Tout se déroula lors d’une soirée bien arrosée. Sabrina et moi étions invité chez une amie avec d’autres copains et copines. Le début de soirée fût comme de nombreuses soirées ou chacun discute avec les autres en buvant un cocktail. Moi je blaguais avec mes potes et Sabrina discutait avec d’autres personnes.
Vers 2h, tout le monde commençait à être fatigué et un ami lança le départ. Tout le monde se salua avant de quitter notre hôte. Mais c’est à ce moment que je maperçus que l’alcool avait fait son effet. Lorsque je me suis levé, j’ai trébuché et suis tombé dans les bras de Sabrina la tête la première. Tout le monde se marrait pendant que je me relevais péniblement. En voyant cela, l’amie nous proposa de nous héberger, ce que nous avons accepté immédiatement en la remerciant.
Lorsque tout le monde fut parti, nous nous affalâmes sur le canapé afin de dessaouler avant de se coucher. Pendant que l’on se repassaient la soirée en en discutant, l’amie proposa d’aller faire du thé. Et dès qu’elle fut partie à la cuisine, Sabrina commença à me caresser l’entrecuisse innocemment. Sur cette initiative, je lui enserra le cou et l’embrassa à pleine bouche. Nos langues dansaient dans un ballet effréné, l’excitation montait alors que Sabrina descendait ma braguette. Elle glissa sa main dans mon pantalon et trouva mon sexe en ébullition, elle commença à me masturber doucement pendant que je lui caressai les seins à travers son gilet. Soudain, le sifflement de la bouilloire nous ramena à la réalité et nous rappela que nous n’étions pas tous seul. Nous eûmes juste eu le temps de reprendre nos esprits lorsque notre amie rentra dans la pièce. Elle nous regarda soupçonneuse, puis dit en s’assaillant en face :
— Vous voulez du sucre ?
— Un, merci, répondis-je.
Sabrina fit non de la tête. Alors qu’elle nous servait j’entamai la discussion pour briser le silence.
— Je prendrais bien un bain après pour finir de me dessaouler.
— Avec plein de mousse, renchérit Sabrina rêveuse.
— Ca peut se faire si vous voulez. Mais vous ne tiendrez pas à deux dans ma baignoire.
Sabrina fit la moue en l’apprenant. L’amie et moi eûmes un petit rire en la voyant ainsi et je sentis un air malicieux dans ses yeux lorsqu’elle me regarda.
Lorsqu’on eut fini, il était déjà 3h moins le quart. L’amie proposa à Sabrina de lui montrer la salle de bain ainsi que la «chambre » où nous allions coucher. Elles montèrent à l’étage pendant que j’allais me fumer une clope dans le jardin.
Cinq minutes plus tard Sabrina n’était toujours pas revenue. Étonné je monte à mon tour, j’arrive dans le grand couloir qui servira de chambre. Personne en vue, jentends l’eau du bain qui coule dans la salle de bain à côté, je frappe à la porte de la chambre
« Entre », je m’exécute et je découvre notre amie dans un grand tee-shirt qui lui sert de pyjama
-Tu es très sexy comme ça, lui dis-je.
— Ton pantalon dit que tu ne mens pas, me répond elle en voyant une bosse qui commençait à apparaître.
Embarrassé je baisse les yeux, alors qu’elle s’approche et m’embrasse sur la joue.
— Ne soit pas si timide, me dit elle tout en me prenant les mains pour la poser sur ses hanches.
Je la regarde dans les yeux, des yeux bleu clair pétillant qui me dévore. Elle se penche pour m’embrasser mais je pense à ma copine à côté
. Elle me souffle :
— Si c’est à cause de Sabrina, je peux m’arranger pour faire un truc à trois.
Je reste bouche bée, mon rêve, faire l’amour avec deux filles. Mais je reprends mes esprits assez vite
— Elle ne voudra jamais..
— Peut-être mais je te paries qu’avec moi elle va bien vouloir, me dit elle avec ses yeux de biche.
— Et comment comptes- tu t’y prendre ?
— Ca c’est un secret, allez embrasse-moi maintenant.
Ne pouvant plus tenir après ces propos, je l’embrasse fougueusement en lui caressant les fesses. Elle me dé-zippe, sort mon sexe de son antre et commence à me masturber. De mon côté je glisse ma main sous son string et caresse ses pétales humides d’envie. Je sens sous mes doigts que son petit duvet est taillé en une longue bande, je trouve son bouton d’amour que je titille. Elle gémis doucement sous mes caresses tout en accélérant son va et viens de sa main.
— Il faut que j’aille voir Sabrina maintenant.
Déçu qu’elle s’arrête mais impatient de voir le résultat je la regarde m’interrogeant de la manière dont elle va s’ y prendre. Ayant mal compris mon regard elle lance :
-Oh ! Excuse moi.
Et s’agenouille devant moi et engloutit mon sexe d’un coup. Puis après deux trois coup de langue experte elle se lèche les doigt gluant de mon sperme puis me reboutonne en disant :
— voila tu es tout propre maintenant.
Puis elle part de la chambre en s’enfilant un chewing-gum en me lançant : « c’est mieux si je sens pas ta semence ».
Curieux je lui emboîte le pas.
Elle entre dans la salle de bain, puis referme la porte derrière elle. De mon côté je m’approche de la porte et colle mon oreille à celle-ci.
— Excuse moi, j’ai oublié de prendre ma crème après solaire, dit notre amie
— Fais comme chez toi, répond Sabrina riant de gène.
J’imaginais très bien la scène, ma copine enfoncé dans la mousse pour ne rien montrer, rouge de honte et ne savant plus où se mettre. Pour m’en assurer je m’accroupis pour regarder par la serrure. Mon imagination, ou plus exactement mon intuition était plutôt bonne : .
— Ne soit pas si gêné, je suis faite comme toi tu sais. En plus je suis sûre que tu as de très jolis seins.
— Heu
— Tu es si pudique que ça ?
— Non, mais
— Ok, j’arrête. .
— Peux tu m’étaler de la crème sur le dos s’il te plaît ?
— Oui, bien sûr.
Subjugué je contemple la scène tous en la félicitant mentalement du renversement de situation, mais rien n’était encore joué. L’amie tendit le tube de crème à Sabrina, puis se mit dos à elle. Mais au lieu de soulever son tee-shirt dans le dos, elle l’enleva entièrement. Sabrina n’eut pas l’aire étonnée et commença à la masser doucement. Maintenant elle était redressé et je pouvais admirer les deux paires de seins. La vue de ce massage sensuel entre les deux filles raviva de plus belle mon envie.
Lorsque Sabrina eut fini d’étaler la crème ,l’amie se retourna vers elle et la regarda en disant :
— tu en aurais aussi besoin, tu sais ?
— bonne idée,
L’amie remit sa chemise de nuit elle fit mine de trébucher et se laissa tomber dans le bain. Sabrina la rattrapa temps bien que mal et elles se retrouvèrent l’une sur l’autre. Le tee-shirt trempé était devenu transparent et fit ressortir sa poitrine.
. Elles se mirent à rirent au éclat puis
-je crois que je vais prendre un bain aussi, ça ne te dérange pas ?
-Bah maintenant c’est fait,.
Sabrina était allongée dans la baignoire
Après quelques instants Sabrina se reprit et dis :
-Je vais te laisser, tu auras plus de place
Elle se leva et se trouva à la même hauteur. Comme elle était juste à la même hauteur des seins, l’amie dit :
-Je savais bien que tu avais de très beaux seins !
Et avant qu’elle ne puisse dire quoique ce soit elle renchérit :
-Ils sont si beaux, ils ont l’air si ferme et doux à la fois, je peux les toucher ?
-Je veux juste les toucher, si tu veux tu peux caresser les miens.
Après un moment d’hésitation Sabrina se retourna
-D’accord !
Sabrina me rejoignit dans la chambre que j’avais rejointe pour faire mine de m’endormir.
Je fit semblant de me réveiller et demanda :
-Ca fait longtemps que je dors ?
-Peut être un quart d’heure, me répondit-elle.
-Tu as l’air bizarre, ça va ?
-Ca doit être l’alcool, tu viens ? J’ai envie de dormir.
Mais, l’amie vient dans notre chambre en peignoir et dit
-Tu as oublié la crème, elle lui fit un clin d’il en lui tendant le tube.
-Merci, j’en ai bien besoin.
Elle me tendit le tube de crème et s’allongea sur le lit. Je lui soulevai le tee-shirt et commençai mon massage. Sabrina avait fermé les yeux et je voyais bien qu’elle apprécié mes caresses. Je continuais mon massage du dos puis sur la nuque puis je descendais vers ses fesses. Aucune protestation, apparemment elle aimait ça. Je remontais sur le dos pour ne pas la réveiller de son extase puis, voyant que l’amie restait là à nous regarder , je lui fis un clin d’il en enlevant le tee-shirt de ma belle. Toujours aucune réaction. Je continue mon massage sensuel commençant à caresser ses seins. Là, bien sûr, elle tressaillit et me fait comprendre d’un petit coup d’arrêter de la titiller par là. Je me remet docilement à la masser doucement dans le dos et repart vers ses fesses. Bien qu’elle porte toujours son pantalon j’arrive à me glisser et à lui caresser les fesses. Quelques minutes plus tard l’amie me propose de me faire un massage. Jacquiesce tout de suite, et m’aide à enlever ma chemise. Maintenant torse nu, toujours à cheval sur les cuisses de ma copine, l’amie se glisse derrière mon dos et entame un massage très sensuel. De mon côté je ne reste pas inactif et continu de masser ma tendre. l’amie commence à m’embrasser la nuque doucement, puis glisse une de ses mains dans mon pantalon pour attraper l’objet de ses désirs. Gêné je lui fit signe d’arrêter mais cela n’a pas l’air de l’ennuyer. Ma queue commence à grandir dangereusement,
— On inverse les rôles ? Sabrina tu prends ma place et comme ça tu auras le droit à un massage.
-D’accord !
Sabrina n’a pas trop l’air d’être d’accord mais elle n’a pas le choix, L’amie est déjà installée sur ses cuisses ce qui l’immobilise. Moi je suis derrière et enduit mes mains de crème. L’amie fait tomber son peignoir sur ses jambes et commence à masser le dos de Sabrina. Elles sont très sensuelles comme ça, ce qui termine de dresser ma bite. Sabrina commence à se décrisper au bout de quelques instants et replonge dans ses nuages. Moi de mon côté je ne reste pas inactif, après avoir étaler la crème sur le dos de ma nouvelle cliente, je commence à lui caresser les seins en m’attardant longuement sur ses tétons.
-Je crois qu’elle s’est endormie, continue s’il te plait et je te promet que je la fais craquer dans peu de temps.
-Tu es folle, elle dort, c’est plus possible maintenant.
-Tu verras bien !
L’amie se retourne, je redirige mes mains sur ses gros mamelons et commence à les masser doucement, ses pointes sont érigées comme des piques. Elle recommence à soupirer, je l’embrasse dans le cou et lui lèche le lobe de l’oreille, son souffle s’accélère. Mes mains la caresse de plus en plus vite à cause de mon excitation, maintenant je bande comme un âne à l’idée de faire jouir
-Maintenant admire une pro et prépare toi à vivre la nuit la plus torride de ta vie.
Sur ce, elle se retourne de nouveau vers sa proie et commence à lui caresser les seins. Au bout d’un certain temps Sabrina se réveille mais ne sachant pas à qui les mains appartenaient elle se laissa faire.
Je déboutonnai le pantalon de ma copine pour la laisser en string. Je m’agenouillai au sol et lui écartai les jambes, ma tête était juste à quelques centimètres de son string, d’une main je l’écartai et enfouit ma tête entre ses cuisses. Quelle délicieuse odeur, ma langue commença à léchouiller ses lèvres puis à titiller son petit clito. Après quelques coups de langue. Sabrina, bien qu’elle refusait toujours les baisers de Sabrina, elle se laissait embrasser dans le cou.
Je continuai à lui lécher son mont de vénus, m’attardant sur son clito grandissant. L’odeur de sa cyprine m’excita encore plus. J’introduisis un doigt dans son petit trou, son vagin était tout trempé. Sabrina s’était complètement lâchée, elle poussait de petit gémissement de plaisir, je sentais qu’elle allait bientôt jouir. J’accélérais le rythme de mes va et viens de mon index et de mes coups de langues.
De mon côté je ne restait pas inactif j’approchai mon sexe près du sien et commençai à la caresser avec. Elle se mit à soupirer ressentant une vague de chaleur l’envahir de nouveau. Je l’embrassai amoureusement et me rendit mon baiser. Puis d’un coup je la pénétrai jusqu’au fond de ses entrailles, elle poussa une petit cri de plaisir et je commença à coulisser en elle doucement. Son vagin était bouillant et humide de son bonheur et de ma salive. L’amie s’approcha de moi et m’embrassa fougueusement
L’amie était encore chaude comme la braise. Elle descendit le corps de mon aimée en l’embrassant, en faisant des pauses sur ses seins et sur son nombril. Elle était déchaînée.Sabrina se tordait dans tout les sens, je l’embrassais et vient me placer derrière la croupe de l’amie si généreusement offerte. Je glissai ma main vers sa fente pour vérifier bêtement si elle était lubrifiée, son minou ruisselait d’envie. Je la pris en levrette sans aucune difficulté. La vue qui m’était offerte était splendide.
Je commençais à accélérer de plus en plus, nos cris étaient de plus en plus forts, nous étions déchaînés.
Nous nous allongeâmes tous trois en s’enchevêtrant. On s’embrassa un long moment tous les trois. Et c’est encore cette coquine qui après s’être lavé l’entre jambe dans le salle de bain, nous sorti de notre langueur. Elle se faufila entre mes jambes et commença à jouer avec mon sexe tout mou. Elle essayait de me masturber d’une main en me caressant les bourses de l’autre. Voyant que cela ne me faisait aucun effet elle dit :
-Tu vas voir si je n’arrive pas à te revigorer, me défia-elle.
-Tu veux de l’aide ? Lui demanda Sabrina.
-Je crois qu’on ne sera pas trop à deux..
Cette sensation de chaleur me réveilla un peu. Elle me suçait le gland, aspirant doucement et le lapant de sa langue experte. Sabrina maintenant à ses côtés lui arracha mon sexe de la bouche et commença à me prodiguer des soins tout aussi agréables. Elle me donna de petits coups de langue sur le gland jusqu’à ce que je retrouve ma forme puis engloutit mon sexe jusqu’à avoir le nez dans mes poils. Elle fit deux trois allez retour puis embrassa Sabrina, elles se rapprochèrent de ma hampe et s’embrassèrent de nouveau avec mon sexe entre leur bouche. L’effet était jouissif, je bandais comme un taureau, dès que des gouttes de sperme s’échappaient, elles se battaient pour l’attraper. Puis Sabrina m’empoigna et m’avala, elle me suçait avec habileté tout en me masturbant doucement. L’amie vient s’accroupir juste au-dessus de moi m’offrant sa fente. Ne me faisant pas prier, je commençai à lui lécher tout son petit minou. Je jouais avec ses grandes lèvres puis avec son clito, d’une main je titillai son trou d’amour que je ne tardai pas à pénétrer d’un doigt puis de deux. Nos soupirs reprirent de plus en plus saccadés. Sabrina me suçait hardiment tout en se caressant le minou.. Elle me chevaucha d’un coup, tout en montant et descendant le long de ma lance elle continuait à se masturber.
— Alors tes impressions ?
-Génial, je crois que jaime ça.
Après ce traitement et cette séance intense, nous nous écroulâmes sur le lit épuisé. Sabrina eut le courage de ramener une couverture et nous nous sommes endormis.