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Mes charmantes voisines – Chapitre 4

Mes charmantes voisines - Chapitre 4



Nous reprîmes chacun nos activités, à un moment alors que je relevais la tête et la cherchais du regard je la vis penchée sur un muret entrain de nettoyer les jardinières qui étaient posées dessus, elle était penchée en avant et dans cette position sa blouse remontait très haut sur ses cuisses, je me remis à bander immédiatement, je décidais de tenter quelque chose, tant pis si je prenais une baffe.

Je me relevais et mapprochais delle sans bruit, elle était très occupée et ne mentendit pas, arriver derrière elle, je sortis mon sexe, puis rapidement, je soulevais sa blouse, mettant son cul à lair, je posais mon gland sur sa fente et, avant quelle ne réagisse, je la pénétrais dun coup, elle tenta de se redresser, mais jappuyais mes mains sur ses épaules et commençais à la limer, elle était encore trempée et alors quelle disait « non, pas ça, tu es trop jeune », je donnais un second coup de reins qui me propulsa au fond de sa chatte, elle posa alors ses mains sur le muret et gémit de plaisir, puis elle reprit « il ne faut pas, ce nest pas bien, arrêtes », et dans un second temps, elle donnait un coup de reins pour sempaler sur ma queue, je me penchais un peu en avant et lui demandais doucement « tu veux vraiment que jarrête maintenant ? », elle gémit un « non » et se tut alors que jaccélérais la cadence de mes coups de reins, le seul bruit que lon entendait était le floc-floc obscène que faisait ma bite à chaque fois que je me retirais et que je menfonçais dans sa chatte. La petite séance qui avait précédé, mavait déjà bien excité, je donnais de grands coups de reins, me propulsant à chaque fois au fond de sa chatte, Val jouit en gémissant longuement, je continuais à la baiser mais je ne pus me retenir longtemps, je me vidais au fond delle, ce qui provoqua à nouvel orgasme chez elle.

Je me retirais, Val resta quelques minutes dans la position où elle était, puis se redressa, se retourna pour me faire face et dit en souriant « tu sais que ce que tu viens de faire sappel un viol ? » Subitement, je nen menais pas large, mais je lui répondis quand même « ben, je ne tai pas entendu appeler au secours », elle éclata de rire, me caressa la joue affectueusement, puis se pencha et membrassa, tendrement sur les lèvres, quand ce baiser se termina, elle me sourit et dit « jadore ta façon de venir maider, mais je sais maintenant que ce nest pas la première fois avec une femme, et donc je nai pas de raison de me priver, même si je reste persuadé que ce nest pas bien, vu notre différence dâge, tu as commencé à quel âge ? », je lui répondis que javais 13 ans ½ la première fois, et que je me foutais de la différence dâge quil y avait entre nous, elle sourit et dit « ce nest pas bien, ce que nous avons fait, la différence dâge et aussi le fait que connaisse très bien ta maman, tu vas rentrer et y réfléchir, tout comme moi dailleurs, et si tu veux toujours maider, reviens la semaine prochaine et dici là, jaurais les idées plus claires sur tout ça », un peu déçu, je me rhabillais et rentrais chez moi.

Toute la semaine je pensais à Valentina et systématiquement, à chaque fois, je bandais, aussi lorsque vint le samedi suivant, et alors que je savais que je voyais Martine laprès-midi, cest un peu gêné que jallais chez Valentina.

Lorsque jarrivais, elle ne fit aucune allusion à ce quil sétait passé, elle membrassa sur les joues comme dhabitude et me dit « vas sous la tonnelle, jarrive, on va boire un café avant de commencer, je tai préparé un chocolat froid pour toi », jallais masseoir sur le banc en me demandant ce que Valentina avait décidé. Quand elle me rejoignit avec le plateau de boissons, je remarquais seulement à ce moment là quelle portait une blouse qui avait lair toute neuve, un peu plus courte que celle de la semaine précédente, ce qui me laissais tous loisirs de regarder ses cuisses nues et je ne men privais pas, évidemment, une érection commença à poindre dans mon short, Valentina sassit et me dit « tu sais mon chéri, jai beaucoup réfléchis à ce quil sest passé la semaine dernière et même si je ne suis pas la première, je trouve que ce que nous avons fait nest pas bien, jai beaucoup aimé, cest sur, mais quand même, pour les motifs que je tai déjà donné, je préfèrerais que ça sarrête là », tout en parlant elle bougeait ses cuisses et les écartait doucement, si bien quà la fin de sa phrase, javais une vue directe sur son entrejambe et je pus constater, quelle ne portait pas de culotte, je fixais cette forêt de poils quelle offrait à mon regard et me dis que ses paroles ne reflétaient pas ses envies, mais que je devais y faire attention, si je voulais profiter encore de cette chatte qui était si agréable à investir.

Valentina se leva et me dit « allez, nous avons du travail, tu vas me préparer un nouveau morceau de terrain et après on verra, moi je vais moccuper de mes jardinières ».

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