Quelques jours plus tard, ma mère est venue dans ma chambre :
« Jai envie ! Tu nas pas envie, toi ? »
Elle me lavait demandé comme ça, sur un ton des plus normaux, comme elle aurait pu parler de nourriture et me proposer une pizza. Jai bien entendu accepté, mais elle a ensuite ajouté à sa demande, dune façon un peu hésitante, si nous le faisions en bas devant un film, ou plutôt dans sa chambre, un peu comme lautre fois. Je choisis sa chambre.
Ce ne fut pas plus compliqué : cest comme ça que ma mère et moi étions passés dune masturbation devant la télé à une masturbation plus intime encore : nous étions maintenant tout le temps nus, dans son lit, en nous branlant lun lautre, jouissant abondamment sur les draps, parfois plusieurs fois par jour. Au fur et à mesure, la distance entre nous se réduisait, nous devenions plus proches dans nos relations mère-fils, mais surtout dans nos petits jeux. Nous avions trouvé une position parfaite pour pouvoir nous masturber en même temps : face à face, nos corps généralement en sueur, nous croisions nos jambes et ne faisions plus quun grand X. Nos sexes étaient alors à quelques centimètres, cela nous excitait encore plus et il était dailleurs déjà arrivé que lorsque jéjaculais, les premiers jets venaient atterrir sur le pubis poilu de ma mère, je ne pouvais alors mempêcher de regarder mon sperme couler doucement vers sa vulve.
Nous avions certains jours où nous nous consacrions uniquement à la masturbation, nous cherchions à jouir et à faire jouir jusquà ce que nous soyons vides dénergie. Cétait souvent les week-ends où nous navions rien de prévu quoiquil nous était déjà arrivé par deux fois dannuler nos plans juste pour pouvoir continuer nos petits jeux et cela durait toute la journée. Exténués, je dormais souvent avec elle dans son lit après la chose, mais il faut dire que cétait un peu gênant, nous qui pensions encore que nous ne faisions que nous masser, nous avons donc décidé que cela ne devait arriver que lors de nos jours spéciaux.
Lors dun de ces jours spéciaux justement, alors que nous étions bien partis, dans notre fameuse position croisée qui était maintenant devenue notre préférée, ma mère eut lidée de tapoter mon sexe contre le sien. Cétait la première fois que nos sexes entraient en contact ; cela me donna une trique incroyable. Nous nous sommes lancés un regard et je crois que nous eûmes la même idée. Mais il fallait que lun de nous se jette à leau dabord, étonnement ce fut ma mère :
« Tu sais, on sest juré de nutiliser que nos mains, commença-t-elle, tout en continuant à tapoter mon sexe contre le sien, mais cest bête parce que pendant un massage, on nutilise pas que nos mains, jai déjà entendu que certains masseurs utilisaient leurs coudes, leurs pieds
Exactement, continuai-je très enthousiaste, ce nest pas parce quon utilise dautres parties du corps que ça nen reste pas moins un massage !
.. Ça reste de la masturbation et rien dautre que de se frotter, lun contre lautre, pas vrai ?
Oui, cest vrai ! Fit-elle, timidement, les yeux rivés sur nos parties génitales.
Nos curs battaient fort, nous navions jamais été aussi proches. Ma mère se laissa tomber sur le dos, comme un appel pour que je me penche sur elle et commence à me frotter contre elle. Je me suis mis juste au-dessus delle, nos visages étaient quelques centimètres et nos respirations étaient rapides, même sans rien faire. On nosait pas se regarder dans les yeux, alors je regardai droit devant moi quand je commençai mes mouvements de bassin, cétait la première fois que ma queue ressentait la chaleur de son corps, je pouvais sentir le souffle de ma mère contre ma poitrine tandis quelle profitait de la sensation de mon sexe, plus dure que jamais, qui venait presser contre le sien.
Il ny avait de bruit dans la pièce que nos expirations et le léger grincement du lit. Nos poils pubiens sentrechoquaient et je branlais son petit clitoris tout le long de ma verge.
Cétait tellement bon quune goutte de pré-sperme vint perler au bout de mon gland ; celle-ci glissa lentement le long de ma grande veine bleue et finit par entrer en contact avec la fente de ma mère, ce qui facilita encore plus notre, "massage". Mais tout ceci fut une mauvaise idée, car cela nous ne suffit pas. Nos yeux rivés sur le sexe de lautre, si proches, moi si bandé, elle si mouillée, nous navions quune envie, cétait de faire lamour, le vrai.
Jarrêtais par moment mes mouvements pour prendre mon sexe en main et je frottais, pressais, caressais mon gland contre son clitoris qui était maintenant maculé par un mélange de sa mouille et de mon pré-sperme. Maman gémissait très fort lorsque lextrémité de ma queue venait passer et frotter à lentrée de son sexe. Nous finîmes quand même par nous regarder dans les yeux, ce qui augmentait notre excitation lorsquon voyait que notre partenaire prenait un plaisir monstre.
« Jen ai trop envie ! » Lui dis-je alors, la gorge serrée.
Mais sans même spécifier réellement de quoi il sagissait, ma mère comprit et si je mattendais à un refus de sa part, sa réponse fut tout autre :
« Moi aussi, mon bébé, mais on ne peut pas ! »
Elle marqua une pause, puis finit par ajouter : « si ? » Elle me laissait, de toute évidence, une porte ouverte, il fallait que je tente ma chance :
« Juste une fois, daccord ? Personne nen saura jamais rien, ça restera entre nous deux ! »
Elle se mordit les lèvres pendant que je continuais mes mouvements sur elle. Elle ferma les yeux : sa dernière tentative de résister à la tentation, mais cela naboutit à rien et elle sabandonna à son puissant désir :
« Daccord, fit-elle, juste cette fois, viens en maman, mon chéri ! »
Maintenant que javais lapprobation de maman, mon cur battait encore plus fort, javais limpression quil allait exploser. Je pris mon sexe en main et le dirigea en direction de cet antre que je désirais depuis maintenant très longtemps, je my plantai lentement, mais ne marrêtai que lorsque je fus entièrement en elle. Ma mère bascula sa tête en arrière, foudroyée de plaisir et nous nous mîmes à gémir en même temps tant nous fûmes subjugués lun par létroitesse de cet orifice qui me serrait le sexe, lautre par la dureté de cette lance qui la transperçait de long en large, mais surtout subjugués par lidée denfin sabandonner au désir que nous avions nourri pendant de longs mois. Nous avions attendu trop longtemps, nous lavions fait mariner, laissant cette ardeur prendre de lampleur à chaque fois que nous nous masturbions, jusquà ce que nous explosions forcément, comme nous le faisions ce jour-là, libérant enfin nos pulsions les plus primaires : celles de la chair.
Sous mes à-coups, maman a replié ses genoux et est venue mettre ses jambes autour de ma taille, ce qui me serra encore plus contre elle. Moi, je la pilonnais, la tête enfouie près son cou. Plus rien naurait pu nous arrêter de faire lamour à ce moment-là, quelquun aurait bien pu rentrer dans la pièce que nous aurions continué à baiser. Nous nous sommes regardés et nous avons ri en secouant la tête : nous en avions tellement envie, on se sentait idiots davoir attendu si longtemps.
La jouissance arriva très vite pour ma mère : je métais légèrement relevé, me tenant sur mes bras et, dans un coup de sang, javais embrassé ma mère à pleine bouche. Elle ne sattendait pas du tout à ça, cela brisait une autre limite tacite cette fois que nous nous étions fixée, mais cette fois-là, tout était permis. Cela faisait des années quelle navait plus été embrassée comme cela et quand elle réalisa que cétait la langue de son propre fils quelle avait dans la bouche et qui jouait avec la sienne, son corps se raidit et elle fut prise dun orgasme violent. Son gémissement, un râle qui venait du fond de ses tripes, résonna dans ma bouche alors que je continuais à lembrasser.
Mais même une fois lorgasme atteint, elle neut pas une seule seconde pour se reposer : je continuais mes va-et-vient. Puis je me relevai et relevai ma mère avec moi : nos jambes se croisèrent de nouveau, comme nous avions tant lhabitude de le faire, sauf que cette fois, il ny avait plus aucune distance entre nos deux sexes et nous ne nous servions plus de nos mains. Je ralentis mes mouvements et plaçai mes bras en arrière, afin de souffler un peu, mais ma mère ne sarrêta pas, continuant ses amples coups de hanches ; on aurait dit quelle faisait une danse du ventre, mais sur ma queue.
Je narrivais pas à décrocher mon regard du sexe de ma mère, de son bassin, de son ventre. Elle mit ses cheveux en arrière, qui gênaient sa vue ; son visage était pris par la chaleur et lexcitation, son corps voluptueux suintait de transpiration, elle se donnait à fond. Elle me fit me redresser pour se serrer contre moi. Nos corps se collaient, se frottaient lun contre lautre ; je bandais comme je navais jamais bandé et il ne men fallut pas plus pour jouir : machinalement, mon corps, pris par lorgasme, se contracta et jexpulsais tout lamour que javais pour ma mère au plus profond delle. Elle macheva, pour me vider complètement, en continuant à me donner des petits coups de pelvis. Sans sortir mon sexe delle, je lai recouchée sur son dos et nous sommes restés allongés un moment, comme un petit garçon faisant un câlin à sa maman. Pendant que nous parlions, je jouais avec ses seins et faisais le tour de ses tétons avec mon doigt. Je me suis rappelé le temps où nous ne faisions que regarder de la pornographie à deux et où nous en étions aujourdhui. Je me suis alors demandé si cela allait continuer en ce sens, mais javais bon espoir, après tout, notre désir pour lautre était tout simplement trop grand pour que nous nous arrêtions après aujourdhui. Même sil allait peut-être falloir à maman un petit temps dadaptation pour accepter ce que nous avions fait, jétais certain quun jour ou lautre, quand nous nous y attendrions le moins, nous allions nous regarder dans les yeux et nous sauter dessus.
FIN