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Mes débuts de coquin – Chapitre 1

Mes débuts de coquin - Chapitre 1



Mes débuts de coquin

Pour commencer, je vais me présenter un peu : jai 52 ans je suis en couple, jai redécouvert lamour et la complicité avec une femme plus jeune que moi, il y 5 ans. Ensemble nous avons redécouvert le plaisir de faire lamour à limproviste de partager nos envies nos désirs.

Cette première histoire, se passe peu de temps après mon embauche dans la société où je travaille depuis bientôt 30 ans. Cette société fournit des logements à ses employés sous forme de maisons mitoyennes.

Jarrivai donc dans ce logement alors que javais 23 ans, loin de ma famille et de mes anciens amis.

Jétais un jeune homme un peu refermé sur lui-même, timide, réservé, javais gardé le physique que javais acquis au cours de mon service militaire : ventre plat, des abdos fermes. Mais surtout jétais un puceau de 23 ans nayant connu que le partage de caresses timides avec des jeunes femmes de mon âge.

Même si je ressentais une attirance pour des femmes, je nosais presque jamais les aborder leur faire la cour, par contre lenvie était en moi, il marrivait de les déshabiller du regard, de plonger mon regard dans un décolleté suggestif, de remonter le long de jambes dévoilées par une jupe ou une robe.

Voilà donc lhomme que jétais à lépoque où je suis arrivé dans ce logement, puceau mais plein désir.

Dans lautre partie mitoyenne de la maison logeait un couple dune quarantaine dannées avec leurs deux filles de mon âge, le mari tout comme moi travaillait de 3 x 8.

Au début de mon emménagement 2 mois avant, je leur adressais tout juste la parole, bourru et timide comme jétais.

Au début de lété 1985, nayant pas le matériel nécessaire, je suis allé sonner à leur porte pour emprunter pioche, pelle et râteau car je voulais aménager la cour de mon logement.

Je me présente donc à leur porte en short et débardeur, et la porte sest ouverte sur ma voisine. Pour moi le temps sest figé dun seul coup. Javais en face de moi une femme de 40 ans blonde la poitrine avantageuse elle portait une robe à fleurs croisée sur le devant, ce qui lui faisait un ravissant décolleté.

Comme je ne disais pas un mot, elle me dit : "Tiens notre nouveau voisin, vous vous cachiez dans votre tanière? Si vous veniez voir Claude mon mari, désolé il dort encore il est de nuit pour la semaine. Alors que désirez-vous jeune homme?"

"Euh oui bonjour madame, je me présente je suis Serge T. votre voisin. J’aurais besoin de matériel car j’ai décidé d’aménager un peu ma cour et comme je suis de repos j’ai décidé de m’y mettre. Peut-être pourriez-vous vous occupez de moi en me prêtant les outils de votre mari?" Tout en lui répondant et sans pouvoir me contrôler mon regard lorgnait souvent dans décolleté.

Avec un petit sourire elle me répond "Enchantée Serge, moi c’est Justine. Mais bien sûr entre voisins il faut se rendre service. Suivez-moi ses outils sont rangés dans son cabanon au fond de la cour" Elle passe donc tout près de moi en descendant les trois marches d’escaliers, je peux sentir son parfum qui me mets en émoi.

Je la suis donc pour rejoindre le cabanon éloigné d’une vingtaine de mètres, après avoir lorgné son décolleté mon regard se bloque sur ses jambes puis sur ses fesses, surtout lorsqu’elle laisse tomber le trousseau de clefs permettant d’ouvrir la porte. Sa robe remonte sur ses jambes et moule son postérieur ravissant et attirant.

Je la rejoins alors qu’elle s’est arrêtée sur le pas de porte, elle me dit "allez donc vous servir vous-même je ne veux pas entrer e risquer de salir cette robe toute neuve que je me suis achetée hier à Dijon" Pour pénétrer à la recherche des outils, je suis obligé de passer tout contre elle mon bras droit lui frôle la hanche. Après avoir fouillé un peu, je trouve enfin les outils, je me retourne pour sortir et là je la vois debout à l’entrée du cabanon le soleil dans le dos, cela me permet de deviner ses jambes à travers le tissu de sa robe et malgré moi je la déshabille du regard ne pouvant résister à la tentation qu’elle représente pour moi. Elle ne peut ignorer la manière dont je la matte. Elle me fait sortir de ce rêve éveillé en m’adressant la parole: "Vous avez trouvé votre bonheur Serge?" "Oui Justine, pas de souci je vais pouvoir me débrouiller avec ce que je viens de voir et de trouver"

Alors que je passe vers elle, elle me glisse "Vous n’aurez qu’à les ramener quand vous aurez terminé, cela sera toujours un plaisir de vous revoir, et je pense que pour vous aussi non?"

"Oh mais tout à fait Justine, je ne resterai plus aussi longtemps sans venir vous voir, vous semblez avoir plein de choses qui m’intéresse beaucoup"

Elle ajoute "Si cela vous tente cet après-midi je compte bien profiter de notre petite piscine installée un peu à l’abri des regards, cela vous ferait du bien après avoir travaillé dur dans votre cour"

Ma seule réponse (sans réfléchir) est: "Cela sera avec un grand plaisir que je viendrai vous voir Justine une fois que j’aurai pris une bonne douche, mais que dira votre mari?"

"Rien, me dit-elle en posant sa main sur la mienne, car mes filles doivent partir avec lui faire des courses à Besançon, donc ne vous gênerez pas du tout du tout"

Je rentre donc chez moi tout retourné et émoustillé par cette rencontre plutôt inattendue avec ma charmante voisine. Je dois avouer que tout en travaillant dans ma cour je ne faisais que penser à elle, à ses courbes à ces contacts légers que j’ai eu avec elle. Vers 15 h, ne faisant que penser à sa proposition de baignade, je décide d’arrêter de travailler, après avoir pris ma douche et je monte à ma chambre pour récupérer un boxer short pour la rejoindre dans sa piscine. En passant près de ma fenêtre je jette un il discret dehors et je l’aperçois dans sa piscine vêtue d’un maillot deux pièces jaune. Cela me donne encore plus de la revoir de plus près. J’enfile un débardeur et je redescends pour très vite rejoindre cette femme qui m’envoûte

En entrant dans la cour de mes voisins je constate que leur voiture n’est pas là ce qui confirme le départ de son mari et de ses filles.

Je l’appelle "Justine c’est Serge je peux venir?"

"Mais bien sûr Serge, viens l’eau est bonne, je ne vais pas te manger" répond-elle rapidement

Je me dirige vers la piscine en me disant tiens elle me tutoie c’est bon signe.

Me voilà au bord de la piscine, je la regarde avec envie debout dans l’eau le niveau lui arrivant juste sous le haut de son maillot. La seule chose que je trouve à lui dire est "Hum je sens que cela va me faire du bien de faire trempette avec vous Justine"

Elle rigole et répond "ben enlève ton débardeur et dépêche-toi de me rejoindre, et surtout à partir de maintenant tu me tutoies ok"

Alors que j’entre dans l’eau elle m’éclabousse en riant, de surprise je glisse sur le liner et je m’écroule en retombant tout contre elle, ma tête juste au niveau de sa poitrine moulée avec un peu de mal dans son haut jaune assez transparent qui laisse deviner les aréoles sombres de ses seins.

Je me redresse en posant ma main droite sur sa hanche gauche que je laisse un peu plus longtemps que nécessaire, mais elle ne dit rien me fait juste un petit sourire.

"Humm tu as raison Justine cela fait du bien, de faire trempette, encore plus quand je me retrouve avec une si jolie femme"

"Tu es sûr que tu ne préférerais pas te baigner avec mes filles, elles ont ton âge, je suis un peu vieille non?"

"Ben non Justine tu n’es pas vieille du tout, et en plus tu es très belle, séduisante"

"Arrête tu vas me faire rougir. Et si on nageait un peu cela t’évitera de dire des bêtises"

En prenant appui sur le bord du bassin, elle s’élance en nageant la brasse, je démarre derrière elle en nageant sous l’eau. J’en profite pour regarder les mouvements de ses jambes, à chacune de leur ouverture je regarde son sexe épousé par le bas de son maillot, en fixant bien je devine même la forme de ses lèvres intimes. Je sens immédiatement mon sexe qui durcit dans mon boxer short.

Nous faisons ainsi quelques longueurs, elle doit bien deviner mon manège mais pas une fois elle ne me fait une remarque.

Au bout d’un moment elle s’arrête le dos contre le mur du bassin, pose ses bras en appui dans la rigole d’évacuation d’eau ce qui fait encore plus ressortir les formes généreuses de sa poitrine. Je reviens dans sa direction en gardant la tête juste à hauteur de la surface, je fixe ses seins puis je m’arrête à peine à 10 cm d’elle.

C’est à ce moment-là qu’elle me dit: "A voir ton regard Serge, je crois bien que tu as très envie de les toucher non? Et moi j’ai très envie de me sentir désirée par un homme, tu sais Claude mon mari a tendance à me délaisser beaucoup ces temps-ci. Alors pourquoi on en profiterait pas tous les deux maintenant?"

Je lui réponds avec hésitation "Tu sais Justine je suis vierge mais j’ai trop envie de toi de ton corps"

Je pose mes mains sur ses hanches sous l’eau, j’approche ma tête de sa poitrine, je pose mes lèvres sur ses tétons qui tendent le tissu de son haut, et je les aspire passant de son sein droit au gauche. Pour moi le temps n’existe plus ma timidité s’est envolée pour laisser place au désir que m’inspire cette femme.

Je l’entends soupirer et me dire "Humm continue petit coquin rends moi à nouveau femme" et là dans un premier temps elle dégrafe le haut de son maillot, le jette sur le bord du bassin et me tends sa poitrine alors qu’elle glisse une main sous l’eau en direction de mon boxer et de la bosse qu’y fait mon sexe tendu à l’extrême. "Ben dis donc je t’en fais de l’effet mon coquin"

Elle masse mon sexe alors que je lèche j’aspire ses têtons libérés du tissu, je caresse ses seins avec ma main gauche et ma main droite se glisse sous l’eau caresse sa hanche sa jambe et lentement je remonte à l’intérieur de sa cuisse.

Elle desserre la ceinture de mon boxer puis le fait descendre sur mes cuisses. Elle prend mon sexe à pleine main et le caresse lentement, le plaisir est augmenté par ce contact conjugué de l’eau et de ses doigts.

Moi je ne reste pas inactif, tout en mordillant ses tétons, j’écarte le bas de son maillot et je passe mes doigts à l’intérieur là je sens son sexe dépourvu de tout poil.

Elle avance son ventre à la rencontre de ma main me disant "Débarrasse moi de mon maillot tu pourras mieux me caresser", j’en ai trop envie et qu’est-ce que j’aime qu’on bande comme cela pour moi c’est trop bon"

Ni une ni deux je fais glisser son maillot sur ses hanches puis sur ses jambes, avec tous les films porno que je matte sur Canal, même en étant puceau je pense savoir comme lui donner du plaisir.

Je repose ma main à plat sur sa fente, je la caresse lentement insinuant un doigt entre ses lèvres intimes, Je découvre le bonheur de partager le désir d’une femme (qui plus est une femme coquine d’expérience)

Elle se frotte à moi, sa main va et vient le long de mon sexe me rendant dingue de plaisir, je lui dis "Vas-y doucement tu vas finir par me faire jouir" Au contraire elle accélère puis caresse mes bourses remontées un maximum, je sens la sève monter en moi alors j’enfonce un doigt dans son sexe et le fait aller et venir.

Je sens que cette femme prend autant de plaisir que moi à ses caresses.

Alors qu’elle fait le tour de mon gland avec ses doigts elle caresse mon méat, et là malheur je ne peux plus retenir ma jouissance et j’éjacule à grands jets. En même temps j’enfonce deux doigts dans son ventre et les replie en crochet ce qui déclenche également sa jouissance.

Nous nous embrassons à pleine bouche puis nous reprenons lentement nos esprits, tout en restant l’un à côté de l’autre.

Au bout d’un temps indéfini elle me glisse à l’oreille "Ben mon coquin pour un puceau tu te débrouilles pas mal, j’ai hâte de recommencer cela avec toi, je sens que je vais t’apprendre plein de belles choses, mais je crois que pour aujourd’hui tu devrais rentrer chez toi car Claude et les filles vont bientôt rentrer et cela ferait désordre s’ils nous trouvaient dans cette tenue dans la piscine. Allez file petit voyou"

Je l’embrasse une dernière fois à pleine bouche et je rentre chez moi prêt à de nouvelles découvertes avec cette voisine décidément très désirable.

(A suivre)

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