes soutiens-gorges. Nous rentrons enfin. Je regarde alors son cul, caché derrière la robe. Ce cul si souvent sodomisé. Je repense à ce qu?il lui est arrivé et le pire c?est que j?en bande. A peine rentré, je lui prend la main et l?entraîne violemment à la cuisine. M :  ? Julien, arrête, tu me fais mal, tu.. ? Je lui descend sa robe et lui enlève ses chaussures. M : ? Julien, ça suffit ! tu es fou ! ?. Je ne lui répond pas et jette sa belle robe. La voilà en culotte blanche en dentelle. M : ? Julien, on avait dit que notre relation était finie. ? J : ? Tais-toi et montre moi tes gros seins ! ? Je déboutonne son chemisier comme un animal. Ma mère est trop surprise pour réagir. Le chemisier vole à son tour. La voilà en dessous. Je la regarde et surtout ses seins. Qu?ils sont gros, laiteux et aux auréoles brunes. Ils sont lourds et ressemblent à deux gros ballons moelleux. Je les malaxe à travers le fin tissu du soutient gorge. Ils sont vraiment moelleux au toucher. Ma mère ne me repousse pas, résignée. N? en pouvant plus, je dégrafe brutalement le soutient-gorge. Les seins jaillissent presque tant ils étaient compressés. Ils retombent lourdement. J?adore les soupeser. Je les empoigne donc et teste leur poids. Ils me prennent largement la main et il y?a de quoi faire. J : ? Voilà, je te dis que tu aurais été une superbe actrice porno adulée par les foules ! ? Ma mère aime être comparée à ces femmes magnifiques. Elle réagit positivement. M : ? Ooh, Julien, tu me fais rêver ! ? . La , je ne me contrôle plus en parole et je lui sors des insanités. J : ? De toute façon, tu devrais être une pute ! vendre ton cul et tes seins ! ? M : ? Julien, tu me crois une pute ? ? J : ? Oui, je sais que tu aimerais pratiquer ce métier ! ? Je commence à baisser sa culotte pour toucher sa chatte. Elle mouille. Visiblement, elle aime être insultée, être traitée de pute. J : ? Je te vois très bien faire le trottoir , comme dans mes histoires mais tu serais encore plus salope, largement ! ? A ces mots, ma mère a la respiration qui s?accélère. Je sens ses tétons durcir, elle gémit : ? Juliennnn, tu es un pervers, tu veux que ta mère soit une pute ! ? . J : ? Mais tu es une pute véritablement, maman ! une salope incroyablement bonne ! Avec tes gros seins, tu serais obligée de baiser 24 heures sur 24 tant tu aurais des clients. ? Ma mère écarte les cuisses, m?invitant à la baiser. Mais moi, c?est son cul qui m?intéresse. J : ? Maman, tourne toi sur la table ! je veux te baiser comme une chienne ! ? M : ? Oui, baise moi par le cul ! ? . Elle est à poil et je la retourne comme une truie sur la table. Son anus est à moi. Cet anus déjà maintes fois visités. Ses gros seins sont aplatis sur la table et on l?impression qu?elle est à plat ventre sur des ballons. Je la saisis par les hanches et lui pénètre le cul. Ma queue est énorme mais pourtant d?autres l?ont bien plus écarté. Je m?en fiche de toute façon, seul mon plaisir m?intéresse. Si elle est pas contente, elle n?aura qu?a faire le trottoir. Je la pénètre et la lime. Son cul est magnifique. Elle sait y faire car elle a des mouvements de hanche qui accompagne mes va et viens. Je la ramone, me retenant d?éjaculer. Ma mère se cambre bien pour que je la ramone au mieux. Je tiens 30 secondes sans gicler. Hélas, elle m?excite trop et j?éjacule dans le conduit culier, répandant mon foutre dans ses entrailles. Je gicle en gémissant, me vidant de tout mon plaisir. Ma mère sent le liquide chaud dans son cul et son ventre. Je voulais garder mon foutre pour sa bouche ou ses seins. Je me retire d?elle. Elle , elle se relève et je lis du bonheur dans son regard. M : ? Julien, tu es si pervers ! ? J : ? Oui, maman, je suis pervers mais toi , tu l?es aussi car tu baises ton fils ! ? . M : ? Je crois ! mais j?ai aimé être traité de pute et de salope ! ? J : ? J?aime te savoir pute ! Tu dois offrir tes charmes aux hommes ! ? M : ? Non, je ne peux pas, je ne peux pas faire cela à ton père ! ? . Ma mère a raison, papa serait outré et traumatisé s?il savait par ce qui se passe. Nous sommes dans la réalité, pas dans les histoires où tout est si facile. Ma mère reste longtemps nue dans la cuisine. J?aimerai tant que des inconnus surgissent et la viole ici même. Mais je chasse cette idée de ma tête. Ma mère est une femme de chair et d?os, pas un personnage sur un bout de papier. Je vais me reposer un peu. A mon réveil , maman est toujours nue et je la surprend en train de se masturber. J : ? Maman, tu es folle, habilles toi ! ? M : ? Julien, tu …tu m?as trop excité avec tes histoires de prostitutions ! ? J : ? Les prostituées ne font pas ça pour leur plaisir tu sais ! ? M : ? Arrête, maintenant, tu m?as mis cela en tête ! ? J : ? Ecoute, je vais te chercher des films pornographiques ! tu peux rester nue si tu le veux ! papa ne rentre pas le jeudi soir ! ? M : ? Ouiiii ! va vite me chercher des films x, mon chéri ! ? Ma mère était en manque de sexe et je commence a regretter de lui avoir mis ces idées salaces dans la tête. Je file donc dans mon sexshop favori et demande les dernières nouveautés. Le vendeur V : ? Vous cherchez quoi ? ? J : ? Ma mère fantasme sur les femmes qui se prostituent ! ? V : ? encore une ? eh bien, en ce moment c?est la mode ! J?ai quelques dvds qui traite de ce thème ! Là, ce sont des étudiantes qui font le trottoirs ! ? J : ? Je vous en prend deux ! ? (cela, je les garde pour moi !) v : ? Là, vous avez la catégorie , femme au foyer salope ! ? J : ? oui, c?est cela mais j?aimerai que ma mère puisse s?identifier à l?actrice ! ? V : ? Voilà, il y ?a que ça ! c?est un film très pervers avec une femme qui se prostitue pour payer de la drogue à son fils ! C?est très hard et malsain par contre et cela se termine trés mal pour la mère ! Je vous préviens ! ? J : ? Tant mieux, car elle verra que cela n?est pas aussi rose, la vie de prostituée ! ? V : ? Ce sera tout ? Sinon, elle aime les gang bang ? ? J : ? Oui, mais elle doit pouvoir s?identifier à l?héroïne ! ? V : ? Voilà, l?histoire d?une mère qui se fait baiser par les amis de son fils ! ? Je prends donc 4 dvds, je ne peux m?empêcher de prendre un film sur les femmes africaines perverses. La somme fait mal. Le vendeur essaie d?avoir des renseignements sur ma mère mais je ne veux pas trop lui donner des détails. On dirait qu?il aurait aimé lui rendre visite. Bref, je retourne en vitesse chez nous. Ma mère est à poil toujours allongée sur le canapé, ses deux gros seins à l?air. Elle s?est servi un verre de rhum qu?elle sirote. J : ? Voilà maman, deux dvd pour toi ! ? Nous regardons donc la première, celle du gang bang. Pas terrible, l?actrice fait trop jeune pour être la mère du fils. Pas crédible. Le second , en revanche est assez glauque. Ce n?est pas un film de cul ordinaire mais bien une descente aux enfers de cette mère qui a pitié de son fils et se prostitue pour lui. Les scènes de sexes sont crues et le final horrible. Car elle termine dans un snuff movies, se fait torturer sexuellement et meurt de façon atroce. Choquant, le film. Ma mère est un peu moins excitées. M : ? Julien, ce film est dur ! ? J : ? Oui, maman, je sais mais cela peut arriver, tu sais !Cela pourrait t?arriver à toi ! ? M : ? Julien , rien ne peut m?arriver, je suis ici ! avec toi ! Ce film est horrible ! Je refuse même d?y croire ! On ne peut torturer et tuer des gens pour son plaisir… ? J : ? Pourtant, lis les faits divers ! tu verras ! Il faut se méfier, c?est horrible ! ? Ce film m?a calmé car j?ai réellement fantasmé avec elle sur sa prostitution. Ce film casse tout. Ce n?est pas plus mal car j?avais peur que ma mère fasse des bêtises. Je la regarde maintenant. Elle est restée presque 6 heures à poil dans la maison. Cette idée me fait bander et à la vue de ses seins, je recommences à m?exciter. Je me rapproche d?elle et elle m?offre ses gros seins que je pétris aussitôt. Ma mère continue cependant à me parler de ce film. M : ? Julien, tu crois que la femme est morte en vraie ? ? J : ? Non, c?est une actrice ! ce n?est pas un film vrai ! ? M : ? Tu crois qu?il pourrait m?arriver la même chose ? ? J : ? Ecoute maman, je ne vois pas pourquoi tu penses à cette idée ! ? M : ? Je ne sais pas ,mon chéri, mais j?ai eu un frisson dans tous le corps en voyant la fin ! Ces tortures, cette mort si épouvantable ? J : ? Je crois que c?est un film réaliste ! il fait réfléchir ! en plus, le fils se rend compte de sa terrible erreur ! La drogue , c?est terrifiant ! ? M : ? Je sais, Julien, tu ne te drogues pas, j?espères ? ? J : ? Non, maman, occasionnellement mais sagement ! ? Je reprends ironiquement J : ? Rassure toi, tu n?auras jamais à te prostituer pour moi ! ? M : ? …ni terminer à être torturer et mourir ! ? J : ? Non , je te le rassure ! ? Ma mère semble rassurée à l?idée de ne pas être à la place de cette pauvre femme. Je malaxe toujours ses gros seins, lui caressant les cuisses , le cul . Cette chair bien en vie qui procure du plaisir. Ce genre de film m?a troublé et m?a redonné vigueur. Cette mort , ce gâchis m?a donné envie de baiser encore plus pour profiter de la vie. Ma mère se penche et me suce la queue comme jamais. Sa bouche est experte. Accroupie, elle lèche mon gland sorti. Elle va vite. Sa bouche avale mon membre. Ses joues sont déformés par l?extrémité de ma queue. J : ? Je veux gicler sur tes énormes seins ! ? M : ? Vas y, mon chéri ! ? Je sors ma queue alors de sa bouche et la met entre ses deux seins gigantesques. Elle me branle alors. Ma queue faisant des va et vient entre les deux lourdes mamelles. Je finis par éjaculer sur ses gros seins. Le sperme est en quantité remarquable et dégouline sur ses nichons. Elle se met à quatre patte et me demande de l?enculer. Je suis vidé mais je bande encore. Je fais ce qu?elle me demande en la ramonant de plus belle. Un peu de foutre jaillit de mon sexe et je finis par me retirer d?elle. Ma mère se lève alors, son cul au niveau de mon visage. Ses deux fesses magnifiques devant moi. Il y?a encore du sperme séché de ce matin. Elle se sert du rhum. Quelque chose lui prend la tête. Elle a baisé machinalement pas comme d?habitude. Elle ne prend même pas le soin d?essuyer le sperme sur ses gros seins et sur son cul. Elle boit une gorgée de son verre et se rallonge sur le canapé. J : ? Maman, y?a un truc qui va pas ? ? M : ? Julien, je dois te dire que je me suis senti à la place de cette pauvre femme ! J?ai beaucoup aimé cette dépravation mais cela m?a choqué aussi ! ? J : ? Je n?aurai pas du acheter ce film ! Le vendeur m?avait prévenu que cela se terminait mal à la fin ! ? M : ? Cela aurait pu être moi, tu sais ! ? J : ? Ecoute maman, la prostitution, ta prostitution est un fantasme ! Je ne vois pas pourquoi tu terminerais dans un snuff ! ce film est une mise en garde ! ? M : ? Oui, mon chéri mais j?ai un mauvais pressentiment ! ? J : ? Bon, écoute, demain, je vais ramener ce dvd au vendeur ! ce devrait être interdit à la vente, ce genre de film ! ? Je monte donc me coucher en laissant ma mère seule et nue sur le canapé. J?ai gâché ma soirée avec ce film. Ma mère semble être obsédée par celui-ci et de manière assez ambiguë. Je voulais lui faire plaisir en lui achetant ce film et voilà le résultat. Elle a peut être raison, finalement, je devrais me trouver une autre copine. L?ancienne m?a largué pour un autre et est parti en corée. Mais bon, ce ne sera pas la première avec qui ça va pas. Le lendemain, je me réveille avec la queue en feu. Ma mère, comme à son habitude est réveillée avant moi. Elle passe dans ma chambre me réveiller. Elle est en nuisette transparente. On voit tout à travers. Les ombres sombres des auréoles de ses gros seins. Ses tétons qui pointent dur. On peut voir son nombril et ses poils de chatte. Elle est maquillée, déjà prête et doit partir au travail. J : ? maman, tu as le temps ? ? M : ? Le temps de quoi ? ? Je la tire par le bras et la ramène au niveau de mon sexe. Je lui prend la tête et dirige sa bouche vous savez où. Elle ouvre sa bouche et me prend la queue instantanément. Elle me pompe dur M : ? Mhh ! Julien, mon rouge à lèvre, mmmh ! ?. Tant pis, elle se maquillera à nouveau. Ma mère entame une de ses pipes magnifiques dont elle a le secret. J?espère me trouver une copine comme ça bientôt. Une fille capable de vous sucer à la demande. Je finis par lui gicler en pleine figure dés le matin. M : ? Julien, tu es bête, il va falloir que je me remaquille entièrement ! ?. Ma mère, le visage plein de sperme, se presse vers la salle de bain. Comme elle va vite, ses gros seins ballottent de partout et lourdement sous la nuisette. Ca commence bien, la journée. J?ai la queue rempli de rouge à lèvre et je vais me mater le film de cul avec les africaines. Je n?ai pas cours en plus. Ma mère ressort de la salle de bain. Elle est bandante ce matin. Elle remet ses minijupes d?avant et celle-ci est bien hard. Elle lui arrive à ras les cuisses et moule la forme de son cul. Malgré le froid, elle n?a pas mis de bas et ses jambes sont bien à l?air. Elle a un gilet par dessus un chemisier échancré qui fait ressortir le haut de ses seins énormes. Ce serait dommage qu?elle attrape une angine de poitrine. Elle a un petit sac en cuir. Ses collègues vont aimer. M : ? A ce soir, mon chéri ! ? J : ? A ce soir maman ! ?. En s?habillant comme ça, elle m?a redonné envie de baiser mais je n?ai que mon dvd d?africaines sous la main. C?est un bon dvd, plus esthétique et moins hard que les deux autres. Elles sont belles, longilignes, gracieuses et bien noires. La scène de la douche collective est superbe. Le savon sur leur corps faisant penser à une douche de foutre. Je m?enfile ensuite les deux pornos d?étudiantes. Pas mal et j?aimerai que toutes les étudiantes leurs ressemblent. Je me rend compte, avec le recul, que je suis en train de devenir un véritable obsédé sexuel pervers. Il va falloir aller en boite et assurer ce week-end. La journée se passe à ne rien faire. Le soir, vers 17h00, ma mère rentre. Elle m?embrasse. M : ? Alors, Julien, tu as regardé tes films pornos ? ? J : ? Oui, maman et j?ai bien aimé ! ? M : ? J?espère que tu t?es pas trop soulagé ? ? J : ? tu sais, je préfère avoir une femme de chair et d?os comme toi pour me vider ! ? M : ? Julien, tu devrais arrêter de ne penser qu?à moi tout le temps ! ? J : ? Et toi, pas mal ta tenue de travail ! ? M : ? J?ai envie de plaire, c?est tout ! ? J : ? En tous cas, tes collègues ont du aimer et les femmes te jalouser ! ? . Elle sourit M : ? Oui, mon chéri, les femmes ne m?aiment pas trop ! ? J : ? C?est normal, tu es trop bandante ! ? Je place mes mains sur ses fesses et les pelote à travers la jupe. Elle semble apprécier que je lui masse le cul. M : ? Bon, julien, c?est à mon tour de te payer des pornos ce soir ! ? J : ? Oui, mais papa va revenir bientôt ! ? M : ? On les regardera tous les deux , pendant qu?il dormira ! ? J : ? D?accord, m?an ! ? Ma mère prend son sac et me demande de l?accompagner dans le sexshop. Elle a gardé sa tenue de cet après midi : Gilet, mini-jupe et chemise décolletée. Elle prend le temps de se remaquiller en vitesse et nous voilà parti au sexshop. Le vendeur me reconnaît et reluque ma mère avec insistance et surtout ses seins. V : ? Vous êtes la mère de Julien ? ? M : ? Oui, vous me connaissez ? ? V : ? Non, mais vous avez de la chance d?avoir un fils qui a du goût ! ? M : ? Je voulais savoir, sur le film de la prostituée. Est-ce juste un film où la réalité ? ? V : ? Rassurez vous, c?est un film. Mais il existe des vrais films à ce sujet que vous ne trouverez pas dans cet établissement ! ? J : ? De toute façon, c?est interdit ! ? V :  ? Vous savez, la perversion peut mener loin, très loin ! Des femmes en sont mortes pour le plaisir sadique de pervers ! ? ma mère frémit M : ? Je me suis sentie à la place de cette pauvre femme ! C?était étrange : ces tortures, cette mort ! ? Ma mère semble encore se fixer la dessus . Je détourne la conversation. J : ? En tous cas, je préfère votre série sur les africaines ! ? V : ? très bien, oui ! J?ai des débauches asiatiques aussi ! ? J : ? non ! j?ai eu il y ?a quelques temps une amie asiatique ! je préfère des belles blacks ! ? V : ? D?accord et vous madame ? vous aimez la prostitution il me semble ! ? Ma mère est gênée mais finie par lui répondre que oui. V :  ? c?est un fantasme très courant chez les femmes tout comme le viol ! Mais c?est un fantasme ! ? M : ? Oui, j?en ai longuement rêvé ! ? ma mère semble avoir oublié de dire qu?elle l?a subi aussi à plusieurs reprises mais je préfères les laisser. Ils semblent sympathiser même si le vendeur n?arrête pas de regarder la poitrine opulente de ma mère. Je fais les rayons. Il y?a de tout et n?importe quoi. Je fouille dans les dvds les plus hard. Le vendeur et ma mère semblent bien s?entendre et leur discussion est sérieuse. D?ailleurs, il lui montre une panoplie sm, des menottes etc… Pour le moment, rien d?inquiétant. Finalement, je prend un seul dvd avec des actrices africaines encore une fois. Ma mère et moi rentrons. Elle n?est pas emballée par mon film et donc, je le garde pour plus tard. J : ? Vous avez parlé longuement avec le vendeur ! ? M : ? Oui, il connaît beaucoup de chose ! nous avons beaucoup d?idées en commun ! ? J : ? Tu aimerais qu?il devienne ton amant ! ? M : ? Voyons, Julien ! Je ne couche pas comme ça ! ? J : ? Tu sais, cela ne me dérange pas que tu es des amants ! ? Elle m?embrasse. M : ? Julien, je sais que tu ne veux que mon bonheur mais je dois faire attention ! Il y ?a ton père, ta soeur ! Je ne veux pas leur faire du tort ! ? J : ? Je sais, m?an ! Mais ce n?est pas ce que je veux dire ! Je n?aime pas ce vendeur ! Lui et cette cassette de snuff movie. Il t?a regardé bizarrement aussi ! ? M : ? Ecoute, Julien, il m?a regardé la poitrine et il en a le droit ! Ce n?est pas pour ça qu?il veut m?entraîner dans une histoire sordide ! De toute façon, pourquoi voudrais-tu qu?il me fasse du mal ! Je ne m?imagine pas accepter de tourner dans un film de ce genre et encore moins mourir !? J : ? Parce que c?est peut être un pervers ! Un fou ! ? M : ? Julien, de toute façon, cela ne te regarde pas et toi aussi tu es un pervers ! Tu m?as baisé moi, ta propre mère ! ? C?est vrai qu?elle n?a pas tort mais bon, tout de même, j?ai des limites. Ma mère semble un peu offusquée que j?ai dit du mal du vendeur. J?espère qu?il ne va pas l?embobiner. Le soir, mon père est rentré de son travail. Ma mère a mis sa tenue de bourgeoise pour ne pas mettre la puce à l?oreille à mon père. Il est fatigué et va se coucher tôt. Le repas est calme et maman et moi nous contentons d?écouter ses exploits de cadre. Je me retrouve seul avec ma mère. Elle s?est changée et elle est en peignoir avec en dessous , sa nuisette ultra transparente. Elle s?assis prés de moi, sur le canapé. M : ? Julien, je suis désolé pour tout à l?heure ! ? J : ? C?est rien, maman, mais tu sais, je me fais des idées à cause de ce sale film ! ? M : ? allez, mon chéri, je ne ferai pas de bêtise ! ? J : ? Oui, mais tu ne te rends pas compte ! J?ai eu peur avec ce vendeur ! Je le trouvais sympa au début ! et il avait ce regard sur toi ! ? M : ? bon, j?avoue qu?il m?a dit que je devrais porter du cuir et m?a conseiller de participer à des séances sm très hard! ? J : ? Quoi ? Il a osé ! ? M : ? Oui, mais je lui ai dit que non et pourtant il a insisté longuement en regardant mes seins ! ? J : ? Il a dit quoi d?autre ? ? M : ? Il m?a dit d?assouvir mon fantasme de prostituée et de réellement faire la pute ! ? J : ? Quel salaud ! ? M : ? Pour ça, j?ai dit que c?est une autre histoire. ? Elle rie naïvement mais moi, j?ai pas envi de rire. Elle prend ma main et la plaque sur son sein et elle me chuchote : M : ? Ton père dort! tu peux me mettre nue et me baiser ! ? J : ? Et s?il se réveille ! ? M : ? Bah, n?est pas peur ! ? Je ne demande pas mon reste. Elle enlève le noeud de son peignoir qui glisse le long de son corps. La voilà en nuisette transparente. Ce n?est pas ma mère que je vois en ce moment mais une superbe femelle mature aux énormes seins. Son beau visage de bourgeoise aux cheveux bruns et coupés au carré rajoute à sa volupté. Elle est devant moi avec ses gros seins qui sont moulés par la nuisette trop serrée. Ses tétons pointent à travers le fin tissu. On les distinguent facilement ainsi que ses larges auréoles brunes. Sa chatte est bien en vue. Je regarde ses belles jambes et son cul provoquant. Je la dévore du regard. Tout son corps n?est qu?un appel au sexe et donne une envie de baiser immédiate. Je reste toujours et encore fasciné par sa superbe poitrine. Elle enlève sa nuisette et elle se trouve enfin nue devant moi. Je ne m?en lasse pas. Sa grosse poitrine à quelques centimètres de moi avec ces larges auréoles brunes. Une poitrine lourde, laiteuse et qui ne demande qu?à être malaxée. Cette poitrine qui a reçu un nombre impressionnant de queues voulant se branler entre ses seins. Ceux qui ont léché, sucé ses tétons sont foules et mon père est plusieurs fois cocus sans le savoir et sans s?en douter. Des litres de spermes ont coulé sur ses loches opulentes. Et dire que maintenant, je suis le seul à en profiter. Je contemple aussi sa belle chatte rasée, maintes fois explorée. Son cul aussi, capable d?accueillir les plus grosses queues tant il a été sodomisé. Je réalise la chance que j?ai d?avoir ma propre pute chez moi qui plus est ma propre mère. Je fixe ses lèvres, belles et fines mais expertes dans l?art de tailler des pipes merveilleuses. J?ai l?impression d?avoir une actrice de cul devant moi et à ma disposition. Cette femme à gros seins et au cul merveilleux est prête à assouvir mes moindres désirs. Elle est pute, maintenant c?est sur…non, bien pire qu?une pute, bien plus salope car elle commet un inceste pour son plaisir aussi .Je me met à peloter ses nichons en les soupesant puis en pinçant ses tétons. Je la tète comme je le faisais autrefois mais rien à voir avec l?innocence de mon enfance. Ma mère me prend la tête et me plaque bien sur ses nichons. Je la sens gémir. Elle aime les succions que j?effectue sur ses tétons. Je profite pour lécher son opulente poitrine et mes mains descendent le long de ses fesses que j?empoigne et malaxe vigoureusement. Ses fesses, je les ai à pleine mains. Et je les pelote vicieusement. J?aime les malaxer un peu comme ses seins énormes. Je me met à caresser ses belles cuisses lisses et nues ainsi que ses mollets puis remonte vers sa chatte déjà humide. Une vraie fontaine que je lape tel un clébard en rut. Elle gémit de plus en plus fort et je commence à m?inquiéter car mon père pourrait entendre. M : ? Vas-y, Julien, continue ! ? Je ne peux m?empêcher de la lécher, de profiter de cette chatte offerte aussi facilement. Je désire la faire jouir. Puis je colle à nouveau mes mains sur ses seins si énormes. Je les pelote, les masse, les triture. Ma bite est en feu et ma mère la voit. Avec ses doigts experts, elle me branle. Je lutte pour ne pas éjaculer. Puis elle s?assied sur moi et je la prend sur le canapé. Mon sexe pénètre son vagin et je la lime comme un taureau. Elle se mord le doigt pour se retenir de hurler. Comme elle est sur moi, ses deux seins balancent lourdement au niveau de ma bouche. Qu?ils sont gros, vraiment. Ma bite est enflée comme jamais et est enfoncée à son maximum. Ma mère gémit de plus belle. Si mon père nous voyait. Moi, son fils baisant sa propre mère sur le canapé du salon. Je n?ose y penser. Ma queue me fait mal car je force à fond, la pénétrant le plus possible. Je veux la posséder entièrement. D?un seul coup, je gicle avec force. Je décharge et elle hurle presque. Je la rempli comme je peux. Elle est en sueur et moi aussi. Elle m?embrasse mais pas comme une mère, comme une chienne, à pleine bouche. Elle me roule un patin que même ma copine la plus salope ne m?a jamais faite. Elle se retire de moi qui reste sur le canapé, la queue raide. Sa main empoigne mon sexe qu?elle fourre dans sa bouche pour pomper le maximum de jus. Ses lèvres se referment sur mon gland, elle me suce bien. C?est incroyable. Comme dans mes textes et même mieux. Après m?avoir pompé, elle a du mal a enlever mon sexe de sa bouche. Elle voudrait continuer des heures à me sucer. Je sens qu?elle adore avoir une bite en bouche. mais je suis fatigué. M : ? Mon julien, je suis heureuse pour ta future copine ! ? J : ? Merci, Maman, mais si tu me crèves comme ça, je ne vais pas assurer ! ? Elle renfile sa nuisette superbe. M : ? bon, je vais me coucher ! Bonne nuit ! ? . Je suis à deux doigts de m?endormir la queue à l?air et je réussi à me traîner au lit. Le lendemain, mon père est parti au travail. Ma mère ne travaille pas le samedi matin et je la rejoins à la cuisine. Elle est en nuisette transparente. M : ? Bonjour, mon chéri ! ? J : ? Bonjour maman, tu es toujours en forme ! ? M : ? Oui, le sexe me donne de la vigueur ! ? J : ? Tes seins sont magnifiques ! ? M : ? merci !… ? Je la regarde, un truc la chiffonne. J : ? Maman, qu?est-ce qu?il y?a ? ? M : ? J?ai fait d?horribles cauchemars , cette nuit ! ? J : ? raconte ? ? M : ? Le film : je me suis vue subir le calvaire de la femme ! ? J : ? C?est pas vrai, ça recommence ! ? M : ? C?était affreux ! j?étais nue et attachée aux mains de ces pervers qui me torturaient encore et encore, pendant des heures interminables et à la fin ils me… ? J : ? N?en dis pas , plus ! tu dois oublier cela ! Ce film t?a traumatisé ! ? M : ? Et si c?était prémonitoire ? et si je mourrai réellement dans un snuff movie ! ? J : ? Ca suffit, te dis-je ! Maintenant, j?en ai assez que tu parles de cela sans cesse ! ? Je suis outré. Ma mère me cajole et je sens encore sa grosse poitrine sur mon épaule. M : ? Bon, changeons de sujet : Je vais te présenter une collègue de travail qui vient d?arriver ! elle est un peu plus âgée que toi mais tu l?aimeras, j?en suis sûre ! ? J : ? On verra mais ne me parles plus de ce film horrible ! ? M : ? Non, mon fils, c?est vrai que je suis très portée là dessus en ce moment ! mais le fait d?en rêver me fait penser que je vais finir ainsi ! Mourir de façon horrible  ? Je sens son gros sein droit sur moi, son téton pointant dur à travers le fin tissu de la nuisette. J?ai la désagréable sensation que l?idée d?être à la place de cette pauvre femme l?excite au plus haut point. Elle ne se rend pas compte, j?ai l?impression. J : ? Tu sais, je regrette d?avoir amener ce film ! Je voulais te faire plaisir mais hélas, je t?ai obsédé avec ça ! J?espère que cela t?éviteras de vraiment passer à l?acte de prostitution ! ? Ma mère me serre et m?embrasse. M : ? Bon, cet après midi, on a rendez vous avec Nadine, ma collègue ! ? Je bois mon café et ôte les idées malsaines de ma mère. Je plonge mes mains direction sa nuisette que lui ôte à une vitesse incroyable. Je verse deux bols de café au lait que je met en face de ses deux gros nichons. M : ? Tu fais quoi, mon chéri ? ? J : ? Mets tes gros seins dedans ! je dois prendre mon petit déjeuner ! ? Ma mère rit :  ? Julien, tu me mets toute nue et tu veux que je plonge mes seins dans ses bols ! ? J : ? Oui, fais le et je les lécherai ! ? M : ? Dans ce cas ? Ma mère pose ses grosse loches dans le café au lait. Un nichon dans chaque bol. Ses nichons sont si gros , q?ils recouvrent presque les bols. Lorsqu?elle les retire, ses tétons sont remplis de café au lait qui dégouline, un peu comme du foutre. Je me met à les lécher, avidement, la tétant presque comme un môme assoiffés. Je pelote ses deux glandes mammaires en savourant chaque instant, reluquant ses larges auréoles brunes. Ma perversité atteignait des sommets, je ne pensais plus qu?à ça. Me voilà bandant comme un fou. Après avoir malaxé cette poitrine si énorme, je décide de l?enculer dés le matin. Je la met à quatre patte dans la cuisine et me positionne. J?empoigne ses deux hanches et après avoir baissé mon froc, la pénètre. Ma queue rentre facilement dans son anus déjà exploré par d?innombrables bites. Je la lime à fond et pendant dix bonnes minutes, me retenant d?éjaculer. Je l?agrippe bien par les hanches. Ma mère gémit et accompagne les mouvements. Ses gros nibards pendent et ballottent de façon provocantes. Pendant que je l?encule avec bonheur, je pense à sa collègue. Lui a-t-elle dit qu?elle baise avec son propre fils ? qu?elle commet un acte si tabou, si interdit  ? Et ma mère m?a dit que je l?aimerais. Je me demande bien à quoi peut ressembler Nadine ? Et ma mère, pourquoi est -elle obsédée à ce point par ces films si horribles? Est ce réellement prémonitoire pour elle de finir à son tour de façon si épouvantable?……………………[email protected]

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