Bonsoir tout le monde ! Je me présente : nouvel auteur sur ce forum, je suis Tico, 19 ans, étudiant, natif d’une petite île de la Caraïbe. Poussé par quelques amies qui m’ont conseillé de le faire, j’ai décidé d’écrire. Je commencerai par des histoires vraies.
Cette histoire se déroule au moment de mes 16 ans.
(Dring !!) La cloche retentit ; la classe se rend donc au prochain cours : littérature. Ma matière préférée, car c’est la seule où je peux dormir et rêvasser sans craindre pour mes notes ; il est vrai que dans notre classe, il y a un "crack" pour chaque matière ! Eh bien, moi, c’est la littérature. Madame X fait paisiblement son cours et ne prête guère attention à moi jusqu’au moment où elle pose une question anodine pour vous, mais qui changera une partie de ma vie.
Y a-t-il un élève qui voudrait faire un exposé sur la barbarie ?
D’habitude, je ne prête jamais attention à cela ; mais là, je ne sais pas pourquoi, ma main s’est levée toute seule. Sans doute que le sujet mintéressait…
Et là, je regarde à ma gauche : une autre main est levée ; il s’agit de celle de mon amie d’enfance, Maud. Blonde, mais « the blonde » avec le cerveau, la logique et l’humour qui va avec ; très marrante, des yeux magnifiques, elle n’a pas vraiment l’air dêtre la salope du lycée Elle s’habille quand même très bien : jeans et un beau tee-shirt mettant en avant sa belle grosse poitrine ferme.
Bref, on en parle pour savoir comment on va s’organiser ; elle me donne finalement rendez-vous chez elle pour commencer le travail.
J’arrive devant le portail ; elle porte une magnifique mini-jupe à volants qui laisse apercevoir son string, et un petit haut qui met en valeur ses seins ronds et fermes. Elle m’ouvre. Arrivé dans le salon, je dis bonjour à son père, un homme très gentil. On passe donc par le couloir pour rejoindre la pièce suivante ; il n’y aucune porte qui sépare les deux, seulement le mur de la salle de cinéma où nous nous trouvons.
On s’assoit sur le bureau afin de commencer. Seulement voilà : même si les bonnes notes tombent facilement, on ne peut pas dire que je sois un modèle de sérieux On commence donc à parler de tout et de rien pour finalement fatalement tomber sur le sujet qui revient toujours : le sexe.
Alors, ça se passait comment avec ton ex ? lui demandai-je
Oh, bof ça allait.
C’était quand, ton meilleur moment ?
Je sais pas ; tu sais, j’ai joui que deux fois inh…
Oh oh ! Tu es sortie avec lui combien de temps ?
Un an et demi ; c’est lui qui m’a dépucelée. Mon Dieu J’ai eu mal, tu peux pas savoir ! En plus, on s’était engueulé une heure avant.
… (pas de réponse)
Je ne l’entendais plus ; jétais choqué ! Deux fois… Quel abruti, j’ai pensé ; je le connaissais bien : j’aurais cru qu’il était meilleur.
Tu dis plus rien ?
Désolé ! Don, tu n’as jamais vraiment pris de plaisir ? Au fait, pourquoi tu l’as trompé ?
Si, j’en ai pris, mais seulement durant ces deux fois. Bah, parce quil m’avait trompée avant ; non, mais n’importe quoi ! Et il a cru que je ne serais pas capable d’en faire autant Je lui ai prouvé le contraire ! Je n’étais pas sa soumise !
On a continué à parler ; elle ma appris tout ce qu’il faisait dans son dos puis, au cours de la discussion, j’ai commencé à jouer à "la petite bête". Je marchais sur son corps avec deux doigts sans prévenir et elle, pour seule réponse, elle souriait. J’ai donc continué en allant me promener sur ses seins. Sa seule réponse fut de me dire « Monsieur est entreprenant ! » Puis j’ai attrapé doucement son sein ; elle esquissa un mouvement pour marrêter. Je lui dis cette simple phrase :
Détends-toi, et ferme les yeux
Cela dura une bonne dizaine de minutes où je la caressai délicatement en lui murmurant cette phrase jusquà devenir inaudible afin qu’elle se laisse faire. Je caressais sa peau sous mes doigts, lentement, afin d’électriser son corps. Le désir montait en elle. Je rapprochai ma bouche du lobe de son oreille afin de le lécher délicatement, puis je descendis sur son cou ; ma main, toujours en activité, caressait doucement ses mains, son ventre, ses seins. En quelques minutes, elle avait perdu le contrôle d’elle-même, ses mains à plat sur le bureau.
Je décidai donc de passer à la vitesse supérieure. Ma main remonta doucement jusquà sa bouche pour en caresser superficiellement le contour, puis redescendit lentement jusquà son string, sarrêta dessus et continua de descendre jusquà mi-cuisse. Elle revint doucement à son string, l’écarta sur le côté, et je pus découvrir une belle grosse chatte pulpeuse et débordant d’envie. Ma main revint à ma bouche ; jimprégnai mes doigts de salive puis remis ma main près de son abricot qui paraissait délicieux. Elle ne répondit que par un soupir, d’angoisse car son père était juste à côté, et d’envie de voir ce que cette fouille improvisée lui réserverait. Je plongeai donc un premier doigt dans son antre après avoir écarté ses petites lèvres, et le fis coulisser lentement à lintérieur. Je le tournais pendant que ma langue léchait son lobe, et je chatouillais doucement l’intérieur de son orifice. Je raclai lentement la paroi inférieure, puis me mis en quête de son point G. Je remontai donc en allant plus en profondeur et, en parallèle, je mis mon pouce sur son clitoris tandis que ma bouche allait chercher son sein droit. Elle soupirait et me dit :
Ooohh, putain !! Je sais pas où tu touches à lintérieur, là, mais cest bon : t’arrête pas !
Je continuai donc sous ses ordres en lui répondant "Oui, maîtresse". Puis je plongeai sous le bureau et ma langue avide de sa cyprine alla téter ses lèvres et son clitoris tandis que mon autre main remontait vers son autre sein.
Elle dit :
Putain, papa va nous entendre ; arrête !
Je levai les yeux et noyai mon regard dans le sien en disant :
Tu veux vraiment que jarrête ?
Elle plongea ma tête dans sa chatte et ouvrit encore plus ses jambes en mordant ses lèvres, signe qu’elle prendrait sur elle.
Après son second orgasme, je léchai le reste de cyprine sur mes doigts en lui disant qu’elle était délicieuse. Elle a un goût sucré, ce qui est rare ; je le lui fis remarquer. Jallai ensuite chercher sa bouche et l’embrassai tendrement. Je me levai et lui présentai ma "belle queue noire" (selon ses mots) devant sa petite bouche ; elle s’appliqua à me sucer plutôt bien, je dois dire, pour un aussi grand manque dexpérience. Puis, considérant que c’était assez, je me retirai de sa bouche et l’embrassai de nouveau en me rhabillant. Elle dit ensuite :
On est des malades ; on naurait jamais dû faire ça !
Tu regrettes ?
Elle s’appuya contre le dossier de la chaise en me lançant, sur un ton que j’ai beaucoup apprécié :
Pas du tout… Mais il ny a pas de sentiment. Ce n’est pas de l’amour
Ma belle, je désire simplement t’apporter le plaisir que tu mérites d’avoir, car je trouve inadmissible que ta vie sexuelle soit aussi minable. Tu es belle ; tu mérites dêtre comblée.
Pour ça, j’en ai eu, du plaisir ! Dire que je pensais savoir ce que c’était En plus, à cause de lui et de l’autre, je croyais que tous les mecs doigtaient mal Mais, putain, c’est impressionnant ! Tu as couché avec combien de filles ?
Ma belle, tu n’as encore rien vu ; tu n’es même pas capable d’imaginer le plaisir que je suis capable de t’offrir. Alors, tu décides quoi ?
… Okay ! Mais pas de sentiment : que du sexe. Sexfriends ?
Oki : sexfriends !
Elle ajouta que, dailleurs, elle était très frustrée que je n’aie pas joui dans sa bouche. Elle était désormais mienne. Ma soumise, droguée à ce plaisir ; mais j’étais tout autant impatient de le lui offrir.
A SUIVRE. Dites-moi si la suite vous intéresse :). Merci de m’avoir lu.