Me revoilà avec une histoire qui me procure encore beaucoup d’émotions quand j’y repense.J’ai envie de vous raconter.
Ca remonte à quelques années.
J’aime le sexe, tout ce qui a autour aussi.
35 ans, mariée, deux enfants, un mari qui me comble assez, mais, une petite aventure ici et là, sans lendemain, n’est pas pour me déplaire.
J’aime aguicher les hommes, surtout les mariés, quand ils sont beaux, qu’ils sentent bon … !
Travaillant dans une grande banque, responsable des crédits bancaires, ce ne sont pas les occasions qui manquent.
Je suis souvent appelée à me déplacer chez les clients pour obtenir tous les renseignements pour les dossiers.
J’aime découvrir les intérieurs où vivent ces derniers, j’aime voir ici et là les photos de leur femme, imaginer leur quotidien.
Je suis toujours habillées classique, souvent des tailleurs, veste mettant ma taille en valeur,et jupe moulante mi longue.
J’aime aussi la douceur du cachemire sur ma peau, pull et sous pull portés sans rien en dessous, qui épousent mes petits seins bien accrochés n’ayant besoin d’aucun soutien pour pointer fièrement.
J’aime être parfumée, tout comme côtoyer un homme qui sent bon l’Eau Sauvage, Terre d’Hermes … !
Ce qui me plait le plus aussi chez eux, ce sont leurs mains soignées.
L’histoire commence à la banque, où mon directeur me demande de prendre en charge monsieur Bertrand (nom d’emprunt, vous imaginez bien … ) pour une opération bancaire de prêt assez complexe sortant de l’ordinaire.
Tout de suite, j’ai été sous le charme de ce monsieur de 40 ans, type italien, au regard de braise qui vous transperce.
C’était réciproque, on sent cela tout de suite.
J’étais en éveil, l’envie de lui naissait.
Mon époux, parti une semaine en séminaire avec sa société, au lit, seule, une envie de sexe fit apparaître dans mon esprit ce bel étalon rencontré à la banque.
Une main dans mon slip, caressant mon clitoris, bien sorti de sa gaine, l’autre main malmenant mes petits seins, j’imaginais qu’il me limait avec force, je mouillais comme jamais, je jouissais sans retenue.
Ce n’est que le vendredi suivant, que je partis en mission chez mon client, vous imaginez bien ayant tout soigné pour me montrer la plus superbe possible.
Nous étions au salon, assis l’un à côté l’autre, devant débattre de diverses conditions, les yeux dans les contrats.
Je voulais obtenir pour lui le meilleur, qu’il me soit redevable, ayant des idées derrière la tête.
Il savait aussi le dossier difficile, il me proposa même mille choses si je parvenais à finaliser dans le bon sens.
Le contact était établi, on était obligé de se revoir plusieurs fois.
Au cours de la conversation, j’appris que son épouse, partie en Espagne avec les deux enfants chez sa mère, un mois, il était seul.
Seule aussi encore 5 jours, le rendez-vous suivant fut pris une fin d’après midi chez lui.
Tout avançait bien, il était huit heures, il proposa de m’inviter à souper, resto ou pizza domicile ?
Vous imaginez, je choisis pizza chez lui.
Je me sentais bien, sauf que j’vais mal aux pieds avec mes nouvelles chaussures.
Avec son autorisation, je me permis d’ôter mes chaussures, étant observée, de façon la plus sexy possible, lui exposant plus qu’il n’en faut de mes bas auto-portants.
Apéro, vin et pousse, je me sens éprise, je suis assise de façon indécente sur le divan, mes jambes repliées livrant tout à son regard brillant, plein d’envie.
Nous allons commettre le pire, je le sens.
Petite musique, il s’assied mes côtés, il laisse sa main sur mon mollet, attendant réaction négative, ou, positive pour progresser.
Je mouille déjà, je suis aux anges, il s’aventure plus haut, j’écarte les jambes pour lui laisser toute latitude dans ses découvertes.
De mon côté, je ne reste pas inactive, je m’approche, nos têtes sont toutes proches, on s’embrasse, on échange nos langues, il me masse le fond de culotte, il doit être conscient de mon état d’excitation.
J’ouvre sa braguette, j’aventure une main, je sens sa verge tendue dans le slip, je palpe, je tâte, j’aime être la cause de cette érection prometteuse.
On se découvre, on va se donner du plaisir.
Je lui dis ne pas trop apprécier le salon, je veux l’aimer dans sa chambre, dans son lit conjugal.
Je veux lui donner le meilleur de moi, j’ai ma petite idée.
Un petit massage érotique, n’ayant pas prévu passer la nuit, je prends ici et là dans le dressing de son épouse, un slip brésilien qui sent bon la lessive, un top moulant, dans la salle de bains, je me parfume avec l’Eau de Rochas de son épouse.
Il est sur lit ouvert, en érection déformant le slip en chapiteau.
J’arrive suavement, je m’occupe des pieds, mes mains massent les mollets, remontent sur les cuisses, s’emparent de la verge tendue, ma bouche gobe le gland au travers du slip, ils aiment tous, je souffle à travers de l’air chaud, l’érection est totale, je ne lui ôte pas son slip, je suis sur lui, mon bassin massant sa verge, frottant mes seins sur son torse au travers du top.
On s’embrasse, on se frotte tout avec passion, on aime.
J’ai envie d’être prise, j’ai envie d’être limée avec force longtemps, je suis affamée … !
Il s’occupe de moi, en 69, le nez sur mon mont de venus, il hume mes odeurs de femmes, il glisse un doigt sous le slip, il prend de mon jus qu’il goutte … ! Il retourne, il découvre mon bouton sorti, il me masse agréablement, je suis au bord de l’extase.
De mon côté, je sors sa verge de sa cachette, elle sent bon,je le prends en bouche, je le suce, la première goutte apparaît, je la lape, je sens qu’il aime, j’ai ses boules en mains, je les masse avec vigueur, je le sens prêt à exploser, j’arrête, je le veux en moi, profond … !
Doucement, on s’embrasse, on est nu, je sens sa verge énorme qui cherche où entrer, je ne l’aide pas, mais mouillée comme jamais, elle trouve la route, il entre petit à petit, je le sens bien, plus large que mon époux, il s’enfonce en moi, il est au fond, on s’embrasse toujours, il se met en route, sortant, rentrant à fond, j’aime, je ne vais pas savoir tenir longtemps, tellement il est performant, j’hurle mon plaisir, il éjacule en moi, il me donne le meilleur de lui, que c’était bon.
On est dans les bras l’un de l’autre, je vois la photo sur la table de nuit de son épouse, je jubile cérébralement d’avoir voler à son homme son jus .
