Comprenez donc qu’après cette belle matinée de natation j’étais encore plus motivé pour aller régulièrement à la piscine ! Après tout, ce n’est pas tous les jours que je passe un peu de temps en aussi bonne compagnie que ce maître-nageur avec qui je me suis amusé.
Et c’est parfaitement équipé que j’arrive sur le bassin, avec le slip de bain le plus court que j’ai pu trouver (modèle poutre apparente !) histoire de faire saliver un peu Cédric, dont j’avais évidemment verifié la présence Maillot serré, torse épilé, ni une ni deux je plonge dans l’eau. J’enchaîne quelques longueurs, et je sors de l’eau un instant : aucun doute, Cédric m’observe attentivement et n’attends plus qu’un signe pour qu’il descende de son siège en hauteur. Pas de bol pour lui, après avoir fait semblant de fouiller dans mon sac je replonge dans le bassin.
Je sais qu’il piaffe d’impatience sur son promontoire, je sais qu’il me suit des yeux dès que je daigne ressortir de l’eau, je sais que chacun de mes allers et retours hors de la piscine est une déception de plus pour mon beau maître-nageur qui ne désire qu’une chose : me voir m’éloigner des bassins, vers un endroit ou il pourra disposer de moi en toute discrétion…
Evidemment, moi je me marre, je ris interieurement du petit jeu que je lui fais subir. Pendant que je nage, un doute survient toutefois : acceptera-t-il d’avoir été tourmenté d’une aussi vile manière? Pourrais-t-il devenir violent parce que l’ai un peu trop aguiché? Tous les doutes s’effacent quand je me remémorre notre première etreinte, la douceur de ses gestes, ses mains qui s’égarent naturellement sur mes fesses…qu’il est plaisant de se laisser aller à de telles divagations en pleine nage !
Et finalement, quand je n’en peux plus moi-même, je sors des bassins pour feindre d’aller aux toilettes…en vérité je file vers la réserve de la dernière fois, en me doutant que Cédric arrivera derrière moi…Et ca ne loupe pas : il pousse la porte violemment après avoir couru, avant de foncer vers moi.
J’aurais aimé dire qualques chose d’aguichant mais je n’en ai pas le temps, il se jette sur moi et m’embrasse goulûment ! Je ne pourrais bouger même si je le voulais, et nous finissons par nous écrouler sur un amas de tapis en mousse. Mon amant ne me laisse pas respirer, sa langue mitraille toujours ma bouche, c’est fou comme il embrasse bien…
"T’as bien pris ton temps pour me faire bouillir mon petit salaud hein?
— C’est parce que je veux t’avoir tout chaud pour moi, tu sais..
— C’est reussi, ne crois pas que je vais te lâcher facilement, j’ai trop envie de toi maintenant !
— Considérez que je suis votre chose, monsieur le maître-nageur…
A ces mots il ne se retint plus, m’enlève mon slip de bain sans ménagement et me flanque quelques bonnes fessées bien senties. J’ai tellement envie de me sentir sa pute, j’ai presque honte…presque. Cédric ne semble pas avoir de scrupules et finit par me lêcher copieusement l’anus. Je suis toujours affalé sur le tapis, mais je peux tout de même me cambrer un peu pour rendre mon trou plus acessible, c’est la moindre des choses n’est-ce-pas? Il en profite pour palper mes fesses galbées et il a bien raison !
J’interromps un instant son travail pour manifester mon intention de le voir nu, après tout il n’est pas le seul à aimer les corps d’hommes à poil ! J’en profite à mon tour pour passer manlangue sur ses testicules et caresser ses poils, je sens que ca l’excite aussi, sa bite est déja prête à l’emploi..
Il ne se prise pas de me bifler gentiment avant de m’embrasser à nouveau, sa main sous le menton, avant de m’intimer l’ordre de me retourner :
"Allez ma chose, montre-moi ton beau petit cul, tu sais que depuis l’autre jour je rêve de t’enculer ?
— Hmmm oui, pilonne-moi tant que tu veux, je te l’ai dit mon cul est à toi…
Il se retient de m’enfoncer sa pine d’un coup et y va en douceur, prenant plusieurs essaisalors que je me cambre bien comme il faut. Je sens son envie refrénée, l’endurance dont il fait preuve pour ne pas me faire mal, et tout d’un coup mon anus se finit par se dilater et le résultat ne se fait pas attendre. Cédric me donne un grand coup de reins en moi, je sens sa bite taper au fond et me couper le souffle..
A mesure que ses coups de reins deviennent plus réguliers je commence à re-respirer et je me mets à l’encourager, même s’il n’a pas besoin de ca et tape de plus en plus fort. Je suis à sa merci, mon cul en évidence et j’apprécie ce semblant de domination, je savoure sa bite qui caresse mes parois intimes, ses mains sur mes épaules, je lâche complètement prise..
"Oh vas-y oui sodomise-moi mon cochon, je suis ta chooose ! oh oh !"
Il laisse libre cours à mes encouragements, son plaisir se manifeste de manière rauque et il commence à lâcher de véritables braiements, des grognements qui me donnent l’impression d’être pénétré par une vraie bête ! Il se fait plaisir en se plaquant contre moi, je le sens tellement bien au fond de moi, sa chaleur de son corps contre le mien, la chaleur de sa bite qui me remplissait copieusement…
Il me finit avec les deux mains sur mes épaules, accentuant la force de ses coups de bite, ce qui accentue mon plaisir de dominé. Entre deux de mes gémissements, sa semence remplit mon trou du cul et nous finissons allongés. Je reprends min souffle, alors qu’avant de partir mon enculeur me sussurrait à l’oreille quelques mots doux avant de partir :
"oublie pas de te doucher avant de rentrer dans le bassin, tu sens un peu trop le sexe mon salaud"
Bref, j’aime la piscine.
