Après cet après-midi de "travail", je rentrai chez moi. Enfin, c’était quand même une forme de travail car, pour un mec de 16 ans, c’est très compliqué de savoir se limiter à quelques caresses ; mais je le savais : le plus important est d’asseoir une atmosphère psychologique de presque soumission et, de plus, je voulais vraiment qu’elle connaisse le vrai plaisir.
Le lendemain, les cours reprirent normalement ; on échangeait quelques regards et parlait par textos. Il ne fallait pas que tout le monde soit au courant : dans un lycée, tout se sait si on ne fait pas gaffe.
Je lui envoyais des petites histoires que j’écrivais pour elle et lui murmurais pendant les cours « Je te veux…! »
Son sourire me suffisait comme réponse.
Pendant un peu moins d’une semaine, mes histoires travaillaient son plaisir de pair avec sa main droite ; le désir montait en elle et devait devenir insoutenable. Réveiller la libido d’une fille sans grande expérience est vraiment quelque chose de magique, je trouve.
Arriva le vendredi ; elle m’embrassa pour me dire bonjour en me murmurant a l’oreille « J’ai envie »
Il est vrai qu’une certaine distance séparait sa maison de la mienne. Je luis envoyai un message pour lui expliquer comment on allait procéder. J’ai donc demandé à mon meilleur ami, Bertrand (qui était aussi voisin de Maud) si je pouvais dormir chez lui ce vendredi soir. J’avais toutes les raisons du monde : on passerait une bonne soirée entres potes à jouer à Call Of ; le lendemain, on avait Viet (Viet Vo Dao, l’art martial que je pratique) : donc, c’était pratique.
Je me mis d’accord avec lui puis avec ma belle blonde que j’étais pressé d’entendre jouir. On se retrouverait donc vers 23h, le temps que mon pote, ses parents et les siens dorment. Cette attente nous parut interminable ; on prit notre mal en patience en nous excitant mutuellement. Puis mon téléphone vibra enfin pour me dire que c’était bon. Je quittai donc discrètement la chambre sans un bruit et traversai le jardin pour me retrouver dans la rue. Je remontai le long de celle-ci sur à peu près 150 mètres et arrivai devant son portail. J’attendis encore une quinzaine de secondes, qui me semblèrent plus longues que trois heures, puis elle arriva avec son petit pull et la même jupe que la dernière fois. Elle était magnifique ; le reflet de la lune sur sa peau me transcendait. Elle m’ouvrit, et la seconde daprès nous échangions un baiser passionnel. Elle membrassait à pleine bouche ; mes mains, qui étaient sur ses joues, les quittèrent, glissant le long de ce corps qui serait bientôt mien, jusquà ses fesses que j’adorais. Je les ai doucement agrippées et, dans un mouvement ascendant, je l’embrassai plus langoureusement. Ses mains, qui étaient jusque là derrière mon cou, commencèrent à caresser mon cul et ma queue, dure dans mon short. Je luis dis en esquissant un sourire :
Ma belle, tu avais assez froid pour mettre un pull ; mais tu as pourtant choisi une jupe…
Oui : cest pour toi.
Elle continuait à membrasser, les yeux fermés. On aurait pu le faire ici, mais on traversa le jardin pour arriver à la fenêtre dans sa chambre. Elle rentra la première ; je la suivis de près. On s’embrassa de nouveau, mais de façon plus bestiale cette fois. Elle enleva son pull et m’enleva mon tee-shirt ; ensuite, elle dégrafa son soutif. Je pris son sein gauche dans ma bouche : ses tétons étaient durs Ma langue remonta jusquà son cou et le lécha, puis jattrapai son lobe d’oreille que je me mis à sucer. Elle gémissait déjà.
Elle allait enlever sa mini jupe à volant mais je luis dis de la garder. Elle enleva doucement son string blanc et le balança dans la pièce. Elle m’aida à retirer mon short puis elle caressa la bosse de mon boxeur, la palpa, puis glissa le long de mon torse chaud jusquà mon sous-vêtement pour l’entraîner à mes chevilles.
Elle prit ma queue à pleine bouche, puis l’entoura de sa main. Elle bavait sur mon gland dans sa bouche : c’était bon Je le luis dis. Elle sourit et continua à avaler mon membre avec envie. Je pris mon portable posé sur son bureau et la photographiai. Après le flash, elle continua de me sucer mais elle me demanda, sur un ton très doux, ce que je faisais.
J’ai des photos dà peu près toutes les filles avec qui j’ai couché ; mais rassure-toi : elles étaient toutes d accord, et je ne lai jamais fait à leur insu. Donc, si tu nes pas d accord, je respecterai ton choix.
Elle me regarda en branlant lentement ma queue d’un air amusé, sourit et me répondit que ça ne la dérangeait pas. Elle replongea ensuite ma bite dans sa bouche en me regardant et en passant ses mains sur mon torse. Je fis donc une nouvelle photo puis je la pris par les aisselles, la soulevai et l’allongeai sur son lit. Je me suis assis au niveau de son visage que j’enjambai ; mon membre prenait toute sa longueur. Elle l’avala de nouveau ; je pris encore une photo. Elle était belle, avec son visage d’ange, ses magnifiques cheveux blonds La gourmandise que traduisait cette photo mexcita au plus au point : les yeux fermés et sa bouche entourant ma longue queue noire comme une affamée.
Mais je l’avais allongée pour lui faire plaisir ; je mis mon portable de côté. Je l’embrassai tendrement et lui susurrai de se détendre et dapprécier. Je continuai de l’embrasser puis lui fis quelques bisous dans le cou. Avec ma langue, je descendis jusqu’entre ses seins que je léchai pendant que mes deux mains faisaient rouler ses tétons. Elle appuya sur ma tête ; je descendis donc jusquà sa grosse chatte qui était pleine d’envie depuis une semaine, et je la mangeai goulûment. Elle était parcourue de spasmes et avait du mal à rester en place. Je tétais ses lèvres intimes puis son clitoris en lui mettant doucement des doigts. Elle gémissait sur un rythme régulier. Puis, sans prévenir jaccélérai le mouvement des me doigts. Elle se mit à mordre ses lèvres puis cria. Son torse remontait vers le plafond ; elle cachait son visage avec ses mains. Elle était tellement belle
Non : je veux te voir jouir. Enlève tes mains !
Son visage était rouge ; elle me regardait, les yeux entrouverts. Je recommençai. Elle se cachait de nouveau ; je luis « Non ! » Elle enleva ses bras, tint fermement le lit et cria. J’avalais tout ce qui coulait dans ma bouche et sur mes doigts, que je léchai devant elle. Elle me demanda si ça ne me dérangeait pas.
Non : j adore vraiment ça, et puis, toi, tu as vraiment bon goût. Sincèrement, tu es délicieuse.
Je l’embrassai de nouveau et lui annonçai que j’allais la prendre. Elle écarta les jambes. Je les refermai et la retournai ; elle se mit à quatre pattes. Elle me dit qu’elle ne l’avait jamais fait dans cette position. « Quel con, ce mec » pensai-je pour la seconde fois. Je rentrai dans sa chatte et ondulai lentement ; elle gémissait déjà. J’introduisis alors un doigt dans son cul ; jen fus surpris, car il pénétrait facilement. Elle mouillait tellement que mon doigt rentrait comme dans du beurre dans son cul vierge. Elle manifesta sa gêne par un petit gémissement.
Non, pas là, ça me gêne Tu vas toucher merde
Je continuai lentement, mais elle enleva ma main de son cul : ça la gênait vraiment. Je décidai de ne pas réitérer en lui disant que lorsquelle serait prête, elle verra que c’est vraiment bon. Je commençai à la besogner ; elle criait son plaisir de toutes ses forces. Le lit cognait contre le mur, qui tremblait fort ! De peur de réveiller ses parents, enfin, sa peur (car moi, j’aimais les situations risquées). Je la transportai sans me retirer d’elle jusquà son bureau et continuai de la baiser en levrette comme ça. Elle était plus petite que moi et préférait le lit : je l’ai donc remise à quatre pattes sur le lit et la baisai en caressant son dos sur des points précis (Viet). Ce fut pour elle un déluge de sensations ; mais, pas très endurante, elle s’écroula sur le lit, les bras le long du corps en me disant de ne pas marrêter. J’étais donc en train de la baiser sur son dos et elle, les yeux fermés, ne faisait que prendre. Je finis par me retirer d’elle et on s’est mis en position de 69. Je bouffais sa chatte trempée pendant qu’elle me suçait. Elle ne tenait plus : elle arrêta de me sucer, cria et me branla quand elle le pouvait. Elle m’allongea, me pompa véritablement la queue pour en extraire mon liquide qu’elle convoitait ; mais, malheureusement pour elle, ce n’était pas encore le moment (oui, j’ai un "don" étrange : quand je couche avec une fille, je peux en quelque sorte "garder mon sperme dans mon pénis" et avoir ainsi un orgasme sans forcement jouir ; mais cela dépend des filles car, avec certaines, je ne peux vraiment rien faire : elle me font jouir quatre ou cinq fois. PS : les deux premières fois, ma queue ne débande pas ; je ne sais pas pourquoi, mais c’est pratique et un simple baiser suffit pour me faire retrouver mon érection : cest vraiment très pratique).
Elle était donc frustrée de ne pas pouvoir en extraire mon sperme et se battait avec ; personnellement, jadore voir une fille qui s’affole sur mon membre presque à péter les plombs. Mais elle n’avait pas confiance en elle, et souffrait de complexes (ce que je trouve inutile) ; donc, mon but était de lui donner confiance et de lui faire oublier ses complexes.
Elle était épuisée ; on s’est enlacé avant de se dire au revoir ; pendant ce moment rempli de tendresse, je me branlais doucement ; je jouis dans ma main et la portai à sa bouche. Elle était dégoûtée de voir que je me payais sa tête.
Non : tu nas pas voulu jouir dans ma bouche ; je ne le prendrai pas !
J’étais mort de rire
Je me mis dans son dos, l’enlaçai, étalai mon sperme sur ses seins ronds et doux puis finis d’essuyer ma main sur sa jupe. Je l’embrassai, me rhabillai et passai par la fenêtre. Elle me dit au revoir et membrassa à nouveau.
Je rentrai chez mon pote en étant sûr qu’elle avait dû lécher mon sperme ! On venait de baiser pendant 2h 30 !
(à suivre)