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Matée en train de faire l'amour dans les bois – Chapitre 1

Matée en train de faire l'amour dans les bois - Chapitre 1



MATEE EN TRAIN DE FAIRE LAMOUR

DANS LES BOIS

Cette histoire bien réelle sest déroulée en début dautomne cette année.

Je mappelle Isabelle, petite jeune femme blonde de trente quatre ans, assez bien faite, les hommes pour mon plus grand plaisir se retournent bien souvent sur mon passage pour regarder mon petit cul qui semble les attirer. On va dire que les mecs me trouvent à leur goût et aimeraient bien passer un peu de temps en ma compagnie. Comme je ne suis pas trop sauvage et assez aguicheuse, je réponds à leurs regards par un petit sourire, ce qui les enflamme encore plus, en leur laissant penser quils ont leur chance

Je vais vous raconter une histoire quil mest arrivée récemment et où jai pris un super pied.

Il faut préciser que je suis de nature exhibitionniste et aime faire lamour dans les endroits les plus insolites et variés, ce qui me procure des jouissances assez fortes.

Etant divorcé depuis deux ans, depuis quelques temps je vis avec un garçon ayant sensiblement mon âge, grand brun, qui me plaît et avec lequel je mentends assez bien. Surtout sexuellement, car depuis que nous sommes ensemble, nous pratiquons bien volontiers l’échangisme dans des soirées organisées.

En ce mois doctobre, nous avons profité du beau temps qui sévit dans notre région pour prendre quelques vacances tous les deux, il fait un beau soleil, nous décidons ce jour daller cueillir des champignons dans les bois pas très loin de chez nous.

En cette période, les cèpes sortent en abondance et bien sûr il y a de nombreux amateurs qui profitent aussi des derniers beaux jours.

En fait notre cueillette a vite tournée comme souvent à une envie folle de faire lamour, au milieu de la forêt à labri des fourrés, au coté de mon chéri, la recherche de champignons est pour moi devenue bien secondaire.

Nous nétions pas les seuls à tourner à la recherche des précieux bolets et cela entravait un peu notre envie de senvoyer en lair à la vue de tous.

Je sentais que mon entrecuisse shumidifiait assez vite, juste que de penser à ce désir de me faire sauter dans cet endroit insolite, ou le risque dêtre vu et épié était loin dêtre nul.

Mon compagnon nétait pas contre, sa main caressait avec insistance mes fesses, ses lèvres venaient se coller aux miennes, en fait nous étions attirés lun par lautre, et je crois que lendroit ou nous nous trouvions ne faisait qu’accentuer ce désir de copulation.

Le risque dêtre vu ou surpris dans le plus simple appareil, dans une posture assez délicate me donnait comme à chaque fois des sueurs, surtout à lendroit bien précis de mon entre cuisses.

De fil en aiguille, on se mit à chercher un endroit un peu retiré et quand même un peu caché, à labri des regards pour pouvoir dans un premier temps nous dénuder et bien sûr nous envoyer en lair.

Nous avions décidés de nous enfoncer un peu dans la forêt, là ou les sentiers commencent à disparaître et ou les fourrés sont plus épais et bien plus piquants.

Nous marchions depuis quelques instants, mais lenvie étant trop intense, nous nous sommes arrêtés pour nous embrasser en un profond baiser, mes jambes avaient peines à me soutenir.

Nos mains sont très vite parties à la rencontre de nos corps qui brûlaient dimpatience dêtre touchés et palpés par nos mains fiévreuses de désir.

Nous avons décidé sans quun seul mot ne soit prononcé que nous nirions pas plus loin, Bernard cest le prénom de mon chéri me prit dans ses bras et me déposa au sol sur la mousse tout en scellant nos deux bouches en un profond et interminable baiser.

Ma tête tournait, je nétais plus moi-même, une seule chose comptait pour moi, me faire sauter, sentir son sexe investir mon minou qui lui aussi criait famine

Cette envie était dautant plus forte et grisante quil y avait le risque dêtre surpris ou découvert par des promeneurs à la recherchent bien souvent de ce genre de spectacle.

Javais très envie de sa queue, il fallait que je sente quelque chose entre mes cuisses, quil me prenne et me fasse jouir comme il sait si bien le faire.

Bernard dû sentir mon désir et mon impatience dêtre prise et peut être que lui aussi partageait ce désir de chair quand il précipita les choses en me déshabillant lentement tout en caressant les trésors qui lui étaient offert.

En très peu de temps, tous mes vêtements étaient à mes pieds, seul mon petit string rouge en dentelle cachait une infime partie de mon anatomie.

Lui aussi sétait entièrement dénudé, il membrassait tandis que ses mains sinséraient dans mon minuscule slip à la rencontre de mon petit bouton qui est particulièrement sensible aux attouchements.

Alors que je mabandonnais à ses caresses, un bruit de branche qui se casse nous fit sursauter, nous ne bougeons plus, plus rien ne se passe. Nous continuons de nous toucher pendant un bon moment en pensant que peut être quelquun était derrière ce rideau de broussailles en train de nous épier.

Sous les attouchements, je couine, je crie, je gesticule et transpire de plus en plus car les caresses de mon partenaire se font de plus en plus pressantes et me mettent en transe.

Je regarde mon amant dans ses yeux et lui demande de me prendre car je ne peux plus attendre, jai envie que tu me baises lui dis-je en lembrassant goulûment.

Se positionnant dans le compas de mes cuisses, il enfile un doigt dans mon vagin, il fait de petit va-et-vient de plus en plus profond et rapide, de petit cris de plaisir sortent de ma bouche. Il me prend le minou à pleine bouche et passe sa langue sur mon clitoris et dans mon abricot, joue avec mes lèvres et mon petit bourgeon en les mordillant.

Je ne peux mempêcher de faire aller et venir mon bassin à la rencontre de cette bouche qui me fait fondre, simulant une pénétration, le désir est trop fort, il me faut quelque chose de plus consistant, il faut quil investisse les profondeurs de mon intimité.

Ses mains se portent sur mes seins, il les presse, les caresse, triture mes tétons, je sens mes mamelons tendus à men faire mal. Ma chatte en ébullition cherche sa bite, je me frotte à lui, j’ai hâte de le sentir en moi.

Enfin il se décide, positionne son membre tendu à lentrée de ma chatte, mes cuisses sont grande ouverte, je donne un coup de reins violent et mempale assez profondément sur cette tige.

Il coulisse en moi, je suis prête à exploser quand les branches bougent légèrement autour de nous, plus rien ne peu nous arrêter, mon corps est pris de tremblements, jai chaud, je jouis en criant mon plaisir, lui nest pas loin, il accélère et menvoie sa purée au plus profond de mon ventre en quelques jets puissants.

Ayant maintenant la certitude quà quelques pas de nous quelquun nous épie en, sûrement, se masturbant, a libéré précipitamment notre jouissance.

Nous restons un long moment emboîtés lun dans lautre savourant notre plaisir.

Au moment ou nous nous relevons pour nous rhabiller et rejoindre notre chez nous, les branches autour de nous seffacent brusquement laissant place à trois hommes dune quarantaine dannées qui se plantent devant nous.

Nous ne sommes pas vraiment surpris de cette apparition !

Cétait pas mal dit un des types, la petite dame est bien chaude, trois paires dyeux sont braqués sur mon corps dénudé, et sur la traînée de sperme séchappant de mon vagin.

Dans leurs regards on peut y lire cette envie de femelle, un des type tient à sa main un téléphone portable, il nous précise quil a pris quelques photos pour immortaliser nos ébats.

Mon ami ne dit rien, il remet ses vêtements, devant les trois types bavant denvie de me toucher, et sûrement de me sauter, je remets mes vêtements sans précipitation, leur laissant le temps et le plaisir de bien me détailler.

Je suis quand même une belle salope pensais-je en regardant les gars en dessous de leur ceinture ou une belle bosse prouve que mon petit jeu ne les laisse pas insensible.

Le troisième larron qui lui na encore rien dit prend la parole, je pense dit-il avec un large sourire que lon peut trouver un arrangement, je suis sur que la petite dame ne serait pas contre de faire une bonne partie à quatre.

Je réponds quil nen est pas question que jai ce quil faut.

Cest comme vous voulez dit lhomme sans sénerver, je vous laisse mon numéro de téléphone, pensez quand même à ce que nous avons en notre possession.

IL exhibe devant mes yeux une image sur le tél ou je me reconnais les cuisses bien écartées, la chatte entre ouverte sapprêtant à recevoir la belle bite toute rouge de mon amant.

Si vous avez apprécie je vous ferez part et raconterez ce que nous avons fait avec ces trois voyeurs!!!

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