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Maryse, débauche en Guadeloupe – Chapitre 3

Maryse, débauche en Guadeloupe - Chapitre 3



Chapitre 3

Nous allâmes donc consulter un médecin. Bien sûr, nous ne lui parlâmes pas des aventures sexuelles de Maryse, avec les blacks, mais plutôt dune rupture de capote avec moi. Lors de lexamen, si le médecin saperçut de quelque chose, il nen laissa rien paraître. Nous ressortîmes une demi-heure plus tard, avec une ordonnance pour la pilule du lendemain. Après être passé à une pharmacie, nous nous asseyâmes à la terrasse dun café. En face de moi, ma femme semblait épanouie, heureuse. Nous passâmes nos commandes de boissons et attendîmes que le garçon les apporte. Ma femme suivit du regard le bas du dos du serveur, comme javais vu ses yeux se porter sur la braguette du pantalon de lhomme.

 Alors ? fit-elle, lorsque le garçon se fut éloigné, et quelle reporta son regard sur moi.

 Alors quoi ? Répondis-je en souriant, désirant la laisser mariner quelques instants.

 Te fous pas de moi ! Quentendais-tu par, on verra !

 Tu sais, entamai-je, en la fixant dans les yeux, nous avons, tous les deux, pris un énorme plaisir, hier. Toi, à te faire

 A me faire baiser, dis-le franchement, conclut-elle, me voyant hésiter sur le terme.

 Exact ! A te faire baiser, et moi à te regarder, que je me demande si

 Si quoi ? demanda-t-elle, souriante.

 Si tu

 Si je ?

 Oh merde ! Tu pourrais maider !

 Non ! Débrouille-toi ! Alors, jattends !

 Je voudrais que tu recommences ! Voilà, cest dit !

 Avec eux ?

 Avec eux ou avec dautres. Je voudrais que tu te fasses prendre par dautres hommes ! Que je te vois ! Que tu me racontes ! Voilà !

Elle resta un moment interdite. Elle me fixait de ses grands yeux écarquillés, la bouche légèrement ouverte. Je sentais que ma proposition le choquait, et, en même temps, lexcitait. Je me demandais anxieusement laquelle des deux sensations allait lemporter. Finalement, ce fut avec soulagement que je lentendis me répondre :

 Tu es sûr de ce que tu veux ?

 Oui, ma chérie !

 Dans ce cas, je voudrais poser mes conditions !

 Tes conditions ?

 Oui ! Je veux être libre de choisir mon ou mes amants !

 Daccord !

 Tu nauras aucune voix au chapitre !

 Daccord, chérie !

 Je serai libre de choisir si tu dois être là ou non. Si tu nes pas là, je te promets de tout te raconter. Mieux, même, si cest possible, je demanderai que lon me filme. Comme cela, tu pourras te régaler !

 Oh oui, chérie !

 Moi seule choisirai, si tu as le droit de me baiser !

 Hein ?

 Cest à prendre ou à laisser ! Je naurai peut-être pas le temps de baiser avec toi, tu comprends ?

 Je Daccord ! Tout ce que tu veux, chérie !

 Tu es sûr de toi ?

 Oui ! Jaccepte tout ! Merci ma chérie !

 Tu es cinglé !

 Oui ma chérie ! Je suis cinglé ! Je suis dingue de toi ! Tu étais si belle, avec les deux blacks dhier ! Quel contraste, ta peau blanche, et leur peau noire !

 Bien ! Rentrons à lhôtel nous changer. Nous allons à la plage !

Ma femme se leva et je la suivis docilement. Javais conscience dêtre à un tournant de notre couple. Et ce tournant, cétait moi qui lavait initié, voulu, provoqué.

Nous nous arrêtâmes de nouveau à la pharmacie où nous achetâmes des préservatifs grande taille, ce qui fit sourire la pharmacienne et moi, rougir, sous son regard goguenard.

Dans notre chambre, nous nous changeâmes. Je vis que Maryse nenfilait rien, même pas un bikini, mais jaurais mauvaise grâce à lui faire une remarque. Javais désiré cette situation, je lavais. A moi dassumer. Elle passa une très courte robe, dos nu et chaussa des sandales de cuir.

Quant à moi, rien quà penser à sa tenue, je bandais. Lorsque je quittai mon slip pour passer mon maillot, ma femme jeta un regard sur mes attributs et ricana, en disant :

 Dire que je croyais que tu étais bien monté ! Quelle rigolade ! Tu es une petite bite ! Tu vas pouvoir constater ce quest un vrai mâle ! Allez, dépêche-toi, cocu ! rhabille-toi, et tâche de ne pas trop bander. Tu es ridicule, comme ça !

Je passai mon maillot de bain, sous le regard amusé de ma femme. Je savais, bien sûr, que je nétais pas si mal membré que cela. Environ seize centimètres, pour quatre de diamètre. Il était certain que je ne faisais pas le poids, par rapport à ses amants dhier soir, sans pour autant être ridicule. Ensuite, je passai un short, qui ne put dissimuler entièrement mon érection. Maryse soupira, et sans me regarder, sortit de la chambre. Je vis alors que ses fesses nues étaient particulièrement visibles, au travers de sa robe. Mon érection ne diminua pas et cest sous les regards ironiques du personnel de la réception, que nous partîmes vers la plage.

Elle loua une voiturette électrique. Je sus que nous nallions pas sur des plages fréquentées habituellement par des européens. Elle se mit au volant et nous partîmes, quittant bientôt la ville. Nous roulâmes pendant près de quinze minutes, puis Maryse bifurqua à droite.

Je me demandais bien où nous allions, car, depuis que nous avions laissé la ville derrière nous, nous roulions dans la forêt. Enfin, en face de nous, je vis une trouée, trouée qui se révéla être une plage et au-delà, la mer. Il y avait peu de monde sur le sable. Et encore moins, dans leau. Maryse gara la voiturette sous un arbre et quitta ses vêtements. Elle était nue. Elle jeta un regard vers moi et me dit :

 Alors, quest-ce que tu attends ! A poil, cocu !

Ce mot me mortifia et mexcita en même temps. Jétais complètement bandé lorsque je quittai mon short et mon maillot. Je cachai mon érection derrière le sac de plage, contenant les serviettes, le caméscope, quelle mavait fait emporter.

 Ne cache pas ta bite ! Tout le monde doit voir que tu bandes, à lidée dêtre cocu !

Et, sans plus jeter un regard vers moi, elle se dirigea vers le milieu de la plage, où elle mattendit. Lorsque jarrivai, elle se saisit du sac, sorti sa serviette, et sétendit dessus. Je minstallai à côté delle, dissimulant mon érection entre mes jambes serrées.

 Quest-ce que je tai dit, siffla ma femme, en me claquant la cuisse, ne cache pas ta bite de cocu ! Ecarte les cuisses !

Jobéis si rapidement que ma queue claqua contre mon ventre, au moment où jouvrais les jambes. Je jetai un coup dil vers Maryse et je remarquai quelle passait en revue tous les hommes de la plage. La plupart dentre eux étaient noirs, aussi nus que nous. Plusieurs dentre eux semblaient particulièrement bien membrés. Leurs sexes, au repos, étaient aussi gros que le mien en érection. Naturellement, cest vers ceux-ci que ma femme dirigeait son regard. Les hommes restaient à distance respectable, ne se gênant pourtant pas pour contempler les charmes que ma femme exposait à leurs regards.

Deux dentre eux sapprochaient particulièrement, sans toutefois oser aborder Maryse, qui leur souriait. Voyant cela, elle me dit :

 Prends le caméscope et retourne à la voiture. Tu attendras que je tappelle, compris ?

 Oui chérie ! Balbutiais-je, avant dexécuter son ordre.

Je navais pas fait dix mètres, en direction de la forêt que les deux blacks se tenaient debout à côté de ma femme. Jentendis, sans me retourner, le rire cristallin de Maryse. Lorsquenfin, parvenu à la voiture, je me retournai, je vis les deux blacks, assis chacun dun côté de ma femme.

Jhésitai à prendre le caméscope et à filmer la scène qui se déroulait devant moi. Je portai pourtant lappareil à mon il et réglai le zoom. Je voyais en gros plan ce qui se passait, et sans même men rendre compte, je commençai à filmer.

Là-bas, sur les serviettes, ma femme avait pris les deux bites dans ses mains et les branlait doucement. Je voyais ses petites mains monter et descendre le long de ces gros boudins noirs, qui ne cessaient de gonfler. Même doù je me trouvais, ils me semblaient énormes.

Les deux hommes, sans perdre de temps, soccupaient de Maryse. Lun deux pelotait ses seins, lautre, dont je ne pouvais voir la manuvre, puisque sa main était cachée par le corps de ma femme, devait sintéresser à sa chatte, car elle écartait largement les cuisses.

Cela dura bien cinq minutes, pendant lesquelles je filmai, imaginant les soupirs de plaisir de ma salope de femme. Puis, lun des hommes se mit à genoux devant Maryse, lui présentant sa bite à sucer, ce que fit ma femme, aussitôt. Je maperçus bientôt quelle ne pouvait pas en engloutir plus de la moitié. Ils étaient bien mieux montés que ceux dhier.

Pendant ce temps, lautre sétait installé entre les cuisses de Maryse et il nétait pas difficile, au vu des déhanchements de ma femme, de deviner ce quil y faisait. Grâce au caméscope, et à son zoom, je ne perdais rien de ce qui se passait sur le sable. Ma queue était dure comme du bois et je crois quil naurait pas fallu grand-chose pour que je jouisse, sans même me toucher.

Me femme parla aux deux hommes, puis, se tournant vers moi, me fit signe de venir, mimant le mouvement de tourner. Je ne me fis pas prier et mavançai. Cest à ce moment seulement que je maperçus que dautres personnes mataient le trio, de plus près que moi. Ils étaient à trois mètres, environ. Je mapprochai, la queue raide et le caméscope à lil. Lorsque je fus proche, ma femme enfila un préservatif à lun des blacks, se mit en levrette et lui demanda de lenfiler à fond.

Je mapprochai deux et filmai la pénétration. En gros plan, je voyais le gros mandrin noir distendre les lèvres de la chatte de ma femme, sinsinuer dans le vagin, ouvrant ma femme en deux. Dommage que je ne puisse filmer le visage dEmile, à ce moment, car cela aurait sans doute valu le coup, tant elle haletait sous la pénétration. Lhomme attendit quelques instants, puis se retira doucement. La luisance de la hampe sortent de la chatte de ma femme montrait son excitation.

 Oh, bordel ! fit ma femme, quelle est grosse ! Il va mexploser la chatte ! Mon trou ne va jamais se refermer ! oh, sil te plait ! Baise-moi ! Baise te femelle ! Vas-y !

Encouragé, lhomme la prit aux hanches et commença à la bourrer. Ma femme délirait, la bouche ouverte. Elle prononçait des paroles obscènes, que je navais jamais pensé entendre de sa bouche :

 Oh, putain, quelle est grosse ! Baise ta salope ! Baise-moi bien ! Eclate-moi la chatte ! Je vais rester le trou béant ! Vas-y, Bourre-moi, bourre ta pute ! Défonce-moi lutérus !

Comme un automate, le black baisait ma femme. Ses coups de reins déclenchaient un bruit de succion, à chaque fois quil se retirait. Maryse, au bord de la jouissance se mit à délirer :

 Oh, quelle grosse bite ! Pas comme celle de mon cocu ! Elle me défonce la chatte ! Mon vagin va devenir un gouffre ! Arrrrgh ! Je Je viennnnns ! Je jouissssssss !

Je continuai à la filmer et je fis un gros plan sur son visage. Les yeux révulsés, elle bavait, bouche grande ouverte, le cou tendu en arrière par la main qui tirait ses cheveux, lobligeant à se cambrer.

Enfin, elle se calma, posa sa joue sur la serviette, pendant que lautre continuait à la baiser. Enfin, il se tendit et je le vis jouir. Je filmai en gros plan la sortie de la bite. Un tiers de la capote était remplie de sperme, un quantité incroyable. Lhomme se releva retira le préservatif et le présenta à la bouche de ma femme. Un instant surprise, elle finit par ouvrir les lèvres, et lhomme versa le contenu de la capote sur la langue de Maryse, qui avala le tout, avec gourmandise. Cela fait, il jeta le morceau de plastique sur ma serviette, et se dirigea vers la mer.

Aussitôt, le deuxième black étendit ma femme sur le dos, enfila un préservatif et la pénétra, sans autre forme de procès. A nouveau, je filmai la saillie, qui fut aussi irréelle, que la précédente. Je voyais encore mieux la chatte distendue de ma femme, écartelée par la grosse bite noire. A chaque mouvement, je voyais ses lèvres intimes aspirées puis rejetées par le membre qui baisait la chatte. Ma femme ne tarda pas à gémir et à délirer :

 Hummmmmm ! Cest bon ! Ramone-moi la chatte, mon salaud ! Encore ! Elle est grosse ! Jaime les grosses bites ! Encore ! Je viennnnnnns ! Je jouis ! Je jouiiiiis ! Arghhhhhh !

Pour la deuxième fois, ma femme connut une orgasme démentiel. Le visage déformé par la plaisir, la chatte remplie par lénorme queue de son amant, elle jouissait, rebondissant dorgasme en orgasme. Jamais encore, je ne lavais vue ainsi. Je la filmais, fasciné par la violence de sa jouissance.

Lhomme, enfin, donna un dernier coup de reins et se déversa en elle. Une fois quil eut joui, il se retira delle et, comme lautre, lui fit boire son sperme, en lui déversant dans la bouche, le contenu du préservatif. Ensuite, il quitta ma femme, rompit le cercle et alla se laver dans la mer.

Maryse, elle, totalement impudique, était étendue sur le dos, cuisses écartées, chatte béante. Elle respirait rapidement, comme en sortie dapnée. Je demandai aux voyeurs de nous laisser seuls, ce quils firent, certains à regret, espérant peut-être la baiser.

Lorsque nous fûmes seuls, je magenouillai entre les cuisses de ma femme et filmai la chatte dégoulinante de sa mouille. Elle était si ouverte, que je voyais le col de son utérus. Doucement, japprochai ma main de sa chatte, caressai son clitoris. Cest à peine si elle réagit.

 Baise-moi, murmura-t-elle. Baise-moi, si tu le peux !

Je posai le caméscope et mapprochai de sa chatte. Je la pénétrai doucement. Ma queue ne touchait pas les bords. Je fis quelques va et viens totalement inutiles, car je ne sentais rien. Puis je pris une nouvelle position, pubis remonté très haut, la hampe frottant contre le pubis et le clitoris de Maryse. Elle se laissa faire sans un geste. Il ne me fallut pas longtemps pour jouir et je me retirai pour éjaculer sur son ventre. Plusieurs de mes jets de sperme atteignirent ses seins. Lun deux atteignit même son menton. Jamais, au grand jamais je navais joui aussi fort. Et il avait fallu que je sois cocu pour connaître cela.

 Ramène-moi à lhôtel, chéri ! Je suis morte ! Me demanda-t-elle doucement.

Je la relevai, lui remit tant bien que mal sa robe et la portai jusquà la voiturette. Quinze minutes plus tard, nous rentrions dans notre chambre. Il avait fallu affronter le regard amusé des employés, qui avaient feint de croire que Maryse avait pris un coup de soleil, mais ils navaient pas été dupes, puisque javais entendu lun deux susurrer :

 Un coup de soleil ? Un coup de bite, plutôt ! Et pas quun, à mon avis !

Je fis celui qui navait rien entendu et je quittai laccueil, toujours portant à moitié Maryse. Dans la chambre, je la déshabillai et la fit se doucher. Ensuite, je la couchai et la laissai dormir.

A SUIVRE

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