Je suis vraiment excité car dans quelques minutes je ne vais plus être puceau et en plus je vais baiser mes cousines, je n’aurais cru une chose pareil. Elodie me dit alors:
-Écoute moi bien, on va s’empaler et baiser pendant quelques minutes chacune et si tu arrives à retrouver qui est la première on t’enlève le bandeau, compris ??
-Ouais ca me va.
Je les connais par cur maintenant, le moindre centimètre carré de leur corps, leurs gémissements et leurs cris cela va être facile pour moi et je pourrai enfin faire ce que je voudrai après. Une des deux se mit sur moi et me met une capote, elle pose mon gland sur ses lèvres toute mouillée, elle l’enfonce progressivement jusqu’à ce que mon sexe rentre entièrement, en tout cas elle n’est plus vierge car je n’ai pas senti d’hymen. Elle commence alors des va et vient très lent mais la sensation est géniale, elle accélère alors et respire un peu plus fort, il devient facile maintenant de la pénétrer car c’est tout lubrifié.
Elle s’allonge sur moi et je peux sentir ses seins contre mon torse ce qui la trahie car je suis sur que c’est Elodie, Laurete en a des plus gros. Elle agite alors certainement ses hanches et ses fesses car les mouvements sont encore plus rapides et ses gémissements plus forts, je décide alors de donner moi aussi des coups de rein pour que ce soit plus fort. A chacun de mes coups de reins un petit cri sort de sa bouche, j’ai envie d’une baise sauvage, de lui montrer que je contrôle à présent. J’attrape son petit cul à deux mains et lui met des fessés tout en accélérant mes coups de rein, maintenant elle crie vraiment mais de plaisir, mon traitement a l’air de lui plaire mais d’un seul coup un cri de soulagement sort de sa bouche et elle se retire.
Je transpire beaucoup je n’avais jamais imaginé que c’était autant physique, je reprend mon souffle quand ma deuxième cousine me monte dessus. Elle fait pénétrer très lentement ma bite mais cette fois quelque chose résiste légèrement, c’est l’hymen, ainsi donc c’est la première fois pour Laurete aussi. Elle se pénètre jusqu’au bout et commence les va et vient, son petit trou devient très lisse et très humide, ses gémissements viennent rapidement et sa respiration presque haletante.
Elle doit se trouver accroupie car je ne sens que ses fesses sur mes cuisses, je tend alors le bras et touche son ventre, je remonte alors légèrement et lui caresse doucement la poitrine. Ses tétons sont tout durs et ses seins très fermes, j’aimerai enlever ce bandeau pour les admirer mais je me retiens. Avec mon autre main je décide d’aller titiller son clitoris qui est tout chaud et je commence à le frotter avec mon pouce. Elle se met alors à gémir fortement et je lui donne des coups de rein bien prononcés pour augmenter son plaisir et le mien, cependant je sens mon sperme arrivé mais elle crie d’un coup:
-C’est bon !!!!!
Et elle se retire sans autre parole, je suis soulagé car mon explosion n’allait pas tarder, j’essaie de me calmer et surtout de respirer plus doucement. Je débande légèrement preuve que je me détends vraiment mais Elodie me prend le sexe et commence à me branler doucement toujours la capote au canon, elle me demande:
-Alors qui était la première ??
-Facile c’était toi aucune erreur possible.
-Ok tu as gagné, on va t’enlever le bandeau.
Une des deux me défait le nud derrière et je me retrouve nu devant Laurete elle aussi complètement nue ses seins pointant fièrement vers moi et une petite toison blonde en bas du ventre je ne peux m’empêcher de lui dire:
-Tu es magnifique ma cous’.
-Merci tu es pas mal non plus.
Qu’elle me dit en regardant mon sexe totalement bandé dans son capuchon, Elodie arrive alors et se met devant Laurete et me dit avec un air de jalousie:
-Et moi je ne suis pas belle ??
-Je ne sais pas… retourne toi pour voir.
Elle me regarde déçue et se retourne, ses fesses sont tellement belles, encore plus que dans tous les fantasmes que j’ai pu imaginer, bien fermes et lisses. Je lui demande alors avec un ton des plus sérieux:
-Cambre toi maintenant.
Elle me regarde d’un air joueur et se cambre du mieux qu’elle peut pour mettre en valeur son petit cul. Je ne peux résister et saisit sa fesse droite à plein main, je prend alors l’autre fesse et les écarte, devant moi se trouve alors sont petit trou d’une couleur naturel très peu bruni qui m’attire tant. Je n’ai qu’une envie, c’est de le pénétrer et de profiter pleinement d’Elodie mais ce sera en dessert, je lâche alors ses fesses et leur dit très autoritaire:
-Bon maintenant c’est moi qui décide ok ? Celle qui ne fait pas ce que je dis, je l’attache et lui bande les yeux compris ??
-C’est ok pour moi.
-Moi aussi.
-Très bien, bon alors Elodie couche toi devant ton miroir et écarte les jambes, Laurete tu te mets à quatre pattes et tu fais un cuni à Elodie.
Elles se mettent en place sans un mot, Laurete commence alors son léchage et je me mets à genoux derrière elle, sa petite chatte ressort alors entre ses jambes écartées légèrement. Grâce au miroir j’ai une vue parfait sur sa belle poitrine bien formée, devant moi j’ai Elodie qui les yeux fermés se caresse les seins tout en respirant très fort, elle semble apprécier le traitement de Laurete. Je fais face au cul de Laurete pas aussi superbe que celui d’Elodie mais tout de même pas mal du tout, je pénètre alors doucement les petites lèvres de ma cousine sur toute ma longueur.
Elle lève la tête et me fait un clin d’il coquin à travers le miroir, elle me donne donc carte blanche ce qui me va très bien. Je commence alors un va et vient assez rapide car elle est encore toute mouillée, des petits gémissements se font entendre de sa bouche, ils se mêlent à ceux d’Elodie qui se tord de plaisir. Elles m’excitent énormément, je continue mes pénétrations mais de plus en plus appuyées on peu entendre mon ventre claqué contre ses fesses, ses claquements font ouvrir les yeux à Elodie qui me regarde alors avec un insistance puis Laurete et elle baisse la tête en signe d’approbation.
Je me mets alors à littéralement défoncer le trou de Laurete qui arrête son cuni et commence à crier réellement, je la pénètre vite et fort, la tient par les hanche puis par ses cheveux blonds que je tire en arrière. J’aime cette situation où je la domine entièrement et la fait crier de plaisir ou non peu m’importe, Elodie me fixe avec de grands yeux c’est de l’envie dans son regard mais je sais exactement quel sort je lui réserve. Je baise avec encore plus de force Laurete qui pleure maintenant mais ca ne me fait pas arréter je suis bien trop excité de la voir dans ce miroir être totalement soumise à mes souhaits, Elodie commence à se masturber devant moi en se mettant deux doigts et se les léchant après chaque pénétration.
Elle fait tout pour m’exciter mais son heure viendra, je lache alors les cheveux de Laurete et la retourne sur le dos, elle est face à moi entre l’excitation et la douleur. Je pose ma bite sur ses lèvres toute mouillée et la regarde dans les yeux, elle acquiesce alors d’un signe de tête, il n’en faut pas plus et je la pénètre violemment et la baise comme une catin. Elle crie alors de plaisir et de douleur surement mais je prend ses seins et m’y accroche pour la baiser encore plus fort, Elodie s’approche de moi et m’embrasse langoureusement, elle aime ce jeu de dominé dominant. Le sperme arrive alors et je la pénètre aussi fort que je peux et j’explose dans ses bras dans un râle bruyant, je la regarde et l’embrasse, elle me rend ce baiser et me remercie pour l’avoir dévergondé et lui avoir fait découvrir son côté « chienne ». Elodie me regarde me retirer et me tend un autre préservatif, elle me dit:
-A mon tour !
Je m’assied sur le lit épuisé par ma performance sexuelle, je débande très rapidement en même c’est la deuxième fois que j’éjacule en peu de temps. J’ai la tête baissée et les paupières lourdes je pourrai m’endormir n’importe où, un peu comme une fin de soirée un peu trop alcoolisée. Cependant Elodie ne l’entend pas de cette oreille, elle me prend le menton et remonte lentement ma tête, de ses pieds à sa tête elle est sublime mais elle a les sourcils froncés et me dit:
-Hé oh ! Tu vas pas nous faire le coup du mec qui s’endort juste après l’acte non ? J’ai encore faim moi.
-Laisse moi deux minutes parce que là je suis K.O.
-Hors de question je veux baiser maintenant.
A la fin de sa phrase elle se met à genoux devant moi et me prend la bite, elle commence alors à la lécher puis la sucer mais celle ci reste toute molle à notre grand étonnement d’ailleurs. Elodie se relève et se tourne pou frotter son petit cul contre mon sexe qui à l’appel des dunes s’est réveillé. J’ai maintenant ma bite bien bandé entre ses deux fesses fermes et serrées, elle se baisse et se relève de manière d’une branlette espagnole mais avec son cul, c’est juste bon. Je la prend par les hanches et la retourne face à moi:
-Tu veux baiser ?
-Oui mais de la vraie baise peu importe les chichis.
-Tu l’auras voulu.
Je la prend alors et la couche sur le dos sur son lit, je la tiens par les poignets et ordonne:
-Laurete met toi sur son visage, tu vas en profiter aussi et toi fais la jouir sinon tu vas le regretter.
Elodie me fait un clin d’oeil cela semble lui plaire que je prenne les choses en mains, Laurete s’installe sur le visage d’Elodie qui commence son cuni. Je met le condom et pénètre doucement son minou bien humide déjà, mes va et vients sont lents mais réguliers, juste ce qu’il faut pour chauffer le moteur mais aussi pour l’exciter. Face à moi Laurete se tord de plaisir et se caresse ses beaux seins dont moi même tend le bras pour les palper, ils sont vraiment parfaits. J’accélère les mouvements mais aussi joue avec le clitoris d’Elodie dont les gémissements sont de plus en plus audible, je remarque des frissons qui la parcourent mais je ne change rien je veux qu’elle le dise. Les gémissements et cris de mes cousines se mêlent ce que j’adore, je la pénètre alors avec force, ses cris sont encore plus fort:
-Oui… Oui… Encore… Je viens, Je viens!
Voilà le moment, je m’arrête d’un coup de la pénétrer et me retire complètement, Laurete jouit alors avec des cris très forts devant moi en se pointant les tétons avec ses doigts. Elle me regarde droit dans les yeux et me sourit d’un regard apaisé, soulagé même, elle se pousse du visage d’Elodie qui me regarde avec colère et me dit:
-C’ était quoi ca ?? Pourquoi tu t’es arrêté ?
-JE décide si tu jouis ou non, JE décide si tu prends du plaisir ou non, compris ??
-OK mais moi je veux de la baise sèche, de la baise violente qui fait mal, c’est ce que j’aime.
-De la baise qui fait mal, tu es sure de toi ??
-Oui j’ai la chatte en feu là, prend moi comme tu veux mais prend moi.
-Très bien.
C’est parfait, j’ai un contrôle total maintenant, elle va regretter de m’avoir poussé aux limites de l’excitation, elle va connaître la baise violente ma vraie. Je la prend par les épaules et la retourne sur le ventre, je croise ses bras derrière son dos, je me met à genoux juste devant ses fesses si attirante. J’ordonne alors à Laurette de se masturber devant moi, ce qu’elle fait sans hésiter en me regardant dans les yeux; je commence alors à mettre des fessés à Elodie, bien appuyées mais avec un rythme lent. Après chaque claquements elle pousse un petit cri très excitant, ses fesses sont vraiment parfaites pour ca elles deviennent rouge assez vite mais je continue mes fessés en allant plus vite et en tapant plus fort. C’est maintenant de vrais cris de douleur mais cela m’excite encore plus et continue en tapant encore plus fort, elle se met alors à pleurer et me demande d’arrêter, ce que je fais sans rien dire. Je lui susurre à l’oreille:
-Ne t’inquiète pas j’ai mieux pour toi, cambre toi maintenant.
-Mais, mais…
Elle refuse mais je lui dis que ce n’est pas grave, je cale alors mon sexe entre ses fesses et commence un va et vient très lent, un frisson la parcourt. Je met alors le bout de mon sexe devant son petit trou serré et lui ordonne à nouveau de se cambrer, elle essaie de s’échapper mais je lui tiens fermement les bras, elle ne peut rien faire. Elle commence à pleurer en suppliant de ne pas faire ca, mais il est trop tard son petit cul arrogant va payer. Je la pénètre alors pas ce trou interdit très serré, j’ai du mal à passer mais force le chemin en appuyant, elle pousse alors un cri très fort de douleur, Laurete me regarde toujours en se mettant deux doigts et me fait le même signe d’approbation que m’avait fait Laurete à son sujet. Je pénètre alors le cul d’Elodie au maximum et débute les va et vients, elle essaye de partir mais elle ne peut pas bouger, j’aime ses fesses bien fermes, des fesses de salopes, je lui ordonne alors:
-Petite salope tu aimes ca hein ?
-Aie ! Oh oui c’est bon, insulte moi !-Tiens prend ca ma bitch.
Je commence à la redresser et la met à quatre pattes, je la ramone alors très fortement et ses cris sont très forts, c’est un mélange de douleur et de plaisir, c’est très jouissif. Je prend alors ses cheveux et défonce son trou du plus fort et rapide que je peux, ma bite me fait mal mais ce n’est pas grave. Pendant que je la pénètre j’en profite pour lui mettre de grosses fessés mais elle semble s’habituer à la douleur maintenant commence à gémir, je demande alors à Laurete de faire un 69 avec Elodie pendant que je lui baise le cul. Elle s’exécute et en quelques secondes les gémissements de mes deux soumises se font entendre. Elodie se met alors à crier:
-Oh oui ! Baise moi ! Encore, je viens, je viens.
Je donne alors encore quelques coups de reins dans son antre et elle lâche un cri du fond de son corps, je me retire alors lui laissant un trou beaucoup plus large. Elle se relève et m’embrasse enfin surtout me lèche la bouche et me dit:
-Ca c’est baiser baby, ce sera quand tu veux pour la prochaine comme ca.
-Ca me va.
-Euh… moi aussi je veux essayer.
Je la regarde d’une manière très douce comme ma petite sur, je ne veux pas lui imposer quoique ce soit, son hésitation montre bien qu’elle n’est pas sure d’elle. Je plonge alors dans ses yeux bleus océans qui pétillent mais elle me regarde avec déception je ne comprend pas pourquoi. Elle s’approche de moi, la poitrine bien en avant et se colle à moi; elle me prend la main et la colle contre ses fesses bien fermes que je n’ai jamais touché, elle me susurre alors à l’oreille:
-Tu ne veux pas ca ?? Rien que pour toi, rien que pour ta bite. Tu sens ma petite chatte toute trempée, elle est en feu et mon cul aussi.
C’est la première fois que je l’entend parler comme ca mais cela m’a redonné de la vivacité, je lui demande droit dans les yeux:
-Tu es sure de toi ?? Tu n’auras aucun échappatoire, si je commence je finis quoique tu fasses ou tu dises, ok ??
-Oui c’est compris.
Elodie me regarde avec envie comme si j’étais le dernier homme qu’elle voyait, elle s’assoit sur son pouf et se caresse doucement nous regardant tous les deux. Laurete m’embrasse sur le bout des lèvres et monte sur le lit à quatre pattes, elle a l’air d’une lionne avec ses cheveux blonds et sa peau doré. Je monte à mon tour et lui attrape le cul fermement, il est vraiment beau et me donne une envie folle de le gouter, je lui demande alors de baisser le haut de son corps mais les fesses en l’air. J’ai une vue imprenable sur son petit trou et sur sa chatte fraichement dépucelée, je commence à lécher ses lèvres déjà mouillée avec insistance, des gémissements ne tardent pas à se faire entendre.
Je décide donc de passer à quelque chose d’un peu osé, un annulingus, au moment où je pose ma langue sur son trou elle se retourne avec étonnement mais ne dit rien, Elodie quant à elle a l’air d’être plus excitée que jamais. Je commence alors mon léchage ce qui m’excite en tout point et décide aussi de la masturber avec ma main gauche, Laurette se met alors à crier et je sens alors son trou se dilater doucement. Je peux maintenant y rentrer le bout de ma langue, ma bite est surgonflée à la limite de la douleur, j’arrête alors de la lécher et pénètre ma bite doucement dans son petit cul. J’entends des petits gémissements de souffrance mais je continue quand même, elle était prévenue, j’arrive à la limite de mon sexe et commence les va et vients.
Je l’entends jurer de douleur mais ca m’excite plus qu’autre chose et décide d’augmenter la cadence, c’est toujours serré mais la sensation est vraiment extra. Je lui donne en même temps de grosses claques sur sa fesse droite et et lui palpe les seins avec ma main gauche, c’est assez grotesque comme position mais cela permet à Laurete d’arrêter ses cris de douleurs car mes va et vients sont beaucoup plus lents. J’arrête alors mes caresses et la pénètre avec force, mes mouvements sont rapides et cela la fait crier, des cris de salopes. J’augmente encore la cadence et contre toute attente je l’entend dire:
-Oh oui !! Vas y baise moi le cul !!
J’ai donc une cousine qui aime la sodomie, sa phrase m’a fait arrêter mes mouvements. Je me retire et elle me regarde avec colère et je lui dis:
-Met toi sur moi, c’est toi qui va mener.
Elle me regarde avec un sourire coquin, et s’empale donc le cul avec ma bite doucement, elle commence ses mouvements de bas en haut. Je la regarde mais elle a les yeux fermés, elle apprécie ce rythme, je la caresse doucement au niveau du clitoris ce qui lui fait pousser un petit cri. Elle accélère donc et ses seins se balancent légèrement étant bien fermes mais ils sont vraiment magnifiques avec les tétons qui pointent vers moi. La sensation est vraiment exquise mais le rythme est trop long à mon goût, je donne alors des coups de reins assez fort ce qui accentue ses gémissements très audible. Elodie pendant ce temps se rapproche doucement de moi et me dit:
-Fais moi un cuni et vite !
Elle se place alors sur mon visage, la chatte mouillée sur ma bouche et commence des mouvements de hanche pour son propre plaisir. Je suis à l’extase mais j’accentue encore plus mes coups de reins qui font crier Laurete, Elodie crie aussi, je décide alors d’introduire deux doigts dans le petit cul d’Elodie. Sa réaction ne se fait pas attendre elle crie d’un coup:
-Oh oui dans le cul ca fait du bien !!
Je commence alors des mouvements de va et vients rapides avec mes doigts pendant que je lèche Elodie et martèle le cul de Laurete, c’est vraiment royal. Cependant le plaisir dans le bas ventre arrive assez vite et je ne veux pas venir comme ca, non, je veux profiter de Laurete. Je pousse alors Elodie qui ne comprend pas, prend Laurete par les épaules et la couche sur le ventre, je la pénètre alors d’un coup sec et commence des va et vients très forts. Elle crie alors entre la douleur et le plaisir, je renforce encore mes pénétrations, je la défonce maintenant. Je lui attrape les cheveux et lui tirent en arrière, je la martèle tellement fort qu’elle en pleure et me supplie d’arrêter mais il est trop tard, rien ne peut m’empêcher de terminer.
Le sperme monte et je me retire alors son cul et retire le préservatif, je la retourne et commence une branlette espagnole avec ses seins. Son visage est ruisselant mais elle comprend et ouvre la bouche, néanmoins Elodie ne l’entend pas de cette oreille et me prend la bite dans sa bouche. Sa pipe est orgasmique, et je ne tarde pas à éjaculer dans sa bouche surement remplie de ma semence, elle me regarde et me fait un clin d’il pendant qu’elle s’assure de ne rien manquer des quelques gouttes qui restent. Laurete est allongée sur le lit apparemment épuisée, Elodie et moi allons la rejoindre sans un mot et on s’endort ainsi, nus et épuisés.
Le lendemain matin on se lève à 11h comme si rien ne s’était passé quelques heures auparavant, c’est le jour du départ, je suis triste de les quitter mais je sais qu’on sera lié à vie par les liens du sang et du sexe. A 14h passée c’est le moment de dire au revoir à tout le monde, je serre fermement la main de mon oncle et fait la bise au reste la famille, je me dirige alors vers mes cousines et les prend dans mes bras en leur jurant qu’on le refera. Je monte dans la voiture, et prend le volant, durant tout le trajet j’ai en tête la soirée d’hier soir et la nuit torride avec mes cousines. Maintenant je dois passer un nouveau cap, la fac.
Voilà c’est la fin de mon histoire j’espère qu’elle vous aura plu, je commencerai quand je le sentirais un nouveau récit avec pour base ce personnage principal pour avoir une base pour ne pas tout recommencer, il sera nettement plus long que celui-ci je peux vous le garantir.
Je vous remercie encore de vos commentaires.