Mathilde sapproche du petit manoir. Tout est noir à lintérieur. La porte de la petite cuisine par laquelle elle sest éclipsée est toujours ouverte. Elle espère ne croiser personne. Elle nose même pas regarder son reflet dans la fenêtre. Entre le foutre de Balsan, le cheval, sur son débardeur, lurine et le sperme de Salt, le poney sur ses cuisses, elle nimagine même pas le tableau. Elle-même, elle sent lodeur de sexe qui lentoure ou peut être que cest son imagination. Peu importe, il faut quelle aille prendre une douche et surtout, elle a besoin de pisser. Jouir lui a toujours donné envie de pisser.
Elle sort de la cuisine dans laquelle des cadavres de bouteilles de bière et de champagne samoncellent et traverse le petit salon sur la pointe des pieds. Il semble que la fête ait continué après son départ. Sur un des canapés, une fille quelle nest même pas sûr de connaître à la robe remontée au-dessus des fesses et dort en laissant sécouler un filet de bave sur le canapé de la mère de Julie. Un drame à venir. Un des trophées de chasse a désormais un string sur la tête. Le tapis a lair foutu. Un pote de Mathilde dort tout simplement dans le couloir, les jambes dépassant encore un peu dans le salon. De lautre côté du couloir, cest la salle de jeu. Cest là que Julie et Mathilde ont établi le dortoir. Un mélange de matelas, de coussins, de draps et de duvet abrite un empilement de corps plus ou moins couverts. Certains ne se sont tout simplement pas changés. Un type que Julie a invité dort dans sa veste déchirée.
Deux copines de Mathilde discutent à voix basse dans un coin. Mathilde est quasiment certaine quelles partagent le même sac de couchage. La voyant dans lencadrement de la porte, les filles se taisent, la dévisageant. Lune dentre elle lui fait un clin dil sous-entendant clairement : « Tu as lair de têtre fait baisée dans les grandes lignes, petite coquine ». Mathilde séclipse.
Son envie de pisser ne sest pas atténuée. Pour éviter de croiser qui que ce soit, elle décide daller aux chiottes de la chambre des parents de Julie. Seule pièce interdite du week end. Entrant dans la chambre, elle entend des voix venant de la salle de bain.
« Putain, la seule pièce interdite et y en a qui trouvent le moyen dy aller. »
La salle de bain des parents de Julie est la plus belle que Mathilde connaisse. Du marbre, une robinetterie de luxe, une baignoire bouillonnante, une douche multijet, etc. Et un siège de toilette qui coute le même prix que le scooter de Julie. Mais en passant la porte, Mathilde ne voit rien de tout ça. Stoppée net dans son élan réprobateur, elle reste médusée par le spectacle insolite.
Cette salle de bain, elle y a vécu quelques épisodes de sa vie sexuelle. Elle ne saurait pas dire le nombre de douche ou de bain quelle a pris avec Julie mais surtout, elle ne saurait dire combien ont été un moment privilégié de caresses presque sexuelles. Julie quelle a toujours considérée comme une sur la toujours un peu faite fantasmée. Mais pas maintenant.
Julie était vraiment bourrée quand Mathilde sest esquivée dans le parc mais là, elle a lair au bord du coma éthylique. A genoux devant la cuvette des toilettes, il semble quelle a raté sa cible plusieurs fois déjà. Le diner de Julie sétale sur le carrelage tout autour des chiottes. En même temps, cest pas si surprenant quelle ait eu du mal à viser. Derrière Julie, Cédric, lex de Julie, est en train de la prendre en levrette. Et il y va comme un forcené. Mathilde serait à la place de Julie, elle serait sûrement en train dhurler de jouissance vu les coups de bite que lui met Cédric.
Au dessus de Julie, Arthur, le petit cousin de Cédric est en train denfourner sa bite dans la gorge de Julie chaque fois quelle essaye de reprendre son souffle entre deux vomissements. La bite dArthur est dune longueur très normale mais son gland est énorme et la verge très large. Arthur ne laisse pas beaucoup de répit à Julie. Elle essaye de se dégager pour reprendre son souffle ou vomir, Mathilde ne sait pas trop mais Arthur continue denfoncer sa queue toujours plus loin.
Julie a lair dêtre sur le point de tourner de lil. Enfin, Arthur retire sa bite de la bouche de Julie qui gerbe à moitié sur la lunette. Cédric continue de lui défoncer la chatte et Julie narrive pas à viser la cuvette. En même temps, elle essaye de crier quelque chose entre le OUI de jouissance et un STOP. Arthur revient à la charge. Sa bite est pleine de vomi. Julie, qui porte toujours la petite robe blanche quelle avait pendant la soirée, ne semble même pas sen soucier. Mathilde hésite entre écurement et excitation. Elle vient de se taper un cheval et un poney, elle choisi lexcitation.
Arthur se retire à nouveau de la bouche de Julie. Il se tourne vers Cédric.
-Merde, jai envie de pisser.
-Ben alors, vas y.
Arthur dévisage Julie qui semble le regarder, implorante. Sans hésiter, Arthur se redresse. Prenant sa bite sale et pleine de vomi à la main, il vise le visage de Julie et commence à pisser. Un gros jet de pisse vient frapper le visage de Julie, sinsinuant dans sa bouche, arrosant ses cheveux. Julie essaye desquiver mais Arthur insiste, tenant Julie par les cheveux. Derrière elle, Cédric semble arriver au paroxysme. Ses coups de reins deviennent frénétiques, Julie est aussi au bord de la jouissance. Sans réfléchir, elle gobe la queue dArthur qui pisse encore. Lurine coule le long de son menton. Cédric ne tient plus, se retirant au dernier moment, elle éjacule plusieurs grosses giclées de foutre épais sur les fesses et la robe de Julie qui prend de son côté un mélange de foutre et de pisse de la part dArthur en pleine bouche. Dans un dernier spasme, Arthur enfonce toute son énorme bite dans la gorge de Julie. Sous le coup de ce dernier abus, celle-ci sévanouit, à moitié étouffée et noyée dans le foutre, la pisse et le vomi.
Cédric se relève, essuyant sa bite à la robe de Julie pendant quArthur essuie la sienne dans ses cheveux. Se retournant, ils découvrent Mathilde qui les regarde