Lors de nos dernières vacances dété, un jeudi après-midi, mes deux surs et moi étions seuls à la maison, puisque nous sommes encore étudiants ; mes parents quant à eux travaillaient. Je me rappelle très bien : jétais dans ma chambre, sur mon ordinateur, parcourant mon Facebook. Natalie et Kayla toquèrent timidement à ma porte.
Natalie est la plus âgée des deux, cest une jolie brune de 19 ans, de 2 ans ma cadette. Je nai jamais su sa taille exacte, mais elle doit faire environ 1m70 pour 55 kg. Friande de bancs solaires, elle a souvent le teint hâlé et possède un sourire qui ferait craquer plus dun homme.
Puis il y a la Kayla, 18 ans, qui est venue au monde quand mes parents sy attendaient le moins. Cest une petite blonde dà peine 1m55, pleine dénergie et dextravagance et dotée dune superbe poitrine à en rendre mon autre sur jalouse.
Que les deux soient là en même temps métait déjà fort suspect, mais jétais loin de deviner quel était leur projet.
« – Quest-ce quil y a ? leur demandai-je.
— On peut entrer, on te dérange pas ? »
Leur précaution était bizarre, elles se sont installées toutes les deux sur mon lit et je me suis retourné vers elles.
« – Voilà, commença Natalie sans finir sa phrase, euh En fait, on aimerait bien si ça te dit aussi, on voudrait
— On a envie de te sucer ! lança Kayla, en interrompant ma sur, allant droit au but.
— Quoi ? mexclamai-je, pensant avoir mal compris. »
Un peu décontenancée, Natalie devait bien lavouer tôt ou tard.
« – Tu as bien entendu, fit-elle.
— Vous êtes pas bien ? leur dis-je en mapprêtant à retourner sur mon ordinateur, pensant quil sagissait dune blague de mauvais goût. Mais comme leur silence continuait, jenchainai : vous êtes sérieuse ? »
Elles hochèrent de la tête, Natalie devenait rouge alors que Kayla avait le sourire aux lèvres.
Linceste jusqualors ne mavait jamais vraiment attiré. Bien sûr avoir deux très jolies surs mavait déjà posé quelques ennuis, mais je ne métais jamais vraiment intéressé à elles, je ne les voyais pas de cet il-là. Mais cet après-midi-là, on me proposait une fellation, une double fellation même, et en tant que simple mortel au sang chaud, je nai pas vraiment pu résister.
« – Vous êtes pas sérieuses. Vous me dites que si je sors ma queue, là, maintenant, vous me sucez toutes les deux ?
— Si tu ne le fais pas, cest nous qui allons la sortir pour toi, me dit Kayla. »
Je ne sais pas si cest lexcitation du moment ou le fait dentendre ma plus petite sur parlait comme jamais elle ne mavait parlé, de sa voix douce, mais le sang me montait. Aussi bien au cerveau que dans le pantalon.
Je fis mine dy réfléchir une seconde, mais cétait déjà tout décidé, je leur ai alors dit que cétait ok, pensant quelles allaient se dérober. Je me suis redressé sur mon siège, Natalie sest levée pour déposer son téléphone portable sur mon bureau, Kayla, elle, est directement venue sagenouiller entre mes jambes. Jallai pour enlever mon jogging quand cette dernière me dit avec un sourire en coin quelle allait le faire elle-même, je lai alors juste aidé en soulevant mon bassin, cétait très érotique de voir ma sur me déshabiller.
« – Wouah, dit-elle, tu nas pas menti, Nat, il en a une belle, commenta-t-elle à propos de mon sexe a moitié en érection. »
Elle se mordit la lèvre inférieure et me mit directement en bouche. Cétait si étrange de me dire que la petite bouche chaude et humide qui mentourait alors la bite était celle de ma petite sur. Pendant que je me faisais sucer, mon autre sur est venue sagenouiller à côté de moi, posant sa main sur laccoudoir de ma chaise. Tout en regardant Kayla faire ses vas-et-viens, elle me dit :
« – Tu te rappelles la fois où on est allés à la piscine et tu navais pas serré ton maillot assez fort ?
— Oui, je me rappelle, javais plongé et il sétait défait, tavais tout vu.
— Oui et depuis ce jour-là jai toujours eu envie de te sucer. Et il y a quelques mois dans une de nos discussions sur le sexe justement, je lai avoué à Kayla et depuis, on a pensé à quune chose, cétait ce moment.
— Alors vas-y, lui dis-je : suce-moi. »
Elle prit place devant, aux côtés de sa sur, qui lui tendait ma bite avec sa petite main douce aux ongles vernis de rose et je passais alors dune bouche chaude à une autre, lâchant un soupire au premier contact de sa langue qui se tournait déjà autour de mon gland. Kayla me jeta un regard, pour voir si cela me plaisait et me sourit. Elle vint ensuite poser sa langue sur mon membre et le longea tandis que Natalie soccupait du haut. Puis elles échangèrent, sauf que Natalie alla cette fois bien en bas, prendre soin de mes bijoux de famille.
« – Vous êtes folles ! leur dis-je. Elles gloussèrent en même temps.
— On peut arrêter là si tu veux, répliqua Nat pour me taquiner.
— Surtout pas, fis-je entre deux gémissements. »
Elles étaient là, toutes deux si jolies, toutes deux si attentionnées à me faire du bien : elles me léchaient, suçaient, embrassaient le sexe. Je dus me concentrer plusieurs fois pour ne pas jouir.
Durant ce chaud après-midi dété, la maison était silencieuse, seule ma chambre était parcourue de soupirs et de gémissements. Jadorais voir mes surs sappliquer à la tâche : elles étaient si sexy quand elles relevaient leurs cheveux de temps à autre ou quand elles me regardaient droit dans les yeux. À un moment, Kayla attendait patiemment son tour pour le haut de ma queue mais Natalie navait pas lair davoir envie darrêter. Ma petite sur blonde dut attraper mon sexe, le sortir de la bouche de sa sur pour le mettre dans la sienne.
« – Partage un peu !
— Hé là, pas de dispute les enfants où on arrête là, les taquinais-je à mon tour. Elles en rirent.
— Pas ma faute si ta bite est trop bonne !
— Allez-y à deux en même temps alors, suggérais-je. »
Elles se sont alors mises à lécher et suçait chacune la moitié de mon gland ; jétais au bord de lextase, les portes du paradis souvraient à moi, je pouvais sentir leurs lèvres racler les bords de mon nud, et je bandais dautant plus quand jai vu leurs langues sentremêler et leurs lèvres cogner. Le regard sexy que me jeta Kayla aurait pu me faire jouir à lui seul, je pus lire dans ses yeux dun brun profond quelle adorait mon sexe. Dans un geste pacificateur, cette dernière tendit mon sexe vers la bouche de sa grande sur, puis sabaissa pour soccuper de mes couilles. Tous ces coups de langues : jétais aux anges ! Pendant quelle me gobait les bourses, une mèche de cheveux était tombée sur le front de Kayla et, pour lui rendre la pareille de son geste amicale, Natalie releva elle-même les cheveux de sa sur. Cétait très excitant de les voir ainsi coopérer.
Affaissée comme elle létait, javais une vue parfaite sur le décolleté de Kayla. Natalie avait bien remarqué mes regards appuyés et répétés et décida alors de me faire plaisir jusquau bout :
« – Attends une seconde, dit-elle à sa sur, montre-nous tes beaux seins. »
Kayla se redressa et Natalie lui enleva son top jaune, et se déshabilla elle aussi. La première avait un soutien-gorge rose qui soutenait une magnifique et abondante poitrine. La deuxième, la plus âgée, navait même pas de soutien-gorge et neut quà soulever son t-shirt pour afficher une paire de seins, certes plus petite, mais tout aussi belle.
« – Cest mieux comme ça ? me demanda-t-elle.
— Bien mieux ! »
Javais envie de leur empoigner les seins, de les lécher, surtout ceux de Kayla, qui affichait un superbe 75E, mais il y avait quelque chose qui men empêchait : une certaine gêne, parce que cétaient mes surs. Je sais que cela peut paraître bizarre puisque jétais en train de me faire sucer, mais cela me bloquait vraiment, comme de les embrasser aussi par exemple. Mais la gêne nétait que de mon côté apparemment puisque, selon Kayla, quitte à être nue, autant lêtre entièrement, elle donna mon sexe à sa sur, se leva et enleva son petit short en jeans, dévoilant ses belles fesses rondes et ses hanches voluptueuses. Et une idée me traversa alors la tête : allions-nous baiser ? Etais-je sur le point de baiser mes deux surs ? Mon cur se mit à battre plus rapidement. Et mon érection sintensifia lorsque ma sur maintenant nue se retourna vers moi, me montrant sa légère touffe et son ventre doux doù pendait un piercing. Puis elle revint sassoir entre mes cuisses.
Un peu après, Natalie, qui avait mon gland en bouche, utilisa ses mains pour me branler en même et je compris que cétait fini, que jallais éjaculer. Elle le comprit aussi aux sons de mes gémissements qui se faisaient de plus en plus fort. Je lui dis de ne surtout pas sarrêter, ses petits doigts glissaient facilement le long de ma verge tant elles avaient salivé. Je pris la tête de Kayla, la poussa vers mes couilles et elle sexécuta sans rien dire. Avoir sa tête dans ma main, sentir ses cheveux entre mes doigts ma fait réaliser la situation des plus excitantes dans laquelle jétais. Je me rappelle avoir pensé, avant de jouir : je me fais pomper par mes deux surs ! Et jai tout lâché dans la bouche de Natalie, qui continua ses mouvements jusquà être sûre que mes couilles soient entièrement vides. Affalé dans mon siège, la tête dans les nuages, le cur battant à deux cents à lheure, je vis alors Natalie ouvrir la bouche et, avec sa langue, jouer avec mon sperme vers Kayla, comme pour lui dire : cest dans ma bouche quil a joui et pas dans la tienne ! Je ne savais pas ce quelle allait faire ensuite, si elle allait lavaler ou si ça lécurait trop. Mais dans les deux cas, jétais dans le faux : ses coups de langue nétaient pas de la provoc mais un signe dapproche. Natalie se tourna vers moi et leva le doigt pour dire de prêter attention à ce qui allait se passer. Kayla sapprocha, sourit et posa ses cheveux derrière son oreille. Elles penchèrent toutes deux la tête et commencèrent à sembrasser goulûment, séchangeant mon sperme. Le liquide blanc épais se déversa dune bouche à lautre, coulant le long du menton de Kayla. Elles sembrassèrent sans aucune gêne, mélangeant et suçant leurs langues. Cest tout ce quil me fallut pour être de nouveau en érection. Mais après sêtre partagé mon foutre, mes deux surs ont commencé à se rhabiller et à discuter à quel point cela avait été fun.
« – Quoi, cest tout ? leur demandai-je étonné, moi qui pensais qui ça allait aller plus loin.
— Bah oui, on voudrait pas que tu deviennes accro. Si tes sage, peut-être quon le refera. Allez, à plus tard ! »
Et elles sortirent de ma chambre, Kayla menvoya un bisou avant de partir, me laissant là, à moitié nu, à moitié en érection, comme un idiot. Il me fallut quelques minutes pour bien comprendre ce qui sétait passé, me demandant si je navais tout simplement pas rêvé, si je navais pas eu la plus érotique des hallucinations.
Le soir même, au diner, je nosais pas les regarder, javais les yeux rivés sur mon assiette, ma mère me demanda même si je me sentais mal. Mes surs, elles, assumaient complètement, se souriant entre elles. Et dans mon lit, avant de mendormir, je métais demandé dans quoi je métais encore fourré, mais surtout si nous allions recommencer