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Matchs de footre – Chapitre 4

Matchs de footre - Chapitre 4



Pour ce match qui devait nous propulser vers l’ultime étape et le triomphe final, on retrouvait les mêmes participants que pour le quart, plus la femme de Kévin qui était aussi très délurée.

J’étais plus excité par le match de cul que par celui de foot. On avait convenu d’être sages et d’attendre la fin du match pour sortir nos bites. Mais ce fut difficile. La femme de Kévin, Andréa, une grande black à la taille fine, comme les femmes touareg, aux hanches dessinées, portait une robe de lin très très transparente, une gaze légère, à peine.

On voyait ses seins, modestes mais pointus et au galbe parfait, qui dardaient directement sous le tissu puisqu’il n’y avait pas de soutien-gorge et son sexe protégé par un string si petit qu’il ne cachait que la fente. Une tache plus sombre que la peau accusait l’emplacement du pubis, désigné comme une cible à notre concupiscence. Donc érection !

La chaleur montait dans l’appart d’autant que notre équipe avait pris le match en main. But à la 28e. Ce fut l’explosion de joie. Jonathan proposa :

— Si on ouvrait déjà le champagne.

— Putain, j’lai oublié. M’exclamai-je ! En effet, je devais l’apporter.

— Sérieux Alex ! T’es con ! On avait dit que c’était toi.

— Oui, je l’ai prévu mais je l’ai laissé à la cave.

— T’as encore le temps d’aller le chercher. Tu seras revenu pour le début de la deuxième mi-temps.

Il est vrai que je n’habite qu’à un quart d’heure à peu près de chez Jonathan et Amélie.

— Bon d’accord mais vous ne baisez pas avant que je sois revenu !

— Qu’est-ce ça peut te foutre si nos couilles sont vides à ton retour ? Les femmes seront rodées, c’est moi qui te le dis ! T’avais qu’à pas oublier le champagne !

— Oui, d’accord, mais c’est pas le but… c’est mieux à plusieurs. Qui vient avec moi ?

Evidemment, personne ne voulut m’accompagner.

Pendant le trajet aller, que je fis assez vite, j’écoutais la radio distraitement pour suivre le match. En fait j’étais surtout impatient de partouzer et, une fois encore, je me disais que si ça avait été chez moi, ma femme offerte, cela aurait été le panard. Bref j’étais absorbé par mes désirs de cul. Fantasme, quand tu nous tiens !

En arrivant à la maison, je fus surpris de voir le petit coupé rouge de mon père devant la clôture. Si j’avais été un brin intelligent, j’aurais dû être encore plus surpris de ne voir que cette voiture. Et les prétendues copines de ma femme, elles étaient venues comment ? A pied ?

Mais j’étais surtout en train d’imaginer ma femme devant supporter son beau-père au milieu de ces copines ; ce dernier éventuellement en draguait une un peu lourdement (c’est bien parce que c’était un cavaleur que ma mère l’avait quitté) et je ne tenais pas à me trouver vis-à-vis de lui car j’en avais pour des heures. Il aurait été impossible de m’en débarrasser.

Avec un peu de chance, tout ce petit monde devait être sur la terrasse derrière la maison. J’approchais à pas de loup, jetais un il vers le salon. Vide ! Bingo, ils étaient dehors. J’entrai et descendis immédiatement à la cave chercher mes caisses de Champagne.

Un vasistas était ouvert et j’entendis des gémissements sans équivoque, tels que ceux que je me félicitais de pouvoir entendre dans moins d’une heure et que je me faisais fort de provoquer moi-même.

— Hmmmm, hmmmm, ouiiiii…

— T’aimes ça, hein t’aimes ça… Prends des bons coups de pine… tiens salope, c’est bon hein, ouais, c’est bon ça… ma grosse bite dans ta chatte là…

Je ne pouvais rien voir mais j’étais sidéré ! J’imaginais mon père resté avec une copine de ma femme pendant que les autres étaient parties je ne sais où et il la sautait. Pourtant, même si la voix du mâle ne m’était pas inconnue, il ne me semblait pas que ce fut celle de mon géniteur. J’avais un doute. Je voulus en avoir le cur net et montai dans ma chambre, d’où on surplombe toute la terrasse.

Ce que je vis me fit littéralement tomber sur le cul.

Sur un transat, allongé, son gros ventre à l’air, son poitrail massif viril, couvert de poils blancs, mon père se faisait sucer. Je ne voyais pas sa bite tant la goulue l’avait avalée jusqu’à la luette. Cette goulue, A quatre pattes, était ma femme qui le pompait gaillardement tandis qu’un colosse au crâne rasé la prenait par-derrière. Je le voyais de trois quarts dos, avec sa carrure de nageur, ses épaules carrées, sa taille fine, son cul rebondi et ses jambes bien campées. Un vrai beau mec. C’est lui que j’entendais.

— T’aimes ça hein salope, t’aimes la bonne queue, c’est bon ça hein, tu la sens bien là, hein ?

Ce colosse, c’était mon jeune frère, Abel.

Il avait tout juste dix-neuf ans, neuf de moins que moi. Il est vrai que, quand ma femme m’a rencontré, c’était encore un pré adolescent qu’elle n’avait pas remarqué. Mais maintenant c’était un homme, et un beau ! Et elle semblait l’apprécier. Il pinait vigoureusement. Je voyais ses boules lisses se balancer à toute allure. Il tenait ma femme par les hanches.

Mon père, mains derrière la nuque en oreiller, ondulait du bassin pendant la fellation.

J’étais sonné. Je m’assis sur le lit. Cocu, cocu par mon père et mon frère ! Je restai là quelques minutes avant de me rapprocher de la fenêtre pour voir si ce n’était pas un cauchemar.

Ils avaient eu le temps de changer de position. Ils se tenaient désormais tous les trois debout, ma femme pliée en deux suçant mon frangin et mon père, dont le ventre assez volumineux ne l’empêchait pas d’approcher du cul, en train de la limer par-derrière.

J’étais déboussolé. Je les regardai se remettre presque dans la même configuration qu’au début J’aperçus les sexes dressés des hommes. Pour autant que je pus en juger, c’étaient de sacrées belles pièces, de sacrées belles bêtes, de sacrées belles bites. Je ne sais pas s’il y a quelque chose de génétique dans la taille de la bite, mais il fallait reconnaître que dans la famille on était plutôt TTBM.

J’assistai à ce plan à trois complètement inerte, comme hypnotisé, extérieur à moi -même.

Pour être honnête, ma femme ne m’avait jamais paru si belle, si sensuelle qu’en ce moment. Ses seins écrasés sur les jambes de mon frère dont elle avait empoigné le manche qu’elle parcourait du bout de la langue, la croupe tendue bien au bord du transat qui permettait à mon père de la saillir debout, juste en pliant les genoux, elle me faisait bander la garce. Et quand elle se relevait, sa poitrine gonflée, les tétons pointus, lui donnaient un sex-appeal irrésistible.

Tout un coup, un texto me parvint et me tira de ma torpeur.

"Tu fais quoi ? Le match a repris depuis dix minutes ? grouille…"

C’était Jonathan. Il s’impatientait

Je lui répondis :

"Pour ma femme, tu avais raison.

Raison de quoi ?

Elle est pas avec des copines".

Je pris une photo et lui envoyai

"!!!! Sérieux. Là, maintenant ?

En direct !

Mais le mec on dirait ton frère !

Gagné.

Et l’autre de dos, tu le connais ?

Mon père !

Ton père ? C’est ton père et ton frère qui sautent ta meuf là ?

Yep.

….. trop marrant ! Je montre aux autres… Tu les ramènes avec toi… surtout ta femme. Une de plus… l’orgie que ça va être…"

Jonathan me replongea dans l’univers de la partouze et je me dis qu’il y avait loin du fantasme à la réalité. Moi qui rêvais depuis des jours de le faire connaître à ma femme, j’éprouvais de la colère en voyant mon fantasme se réaliser sous mes yeux. Mais qui étais-je pour lui faire un reproche. J’étais parti toute l’après-midi pour la tromper et ce n’était pas la première fois… bien sûr quand on trompe on flatte son propre orgueil de séducteur… quand on est cocu, c’est une autre affaire !

Mais j’attendais ça depuis si longtemps. J’avais toujours eu envie de ça depuis qu’Elian m’avait partagé sa copine… Prendre ma femme avec un autre homme, la fourrer par tous les trous, voir un autre gars la faire jouir et juter sur ses beaux nichons. Combien de fois n’avais-je pas bandé à cette idée. Et là, sous mes yeux, l’occasion tant attendue me mettait en colère. Il faut dire que c’était mon père et mon frère… J’avais tout imaginé sauf ça. Mes potes, des types recrutés sur le Net, des boîtes échangistes, des petits, des gros, des vieux des jeunes, des moches et des adonis, des blacks, des blancs des beurs, même le chien du commissariat, tout… sauf ça ! Ma propre famille.

Mais Jonathan avait raison… Puisqu’elle aimait ça… Et puis je bandais… ça m’excitait au fond… ça m’excitait comme dans mes rêves et cela était plus fort que la jalousie ou la fierté.

Je les filmai donc et descendis les rejoindre le plus silencieusement possible.

La position n’avait pas changé sauf que mon frère, au lieu d’utiliser sa pine, tendue énorme (même gabarit apparemment que moi le frérot dites donc !), s’était accroupi et bouffait le cul de sa belle-sur, qui suçait toujours, beaucoup mieux, il me semblait, qu’elle ne me l’avait jamais fait.

J’en profitai pour regarder la scène. Elle avait l’air de jouir la salope et pas de simuler… Elle ondulait des fesses pendant que mon frangin lui lapait la raie. Alors pourquoi avec moi se passait-il si peu de choses ? Mon frère avait la langue trop occupée à lui raviner la fente pour pouvoir dire quoi que ce fût. Mon père en revanche y allait… gros porc !

— Ouais, suce, comme ça… prends bien les couilles, ouais, c’est bon, tu suces bien, profite… Elle te plaît ma grosse queue, ouais ? Régale-toi ma jolie, bouffe… les roustons, n’oublie pas les roustons.

Après avoir encore bien regardé cette scène dont la puissance érotique, pornographique même, m’émoustillait de plus en plus et rendait de plus en plus douloureuse la protubérance qui persistait à me déformer le calebar, après avoir pris des photos et un petit film de la troupe, au cas où, immortalisant les nichons balançant entre les jambes écartées du beau-père, la bouche avide ouverte sur le gland gonflé, les fesses pleines de salive, après tout cela donc… Je décidai qu’il était le moment d’intervenir.

— Sympa tes copines ! On s’ennuie pas ! Criai-je.

On n’imagine pas la tête qu’ils firent.

Mon frère se redressa et dirigea son regard éberlué vers moi, son gros sexe pointant en avant comme pour désigner le cocu que j’étais en disant :

— Putain Alex… ben qu’est-ce que tu fais là ?

Ma femme s’était mise à genoux et fondait en larmes en balbutiant

— C’est rien mon chéri, je peux tout t’expliquer…

Quant à mon père il tendit la main vers son bermuda pour s’en recouvrir le sexe.

Je répondis à mon frère :

— Tu crois pas que c’est à moi de te demander ce que tu fais chez moi à sauter ta belle-sur ?

— Nan, mais Alex, c’est…

— Vos gueules. Vous me raconterez plus tard… et encore, si je veux savoir. Pour l’instant remettez vos fringues et grouillez-vous, vous venez avec moi, et vite ou vous allez me faire rater la fin du match.

— On va où ?

— Sauter la femme d’un de mes potes et deux autres salopes vachement expertes, en présence de leurs maris. Vous qui aimez l’amour en groupe, vous allez être servis, et toi ma belle garce qui cachait bien ton jeu, puisque tu aimes les belles bites, tu vas te pâmer ma jolie. Au festival des putains, tu vas pas être la dernière !

— Si je comprends bien, tu caches ton jeu aussi… et au festival des cocues, je suis comment ? A égalité avec toi pour celui des salauds ?

Elle n’avait pas tort.

— Y a pas de raison qu’il n’y a que vous à aimer la bonne baise. Allez ! En route !

Ce fut ma seule réponse.

Assis à côté de moi dans la bagnole, j’écoutai les explications de mon frère. Pendant ce temps-là, à l’arrière, avec ma bénédiction tacite, mon paternel doigtait ma femme qui le masturbait très lentement en retour. Tous les deux gémissaient de manière à peine audible.

— T’sais Alex c’est de ta faute. Karine elle est pas folle elle sait que tu vas voir ailleurs… alors un jour elle a éclaté en sanglots, j’étais là, je l’ai consolée… et de fil en aiguille.

— T’as éclaté en sanglots ? Toi ? Mon cul ! T’as pas cherché à te faire consoler par ce grand nigaud ? Et toi tu t’es laissé faire ?

— Ben mets-toi à ma place…

— A ta place, j’y étais… c’est moi qui la baisais jusqu’ici… et je sais pas si j’aurais baisé ma belle-sur…

— Tu parles ! T’es un obsédé du cul ! Tas toujours été un queutard de toute façon… Déjà quand j’étais plus jeune je regardai la mémoire de ton PC pour voir les pages de cul que tu te tapes. Ça en fait des heures de branlette !

— Et papa… ?

— Ben, il nous a surpris… alors on l’a associé…

— Sans remords ?

— Ça fait un peu drôle au départ mais c’est un vachement bon coup ! Hein p’pa ?

— Je me débrouille modestement, dit-il.

— On arrive !

— Tu l’as bien cherché Alex, depuis le temps que tu me trompes… me dit ma femme… La prochaine fois que tu baises chez un de tes potes, ramène au moins ton slip, et pas celui d’un autre… Et tu crois que je remarque pas quand tu rentres et que tu pues la chatte ? Je fais la différence avec tes eaux de toilettes, tu sais !

J’étais pris en faute à nouveau…

— On va pas s’expliquer ici… mais au lit, j’ai toujours eu l’impression que tu t’ennuyais… alors…

— C’est sûr… on aurait pu en parler… Enfin maintenant le mal est fait…

— Le mal, le mal, pas pour tout le monde ! ajouta mon père pour rigoler.

C’est ainsi que nous arrivâmes sur les lieux de la partouze.

Quand j’entrai dans la salle, on venait de marquer le troisième but dans l’euphorie générale saluée par un désapage collectif. Tout le monde était à poil là-dedans et on s’embrassait en se tripotant pour célébrer le but qui allait nous qualifier à coup sûr.

Je fis les présentations.

Les trois minettes qui étaient excitées comme des puces entourèrent ma femme et commencèrent à la peloter et à la bisouiller. Après un mouvement de recul, n’étant pas familiarisée sans doute avec les plaisirs saphiques, elle capitula sous l’amicale pression des trois complices et pendant la fin du match, ce qui ne prit que quelques minutes, elles passèrent leur temps à se gouiner en se chauffant la raie à coups de doigts et de langue, si bien que nous regardions la téloche d’un il distrait… Très distrait. Tous les garçons triquaient comme des ânes.

Enfin le match s’acheva sur le score de 3-0 et notre qualification.

Ce fut l’hystérie.

— On est en finale, on est en finale, on est on est on est en finale…

— Champagne ! Cria quelqu’un

— Champagne et bite au cul renchérit Jonathan. C’est open-bar, Champagne et filles à volonté !

— Ouais ! Reprit toute la salle en chur !

— On s’organise, suggéra Loïc. Je propose qu’on aille dans notre piaule, y a tout le matos qu’il faut.

Comme l’immeuble n’avait toujours pas d’autres locataires que nous, la société au complet se déplaça en tenue d’Adam (et Eve), la honte en moins et les gestes en plus car on ne s’arrêtait pas de palper à droite ou à gauche. Les seins étaient gonflés, les chattes étaient mouillées et les queues étaient raides. La troisième mi-temps promettait de bien jolis tirs aux putes…

A suivre

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