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Mes 18 ans et ceux de mes cousines – Chapitre 2

L'initiation de Clairette 6 - Chapitre 1



Jour J

Je me réveille en pensant à ce qui s’est passé hier soir, le massage, ma cousine, ses fesses, ses seins, sa peau douce. Soudain j’entends la voix de mon oncle:

-Va dire à Romain de se lever il est presque 11h.

-D’accord

Des pas se font entendre, c’est Elodie, je fais semblant de dormir en me mettant sur le ventre pour ne pas qu’elle voit la bosse matinale. La porte s’ouvre, et une odeur très douce vient me réveiller avec un baiser sur la joue:

-Réveille toi cousin, il est temps pour nous de fêter nos 18 ans.

J’ouvre les yeux et voit ma cousine penchée au niveau de mon visage me laissant une vue imprenable sur le décolleté de son débardeur.

-Ah et au fait merci pour hier soir.

Je la regarde gêné mais elle ajoute:

-Pour le massage.

Je me lève et m’habille comme hier et va dans la cuisine pour prendre quelque chose à manger.

Un bruit de klaxonne retint de la cours, on sort tous dehors et la ma cousine Laurete sort en première de la voiture de mon oncle Dominique. Elle fait la bise à tout le monde mais nous prend moi et Elodie dans ses bras. Sa petite sur Sophie descend ensuite, une copie parfaite de Laurete mais avec 2 ans de moins, puis mon grand cousin Rémi avec qui je m’entends très bien, et ma tante Valérie dont Laurete ressemble comme 2 gouttes d’eau. Nous prenons tous l’apéritif et content qu’il y ait un peu plus d’homme on discute des nouvelles voitures électriques que nous détestons autour d’une bière. Pendant ce temps Laurete et Elodie bavarde de leur côté et j’essaye tant bien que mal à écouter ce qu’elles disent je ne peux entendre que:

3 mois … manque … pas mal … et chance … aimerait … pas vrai je me demande bien de quoi elles parlent.

A table Laurete se met devant moi, et je n’ai pas fait attention tout à l’heure mais elle porte un haut blanc très transparent et sans aucun doute pas de soutien gorge, je peux voir nettement ses tétons pointés ce qui me fait un début d’érection. Le repas se passe dans les anecdotes lorsque nous étions enfants et qu’on prenait nous bains ensemble ce dont j’aimerai bien refaire maintenant.

Après le repas je vais au toilette pour une envie pressante et j’entends mes deux cousines parler de l’autre côté du mur:

-Alors tu es d’accord ??

-Oui mais jespère que ca fonctionnera correctement.

-Ne t’en fais pas pour ca

J’essaye de comprendre de quoi elle parlent mais je n’y arrive pas c’est assez déstabilisant, je sors des toilettes et vais dans le bureau pour m’habiller correctement. Je mets ma chemise blanche, mon jean noir et des chaussures en cuir parfaitement cirées, un peu de parfum et de gel et me voilà prêt. Je sors et tombe nez à nez avec Laurete qui porte une robe noire très classe qui se détache à la nuque, elle descend jusqu’au dessus des genoux, elle est vraiment belle.

-Wouah cousin, tu es beau gosse dis moi, on serait pas de la même famille je sauterai sur toi !

-Et moi dont, tu es ravissante dans cette robe.

-Merci me murmure-t-elle à l’oreille d’une manière très sensuelle. Elle s’en va à l’étage en me faisant un bisou sur le coin de la lèvre et me laissant tout seul électrisé par ce baiser. Je discute avec Rémi de ses études et de voitures quand mes cousines et surs descendent en même temps. Elodie est somptueuse avec un débardeur noir qui met en valeur sa finesse et un pantalon blanc en toile très classe qui lui moule ses fesses d’une manière presque vulgaire mais tellement bien. Elle me regarde avec des yeux de chat, fait un tour sur elle et me demande:

-Tu aimes ??

J’étais sur une autre planète, ses yeux me percent, son parfum menivre et ses fesses mon dieu.

-Tu es magnifique…

Mon oncle arrive et crient pour rigoler:

-Tout le monde en voiture, départ pour les 18 ans de Romain, Laurete et Elodie d’une seconde à l’autre !!!

Jour J 20h30

Après 20 minutes de trajet en voiture nous arrivons sur le parking de la salle des fêtes que mon oncle Bruno a loué, elle a l’air immense et assez récente. Il a du payer très cher pour avoir cette salle, je le regarde et lui fais un signe de tête en guise de reconnaissance, dans ces moments il vaut mieux s’abstenir de parler quand le regard suffit. Nous entrons tous dans la salle (ma famille, celle de Laurete et celle d’Elodie) qui est plongée dans le noir, soudain des spots s’allument et éclairent le centre de la pièce où se trouvent le reste de ma famille qui crie à notre arrivée:

-JOYEUX ANNIVERSAIRE !!

Ça me fait plaisir de tous les voir ici car après tout une seule fois par an ce n’est pas assez avec une famille aussi géniale. On se dirige vers eux pour dire bonjour à tout le monde ce qui prend bien 10 minutes, après toutes ces embrassades, Bruno prend un micro et demande le silence:

-Nous sommes tous réunis ce soir pour célébrer la majorité de ma fille, celle de Valérie et du fils de Sylvie (ma mère donc), j’espère qu’on va tous passer une superbe soirée et encore une fois Joyeux anniversaire à nos grands bébés (rire général sauf nous étonnamment). Ah oui j’avais presque oublié , c’est parti pour lapéro !

Il pose le micro et une musique commence à se lancer, mon oncle marche droit vers nous et demande de la suivre, ce que nous faisons sans poser de question. Il nous amène dans une arrière salle entièrement vide hormis une table où sont posés une bouteille de Clan Campbell et 3 gobelets en plastique. Bruno s’approche de nous et tous mes autres oncles s’alignent face à nous ce qui me fait rire mais ils me regardent avec un air grave ce qui fait stopper de suite. Je fixe alors cette bouteille que j’apprécie tant en soirée mais mon oncle Bruno commence à parler avec un ton très solennel:

-Vous voilà arrivés tous les 3 à la majorité mais cependant depuis quelques années moi et mes frères et beaux-frères nous avons décidé que pour être considéré comme adulte dans notre famille les nouveaux majeurs devaient boire leur premier alcool fort (si il savait ^^). Ainsi comme Rémi vous allez boire ce whisky en guise de bizutage.

Mes cousines ont un visage apeuré ce qui les rend encore plus belles. Elodie, étant la plus vieille prend son verre qui contient une dose de cul-sec, elle regarde le fond comme si il s’y trouvait un insecte mort. Elle le porte à ses lèvres et avale le tout en fermant ses yeux, il s’ensuit alors une grimace monstrueuse brisant tout son charme mais qui me fait beaucoup rire. Elle me regarde alors avec un regard noir et dit d’un ton sec:

-On va voir si tu ris toujours autant une fois que tu auras bu ton verre.

Laurete prend à son tour son verre mais elle ne fait pas dans le détail elle avale le whisky sans réfléchir mais la seconde d’après elle tire la langue et ses yeux reflètent du regret ce qui me fait fondre tellement ils sont beaux. Vient alors mon tour, la dose de Campbell est bien supérieure à celle de mes cousines mais ce n’est pas grave, mes oncles me regardent avec un espoir dans les yeux et je crois savoir ce qu’ils attendent. Je prend mon verre et sent l’odeur si particulière du whisky que j’aime tant. Le gobelet étant aux lèvres je regarde autour de moi, ils me regardent tous et Elodie avec un air de défi ce qui m’amuse, je bois la l’importante dose et la sensation de chaleur au fond de la gorge de ne se fait pas attendre mais je ne bronche pas et pose mon verre calmement. Mon oncle Bruno me prend alors dans ses bras comme si j’avais réussi un test et nous ramène à la grande salle où tout le monde nous attend dans un silence de plomb. Bruno pose sa main sur mon épaule et fait un signe de oui de la tête et tout le monde applaudit et la musique reprend.

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