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Masturbation malsaine – Chapitre 6

Masturbation malsaine - Chapitre 6



Bonjour. Pour ceux qui rejoindraient l’aventure en cours de route, voici un rapide résumé : je suis un jeune homme de 18 ans et il y a quelques jours, j’ai couché avec Lola, ma "demi-sur". En réalité, elle est la fille de la conjointe de mon père mais nous avons été élevés ensemble, tels un frère et une sur. Après plusieurs jours de préliminaires (masturbation mutuelle, fellation…), nous sommes enfin passés à l’acte. Nous avons fait l’amour pendant plus d’une heure.

Il est évident que moi et Lola avions franchi un point de non-retour. Ils nous étaient impossibles de penser que tout ceci n’avait été qu’un moment d’égarement. Notre histoire, cette "séduction progressive" s’est étalée sur près de deux semaines, et pourtant nous n’avons rien fait pour arrêter la machine. Ce rapport sexuel n’a été que la conclusion logique à un désir, peut-être inconscient, que nous éprouvons l’un pour l’autre. D’ailleurs, peut-on vraiment parler d’inceste ? Ce sont nos parents qui nous réunissent, pas notre sang. Cependant, malgré l’honnêteté apparente de cette relation, nous n’avons pas le courage de la dévoiler à nos parents.

Enfin bref. Aujourd’hui, en ce début de mois de Septembre, Lola est partie voir sa très bonne amie Alicia pour le week-end. Je dois bien avouer qu’elle va me manquer mais bon, je reste persuadé que cette absence sera largement "compensée" à son retour. En attendant, je déambule dans la maison tel un mort-vivant, cherchant désespérément de quoi m’occuper. Mon père lui aussi manque à l’appel, puisque son meilleur ami l’a appelé une heure auparavant pour lui proposer un bowling. En définitive, la maison n’abrite plus que ma belle-mère et moi-même. Celle-ci, Valérie, est en train de dormir. Je sais que depuis quelques temps, elle a le sommeil agité. De ce fait, elle prend des somnifères pour rattraper ces nuits perdues lors de courtes siestes.

En passant devant sa chambre pour me rendre dans la mienne, je me rends compte que la porte est ouverte. Je me décide à y jeter un coup d’il et n’y voit que ma belle-mère endormie sur le lit conjugal. Toutefois, ses bras et ses jambes nues dépassent de la couverture blanche qui la recouvre. Cela ne me laisse pas indifférent, elle est plutôt sexy ainsi. Mais bon, rien d’extraordinaire. Il est tout à fait normal d’éprouver un peu de désir envers une femme nue. Mais puisqu’en l’occurrence, cette femme est ma belle-mère, mon désir se dissipe vite. Je continue alors mon chemin sans encombre.

Dans ma chambre, je ne peux néanmoins pas m’empêcher de repenser à ce que je viens de voir. C’est assez étrange puisque jamais je n’ai fantasmé sur Valérie. Elle reste une personne séduisante, mais à l’inverse de sa fille, je n’ai jamais eu de pensées impures envers elle. La voir en maillot de bain pendant les vacances par exemple ne m’a jamais gêné, et ceci même à l’adolescence. Pourtant, en y repensant, ce sont les images de sa poitrine moulée dans sa tenue de plage en polyester qui me reviennent à l’esprit. Il n’y a pas à chercher bien loin pour savoir d’où Lola tient sa merveilleuse paire de seins.

Attisé par la curiosité (et un début d’érection), je me décide à y retourner. Afin de vérifier que Valérie dort bien à poings fermés, je l’interpelle.

— Valérie ? Hey, c’est moi !

Aucune réponse. Il n’y a aucun doute, les médicaments sont puissants. Entrant pas-à-pas dans la chambre de mon père, je m’approche doucement de ma belle-mère. Ses jambes sont définitivement très belles, et sa peau parait douce. Pour une quarantenaire, elle n’a pas à rougir. Elle dort sur le dos, ce que je remarque à la forme prise par la couverture au niveau de son fessier. Elle doit avoir un bon cul. Avec précaution, je soulève légèrement la couette en espérant ne pas la réveiller. Son dos, lisse, m’apparaît alors comme un trésor. Je me sens à la fois comme un enfant en train de commettre une bêtise et un homme pleinement conscient de ses actes qui ne fait que se rincer l’il. Mon père peut s’estimer heureux de contempler chaque jour ce corps si désirable. Sortant mon portable de ma poche, je prends une photo. Je souhaite absolument immortaliser ce moment.

Soudain, Valérie se met à remuer de tout son corps. Est-elle en train de se réveiller ? Pris de panique, je reste figé. Les yeux fermés, elle effectue un mouvement de bascule vers le côté, découvrant alors son ventre, sa poitrine et sa chatte. Un filet de sueur coule le long de ma tempe tandis que mon pénis se gorge de sang à une vitesse inimaginable. Jamais je n’ai vu de mes propres yeux une femme de cet âge nue devant moi. Mes conquêtes, Lola incluse, sont généralement aussi vieilles que moi. 

A mon grand soulagement, Valérie ne se réveille pas. Elle n’a fait que bouger, mais suffisamment assez pour me faire plaisir. Je découvre, à mon grand étonnement, qu’elle a un piercing sur le téton de son sein gauche. Cela m’évoque immédiatement une actrice pornographique que j’apprécie plutôt. Je ne peux plus contenir mon excitation. Prenant une autre photo avec mon téléphone, je quitte ensuite les lieux à toute vitesse. De retour de ma chambre, je déboutonne mon pantalon en jeans et abaisse mon caleçon, et enfin débute une masturbation en regardant les photos que je viens de prendre. Je ne crains pas de me faire attraper, étant donné que Valérie dort profondément. Je n’en reviens pas. Qui pourrait-croire que je suis en train de me branler sur ma belle-mère ?! Même moi je ne pensais pas qu’elle me faisait tant d’effets. Je suis incapable de dire si cela est dû à l’absence de Lola, mais ma libido est débordante. Accélérant mes mouvements de va-et-vient, j’éjacule finalement. Une épaisse couche de ma semence se dépose sur mes draps.

Une idée me vient : après la fille, je dois baiser la mère !

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